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La rentrée s’est bien passée à l’école privée musulmane Philippe Grenier d’Aunay-sous-Bois mais coûte cher
Le rectorat n’a pas émis d’opposition à l’ouverture de cet établissement privé, dénoncé par l’opposition. Au moins une visite de contrôle est prévue au cours de cette première année scolaire.
La polémique, puis l’apaisement ? Trois semaines après la rentrée scolaire de plusieurs centaines d’élèves, le calme semble être revenu autour de l’école Philippe-Grenier, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).
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Selon une maman, les programmes sont en adéquation avec ceux des écoles publiques : « Mes enfants évoluent bien, ils sont au moins aussi avancés que leurs copains scolarisés dans des écoles classiques », assure-t-elle, se félicitant que les enseignants s’inspirent de la méthode Montessori. « La principale différence, c’est qu’on leur apprend aussi l’arabe, en plus de cours de religion », indique la maman. Qui rappelle qu’avant d’être une école reconnue, « la structure avait déjà une fonction scolaire », et dispensait des cours d’arabe.
Coût de la scolarité : 2 200 euros
Un statut qui permet aux responsables d’adapter les programmes dispensés aux enfants, mais la structure fera l’objet « d’au moins une visite de contrôle du rectorat dans sa première année », sur le contenu pédagogique et sur le bâtiment lui-même.
Reste que pour les familles, ce nouveau statut d’école hors contrat a un coût : de 1 500 €, le prix à l’année pour un enfant est passé à… 2 200 €.
Source et article complet : Le Parisien
Développer son business à l’international c’est possible en traduisant vos documents correctement
De nombreuses entreprises voient le jour en Seine-Saint-Denis, dans des incubateurs notamment. Que ce soit pour développer des services ou mettre en valeur des produits, les différentes collectivités locales n’hésitent plus à aider les investisseurs et nouveaux chefs d’entreprise, dans un département où le taux de chômage est bien plus élevé que la moyenne nationale.
Si de nombreuses entreprises se concentrent sur le marché local, l’extension de la zone de chalandise ne peut se faire qu’en ciblant des client à l’international, en respectant les règles d’import/export et en se différenciant d’une concurrence de plus en plus rude. De nombreux talents existent dans le département, poussés par un certain dynamisme et une imagination débordante. Or, pour se développer à l’international, il est nécessaire soit de maîtriser la langue locale, soit homogénéiser ses documents dans la langue du business par excellence : l’anglais. Celles et ceux qui souhaitent se concentrer sur le marché européen ne doivent pas non plus ignorer l’Allemand (l’Allemagne est le principal moteur économique de l’Europe), et l’Espagnol, qui offre des débouchés importants.
Pour ce faire, les entreprises peuvent faire appel à agence de traduction pour obtenir des documents de qualité professionnelle. Cela peut inclure tout document marketing ou commercial qui présente un produit ou un service, mais aussi des documents contractuels. Une bonne connaissance des lois locales mais aussi des clauses correctement traduites permettront de faciliter les échanges avec les entités juridiques des clients avec lesquels on souhaite développer les affaires.
Autre point de plus en plus important pour les entreprises qui souhaitent développer leurs affaires à l’internationale : disposer d’un site internet correctement traduit en anglais, ou toute autre langue de pays que l’on souhaite cibler. Il ne suffit pas en effet de
traduire vos documents pour espérer pouvoir cibler un pays en particulier. Avoir un site internet comme véritable vitrine tournée à l’international, mais aussi comme véritable moyen de nouer des contacts et de transformer des visiteurs en potentiels client, est essentiel. Le site doit également disposer des optimisations SEO qui lui permettent de sortir en tête des recherches Google ou autres sur des mots-clés définis, en utilisant les techniques du Web que seuls les gourous ou les agences Web professionnelles sont capables d’appliquer de manière juste et naturelle.
Parce qu’il est aujourd’hui plus facile d’établir des échanges commerciaux dans l’Union Européenne, la traduction des documents contractuels, commerciaux, mais aussi du site internet apparaît comme indispensable pour toute les sociétés qui ont vocation de se développer sur le marché commun.
Enfin, parce qu’établir des relations commerciales nécessitent souvent des échanges humains autour d’une table, n’hésitez pas non plus à faire appel à des interprètes capables de vous traduire en direct les propos de vos potentiels clients. Parce qu’un quiproquo ou un contresens est vite arrivé, mieux vaut bien s’entourer lorsque l’on souhaite établir des affaires durables avec des clients qui ne parlent pas le français.
Si vous aussi vous avez récemment ouvert une entreprise dont une partie du chiffre d’affaires est tournée à l’international, n’hésitez pas en commentaire à témoigner de votre expérience et sur les obstacles que vous avez franchis notamment au niveau de la barrière de la langue.
L’enseignement de l’arabe est en passe de disparaître du paysage scolaire, même à Aulnay-sous-Bois ?
C’est ce que nous apprend le site Mediapart, qui s’appuie sur une série de données statistiques. Utilisée par 3 millions de personnes en France et par plus de 200 millions dans le monde, la langue arabe est utilisée principalement en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. C’est aussi une langue véhiculaire en Afrique de l’Est et au Tchad.
A Aulnay-sous-Bois, dans certains groupes scolaires, il est possible d’apprendre la langue Arabe dès l’école primaire. Des associations aulnaysiennes ont aussi créé des écoles d’apprentissage de la langue Arabe, comme El Amel.
D’autres projets ont été pour l’instant mis de côté, comme l’école Philippe Grenier, pourtant annoncée en 2011. La langue arabe est-elle en train de disparaitre aussi du paysage scolaire aulnaysien ? Il n’est en effet pas facile de rivaliser avec la langue de Shakespeare, utilisée partout pour les échanges internationaux, ou la langue de Goethe, utilisée principalement en Europe et qui connait un regain d’intérêt, économie allemande oblige. Réponse dans quelques années…