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Formation sur la laïcité critiquée dans un lycée de Pantin, plainte pour diffamation

Une inspectrice de l’Éducation nationale a déposé plainte pour outrage et diffamation contre un enseignant. Celui-ci avait critiqué, sous la forme d’un poème, le contenu d’un atelier qu’elle avait donné en novembre au sein du lycée Marcelin-Berthelot, avant d’être convoqué au rectorat.

La polémique autour de la formation sur la laïcité organisée début novembre au lycée Marcelin-Berthelot, à Pantin (Seine-Saint-Denis) va-t-elle prendre une tournure judiciaire ? L’une des inspectrices académiques qui a dispensé aux personnels de l’établissement un atelier dédié à la « laïcité et aux valeurs de la République » a porté plainte le 5 janvier pour outrage et diffamation envers le professeur qui avait lu en décembre, lors d’un conseil d’administration du lycée, une fable critiquant le contenu de cette formation.

Source et article complet : Le Parisien

Le journaliste Joseph Macé-Scaron sous-entend que les mariages religieux devant l’imam explosent à Aulnay-sous-Bois

Joseph Macé-Scaron est un journaliste respecté dans la profession mais aussi un essayiste et un romancier. Il était membre de la direction de Marianne et participe de temps en temps aux débats de société.

Sur C-News dans l’émission de Pascal Praud, M. Macé-Scaron affirme que les mariages religieux devant l’Imam sans passer par le Maire de la ville explosent en France. Il prend comment référence « Aulnay-sous-Bois » où il suffit d’y vivre 48h pour s’en rendre compte.

Est-ce un fait vérifiable ou est-ce que Joseph Macé-Scaron affabule ? Chacun jugera sur ces propos que vous pouvez découvrir en vidéo en cliquant sur l’image ci-dessous.

Décès du père Tristan, ancien curé à Aulnay-sous-Bois

Décès du père Tristan, ce matin aux alentours de 11 h 30. Le père Tristan à été curé de l’église Saint-Joseph durant dix ans, de 2006 à 2016. Les obsèques seront célébrées probablement dans le courant de la semaine qui vient, probablement à Saint-Joseph.

Source : Aulnay Relais Infos

Pour Aya Nakamura, la diva d’Aulnay-sous-Bois, l’Islam est une religion de paix

Aya Nakamura est une artiste qui est musulmane. Bien qu’elle ne fasse pas de prosélytisme dans ses chansons, elle a mentionné l’expression « Maschallah » qui signifie « ce que Dieu a voulu ». Croyante, elle dit que la religion lui permet de tenir la pression et de garder la tête sur les épaules avec tous les succès obtenus.

Pour Aya Nakamura, l’Islam est une religion de pays et d’amour. Même si elle admet qu’il y a du bon et du mauvais dans cette religion, elle estime que la religion musulmane est mal analysée et que cela provoque de l’islamophobie et du racisme.

Vous pouvez découvrir son interview à ce sujet en cliquant sur la vidéo ci-dessous :

Je pleure tous les martyrs des  » cinglés d’Allah  » qui ne sont que des bouchers

Je pleure tous les martyrs des  » cinglés d’Allah  » qui ne sont que des bouchers

Attentats du 29 Octobre 2020 à Nice

Une fois de plus, c’est avec un chagrin immense et une indignation incommensurable qu’ il me faut utiliser ma plume pour dénoncer, une fois de plus, un attentat qui vient d’être perpétré à Nice ce jour et qui résulte du fanatisme criminel et pervers de quelques dépravés mentaux et moraux.

Jusqu’à quand cet islam imposteur non divin et immoral va répandre sa haine et ses crimes sur des innocents dont la vie vient d’être fauchée dans la plus grande barbarie une fois de plus ?

Jusqu’à quand le peuple uni de France contre la sauvagerie et les crimes va se laisser massacrer par ces faucheurs de vie qui ne travaillent pas pour Allah mais pour le diable ?

Car si vraiment Dieu existe, et en émettant cette hypothèse je n’affirme ni qu’il existe, ni qu’il n’existe pas, pour ne heurter ni les croyants de toutes religions, ni les athées et les agnostiques dont je respecte les croyances et les convictions, eh bien je veux croire de tout mon cœur et de toute mon âme, que si ce Dieu existe, jamais il n’encouragerait la haine et la mort entre tous ses enfants qu’il ne classe pas et qu’il ne discrimine pas pour des raisins de race ou de religion !

Je veux croire qu’il est juste et bon et qu’il invite tous ses enfants à ne pratiquer que l’amour et la tolérance les uns envers les autres.

Et je veux croire de toutes mes forces que tous ceux qui ont vraiment la foi, ne voudrait jamais faire à autrui, ce qu’il n’apprécierait pas qu’il lui soit fait !

L’islamisme radical est une imposture monumentale et cherche à diviser le peuple de France qui doit rester uni et ne jamais cautionner le crime !

La France Laïque et républicaine ne peut et ne doit jamais tolérer qu’un dogme religieux s’impose et prévale sur ses lois ! C’est sa laïcité qui l’affirme et l’exige !

Nice matin :

Une attaque à l’arme blanche a eu lieu ce jeudi matin à Nice, dans le secteur de l’église Notre-Dame, en plein centre-ville.

Au moins trois morts, une femme égorgée

Une femme âgée d’environ 70 ans a été égorgée par un individu muni d’un couteau. L’auteur de l’attaque a fait au moins trois morts, dont deux dans l’église, selon une source gouvernementale et plusieurs blessés. 

Sérieusement blessée, une victime est décédée dans un bar proche où elle s’était réfugiée

D’après le maire de Nice, Christian Estrosi, le gardien de l’église fait partie des victimes.

Les faits se sont déroulés vers 9h, près de l’église Notre-Dame, en plein cœur du centre-ville de Nice. 

Selon nos informations, qui confirment celles du député Eric Ciotti et du maire Christian Estrosi, il s’agit bien d’un attentat terroriste.

Article rédigé le 29 octobre 2020 par Catherine Medioni

 

 

L’appel pour une laïcité renouvelée pleine et entière

Le 24 octobre 2020, 49 personnalités se sont unies dans une tribune dont ils sont co-signataires pour inviter nos dirigeants et nos politiques à insuffler une nouvelle dynamique en créant des « organismes publics adaptés à cet horizon politique transformé » afin de porter haut l’idéal laïque.

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Voici leur tribune publiée dans le Journal du Dimanche :

« On a tué un homme. De la manière la plus barbare et la plus expressive qui soit, dans le rituel codifié d’exécution religieuse de l’islam radical. On a assassiné un homme pour avoir accompli sa tâche avec modestie et sans frémir. On a exécuté un professeur qui remplissait la mission la plus noble, celle de contribuer à l’émancipation et à la construction de la conscience des jeunes élèves dont il avait la charge pédagogique et morale. On s’est attaqué au creuset de la République, son école.

Avec près de 300 morts dont le souvenir pèse sur nos cœurs depuis 2012, ce mort-là est l’électrochoc qui donne aux Français la force de ne plus accepter l’inacceptable. Et comme dans ces sursauts que peuvent accomplir les peuples souverains lorsqu’ils prennent conscience de leur unité, en quelques jours ce qui semblait impossible devient possible et s’accomplit même déjà.

Il est du devoir des responsables politiques d’insuffler une nouvelle dynamique

La remise en question permanente de la liberté d’expression et les assauts répétés contre notre école publique sont les symptômes évidents de la volonté ultime de nos ennemis : saper les fondements démocratiques de la République française. En voulant détourner une partie de la jeunesse de nos principes, en tentant de la liguer contre ses lois et ses institutions, c’est la promesse de tout un peuple que l’on tente d’arracher, c’est notre futur que l’on souhaite anéantir. Les Français en ont aujourd’hui conscience, dans leur immense majorité.

Les mêmes qui depuis trois décennies tentent de convaincre les Français qu’ils sont coupables de tout, qu’ils ne voient pas ce qu’ils voient, que s’ils meurent sous les balles et les lames des couteaux, c’est bien leur faute et non celle des assassins, restent à l’écart de ce mouvement populaire et démocratique profond. Ceux-là ne comprennent pas ce qui est en train de se passer, ils ne comprennent pas l’éphémère et délicate union d’un peuple et de ses représentants autour d’un projet de salut public.

Pour accompagner cette prise de conscience et pour rétablir une laïcité pleine et entière, seule garante de la paix et de la concorde civile dans notre République, il est du devoir des responsables politiques d’insuffler une nouvelle dynamique. Des organismes publics adaptés à cet horizon politique transformé doivent voir le jour, nourris d’une ambition sans autres limites que celles de la raison, de la science et du droit.

C’est tout l’édifice laïque qui est aujourd’hui à restaurer sur la base de la loi de 1905

Nous attendons du président de la République, du gouvernement et des représentants du peuple qu’ils créent ces moyens inédits et orchestrent leur action pour porter haut l’idéal laïque, en remplacement de ceux qui ont fait leur temps et dont l’esprit, les objectifs, l’organisation et les travaux ne correspondent plus aux ambitions nouvelles. Ceux-là se sont écartés de la défense de la laïcité, allant jusqu’à prendre constamment le parti de ses adversaires, de tribune en préface, de critique des laïcs les plus respectés en prise de position des plus ambiguës.

L’espoir suscité parmi les Français ne peut être déçu. La mise en œuvre de nouveaux outils, de nouvelles instances, adaptés à ce paysage laïque transformé, est essentielle. C’est tout l’édifice laïque qui est aujourd’hui à restaurer sur la base de la loi de 1905, son fondement le plus solide. Cela ne pourra se faire qu’avec des femmes et des hommes intimement convaincus de leur mission de redonner aux Français la fierté de leur modèle émancipateur et fraternel. »

Liste de tous les signataires de cette tribune :

Elisabeth Badinter (philosophe), Marika Bret, Roland Castro (architecte), Caroline Fourest (essayiste), Marcel Gauchet (philosophe), Jean Glavany (ancien ministre), Patrick Kessel (journaliste), Catherine Kintzler (philosophe), Françoise Laborde (ancienne sénatrice), Richard Malka (avocat), Henri Peña-Ruiz (philosophe), Iannis Roder (historien), Gilbert Abergel, Joël Andriantsimbazovina (professeur de droit), Isabelle Barbéris (universitaire), Florence Bergeaud-Blackler (anthropologue), Yves Bréchet (membre de l’Académie des sciences), Gérald Bronner (sociologue), Gwenaële Calvès (professeure de droit), Martine Cerf, Gilles Clavreul (délégué général du think tank L’Aurore), Jacqueline Costa-Lascoux (sociologue), Charles Coutel (universitaire), Gérard Delfau (ancien sénateur), Éric Desmons (professeur de droit), Frédéric Encel (géopolitologue), Philippe Foussier, Jean-Philippe Hubsch (grand maître du Grand Orient de France), Alain Jakubowicz (avocat), Pierre Juston (doctorant), Guy Konopnicki (journaliste), Laurent Kupferman (essayiste), Françoise Laborde (journaliste), Jacques Lafouge, Guy Lengagne (ancien secrétaire d’Etat), Denis Maillard (philosophe), Tania de Montaigne (journaliste), Hiam Mouannès (universitaire), Agnès Perrin-Doucey (universitaire), Jérémie Peltier, Emmanuel Pierrat (avocat), Bernard Ravet (ancien enseignant), Dominique Reynié (politologue), Jacques de Saint Victor (écrivain et universitaire), Jean-Pierre Sakoun (président du Comité Laïcité République), Mario Stasi (avocat), Pierre-André Taguieff (politologue) et Virginie Tournay (universitaire), Amine El Khatmi, président du Printemps républicain.

                                                        *****************************                                                                          Il est à noter que ces personnalités sans viser qui que ce soit en particulier reprochent à certains leaders politiques de s’être trop souvent : « écartés de la défense de la laïcité, allant jusqu’à prendre constamment le parti de ses adversaires ». Des anonymes qui souhaitent le demeurer avaient également remarqué qu’en France on semblait : « plus préoccupé par la lutte contre la stigmatisation des musulmans que par la défense de la laïcité ».  Il faut peut-être rééquilibrer les droits des non musulmans qui subissent tous les jours la francophobie, l’occidentophobie de la part de ces islamistes radicaux qui cherchent à diviser l’unité de la France en imposant son idéologie obscurantiste contemporaine de Mahomet, et en l’accusant constamment et sournoisement d’islamophobie.

Article rédigé le 25 Octobre 2020 par Catherine Medioni

Rappel des lois enfreintes et violées par l’islamisme radical

Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789

Art. 4.
La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.  (…)

Article 5
La loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.

Art. 10.
Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi.

Art. 11
La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.

Constitution du 4 octobre 1958

PRÉAMBULE                                                                                                                        Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946, ainsi qu’aux droits et devoirs définis dans la Charte de l’environnement de 2004.

ARTICLE PREMIER
La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.
La loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales.

Titre premier – DE LA SOUVERAINETÉ
ARTICLE 2
La langue de la République est le français. L’emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge.  L’hymne national est « La Marseillaise ». La devise de la République est « Liberté, Égalité, Fraternité ». Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.

ARTICLE 16
Lorsque les institutions de la République, l’indépendance de la nation, l’intégrité de son territoire ou l’exécution de ses engagements internationaux sont menacées d’une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des présidents des assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel.

ARTICLE 34
La loi fixe les règles concernant :

  • les droits civiques et les garanties fondamentales accordées aux citoyens pour l’exercice des libertés publiques ; la liberté, le pluralisme et l’indépendance des médias ; les sujétions imposées par la défense nationale aux citoyens en leur personne et en leurs biens ;
  • la nationalité, l’état et la capacité des personnes, les régimes matrimoniaux, les successions et libéralités ;
  • la détermination des crimes et délits ainsi que les peines qui leur sont applicables

La loi détermine les principes fondamentaux :

  • de l’organisation générale de la défense nationale ;
  • de la libre administration des collectivités territoriales, de leurs compétences et de leurs ressources ;
  • de l’enseignement ;
  • de la préservation de l’environnement ;
  • du régime de la propriété, des droits réels et des obligations civiles et commerciales ;
  • du droit du travail, du droit syndical et de la sécurité sociale.

Loi du 9 décembre 1905  sur la séparation des Eglises et de l’Etat.

Article 1
La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l’intérêt de l’ordre public.

Article 2
La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, à partir du 1er janvier qui suivra la promulgation de la présente loi, seront supprimées des budgets de l’Etat, des départements et des communes, toutes dépenses relatives à l’exercice des cultes.

Article 31
Sont punis de la peine d’amende prévue pour les contraventions de la 5ème classe et d’un emprisonnement de six jours à deux mois ou de l’une de ces deux peines seulement ceux qui, soit par voies de fait, violences ou menaces contre un individu, soit en lui faisant craindre de perdre son emploi ou d’exposer à un dommage sa personne, sa famille ou sa fortune, l’auront déterminé à exercer ou à s’abstenir d’exercer un culte, à faire partie ou à cesser de faire partie d’une association cultuelle, à contribuer ou à s’abstenir de contribuer aux frais d’un culte.

Article 34     Modifié par Ordonnance n° 2000-916 du 19 septembre 2000 – art. 1 (V)
Tout ministre d’un culte qui, dans les lieux où s’exerce ce culte, aura publiquement par des discours prononcés, des lectures faites, des écrits distribués ou des affiches apposées, outragé ou diffamé un citoyen chargé d’un service public, sera puni d’une amende de 3 750 euros. et d’un emprisonnement d’un an, ou de l’une de ces deux peines seulement.

La vérité du fait diffamatoire, mais seulement s’il est relatif aux fonctions, pourra être établi devant le tribunal correctionnel dans les formes prévues par l’article 52 de la loi du 29 juillet 1881. Les prescriptions édictées par l’article 65 de la même loi s’appliquent aux délits du présent article et de l’article qui suit.

Article 35
Si un discours prononcé ou un écrit affiché ou distribué publiquement dans les lieux où s’exerce le culte, contient une provocation directe à résister à l’exécution des lois ou aux actes légaux de l’autorité publique, ou s’il tend à soulever ou à armer une partie des citoyens contre les autres, le ministre du culte qui s’en sera rendu coupable sera puni d’un emprisonnement de trois mois à deux ans, sans préjudice des peines de la complicité, dans le cas où la provocation aurait été suivie d’une sédition, révolte ou guerre civile.

Article 36
Dans le cas de condamnation par les tribunaux de police ou de police correctionnelle en application des articles 25 et 26, 34 et 35, l’association constituée pour l’exercice du culte dans l’immeuble où l’infraction a été commise sera civilement responsable.

Collecte réalisée le 22 Octobre 2020  par Catherine  Medioni  à partir de  :

https://www.conseil-constitutionnel.fr/le-bloc-de-constitutionnalite/declaration-des-droits-de-l-homme-et-du-citoyen-de-1789

https://www.conseil-constitutionnel.fr/le-bloc-de-constitutionnalite/texte-integral-de-la-constitution-du-4-octobre-1958-en-vigueur

https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000508749/2020-10-22/

Rappel : Mets du coeur dans tes dribbles le samedi 20 juillet 2019

L’Association Pour Le Soutien Scolaire A Lakanguemou (assl)

Organise un tournoi de football solidaire, avec 20 équipes de 8 joueurs.

Le samedi 20 juillet à partir de 8 heures

au stade du vélodrome, 137 rue Maximilien Robespierre, Aulnay-Sous-Bois.

Participation: 50 euros par équipe.

Restauration et buvette sur place.

Renseignements et inscriptions  : 06.24.02.51.59 ou le: 06.49.49.99.14

Source: Association Pour Le Soutien Scolaire A Lakanguemou (assl)

La rentrée s’est bien passée à l’école privée musulmane Philippe Grenier d’Aunay-sous-Bois mais coûte cher

ancienne école bougainville à Aulnay

Le rectorat n’a pas émis d’opposition à l’ouverture de cet établissement privé, dénoncé par l’opposition. Au moins une visite de contrôle est prévue au cours de cette première année scolaire.

La polémique, puis l’apaisement ? Trois semaines après la rentrée scolaire de plusieurs centaines d’élèves, le calme semble être revenu autour de l’école Philippe-Grenier, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

Selon une maman, les programmes sont en adéquation avec ceux des écoles publiques : « Mes enfants évoluent bien, ils sont au moins aussi avancés que leurs copains scolarisés dans des écoles classiques », assure-t-elle, se félicitant que les enseignants s’inspirent de la méthode Montessori. « La principale différence, c’est qu’on leur apprend aussi l’arabe, en plus de cours de religion », indique la maman. Qui rappelle qu’avant d’être une école reconnue, « la structure avait déjà une fonction scolaire », et dispensait des cours d’arabe.

Coût de la scolarité : 2 200 euros

Un statut qui permet aux responsables d’adapter les programmes dispensés aux enfants, mais la structure fera l’objet « d’au moins une visite de contrôle du rectorat dans sa première année », sur le contenu pédagogique et sur le bâtiment lui-même.

Reste que pour les familles, ce nouveau statut d’école hors contrat a un coût : de 1 500 €, le prix à l’année pour un enfant est passé à… 2 200 €.

Source et article complet : Le Parisien

Amadeus

 Amadeus

Samedi 17 mars – 18h30 Centre de rayonnement départemental d’Aulnay-Sous-Bois

« Mozart est partout. Il domine tout. Parce que Mozart, c’est l’émotion, l’intelligence, le bonheur, la tristesse de la condition humaine »

Cette citation de H.C Robbins Landon illustre bien la place tout à fait particulière que Mozart occupe dans le coeur des musiciens. Le concert de cette session d’orchestre rend hommage à son prodigieux génie. Deux grands types de partitions orchestrales ont été retenus : une ouverture d’opéra (Le nozze di Figaro) et une symphonie (n°41 en ut majeur, dîtes « Jupiter »), auxquelles s’ajoutera la profondeur singulière de l’étonnant Adagio et Fugue en ut mineur (K.546).

Prix des places : 5€

Cette session d’orchestre sera donnée par l’Orchestre symphonique du Conservatoire et elle sera dirigée par Julien Guénebaut

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