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Olivier Dacourt vient d’Aulnay-sous-Bois et le fait savoir

Comme Kamel, le personnage principal incarné par Redouane Bougheraba, Olivier Dacourt a traversé la France pour promouvoir « Sur la route de papa », son premier film qu’il a coréalisé avec Nabil Aitakkaouali. Dans ce marathon de cinquante avant-premières, l’ex-footballeur international a coché deux dates en particulier.

Le 12 juin, il a fait étape à Strasbourg (Bas-Rhin), où il a commencé sa carrière professionnelle au haut niveau dans les années 1990. Deux jours plus tard, il était à Aulnay-sous-Bois. Là où, pour Kamel comme pour lui, tout a commencé.

Source et article complet : Le Parisien

« AU BOULOT », film de François RUFFIN et Gilles PERRET

« Je suis pour la réinsertion sociale des riches ! »plaisante RUFFIN

Chacun d’entre nous se devrait s’accorder 1h24 pour visionner, pas ce film mais ce documentaire où est mis en exergue à l’écran la dureté et la vie des travailleurs au smic. » pourtant indispensables aux « privilégiés. »

 Le journal LE POINT  explique  d’où est parti ce film / Documentaire

 « Tout est parti d’un débat sur le plateau de RMC où Sarah S. jeune femme avocate chroniqueuse télé étalait son mépris pour les « glandus » et les feignasses » . Présent sur le plateau, le député de la Somme lui lance alors le défi de vivre un mois ou deux avec un smic. Va pour une semaine accepte l’avocate . Dans le rôle de Cruella, elle est parfaite. » « Le SMIC c’est déjà pas mal… »

 « …Commence alors, non un film immersif sur les difficultés d’un travail avec un salaire de misère mais un film de ciné-réalité avec plans, musique et récits d’un choc culturel accentué par les précieuse manières de la femme en immersion… il s’agit pour elle de vivre la vie d’un livreur, d’une aide à domicile d’un technicien , d’un manutentionnaire, d’un bénévole, d’une femme de ménage, d’une footballeuse et de renoncer un temps aux attributs de sa classe sociale que sont ses chaussures à talon et son écharpe en fourrure .»

Quelques commentaires du journal « le Monde »

 François RUFFIN qui a des activités politiques qu’on suppose prenantes s’offre néanmoins le luxe d’ajouter le cinéma à son emploi du temps. Outre l’ensemble de ces livres qu’il publie très régulièrement « Mal travail », « Je vous écris du front de la Somme » « Ce pays que tu ne connais pas » s’adressant à E.Macron, « La guerre des classes », « Un député…à la ferme », Un député …à l’hôpital », « Il est où le bonheur »…etc le député a signé 4 longs courts documentaires depuis 2016 dont « Merci patron » le premier d’entre eux qui fit sensation … un césar du meilleur documentaire . »

 Quelques commentaires de France Info

 « …quel est l’intérêt de chercher l’approbation ou à convaincre une personne très aisée sur la volonté des personnes en situation de grande précarité à vouloir vivre dignement… »

« Et l’on découvre cette France invisibilisée, cette France qui se lève tôt pour pas grand-chose. Toutes ces personnes, broyées par la vie, ont enfin leur « droit de réponse », selon l’expression de Gilles Perret . » 

« Au boulot ! …Le fossé abyssal entre un discours politique , déconnecté et culpabilisant et la réalité d’un monde en souffrance…»

 Quelques commentaires du magazine « Frustrations »

 De temps en temps, la bourgeoisie politique et médiatique parle des pauvres et de leur sort… On verse une larme sur les aide-ménagères tous les 4 matins, on applaudit les soignants en cas d’épidémie…Les travailleurs de seconde ligne, …bref celles et ceux qui doivent par essence travailler « en présentiel » et qui représentent 29% des salariés du secteur

Sur le plan documentaire, il rappelle deux vérités essentielles :

D’abord la réalité du travail, ce sont des gens qui usent leur corps pour faire tourner l’économie… « Au boulot » montre une galerie de  personnes qui ont des blessures irréparables….

Ensuite…le système médiatique  montre toujours les pauvres et les réfugiés de loin , de très loin, de telle sorte qu’ils sont considérés comme des chiffres et jamais comme des personnes dont la vie aurait un quelconque intérêt … En filmant les personnage du film comme il le fait, Perret les drape donc d’une étoffe humaine et à bien des égards héroïque / c’est quand même très fort . »

Quelques commentaires de spectateurs

« Très belles tranches de vie où on est au cœur du quotidien de ces personnes qui travaillent dur pour seulement vivre face à une bourgeoisie friquée qui ignore tout de cette France d’en bas. »

« …ces gens qui n’ont jamais la parole à la télé, à la radio, ces gens peu considérés par ceux qui vivent dans l’autre monde aseptisé, froid ,luxueux…Ce genre d’initiative de messieurs Perret et Ruffin nous donne un peu d’espoir pour que ceux qui ferment les yeux sur leur monde diamanté afin qu’ils les  ouvrent à l’extérieur de leur bulle… » « Il y a des histoires de vie, des gens cassés physiquement, moralement… »

« J’espère qu’il passera à l’Assemblée Nationale et qu’un jour les responsables politiques feront un stage avant de prendre des responsabilités. »

 « Un film émouvant qui montre le décalage entre des gens de la « vraie » vie et les préjugés de classe qui font le beurre de certains sur le dos des autres. »

« A l’époque d’aujourd’hui,  ce ne sont pas 500 000 spectateurs qui devraient  avoir déjà visionné ce film mais 68 000 000 millions de Français … »                                                                                                     

Source : Contribution extérieure

Le court métrage d’un jeune Aulnaysien est sélectionné au CHELSEA FILM FESTIVAL

La ville d’Aulnay sous Bois par ses structures éducatives et ses institutions culturelles est le terreau fertile de quelques talents émergeants qui ont puisé leur inspiration dans leur environnement et dans leur expérience de la vie.  Rayen Hediji qui a toujours vécu à Aulnay a vu son court métrage «  un job en or «  sélectionné en compétition au Chelsea film festival.

Le propos du court métrage porte sur l’envie de deux amis de sortir de leur routine ronronnante pour vivre des aventures plus excitantes à Los Angeles : Un job en or semble être une opportunité miraculeuse qui ne manque pas pourtant d’exposer son revers derrière les alléchantes apparences….

Le court métrage est proposé en avant-première française  et sur invitation ce lundi 13 novembre 2023 au forum des images, 2, rue du cinéma dans le 1er arrondissement de Paris.

Souhaitons un beau succès et longue vie à ce court métrage réalisé par un talent d’Aulnay sous bois.

Article  rédigé le 12 Novembre 2023 par Catherine  Medioni

La 6e édition du festival de courts métrages « Hallnaywood » a lieu ce samedi à Aulnay-sous-Bois

Comme lors des précédentes éditions, le festival aura lieu au théâtre Jacques Prévert à Aulnay-sous-Bois (93). L’organisation s’est entourée cette année une nouvelle fois d’un jury de qualité, avec entre autres le réalisateur David Diane, l’acteur Samir Decazza, Steven Clemira, ou encore Horya Benabet, connue pour son rôle dans la série Plus belle la vie. Un jury présidé par le talentueux rappeur et acteur « Fianso ». 

« Cette année, nous avons reçu plus de 200 films, preuve que notre festival intéresse de plus en plus de monde, se félicite Djamal Soifeini, l’un des fondateurs de « Hallnaywood ». Il a fallu alors sélectionner une vingtaine de films. C’est long parce que nous travaillons essentiellement avec des bénévoles qui ont pris sur leur temps libre pour faire leurs choix », détaille encore ce dernier. Les 20 courts métrages présélectionnés seront diffusés au Théâtre cinéma Jacques-Prévert, avant la délibération et la remise des trophées ce samedi. 

Source et article complet : Le Courrier de l’Atlas

Violente agression au centre commercial Rosny 2, appel à témoins

L’agression a eu lieu le 28 décembre 2021 au cinéma UGC du centre commercial Rosny 2 à Rosny-sous-Bois. Les deux victimes auraient été violemment agressées par une quinzaine de personnes à la sortie de la séance de 19h45 du film « Spiderman : No Way Home ». L’agression se serait produite vers 22h15, dans le couloir de sortie.

« Merci de transmettre tout élément susceptible de faire avancer l’enquête à l’officier de police judiciaire : M. Moiselet au 01 48 12 28 41 », indique la préfecture de police. 

Source et article complet : Actu.fr

La réalisatrice Alice Diop des 3000 à Aulnay-sous-Bois met en valeur la Seine-Saint-Denis

Depuis La Tour du monde, tourné en 2005 dans la cité d’Aulnay-sous-Bois où elle a grandi, Alice Diop a filmé la Seine-Saint-Denis avec une constance qui tient, dit-elle, de l’obsession. Inspirée par Les Passagers du Roissy-Express, récit de voyage de François Maspero le long de la ligne de RER B, paru en 1990 (photographies d’Anaïk Frantz, éd. Points Seuil), la cinéaste d’origine sénégalaise élargit aujourd’hui son territoire à la région parisienne. Elle a refait la traversée de ces communes franciliennes, des tours de la banlieue nord qu’elle connaît comme sa poche à la vallée de Chevreuse, qui lui est beaucoup moins familière. Et c’est la France, au bout du compte, qu’elle donne à lire dans son nouveau documentaire, composé d’une douzaine de séquences comme autant de tableaux.

Doublement couronné au dernier festival de Berlin, Nous marque l’accession d’Alice Diop à un niveau de reconnaissance international, mais aussi à une maturité artistique qui la porte déjà vers de nouveaux horizons : une fiction, qu’elle a tournée l’été dernier dans le Pas-de-Calais autour d’une affaire d’infanticide (Saint-Omer, actuellement en montage), et la scène théâtrale, sur les traces d’une Afrique qu’ont quittée ses parents dans les années 1960 pour venir s’installer en France.

Source et article complet : Télérama

Séances frissons pour Halloween au cinéma Jacques Prévert à Aulnay-sous-Bois avec Poupelle et Candyman

Des séances spéciales Halloween sont prévues le 31 octobre au Cinéma Jacques Prévert à Aulnay-sous-Bois (134 avenue Anatole France). Vous allez frissonner devant l’avant-première de « Poupelle » à 14h et « Candyman » à 16h30.

La 5e édition du festival Hallnaywood à Aulnay-sous-Bois les 3 et 4 septembre

Les passionnés du 7e art seront ravis avec la 5e édition du festival Hallnaywood qui a lieu à Aulnay-sous-Bois les 3 et 4 septembre.

Ce vendredi 3 septembre à 19h30, le festival commence au cinéma UGC Ciné Cité à O’Parinor Aulnay-sous-Bois. Le lendemain, le samedi 4 septembre à partir de 14h, c’est le cinéma Jacques Prévert qui prend le relais.

Le parrain du festival est Said Taghmaoui. 8 membres du jury ont été sélectionnés comme la chanteuse RnB Lyna Mayhem.

Programme de septembre du cinéma Jacques Prévert à Aulnay-sous-Bois

Du 1er septembre au 3 octobre

Pour cette rentrée retrouvons le cinéma dans toute sa diversité : La Palme d’or (Titane) et d’autres films primés ou remarqués dans la dernière édition du Festival de Cannes (Journal de Tûoa, Drive my car, France, Une histoire d’amour et de désir) des comédies (C’est la vie, OSS 117, Les Fantasmes, C’est quoi ce Papy ?, Un Triomphe, Délicieux), des découvertes (Indes Galantes, Rouge, True Mothers, Tom Médina, Serre moi fort, De bas étages, Passion simple, Louloute ), du grand spectacle (Réminiscence), des films jeunes public (Spirit, Pil,  Baby boss 2, Ride your wave, La Vie de château) et enfin un festival pour découvrir le meilleur du courts métrages (Hallnaywood) et un ciné-rencontre autour de l’association Aulnaysienne 0-93. 

Le programme en PDF

Source : site de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Entretien avec Rayen Hediji, jeune réalisateur d’Aulnay-sous-Bois

Dans un précédent article, nous annoncions la participation du court-métrage « Double jeu » au festival Nikon, réalisé par Rayen Hediji, un jeune Aulnaysien. La rédaction a pris contact avec le jeune réalisateur pour en savoir plus sur sa personnalité, son parcours, ses ambitions.

Une passion du cinéma dès le plus jeune âge

Dans cet entretien, Rayen Hediji nous confie que sa passion du cinéma n’est pas nouvelle, qu’elle lui est apparue dès le plus jeune âge. Que ce soit à travers ses diverses activités scolaires ou extrascolaires, M. Hediji ne rate jamais l’occasion d’immortaliser les événements en vidéo. Toutes ses créations étaient filmées, chaque activité était complétée par une séquence vidéo. 

Si cette passion était au départ artisanale, M. Hediji renforça petit à petit la qualité des oeuvres vidéos grâce à un matériel de plus en plus moderne, mais aussi en s’adonnant à la passion du montage. Plus grand, il se mit à réaliser des courts-métrages avec des amis, principalement dans le parc Ballanger à Aulnay-sous-Bois. Les vidéos se faisaient par téléphone, et le montage était réalisé par ce petit groupe.

Hallnaywood, le déclic

Mais c’est bel et bien le festival Hallnaywood qui a propulsé M. Hediji sur le devant de la scène en faisant de belles rencontres et en faisant part de sa créativité. Il rencontra un producteur pour réaliser un premier court métrage de qualité professionnelle, appelé « Ennemi Commun ». Le matériel adéquat lui fut prêté pour la réalisation.

Outre son deuxième court-métrage de premier plan (Double Jeu), Rayen Hediji travaille actuellement sur un autre court-métrage (durée de 15 à 20 minutes) afin de terminer sa professionnalisation. Ce court-métrage est un drame futuriste, qui devait concourir pour le festival Nikon mais qui, par faute de temps et par souci de la perfection, n’est pas encore prêt.

Bientôt un long-métrage

Si Rayen Hediji s’est spécialisé dans les courts-métrages, il a pour ambition de réaliser de long métrages dans quelques années. Il travaille déjà avec un scénariste sur un film qui sera une comédie grand public, avec quelques scènes d’action. L’histoire de ce premier long métrage mettra en avant 4 jeunes garçons, dont l’un vit une relation amoureuse tumultueuse.

Un artiste qui n’oublie pas ses racines et qui souhaite un soutien de la ville

Rayen Hediji habite toujours à Aulnay-sous-Bois. Et pour son premier long métrage, il souhaite qu’un des rôles principaux soit attribué à un Aulnaysien. Il compte d’ailleurs faire participer de nombreux Aulnaysiens parmi les figurants pour mettre en avant la ville et sa richesse.

Il souhaiterait également pouvoir faire partager sa passion du cinéma au plus grand nombre et attend avec impatience la possibilité de pouvoir s’exprimer dans le bulletin municipal Oxygène. Des réalisateurs de premier plan, il n’en existe pas tant que ça à Aulnay-sous-Bois et un petit clin d’oeil du bulletin distribué dans chaque boite aux lettres ne serait pas de refus pour un jeune talent sur la pente ascendante.