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Cinq mineurs homophobes ayant agressé deux homosexuels au Blanc-Mesnil risquent la prison
L’enquête, confiée aux services de police d’Aulnay-sous-Bois, a mobilisé d’importants moyens techniques et permis d’identifier l’ensemble des auteurs, tous mineurs.
Deux victimes, présentes à l’audience, ont décrit des scènes d’une grande brutalité : coups de poing, coups de pied, blessures physiques et choc psychologique durable, avec jusqu’à cinq jours d’incapacité totale de travail. Une troisième victime n’a pas pu être identifiée.
Les prévenus ont reconnu les faits de violences et de vol, tout en niant tout mobile homophobe. Ils affirment avoir visé des victimes au hasard, Grindr leur servant seulement à attirer des personnes à un lieu de rendez-vous. Pourtant, plusieurs messages retrouvés dans leurs téléphones contenaient des propos hostiles aux homosexuels. Malgré leurs dénégations, le tribunal a retenu la circonstance aggravante liée à l’orientation sexuelle, estimant que les victimes avaient été ciblées en raison de l’usage même de cette application.
Source et article complet : Stop Homophobie
Pascal et Fabien, deux homosexuels à Aulnay-sous-Bois, témoignent de l’homophobie
Avant cette soirée du 11 juillet, Fabien et Pascal ne s’étaient jamais vus. Pourtant, lorsque les deux hommes, 38 et 48 ans, se retrouvent au domicile du premier, ils ne manquent pas de sujets de conversation. Ils vivent à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), travaillent pour des compagnies aériennes. Et chacun a été victime d’une agression homophobe.
Ils développent aujourd’hui les mêmes angoisses : la foule, la peur d’être suivi, de sortir de chez soi la nuit… Et surtout, les rencontres sont devenues de moins en moins fréquentes. « Avant j’utilisais Grindr très régulièrement, confie Pascal. Je pensais que ce que j’ai vécu n’arrivait qu’aux autres. »
Source et article complet : Le Parisien
Prison et mesures éducatives pour neuf mineurs homophobes à Aulnay-sous-Bois
Deux affaires sordides de guets-apens au préjudice de la communauté homosexuelle ont donné lieu à un placement en détention provisoire, pour les faits les plus graves, et à des mesures éducatives strictes pour les très jeunes agresseurs. Les neuf mineurs mis en cause ont été déférés cette semaine.
Dans le premier dossier, cinq adolescents ont été interpellés au début de cette semaine. Ces collégiens d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) âgés de 14 à 16 ans avaient piégé des hommes les 23, 24 et 28 avril, au Blanc-Mesnil, en les contactant via Grindr, une application de rencontres homosexuelles.
Source et article complet : Le Parisien
8 mineurs interpellés à Aulnay-sous-Bois pour violence homophobe
Ce sont des faits d’une rare violence commis en raison de l’orientation sexuelle des victimes. Selon les informations de BFMTV, huit mineurs, soupçonnés d’avoir organisé des guet-apens, via des applications de rencontres, suivis de violences, de vols et d’un viol, ont été interpellés, ce lundi 27 et ce mardi 28 mai, dans plusieurs quartiers d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).
Les huit suspects, âgés de 14 à 16 ans, ont été placés en garde à vue dans les locaux du commissariat d’Aulnay-sous-Bois et du service départemental de police judiciaire (SDPJ) de Seine-Saint-Denis.
Source et article complet : BFM TV
L’ex Maire du Bourget Yannick Hoppe victime d’une violente agression homophobe à Dijon
Celui qui a fait perdre la ville du Bourget à l’UDI en 2020 et qui est devenu, en guise de reconversion, secrétaire fédéral du Parti Socialiste à Paris en charge de la communication, a été victime, avec son compagnon Benjamin, d’une violente agression homophobe. Il a reçu plusieurs coups de couteau mais sa vie n’est pas en danger.
Pour rappel, Dijon est la ville de son enfance. Même à la tête du Bourget (qui lui a été confié par Vincent Capo-Canellas en 2017 après avoir été élu Sénateur), il revenait fréquemment voir la ville de son enfance (si bien que ses détracteurs l’appelaient « le Dijonais »). Selon lui, il n’a jamais connu un tel acte homophobe lors de ses 10 années passées en Seine-Saint-Denis.
Un ancien tweet de la députée LFI Nadège Abomangoli aux relents homophobes et antisémites ?
Comme vous le savez, tout ce qui est dit dans les réseaux sociaux peut refaire surface même quand cela est effacé. Un tweet de la députée de la circonscription d’Aulnay-sous-Bois, Nadège Abomangoli, semble refaire surface. Voici son contenu :
Plusieurs Internautes s’émeuvent de ces propos qui datent d’avant sa victoire face au député sortant Alain Ramadier (LR). Si rien ne laisse transparaître un appel à la haine contre un groupe de personnes, on peut en effet se poser la question du rapprochement de la « crainte d’être persécuté pour ses orientations sexuelles ou sa religion » et « le fait de se rapprocher automatiquement d’Eric Zemmour, leader du parti d’extrême droite Reconquête ».
Dans certains pays d’Afrique et du Moyen-Orient, l’homosexualité est proscrite et combattue, avec possibilité d’exécution, de persécution ou d’emprisonnement. Des pays notamment au Moyen-Orient ont une éducation ouvertement antisémite. Des personnes homosexuelles (qui ne sont pas toutes blanches, contrairement à ce qu’affirme Nadège Abomangoli) se sentent ainsi menacées, sans pour autant se rapprocher d’Eric Zemmour. Des personnes ont déjà témoigné de la difficulté d’être homosexuelles tout en résidant en banlieue.
Baltringue, la députée NUPES Nadège Abomangoli fait la polémique avec un tweet homophobe ?
Mardi 16 août, la Député d’Aulnay-sous-Bois Nadège Abomangoli a fait parler d’elle sur le Twitter avec un tweet surprenant venu d’une Député NUPES soit disant respectueuse des valeurs d’égalité, de diversité et de respect.
En effet madame la nouvelle députée a suscité l’émoi des internautes pour avoir insulté des adversaires politiques de « baltringues », une insulte homophobe. Plusieurs dizaines de réactions sont sorties dans les commentaires, et une association de défense des droits LGBT nationale a même réagit.
Encore une fois des élus font de la mauvaise image à notre ville. J’aimerai que madame Abomongoli adresse ses excuses à la communauté LGBT des quartiers qui ont voté massivement pour elle au mois de juin pour les élections Législative. Ce n’est pas normal. on nous respecte pas
Je suis aussi surpris que personne ne se soit ému parmi les élus d’Aulnay-sous-Bois de cette polémique. Pourtant, il y a quelques années, des gens avaient fait une révolte en justice contre le Maire de Aulnay monsieur BESCHIZZA qui était sois disant homophobe. Tout le monde en a parlé.
Je demande des explications aux élus et aux blogs de la ville de Aulnay-sous-Bois. Pourquoi personne ne parle des propos homophobes de cette élue de gauche Mélenchon – la France insoumis » ? C’est pas normal.
Moi aulnaysien je suis pas d’accord. C’est nous qui votons pour eux. Ils doivent nous reespecter.
Source : un lecteur
Sylvie billard, mes petites brèves de mai (6/10) 17 mai : Journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie
Crimes ou délits « anti-LGBT en Métropole : après une hausse de 33 % en 2018 » et de 36 % en 2019, 2020 a connu une baisse de 15 % qui s’explique par les deux confinements.
Chacun.e doit pouvoir vivre ses orientations sexuelles
en toute liberté et sécurité.
Sylvie Billard
L’élue citoyenne de tou.te.s les Aulnaysien.ne.s
Votre.elue.citoyenne@gmail.com
4 ans de prison pour une agression homophobe ultra-violente avec coup de couteau à Drancy
Un jeune de 21 ans a été condamné lundi à Bobigny à quatre ans de prison, dont 16 mois avec sursis, pour avoir frappé et poignardé un homosexuel de 31 ans après l’avoir attiré dans un guet-apens en 2019 à Drancy (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris mardi auprès du parquet.
Dans la nuit du 4 au 5 mars 2019, Kévin s’était rendu dans cette commune de banlieue parisienne pour rencontrer un jeune homme avec lequel il échangeait depuis plusieurs jours via l’application Smax. Au moment où il sortait de voiture, trois jeunes, deux mineurs et un à peine majeur, s’étaient jetés sur lui avant de le rouer de coups.
Victime notamment d’un coup de couteau au niveau du ventre, le jeune homme s’était fait dérober sa carte bancaire et ses clés de voiture. Laissé pour mort, il s’en était sorti grâce à des voisins qui, alertés par l’alarme de sa voiture, avaient appelé les secours.
Source et article complet : BFM TV
Outing et attaques homophobes contre des candidats aux municipales 2020 à Aulnay-sous-Bois
Cible parmi les cibles : les candidats supposés homosexuels. Summum atteint à Aulnay-sous-Bois, où deux d’entre eux ont été victimes d’outing — c’est-à-dire la révélation publique de leurs orientations sexuelles supposées.
Quelques heures avant le premier tour, Fleury Drieu, tête de liste de gauche, a découvert… l’acte d’Etat-Civil de son mariage publié sur Facebook ! La photo du document officiel faisant état de son mariage avec un homme, célébré en 2016. Publié par un certain Malik Nybala, se disant soutien de la majorité, au regard des publications aimées sur ses réseaux sociaux.
«La gauche aussi gay, vaut mieux garder le père de famille qui a réussi à faire quelque chose d’Aulnay», commente-t-il par exemple sous ses propres publications, en référence à Bruno Beschizza, qui se présente lui-même comme un «bon père de famille».
Autre candidat visé : Benjamin Giami (LREM). Un anonyme a ainsi publié une vidéo prise devant l’un de ses appartements, à Paris, adresse visible… et accompagnée de bruits de phoques — un animal qui, dans la mythologie homophobe, désigne les gays.
A Aulnay, encore, des tracts évoquant l’homosexualité de la mère d’une adjointe ont été distribués. Autant d’attaques condamnées sans détour par Bruno Beschizza.
Source et article complet : Le Parisien







