Archives de Catégorie: Histoire

L’impact de la grève des ouvriers musulmans de l’usine Citroën à Aulnay-sous-Bois en 1982

L’usine Citroën à Aulnay-sous-Bois, devenue ensuite usine PSA, était un site moderne où le fleuron de l’automobile Française pouvait produire des véhicules à la chaîne. Bien desservie par une voie ferrée et située à proximité d’autoroutes, l’usine pouvait compter sur un vivier d’ouvriers venant principalement du Maghreb. Dans les années 80, environ 70% des ouvriers étaient musulmans.

L’usine disposait de salles de prières mais les revendications se sont accentuées et sous l’impulsion de certains syndicats, les ouvriers musulmans se sont mis en grève. De cette grande grève en 1982 – 1983, le patronat de Citroën n’a jamais plus eu le même regard sur ces ouvriers qui étaient autrefois considérés comme bon marché et corvéables.

Reportage à découvrir ici.

André Cuzon : « Commu » d’Aulnay-sous-Bois Pâques 2024

Je  commencerais par le capitaine de Gourgue (famille du Château d’Aulnay) héros de la lutte contre les colons espagnols en 1568 en s’alliant aux indiens en Floride. Cela se passait avant l’arrivée massive d’esclaves noirs. Cette lutte a  été écrite en alexandrins par un ami d’André Laude : André Mathieu («Nova Gallia »), présent à Aulnay lors de l’invitation de Serge Wellens à la bibliothèque Dumont en avril 2006.

On peut poursuivre par  l’attitude exemplaire du vicomte de Gourgue pendant l’occupation allemande en 1870-71 : ce qu’en écrit Jules Princet en fait foi.

Jules Princet est aussi un homme et un écrivain dévoué au petit peuple d’Aulnay paysan, ouvrier  et artisan.

C‘est le sens profond du « théâtre aux champs » : création collective  en plein air sans autre théâtre que les champs, avec les paysans comme acteurs et comme spectateurs.

Il est « rousseauiste ».

Mais il faut aussi comprendre le sens des productions de Jules Princet : « Lamennais » et « Bolivar ».

Lamennais fut prêtre, journaliste, écrivain mais fut à la fin un révolutionnaire (voir dans le Maitron), une référence du mouvement ouvrier et populaire du 19° siècle, un ami du peuple ; il a écrit le « livre du peuple ». Son enterrement fut à peine toléré par le pouvoir comme pour Navalny: à l’aube le peuple l’accompagna pour la fosse commune.

Bolivar dont la statue parisienne se trouve sur le cours de la Reine est le héros la lutte anticoloniale espagnole en Amérique du sud.

Jules Princet mort jeune a eu une fille Noëlle et un fils Maurice (journaliste, acteur  et écrivain) qui participa à l’histoire de « l’Orphéon » après guerre dans les années 50.

Ses filles Liliane (née en 1928) et Nicole (née en 1933) comme leur père  sont des acteurs importants de « l’Orphéon ». Ils participaient aux rencontres  poétiques à l’école du Bourg près de chez eux. Liliane qui a eu pour compagnon Nikos Athanassiou, écrit dans le « Monde diplomatique »,  «Esprit».

Elle a écrit  un petit planète sur la « Crète ». Elle traduit aussi les auteurs grecs  Níkos Kazantzákis  (Zorba ) …et fut l’institutrice au cinéma dans « Mouchette » de Bresson. Le fief de Nikos Athanassiou (« Zorba le grec » dans la restauration rue Grégoire de Tours à Paris) fut aussi un fief d’André Laude collègue du « Monde » .

Georges Sénéchal fut le pilier de l’édition des cahiers de « l’Orphéon ». Après des publications dans les « cahiers de Rochefort » et ailleurs  il fit une carrière de cinéaste. Ses films sont conservés dans le département du Puy-de-Dôme

Sa femme Nicole Sénéchal (nièce d’Alexandre Vialatte) fut témoin au mariage de Nicole Princet et de Pierre-Jean Ségalat l’un des poètes de « l’Orphéon ».

Roger-Jean Ségalat et Nicole Princet eurent deux enfants et se séparèrent au début des années 60 juste après la fin de « l’Orphéon ».

N’oublions pas Anne et Jacques Six bien sûr, photographes et entomologistes.

Ni tous les auteurs des « cahiers de l’Orphéon ».

Ni  Guy Robin, ni Gabriel Robin, ni Bernard Saintville, ni les Buclet, ni Françoise Lo (alias Sophie Makhno du nom de l’anarchiste ukrainien) autrice de chansons et secrétaire de Barbara, autrice du « Charles Dumont » de chez Seghers et d’un livre sur Barbara.

Ni Jean Rousselot le «  parrain » de « l’orphéon » et l’ami de Max Jacob, ni les acteurs-lecteurs de poèmes : Marie-Ange Dutheil, André Hersin, Marguerite Ambrosini ( la « Marguerite » de Wellens), Marcel Lupovici, ni les jeunes admiratrices : Françoise Carriol, Denise Cornefert…

Serge Wellens (né rue de « Deux Ponts » à Aulnay en 1927 habitait avant-guerre (et pendant ?) le café de ses parents au « soleil levant » à « la croix verte » café dit des « Pailleux » qui jouxtait la propriété des « Princet ».

Il acheta vers 1953 la librairie de l’avenue Dumont qui devint le siège des poètes  de l’Orphéon. Roger-Jean Ségalat devint instituteur à la rentrée 1956 à l’école du Bourg proche du domicile des Princet.

Les uns et les autres participèrent à l’aventure de la revue « Sources » du breton Gilles Fournel, plus tard à celle de la revue « IO » de Millas-Martin. André Laude plus jeune participa largement aux activités, aux publications des cahiers de « l’Orphéon ». Il prit  un envol parisien assez rapidement.

Son amitié avec Michel Donnet fils du directeur de l’école Paul Bert lui-même enseignant au Parc en fit un écrivain et un militant anarchiste.

Il écrit dans le « Libertaire » très jeune : le groupe d’Aulnay était important Mohamed SAIL (le premier anarchiste algérien) en faisait partie. Ils étaient plutôt « messalistes ». André Laude fut « porteur de valises » puis devint un « pied rouge » collaborateur du nouveau pouvoir algérien. Il fut aussi proche des artistes latinos ou caraïbéens comme Depestre, Bloncourt, Amado et Wilfredo Lam.

Il publia un article sur la « négritude » en 1966 dans la revue « Souffles » d’Abdellatif Laâbi. Au retour d’Algérie il publia en 1967 une série d’articles dans « Combat » sur son expérience.

Les références au peuple de Lamennais et aux peuples du monde de Bolivar furent aussi les leurs : André Laude était reçu à Botzulan (à Pont Aven) par Xavier Grall qui publiait son « Lamennais » en 1978. Le travail de mémoire et d’édition sur André Laude après son décès en 1995, a connu un moment important lors de l’invitation de Serge Wellens à Aulnay en avril  2006.

Tous les amis  de l’Orphéon étaient là, hormis Roger-Jean Ségalat, mais Nicole Princet était là. Il y avait aussi Annie Wellens, Marie-Pierre Aynes la première compagne d’André Laude et leur fils Vincent (comme Van Gogh) expert de Prévert. Il y avait aussi Jean Dubacq, José Millas-Martin « l’argentin », Hocine Bouakkaz (acteur de l’édition de la Différence et auteur d’une pièce jouée au « Point Virgule » pour le dixième anniversaire de la mort du poète : « comme un  début d’humanité ».

Aulnay prolongeât  cette amitié « orphéonesque » avec Laude et Wellens, lors de l’exposition rétrospective « Gabriel Robin » de 2008 en présence de sa fille Evelyne Millet et avec  l’hommage à Serge Wellens après son décès en 2010 en présence d’Anne-Marie Rousselot la fille de Jean Rousselot.

En 2008 les « amis d’André Laude » grâce à Abdellatif Laâbi éditaient l’œuvre poétique d’André Laude aux éditions de « La Différence » et aussi trois cahiers « André Laude » grâce à la municipalité de l’époque. Un site « André Laude » a été créé et mis-à-jour par Pierre Kobel.

Osvaldo Torres « l’ami chilien » des aulnaysiens a réalisé un livre d’artiste de poèmes de Laude traduits en espagnol. Les élèves du lycée « Jean Zay » avec leur professeur de théâtre ont présenté à Prévert une pièce de poèmes d’André Laude en 2012.

Mais l’association a dû s’arrêter. La liste des décès est longue : après Serge Wellens,  l’éditeur Joaquim Vital, le préfacier Yann Orveillon, André Mathieu, jean-Pierre Begot,  les peintres Corneille et Fassianos et la galeriste Céres Franco qui a créé un musée d’art  brut dans l’Aude.

Récemment « Nora Nord » Nicole Postnikova est décédée, après fin 2022 la fille d’André Laude Sabine et sa mère. Mais le combat continue et cette année 2024 nous offre des surprises essentielles : des traductions de grande qualité en langue turque par Aytekin Karaçoban (aux éditions « klaros ») et en espagnol par Adrian Fernandez Burlo  (Ediciones Lo Desconocido).

N’oublions pas les contributions de René Depestre que nous avons publiées dans nos cahiers, surtout pour souligner qu’il est encore parmi nous, à 98 ans,  lui aussi dans le département de l’Aude, lui l’ami du Che et de Pablo Neruda.

Toute cette culture aux « armes miraculeuses » (Césaire)  était culture « autogestionnaire » et de résistance. La « maison de la culture » du 93 et son antenne « enfance jeunesse» attendirent 1980 pour voir le jour.

Robert Ballanger le breton qui se souvenait de la « chasse à l’enfant » après la mutinerie du bagne de Belle-Ile-en-Mer en 1934 et du poème de Prévert proposa le nom de « Jacques Prévert » pour cette antenne enfance.

Mais à Aulnay la mairie de droite a remis en cause à Aulnay l’antenne  « MC 93 » comme les « banlieues bleues ». Elle fait aussi de temps en temps la chasse aux enfants :

« Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
Qu’est-ce que c’est que ces hurlements
Bandit ! Voyou ! Voyou ! Chenapan !
C’est la meute des honnêtes gens
Qui fait la chasse à l’enfant »      (Prévert)

Le maire est un « shérif», expert judiciaire en diffamations et/ou harcèlements. Les « jeunes indigènes » qu’il traite de « voyous » ne l’aiment pas  à cause de la couleur de ses yeux : ils sont racistes ! Il croit vivre dans son «village» avec ses promoteurs immobiliers chercheurs d’or.

Aulnay est la capitale du Territoire « Paris Terres d’envol » aux deux aéroports attentatoires au climat. 
Aulnay est devenu  une « commu » (Aya Nakamura) « internationale » qui n’est pas limitée au football, ni à la chanson, (ce qui est très bien ) mais elle participe à la légende des siècles et à la marche du monde.

Source : André Cuzon

Bibliographie :

Jules Princet : « Histoire d’Aulnay-sous-Bois » IER 1991

André Mathieu : « Nova Gallia » édition des Moires

André Laude « Liberté couleur d’homme » Encre Paris 1980 pages 69 et suivantes

Serge Wellens « « cahiers NOAH » n°2 1986

L’oreillette n° 7 été 1992 « serge wellens l’orphéon »

Laurent Ségalat: « Roger Ségalat » infolio 2015

Cahier André Laude N° 1 janvier 2009 « Souvenirs de l’Orphéon » par Serge Wellens

DVD « Retour au pays natal » réalisé par nous en 2006 à la bibliothèque d’Aulnay (en ligne).

André Laude Les Nouvelles Littéraires Pâques 1977 pour la mort de Prévert : « frère jacques »

Robert Ballanger au parlement le 11 mai 1968.

Une exposition sur les dangers de l’amiante à Tremblay-en-France, Aulnay-sous-Bois comme exemple

La médiathèque de Tremblay-en-France (93) organise tous les trimestres un RDV de société afin de questionner les évolutions de notre monde. Pour le prochain RDV qui aura lieu Vendredi 1er mars à 19h, nous avons souhaité aborder la question des empoisonnements environnementaux à travers un drame et une lutte locale.

Nous parlerons donc du scandale de l’amiante à Aulnay-sous-Bois. Pour cela nous allons recevoir la pièce de théâtre « Des Nénuphars dans les poumons ». La rencontre sera suivie d’un débat citoyen avec la « compagnie Sans la nommer » et la journaliste Elsa Sabado.

Nous recevons aussi en ce moment et jusqu’au samedi 02 mars l’exposition :

« Aulnay-sous-amiante, Une lutte populaire contre l’indifférence »

Etant des acteurs de cette lutte et de bien d’autres je vous transmets la communication sur notre rencontre en pièce jointe. N’hésitez pas à l’utiliser pour communiquer dessus.

Elle est également une invitation chaleureuse à venir assister à la rencontre et contribuer aux échanges. Surtout si vous êtes intéressés inscrivez-vous car les places sont limitées (par mail ou au 01-4-63-69-61). Les infos seront mises progressivement sur notre facebook et notre instagram « médiathèque Tremblay-en-France ».

Source : Médiathèque Tremblay-en-France

Un rappel de ce qu’était le Comité des usagers des cités de la route de Mitry à Aulnay-sous-Bois

Suite à article d’André Cuzon sur les comités d’usagers à Aulnay-sous-Bois, ce dernier nous rappelle ce qu’était le « Comité des usagers des cités de la route de Mitry », mais aussi d’autres. Il nous précise le comité des 3000 était proche de « Lutte Ouvrière » mené par Yves Guillemot, celui de la route de Mitry était mené par le curé Plaideau et Madame Louis, future maire-adjointe bien connue et aussi par Madame Ducarroir (future candidate LO) et mère de Jean Ducarroir (1950-2003 « l’aventurier des radios libres » de Thierry Levfebvre éditions Glyphe).

Ces comités ont abouti à une liste PSU-LO aux élections municipales de 1971 qui fit 10% des voix.

Pour un peu de lecture, cliquer ici.

Madou, photographe des rues d’Aulnay-sous-Bois, raconte l’histoire des banlieues

Pour Madou, « l’histoire de la banlieue est écrite par des gens qui n’y habitent pas ». Et il entend donc raconter lui-même cette histoire, avec son appareil photo. Une passion qui s’est révélée à 12 ans, lorsque son père l’a envoyé vivre trois ans au Sénégal. Aujourd’hui résident de Seine-Saint-Denis, il passe une partie de ses nuits à se balader dans les villes de Sevran et d’Aulnay-sous-Bois pour rapporter des images de ce qu’il observe.

Source et article complet : Le Monde

L’Héritage de Léonard de Vinci : Célébration du 500e Anniversaire de la Renaissance Française

Un Voyage dans le Temps : Le 500e Anniversaire de la Renaissance Française

2019 marque un moment historique : le 500e anniversaire de la Renaissance française, un mouvement qui a remodelé profondément l’Europe. Cette année-là, nous célébrons également le demi-millénaire de la mort de Léonard de Vinci, figure emblématique de cette période, qui a passé les dernières années de sa vie en France. Tout comme la Renaissance a marqué un tournant dans l’histoire, l’année 2019 a été témoin du lancement de Aviator Casino en ligne, une plateforme révolutionnaire dans l’univers du jeu en ligne. Cette commémoration est l’occasion idéale de redécouvrir l’héritage de ce grand maître et de revisiter les lieux qu’il a marqués de son génie.

Léonard de Vinci en France : Un Héritage Incomparable

L’arrivée de Léonard de Vinci en France, à l’invitation de François Ier, a marqué un tournant dans l’histoire culturelle du pays. Installé au Château du Clos Lucé, près d’Amboise, il y a apporté des chefs-d’œuvre tels que la Joconde. Cette période a vu la naissance de nombreux joyaux architecturaux, tels que le Château de Chambord, débuté en 1519, l’année de la mort de Da Vinci, ou encore le Château de Chenonceau.

Les Grandes Expositions et Événements Commémoratifs

Pour célébrer cet anniversaire, de nombreux événements et expositions sont prévus dans la Vallée de la Loire et au-delà. Citons par exemple :

  • « 1519, La Mort de Léonard de Vinci : La Construction d’une Légende » : Une exposition majeure au Château Royal d’Amboise, mettant en lumière le lien entre François Ier et Léonard de Vinci.
  • « Chambord 1519-2019 : De l’Idée Utopique à l’Œuvre » : Cette exposition au Domaine National de Chambord présente près de 150 œuvres pour retracer l’histoire du château.
  • « La Tapisserie de la Cène pour François Ier par Léonard de Vinci : Un Chef-d’œuvre en Soie et Argent » : Exposée pour la première fois hors des Musées du Vatican, cette tapisserie est un témoignage inestimable de l’art de la Renaissance.

L’Impact de la Renaissance sur l’Architecture et l’Art

La Renaissance française, influencée par les travaux de Léonard de Vinci, a introduit un nouveau style architectural et artistique. Les châteaux de la Loire en sont les témoins privilégiés, avec leurs structures innovantes et leurs décorations raffinées. La Renaissance a aussi encouragé l’émergence de nouveaux talents dans tous les domaines des arts, de la peinture à la sculpture.

L’Héritage Culturel et Scientifique de Da Vinci

Léonard de Vinci était un homme de science autant que d’art. Ses codex révèlent une compréhension avancée de sujets aussi variés que l’anatomie, l’ingénierie et la botanique. Cette multidisciplinarité a grandement contribué à l’avancement des connaissances de son temps et continue d’inspirer les générations actuelles.

Pourquoi Visiter la Vallée de la Loire ?

La Vallée de la Loire, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, offre plus qu’une simple plongée dans l’histoire. En 2019, elle s’anime de spectacles son et lumière, de représentations théâtrales et d’expositions, transformant la visite en une expérience culturelle et sensorielle complète.

En Conclusion : Un Anniversaire à Ne Pas Manquer

Le 500e anniversaire de la Renaissance française est une occasion unique de se connecter avec l’histoire, de s’immerger dans l’art et la culture de l’époque et de célébrer l’héritage intemporel de Léonard de Vinci. C’est une invitation à redécouvrir une période clé de notre histoire, qui continue à influencer notre monde moderne.

Source : contribution externe

Découvrir Aulnay-sous-Bois : Où l’Héritage Rencontre la Modernité

Aulnay-sous-Bois, une charmante commune située dans la banlieue nord-est de Paris, est une ville où les échos de l’histoire résonnent à travers ses rues pavées et ses monuments historiques. Des racines médiévales de son nom aux vestiges de son passé gallo-romain, cette ville est un témoignage vivant du riche patrimoine de la France. Se promener dans ses rues, c’est comme entreprendre un voyage dans le temps, avec des trésors architecturaux et des sites historiques qui n’attendent qu’à être explorés.

Divertissement et Chance : Découvrez Lucky Jet

Pour ceux en quête d’un divertissement palpitant dans l’univers du jeu, Lucky Jet est une option incontournable. Ce jeu, disponible sur Lucky Jet, offre une expérience de jeu en ligne captivante. Avec ses graphismes impressionnants et ses mécanismes de jeu interactifs, Lucky Jet vous emmène dans un voyage de chance et d’excitation. Que vous soyez un amateur de machines à sous ou un adepte des jeux de table, Lucky Jet propose une variété de jeux pour satisfaire tous les goûts. Alors, prenez place et tentez votre chance pour décrocher des gains exceptionnels, le tout depuis le confort de votre domicile à Aulnay-sous-Bois. Lucky Jet est bien plus qu’un simple jeu, c’est une aventure exaltante qui vous attend.

Une Promenade à Travers l’Histoire

Aulnay-sous-Bois, une charmante commune située dans la banlieue nord-est de Paris, est une ville où les échos de l’histoire résonnent à travers ses rues pavées et ses monuments historiques. Des racines médiévales de son nom aux vestiges de son passé gallo-romain, cette ville est un témoignage vivant du riche patrimoine de la France. Se promener dans ses rues, c’est comme entreprendre un voyage dans le temps, avec des trésors architecturaux et des sites historiques qui n’attendent qu’à être explorés.

Se Connecter avec la Nature à Aulnay-sous-Bois

Au-delà de sa signification historique, Aulnay-sous-Bois possède une abondance de beauté naturelle. Le Parc Robert Ballanger, une oasis luxuriante au cœur de la ville, offre une évasion sereine tant pour les résidents que pour les visiteurs. Ses pelouses verdoyantes, ses sentiers sinueux et ses lacs pittoresques en font un endroit idéal pour les pique-niques, les promenades tranquilles ou simplement pour profiter de la tranquillité de la nature. Aulnay-sous-Bois trouve le juste équilibre entre la vie urbaine et la sérénité naturelle.

Art et Culture : Florissant à Aulnay-sous-Bois

L’engagement de la ville envers la culture se manifeste dans sa scène artistique florissante. Le Théâtre Jacques Prévert, un centre pour les performances artistiques, accueille une variété de spectacles, du théâtre et de la danse à la musique et à la comédie. Aulnay-sous-Bois est un lieu où la créativité prospère, favorisant une communauté d’artistes et d’amateurs d’art qui contribuent à sa toile culturelle.

Les Délices Culinaires d’Aulnay-sous-Bois

Les amateurs de gastronomie trouveront à Aulnay-sous-Bois un paradis culinaire. Ses marchés locaux regorgent de produits frais, de fromages et de produits artisanaux, vous invitant à savourer les saveurs de la région. Des bistrots confortables à la cuisine internationale, la scène gastronomique de la ville offre une gamme délicieuse d’options. Assurez-vous de goûter à quelques spécialités locales et ne manquez pas l’occasion de déguster un repas tranquille dans l’un de ses charmants cafés.

Un Avenir Radieux pour Aulnay-sous-Bois

Alors qu’Aulnay-sous-Bois continue d’évoluer, elle reste profondément attachée à ses racines. Les projets de développement urbain en cours améliorent la qualité de vie de ses habitants tout en préservant le caractère unique de la ville. Avec sa signification historique, sa beauté naturelle, sa vitalité culturelle et ses délices culinaires, Aulnay-sous-Bois est prête pour un avenir qui célèbre à la fois son héritage et sa vision du progrès.

Source : contribution externe

Découverte du Vieux-Pays d’Aulnay-sous-Bois et de son patrimoine avec Aurore Buselin

Vous souhaitez apprendre l’histoire du quartier du Vieux-Pays d’Aulnay-sous-Bois ? Vous voulez en savoir plus sur l’église Saint-Sulpice et son magnifique orgue ? Ou vous souhaitez simplement vous balader dans les rues d’Aulnay ? Aurore Buselin, en collaboration avec l’association CAHRA, vous propose une balade dans les rues de ce quartier d’août à octobre.

Date : sur rendez-vous (à votre convenance DE AOÛT à FIN OCTOBRE)

Tarif : entièrement gratuit.

Renseignements auprès d’Aurore Buselin au : 06.28.77.34.85 ou par mail : aulnayrelais@gmail.com

Plus d’information sur l’affiche ci-dessous :

Journée nationale du souvenir des victimes et héros de la déportation le 30 avril à Aulnay-sous-Bois

Dimanche 30 avril à Aulnay-sous-Bois, 10h30 : rassemblement au monument de la déportation place l’Herminier.

La cité des Emmaüs à Aulnay-sous-Bois, l’ancêtre de la cité de l’Euope, dans les années 50s

Sur cette photo se côtoient les petites baraques fabriquées initialement par les compagnons d’Emmaüs de l’abbé Pierre et les barres contiguës construites ultérieurement. L’abbé Pierre, instigateur institutionnel à Aulnay.

Source : Mémoire2Ville