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Coup d’envoi de la saison culturelle… au cœur des Beaudottes à Sevran !

Ce samedi 27 septembre, de 14h à 22h, la Ville donne le top départ de sa nouvelle saison culturelle avec une grande journée festive, familiale et gratuite : animations, spectacles, musique et découvertes vous attendent !

Un choix de lieu symbolique : les Beaudottes, en pleine transformation avec le Nouveau Programme de Rénovation Urbaine et l’arrivée du Grand Paris Express. Pour marquer cette étape clé, l’ouverture de saison s’installe exceptionnellement ici !

Au programme :

  • Ateliers créatifs, jeux géants, babyfoot, e-sport, maquillage…
  • Expositions de la photographe Sevranaise Kiara et de l’illustratrice Carole Chaix.
  • Peinture murale collective et ateliers lecture avec les bibliothèques.
  • Maison des projets (14h-17h) : quizz & infos sur la future métamorphose du quartier
  • Spectacles :
    • 15h30 : Brunette et les 3 ours (conte dès 1 an)
    • 16h30 & 18h : Les Tyroliennes (danse aérienne)
    • 17h15 & 18h45 : Fanfaraï Street Band (déambulation)
    • En soirée (19h-22h) : présentation des temps forts de la saison + concert Pump it up + buffet offert

Réservations (conte & soirée) : 01 49 36 51 75 / billetterie@ville-sevran.fr
Entrée libre, animations gratuites !

Quand on entend le mot « culture » à Aulnay-sous-Bois, on sort…

Ce n’est rien qu’une histoire triste, car si c’était vrai, ce serait à pleurer.

Imaginez une île, grande comme la 50e ville de France. C’est une île pauvre, très pauvre.
Elle porte des (re)vêtements pleins de trous, que l’on raccommode comme on peut. Ici les trous sont vraiment vicieux, ils reviennent tout le temps.

L’île n’est pas bien propre, car il n’y a pas d’argent.

Les services sociaux, il vaut mieux oublier, car il n’y a pas d’argent.

Pas non plus d’ « exception culturelle » : pas d’argent pour les bibliothèques, elles ont déjà bien assez de livres de CD et de DVD. La bibliothèque principale, hébergée dans la maison d’un curé bienfaiteur, est fermée la moitié du temps. On est trop pauvre pour même imaginer la construction d’une médiathèque.

Pas de salle des fêtes, on se retrouve dans un gymnase des années 30, et pas de maison des associations. Les salles où elles se réunissent donnent l’impression d’avoir le même âge, la peinture s’écaille et les traces de moisi s’obstinent.

Vraiment, l’île est bien triste, au point que l’on s’est dit que le syndicat d’initiative, peut-être trop dynamique, était superflu.

Et pourtant, autrefois, c’était différent. On avait agrandi la bibliothèque, construit un centre culturel, un conservatoire, une école d’art, et une salle de concert dans le nord de l’île. Mais il n’y plus d’argent. Une année, on donne un coup de peinture, l’année suivante, on remplace quelques fauteuils.

Il y avait un bel équipement moderne le long du chemin de fer, avec un joli nom en « o », mais tout a été complètement rasé car comme dans toute île, il y a des cyclones, très nombreux, qui mettent par terre les belles vieilles maisons et leurs inutiles jardins.

Parfois, on en trouve, de l’argent, en vendant ce qu’on peut. Il y avait un beau terrain dédié à une association canine qui n’avait que 400 adhérents. On le récupère pour faire une « zone d’activités », et avec l’argent, on construit pour la cacher un bel équipement, torride en été, c’est normal pour une île. Ou on récupère une vieille ferme dans le sud, mais on fait les choses sérieusement : on mène des études qui durent des années pour se rendre compte qu’il faut abattre la plus grande partie des bâtiments, et on fait alterner les périodes de travaux avec des pauses de plusieurs mois pour être sûr que ça tient bien.

L’important c’est que ce soit prêt pour les prochaines élections.

Il y a une autre grosse ferme plus au nord, aménagée il y a bien longtemps pour les associations. Dans la grange la plus grande, il y a une dizaine d’années, on a fait une exposition sur la guerre 14-18. Les murs lépreux et les charpentes poussiéreuses collaient bien avec le thème, mais depuis, on est toujours en 14-18.

Dans l’île, il y a des artistes, mais l’île est trop pauvre pour leur offrir un lieu d’exposition.

Il y avait une demeure historique, déjà bien modeste pour une si grande île, au point qu’il n’y a jamais eu de panneau pour guider vers elle les visiteurs, mais elle a en partie brûlé, il y deux ans. Pas d’argent pour la réparer. Plus de lieu d’exposition pour l’école d’art.

Qu’à cela ne tienne, on va leur monter un barnum, dans un coin près du centre culturel.

Dans d’autres îles, on a proposé aux artistes d’exposer dans des locaux commerciaux vacants. Un pouvoir qui pense qu’il a une responsabilité envers les enseignants de l’école d’art, les citoyens et leurs enfants qui s’initient aux arts aurait agi ainsi, dignement, avec respect. Mais la population est affamée, et c’est cela la priorité : la nourrir, en ouvrant le maximum de commerces de bouche, et se faire côtoyer les « coffee shop » et les marchands de champignons. La culture, c’est du luxe pour les snobs.

Autrefois, il y avait un festival de musique au centre culturel, de grandes expositions et même des concerts classiques dans la mairie. Maintenant, la « maison commune » est bouclée, question de sécurité. Et c’était vraiment ridicule de dépenser tant d’argent pour des futilités. Il vaut bien mieux mettre le peu qu’on a dans l’aménagement du « Boulevard des commerces de bouche ».

On s’étonnera peut être de voir Aulnay Environnement s’amuser à raconter des fables, mais comme on dit, MIEUX VAUT EN RIRE QU’EN PLEURER.

Source : association Aulnay Environnement

Exposition Essentielles à Aulnay-sous-Bois jusqu’au 31 mars

Découvrez l’exposition « Essentielles » qui met en lumière la richesse des rôles joués par les femmes dans des domaines aussi variés que l’éducation, la culture, la sécurité, les espaces verts, et bien d’autres encore.

Jusqu’au 31 mars, venez célébrer l’engagement et l’investissement de nos agents qui œuvrent chaque jour pour améliorer notre quotidien !
Des photos uniques reparties dans trois lieux d’expositions.

  • Hôtel de Ville
  • Cours Napoléon
  • Nouveau Cap

Le Photo Image Club Aulnaysien expose aux Pavillons-sous-Bois jusqu’au 22 octobre

En complément de ses travaux exposés dans la ville d’Aulnay sous Bois, le Photo Image Club Aulnaysien (PICA)  est invité à l’évènement photographique sur le thème de la BIODIVERSITE.

qui se déroule du 7  au 22  octobre  2023 à Pavillons  s/s Bois

Lieu :

Espace des Arts
144 avenue Jean Jaurès 93320
PAVILLONS s/s Bois 93320

Espacedesarts@wanadoo.f

Toutes les informations pour les inscriptions à un pôle culturel à Aulnay-sous-Bois

Vous souhaitez vous inscrire dans une des structures culturelles à la rentrée 2023/2024 ? Découvrez dès maintenant les dates d’inscriptions pour les activités proposées !

Pour en savoir plus, cliquer ici.

Il y a 81 ans le jour de Noël, André Laude était baptisé à l’église Saint-Sulpice d’Aulnay-sous-Bois

Nous sommes en 1941, en pleine guerre donc.

IL était né en 1936.

Sa mère Olga Marie Louazon était morte en 1938 à l’hôpital de Gonesse suite à une fausse couche…

Elle était née à Aulnay en 1916. Son père prêtre (né en Bretagne) était venu à Aulnay avec sa mère enceinte, pour gagner sa vie comme ouvrier agricole et nourrir sa famille.

En 1995 après une « poévie » y compris « dans la rue » il meurt seul dans une chambre de bonne à Belleville sous les toits de Paris et laisse le message suivant :

« Ne comptez pas sur moi

je ne reviendrai jamais

je siège déjà là-haut

parmi les Elus

Près des astres froids

Ce que je quitte n’a pas de nom

Ce qui m’attend n’en a pas non plus

Du sombre au sombre j’ai fait

un chemin de pèlerin

Je m’éloigne totalement sans voix

Le vécu mille et une fois m’abuse, vaincu.

Moi le fils des Rois. »

 Sur internet vous pouvez lire André Laude…

DANS MA MAISON

« Dans ma maison

le repas du soir n’a pas été servi

De toute façon

dans ma maison

il n’y a pas de table

il n’y a ni couverts

ni poivre et sel

ni femme fidèle

De toute façon

Il n’y a pas de maison

Ma maison est un rêve

un rêve en carton

déchiré à chaque instant

par la meute des vents

ceux qui viennent de Russie

et ceux qui viennent du Horn.

Dans ma maison

cette nuit je ne dormirai pas.

Je dormirai sur l’aile

d’un grand goéland

qui vole lentement

au-dessus des quarantièmes hurlants.

Je dormirai

Sur le dos d’une baleine bleue

Comme un petit enfant

en proie à la fièvre des légendes

Dans ma maison

La caresse de minuit

Sera une absence cruelle

Une larme de sang

Sur un imaginaire oreiller.

Pardonnez oui pardonnez le poète

S’il se répète

De toute façon

Il n’y a pas de maison

Je dormirai dans la nuit du monde

sans jamais fermer les yeux

écoutant sonner les peurs, les heures, les minutes, les secondes. »

Source : André Cuzon

Novembre, le film de Cédric Jimenez soulève une polémique avec Samia Khelouf, représentée avec un voile… qu’elle ne porte pas !

C’est grâce au témoignage de Samia Khelouf que les policiers ont retrouvé la trace du terroriste Abdelhamid Abaaoud.  Le film  de Cédric Jimenez raconte l’enquête lancée au lendemain des attentats du 13 Novembre 2015 à Paris. Cependant, lors d’une projection du film, Samia Khelouf à eu la surprise de découvrir que son personnage porté à l’écran portait un voile !

Or, le port du voile islamique par le personnage de Samia Khelouf répond à un choix de fiction qui ne reflète pas ses convictions personnelles.   En effet, suite à un bras de fer judiciaire et à la demande de l’intéressée  elle-même qui, laïque et républicaine convaincue,  ne porte pas le voile,  des précisions devront être indiquées dans le générique du film.

 »  Ma cliente est une femme laïque et républicaine qui a été applaudie par la cour d’assises pour son action salutaire. Elle ne pouvait pas laisser passer cela. «  précise l’avocate de la plaignante.

De son côté, Cédric Jimenez a  expliqué qu’il ne savait pas que son héroïne ne voulait pas être représentée à l’écran avec un voile….   Mais pourquoi  donc  dans ce cas,  avoir fait le choix d’associer à l’écran une musulmane à un voile, alors que la principale intéressée n’en porte pas dans la vie ?

Article  rédigé  le  6 Novembre  2022  par  Catherine  Medioni

L’émergence de la décoration orientale

Définition de l’art oriental

Le mot « oriental » est dérivé du mot latin orient qui signifie « est ». Ce mot a d’abord été utilisé en anglais pour désigner la partie orientale de l’Asie. Dans l’usage moderne, le terme « oriental » fait souvent référence aux styles d’art et de décoration originaires de l’Orient, tels que l’art islamique et la décoration musulmane.

Dans cet article, nous discuterons de la décoration orientale. La décoration orientale est un type d’art islamique qui est généralement utilisé pour les décorations musulmanes. Il comprend également des décorations calligraphiques.

L’art islamique, ou peinture islamique, est un terme utilisé pour décrire les traditions artistiques des cultures du monde musulman. Il comprend la calligraphie et d’autres formes d’art islamique, comme la miniature ottomane et la miniature persane.

La calligraphie, un art universel de la décoration orientale

La décoration dans un style oriental est un excellent moyen d’apporter un sens de l’histoire à votre culture. L’émergence de cet art est liée au rapprochement culturel des pays d’orient et les pays occidentaux. La décoration musulmane comporte plusieurs axes, tels que : la décoration avec tableaux islamiques, tableaux coraniques d’où la calligraphie arabe peut apparaître dans ces derniers. Il est important de souligner que la calligraphie traditionnelle est un art très ancien par lequel ont reproduit fidèlement à la main un ensemble de lettres très précises. Parmi les styles les plus populaires, on retrouve l’écriture cursive Copperplate, Khat koufi, Spencerian et aussi les lettres de style gothique.

Source : contribution externe

Le chanvre, plante domestiquée très tôt par l’homme et souvent décriée à tort

Le chanvre a été l’une des premières plantes domestiquées par l’homme, aux abords de 10 000 ans avant notre ère. Outre ses vertus thérapeutique, le chanvre est utilisé pour les voiles les cordes des navires, ainsi que comme nourriture. Les caravelles qui ont amené Christophe Colomb jusque dans les Caraïbes était ainsi équipées de cordes et de voiles à base de chanvre. On peut également l’utiliser comme support pour écrire, le chanvre se conservant parfaitement.

Cependant, cette plante est aussi associée à la drogue comme le Cannabis, si bien que le chanvre fut progressivement remplacé par le nylon et le coton, qui ne contiennent pas de THC (substance psychotrope que l’on retrouve dans le cannabis notamment). S’il est  possible de le cultiver à de fins non commerciales, le chanvre est très encadré car il contient dans ses tiges du THC, certes en très faible quantité.

Ces dernières années, le chanvre refait son apparition sur le devant de la scène avec de nombreuses personnalités de premier plan et certains partis politique pour le légaliser entièrement pour un usage médical. En effet, il est globalement non psychoactif (contrairement à certaines plantes de cannabis) et contient du CBD qui a comme vertu de soulager certains maux, comme l’épilepsie ou encore certaines maladies inflammatoires. Il est utilisé dans certains pays comme infusion pour notamment soulager le stress et aider les personnes qui souffrent du trouble du sommeil. Dans le textile, il refait sa réapparition notamment dans la constitution des toiles, des cordes et des vêtements qui requièrent un maximum de résistance. A noter qu’il est moins sensible aux changements climatiques et ne nécessite pas de traitement particulier pour sa culture.

Enfin, il est bon de rappeler qu’il ne faut pas confondre chanvre et culture du cannabis psychotrope. Ce dernier est totalement illégal et provoque des dommages irréversibles pour le cerveau. De plus, son acquisition au travers des réseaux parallèles favorise la criminalité et le banditisme, une partie de l’argent étant même utilisée dans certains milieux terroristes.

Source : contribution externe

Covid-19, les activités culturelles à Aulnay-sous-Bois durement impactées par le confinement

Alors que la ville d’Aulnay-sous-Bois est riche d’événements culturels notamment en fin d’année, l’ensemble des spectacles, événements, expositions, projections cinématographiques et activités culturelles sont annulées. Ces annulations pénalisent non seulement la diffusion de la culture générale, mais aussi de nombreux artistes qui vivent pour certains de ces activités.

La rédaction reviendra sur les principaux événements culturels annulés à cause du confinement.