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Les parents d’élèves de l’école maternelle Emile Zola à Saint-Ouen disent oui pour s’éloigner du point de deal
Les parents d’élèves de l’école maternelle Emile Zola se sont exprimés : la proposition de transférer les 4 classes dès la rentrée des vacances de Printemps a été majoritairement retenue. (100 pour un transfert pour le mois d’avril / 97 pour un transfert pour le mois de septembre).
Notre priorité a toujours été de s’assurer de la sécurité de nos enfants : c’est toujours le cas.
Maintenant, je compte sur les autorités compétentes qui se sont engagées au plus haut niveau comme Elisabeth Borne et Bruno Retailleau pour que cette annexe puisse accueillir de nouveau les enfants dans un environnement sécurisé.
Pour ma part, je continuerai à renforcer la présence de notre Police Municipale et à installer des acteurs qui œuvrent dans le champ culturel, éducatif et sportif, pour renforcer la puissance publique.
Le rôle de l’Etat aura toute son importance comme il s’y est engagé. La méthode Saint-Ouen a montré son efficacité en démantelant la quasi totalité des points de deal en 5 ans.
Ce travail avec l’Etat est efficace. C’est la méthode Saint-Ouen. Nous poursuivons et nous réussirons.
Source : Karim Bouamrane, Maire de Saint-Ouen
Oussouf Siby alerte sur les méfaits de la construction rue Emile Zola à Aulnay-sous-Bois
Monsieur le Maire,
J’ai été interpellé par des riverains concernés par la construction de 2 pavillons au 46 rue Emile Zola qui contestent la hauteur des maisons et les distances par rapport aux pavillons situés derrière, sur la rue Étienne Dolet.
La parcelle a été divisée en 2 pour faire 2 constructions.
Le 1er permis de construire n°930058360040, pour Mr ZEDAN Mohamed indique une maison R+I hauteur 8,43 m, surface du terrain 280 m2.
Le 2ème permis n°930058360041, pour Mr ZEDAN Nabil indique une maison R+1 hauteur 8,43 m superficie du terrain 327 m2.
Permis délivrés tous les 2 en date du 22/05/2023.
Un permis préalable avait été demandé le 15 /02/2023 mais l’affiche présente devant le chantier ne donne aucun renseignement sur le projet. Affiche vierge (voir photo).
En fait, les pavillons ont un vrai 2ème niveau complet éclairé par 4 énormes fenêtres qui donnent directement sur les jardins, à l’arrière. Les maisons sont donc plus hautes que 8,43 m puisque c’est le niveau de la gouttière qui compte et non la hauteur totale.
Ce désagrément est parfaitement visible de la rue Étienne Dolet (voir photos).
Les riverains sont d’autant plus en colère, qu’ils ont reçu la visite de ceux qui allaient construire, apparemment Mr ZEDAN et son fils qui leur ont montré le projet de pavillons avec toit en pente éclairé par des velux et non cet étage supplémentaire avec ces grandes fenêtres verticales, ce qui change tout.
Par ailleurs, les distances sont extrêmement réduites par rapport au pavillon situé au 33 rue Étienne Dolet et où se trouvent les places de stationnement pour ces 2 maisons ?
Nous doutons de la conformité des constructions décrites ci-dessus par rapport au PLU.
Ce n’est en tout cas pas ce qui a été montré aux riverains qui ont pour certains découvert les fenêtres en rentrant de vacances … C’est pour le moins douteux pour des permis délivrés en mai dernier !
Le PLU que vous avez établi en 2015 est fortement contesté par la population. Cet exemple montre clairement les conséquences néfastes des règles établies. Est-il vraiment possible que ce PLU puisse permettre une telle proximité avec les voisins, une telle gêne pour ceux qui ne pourront plus profiter tranquillement de leur jardin ou qui seront vus à l’intérieur de leur pavillon ?
Apparemment, les riverains se sont mobilisés par rapport à ces constructions qui les pénalisent. Nous espérons que les promoteurs feront marche arrière afin de respecter le voisinage.
Veuillez recevoir Monsieur le Maire, nos meilleures salutations.
Le travail est une nécessité, sa protection, un devoir de la république !
Pour tous les citoyens qui n’ont pas eu la chance de naitre dans une famille fortunée, ou qui ne bénéficient de l’appui d’aucune personne bien placée parmi les élites politiques pour accéder à des postes privilégiés qu’ils réservent généralement à leurs soutiens, proches et amis, le travail est une nécessité absolue et conditionne totalement leur existence et celle de leur famille.
Par conséquent la réforme du code du travail ne doit pas être un démantèlement des droits des salariés, ni une dégradation des conditions du salariat ! Or c’est, ni plus ni moins ce que promet de faire la loi El Khomri, qui va rejoindre la cohorte des lois scélérates promulguées dans notre pays et qui vont à l’encontre des intérêts des citoyens et des personnes de condition modeste.
Pour privilégier la caste des patrons du CAC 40 et leur donner les coudées franches vis à vis de leurs salariés, ce gouvernement a renié les fondamentaux du socialisme et s’inscrit dans un capitalisme néo libéral dévoyé et décomplexé, unanimement critiqué et rejeté par les citoyens travailleurs, ouvriers et salariés !
Que dit cette loi, au delà de la casse évidente des acquis sociaux issus de la lutte des classes ?
- Que les salariés deviendront corvéables à merci selon les désidératas du patron !
- Qu’ils seront contraints de donner de très grosses journées à leur entreprise sur plusieurs semaines d’affilée, pour des heures supplémentaires tellement ridiculement majorées, que l’employeur aurait bien tort de s’en priver et d’embaucher une autre personne
- qu’en raison de ce surcroît de travail imposé sur de longues semaines sans qu’ils puissent le refuser, ils n’auront plus de vie personnelle, plus de repos suffisant et de loisirs. Ils ne pourront plus programmer le moindre rendez-vous médical ou administratif, gérer l’organisation de la famille et la prise en charge de leurs enfants qu’ils ne verront plus !
C’est un véritable retour à la France décrite par Zola qu’aucun citoyen ou travailleur ne désire vivre ! Le Medef et les patrons rêvaient de retrouver un pouvoir sans partage sur leurs salariés : disposer à leur guise de leur vie et de leur temps … Le faux socialisme de Hollande et de ses acolytes leur sert sur un plateau !!! Mais les citoyens qui ont élu Hollande lui avait-il signé un chèque en blanc pour qu’il les poignarde dans le dos avec la destruction du code du travail qui ne figurait pourtant pas dans son programme ?
Cependant, c’est oublier que la vie d’un être humain ne se réduit pas à son travail, et que si ce dernier demeure pour la majorité des citoyens une nécessité vitale, il ne doit pas se transformer en instrument d’esclavage laissé à la discrétion de l’employeur ! Car donner aux employeurs les moyens de disposer à leur guise du temps d’existence de leurs employés sans qu’ils en ait la pleine maîtrise, c’est définitivement renier les droits des citoyens à disposer de leur temps libre comme bon leur semble, c’est réduire leur existence à l’exécution d’un travail qui ne leur permet même plus de jouir de la vie en dehors de leurs fonctions professionnelles ! Cela devient complètement absurde et contraire aux droits de l’homme !
Ce n’est pas en éradiquant les garde-fous qui empêchent un employeur d’exploiter et d’abuser de son salarié que l’on va relancer l’emploi ! Ce n’est pas non plus en rendant le licenciement moins coûteux et contraignant pour le patron, ni en réduisant du même coup les indemnités de préjudice du salarié que l’on créera de l’emploi, au contraire ! Les salariés soumis de force à un code du travail qui ne les protège plus, vivront dans la peur et l’insécurité permanente du chantage à l’emploi qui deviendra alors pour les patrons, un outil violent de coercition dont ils ne se priveront pas, les contraignant à se soumettre à des conditions inacceptables pour simplement conserver leur emploi !
Le code du travail avait pour fonction essentielle et majeure de rééquilibrer les rapports de force entre les citoyens soumis au salariat et leurs employeurs. La loi El khomri restaure ce rapport, un lien de subordination sans contre-pouvoir, au détriment du salarié et au seul profit du patron, dont la jurisprudence n’a cessé de démontrer qu’il n’est pas réputé être particulièrement généreux et bienveillant envers son personnel.
Une loi rétrograde qui sert les intérêts des riches et des puissants au détriment de ceux qui n’ont que leur force de travail à vendre est indigne d’une démocratie et du XXIème siècle. Les salariés exigent des contreparties conséquentes aux efforts demandés par le patronat, et des compensations qui améliorent significativement leurs conditions de travail et d’existence. Les citoyens de la société civile sont outragés de constater que les dirigeants du gouvernement actuel osent s’afficher socialistes, quand ils s’appliquent à démanteler toutes les protections qui s’efforçaient de garantir les droits humains et citoyens face à la voracité et à la prédation indécente des riches et des exploiteurs-esclavagistes !
La » modération salariale » scandaleusement imposée au peuple depuis plus de 20 ans par les différents gouvernements tandis que leurs membres s’octroient des salaires très au dessus des services réels rendus à la nation, et se vautrent dans les privilèges, même une fois qu’ils sont débarqués de leurs fonctions, est une mesure incroyablement indécente et injuste comparativement aux salaires faramineux et autres retraites-chapeaux versés aux dirigeants qui coulent ou délocalisent de France leurs entreprises, et par rapport aux dividendes octroyés aux actionnaires qui, parce qu’ils ne gagnent pas leur argent à la sueur de leur front, ne méritent pas autant de plus values pour l’argent qu’ils ont investis !
Il est grand temps de faire table rase de tous ces dispositifs de servitude imposés aux citoyens et mis en place par des élites politiques qui ne les représentent plus parce qu’ils sont vendus aux seuls intérêts de la finance, et qui démontrent de manière flagrante qu’ils servent d’abord leurs propres intérêts avant de servir ceux qui n’appartiennent ni à la caste des riches et des nantis, ni à la classe politique! Nous le vivons sur le plan local, à Aulnay sous Bois, mais également sur le plan national.
Le pouvoir doit revenir au peuple et les politiques ne doivent plus le lui confisquer !
Article rédigé par Catherine Medioni





