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Un détenu de Villepinte s’évade de l’hôpital à Aulnay-sous-Bois !

Mardi 23 mai, un sans-papiers marocain de la prison de Villepinte a faussé compagnie à ses deux geôliers à l’hôpital Robert-Ballanger à Aulnay-sous-Bois. L’illustration d’un manque de sécurité dans l’établissement hospitalier ?

Sa cavale n’aura duré que quelques heures, mais c’est assez pour mettre l’administration pénitentiaire dans l’embarras. Mardi matin, avant le lever du jour, un détenu de la maison d’arrêt de Villepinte (Seine-Saint-Denis) a faussé compagnie à ses gardiens alors qu’il avait été placé sous leur surveillance au service des urgences du centre hospitalier intercommunal (CHI) Robert-Ballanger, à Aulnay-sous-Bois.

Source et article complet : Le Parisien

Un surveillant de la prison de Villepinte a été arrêté avec plus d’un kilo de cannabis

Un employé de la maison d’arrêt de Villepinte (Seine-Saint-Denis) a été interpellé, mercredi 12 janvier 2022, par les forces de l’ordre.

Surveillant au sein de l’établissement pénitentiaire, il a été arrêté en possession de 1,6 kilogramme de cannabis. Une information émise par l’hebdomadaire Le Point, confirmée à actu Seine-Saint-Denis par le parquet de Bobigny.

Source et article complet : Actu.fr

La maison d ‘arrêt de Villepinte est le plus gros foyer de Covid-19 dans les prisons françaises

Le chiffre est monté à 202 personnes positives le 1er janvier 2022, sur un total de 988 détenus, à la suite d’une opération de dépistage massif menée deux jours plus tôt, précise le directeur. 

Le dépistage a été organisé après la détection de deux cas positifs le 22 décembre 2021, avec présence du variant Omicron, plus contagieux, a-t-il expliqué. 

Parmi les 621 prisonniers qui ont accepté de faire le test, 168 ont été positifs. 

Des mesures drastiques ont été prises

« Lorsque nous avons eu connaissance de la présence du variant Omicron, nous avons pris des mesures immédiatement« , assure le directeur. 

Toutes les activités collectives, à la bibliothèque, en salle de sport ont été supprimées. Le travail aux ateliers aussi. Des combinaisons intégrales et des masques FFP2 ont été distribués aux surveillants lorsqu’ils sont dans les bâtiments de détention. Les détenus qui continuent à travailler à la buanderie, aux cuisines ou qui distribuent les, distribution des repas en ont aussi reçu. 

Les parloirs ont été supprimés pour les détenus positifs ou cas contact. Ils sont maintenus pour les autres. Les faces à faces ont lieu avec une paroi de plexiglas sur toute la hauteur. 

Source et article complet : France Bleu

Le détenu pour terrorisme téléphonait depuis la prison de Villepinte

18 mois sans parler à ses proches

L’appareil ainsi que des écouteurs et un chargeur ont été retrouvés à la suite d’une fouille menée par les surveillants. Ces derniers n’ont pas cherché bien longtemps puisque le téléphone était dans les mains du prévenu et le reste sur son lit. 

« Je reconnais l’usage du téléphone, mais il était à mon codétenu, je ne l’ai pas introduit dans la prison, s’est défendu le mis en cause. Ca fait 18 mois que je n’ai pas vu ou parlé à ma famille, je savais que c’était interdit mais si je n’utilise pas le téléphone, je n’ai rien ». 

Venant du nord de la France, l’accusé ne connait ni la région ni ses codétenus. « A Villepinte, tout le monde se connait, les détenus s’entraident pour cacher leurs téléphones mais moi je connais personne », raconte-t-il. 

Source et article complet : Actu.fr

Des grand-pères voleurs sévissaient dans la Seine-Saint-Denis

Cette histoire n’est pas banale : des papis voleurs sévissaient dans une partie de la Seine-Saint-Denis pour dérober des biens de valeur. Leur modus operandi était simple et efficace : fouille de camionnettes garées et non-fermées, vol de valise ou de sac-à-main de dames qui manquaient de vigilance…

Ces méfaits étaient toujours commis sans violence. L’un est âgé de 68 ans et l’autre est un peu plus jeune. Ils ont commis plusieurs dizaines d’infraction et ont déjà séjourné plusieurs fois en prison. Ils ont été condamnés récemment à 1 an de prison ferme pour quelques forfaits réalisés sur le secteur d’Aubervilliers.

Le palmarès judiciaire éloquent des Balkany

Décidément les Balkany n’ont pas fini de faire parler d’eux ou plutôt de leurs infractions aux biens publics ! Les voilà de nouveau face à la justice, mis en examen dans deux affaires bien distinctes de détournement de fonds ! Condamné en appel en mars 2020 pour fraude fiscale, l’ancien élu de Levallois-Perret purge sa peine de 3 ans de prison ferme chez lui dans son manoir de Giverny, une propriété de quatre hectares avec deux piscines et un terrain de golf, équipé d’un bracelet électronique, en compagnie de son épouse également condamnée à porter le même accessoire !

Bien des condamnés du peuple à de la prison ferme apprécieraient sans aucun doute de pouvoir la purger dans un lieu confortable et idyllique tel qu’un manoir dont on se doute qu’il n’est pas en état de délabrement, plutôt que dans les sombres geôles surpeuplées de la république ! La société civile est en droit de se demander pourquoi la justice accorde tant d’égards et de traitements de faveur ou autres régimes spéciaux de détention à des délinquants, justes parce qu’ils ont été des politiques et des élus ! Cela démontre tristement que tous les citoyens ne sont pas égaux devant la loi ni devant les peines infligées !

Cependant le comble de l’histoire et donc de l’injustice, c’est que comme la cour de cassation est saisie d’un pourvoi, tant que ce dernier n’est pas tranché, les Balkany ne purgent finalement ni la peine de prison, ni le port du bracelet électronique ! Bien qu’ils aient été condamnés pour blanchiment de fraude fiscale, ces délinquants notoires demeurent pour l’instant libres !

Toutefois Patrick Balkany est de nouveau mis en examen cette fois dans l’affaire des chauffeurs pour détournement de fonds publics et dans celle de l’immeuble dont son gendre aurait sous-loué une partie des locaux, pour le même chef d’accusation ! Dans la première affaire, il est reproché à Patrick Balkany d’avoir recrutés 4 policiers municipaux entre 2010 et 2015 comme chauffeurs privés pour le véhiculer entre Levallois-Perret et sa résidence de Giverny !

Mais ce n’est pas tout !  Au cœur de cette affaire s’en trouve une autre : l’instruction révèle en effet le déplacement aux Antilles de l’un de ces chauffeurs qui séjourne alors dans la célèbre Villa que possédaient les Balkany à Saint martin

La seconde affaire dans laquelle Patrick Balkany est mis en examen concerne celle qui vise principalement son ex-gendre auquel en tant que président de la Semarelp détenue à 80% par la ville de Levallois-Perret, il avait mis à disposition d’une société de ce dernier, des locaux voués à terme à la destruction. L’ex-gendre les ayant sous-loués, il est donc mis en examen. Dans cette affaire nous découvrons que le directeur de la Semarelp de 2001 à 2008 n’est autre que Jean-Marc Smadja, le cousin d’Isabelle Balkany, puis de 2008 à 2014 Jean-Pierre Aubry qui est désormais également mis en examen. Dans ces histoires de famille, la fille des Balkany est quant à elle placée sous le statut de témoin assisté…

Article rédigé le 18 Mars 2021 par Catherine Medioni

Des cas de torture à la prison de Villepinte avec un détenu électrocuté avec les fils coupés d’un ventilateur

Des peines de 15 ans de réclusion criminelle ont été requises vendredi devant la cour d’assises de Seine-Saint-Denis à l’encontre de deux hommes âgés de 21 et 23 ans pour actes de torture sur un détenu qui partageait leur cellule à la maison d’arrêt de Villepinte.

Les deux jeunes hommes ont reconnu lors du procès avoir infligé une séance de torture à Adam K. dans le huis clos d’une cellule de 9 mètres carrés que partageaient la victime et les deux accusés.

Électrocuté avec les fils coupés d’un ventilateur

Le soir du 9 décembre 2018, Adam K., aujourd’hui âgé de 24 ans, est dénudé, fouetté puis électrocuté, jusque sur le sexe, avec les fils coupés d’un ventilateur. Il est ensuite contraint à insérer un briquet dans son anus. Paroxysme de ces quatre heures d’horreur : ses codétenus le forcent à avaler son urine et des excréments. Il finira la nuit sur le sol mouillé, en caleçon, devant une fenêtre ouverte.

L’avocate générale a requis 15 ans de réclusion criminelle avec une période de sûreté des deux tiers et un suivi socio-judiciaire pendant cinq ans. Elle a aussi demandé leur inscription au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles et violentes (Fijais).

Source : Ouest France

Eric Dupond-Moretti en visite à la prison de Villepinte ce jeudi

Le Garde de Sceaux, ministre de la justice Eric Dupond-Moretti sera présent à la maison d’arrêt de Villepinte ce jeudi vers 10h15. Plusieurs parlementaires devraient faire le déplacement pour visiter cet édifice et comprendre les succès et les échecs de la réinsertion des prisonniers.

Nicolas Sarkozy condamné à 3 ans de prison dont 1 ferme !

Nicolas Sarkozy a été déclaré coupable, lundi 1er mars, de corruption et de trafic d’influence dans l’affaire dite des « écoutes » et condamné à trois ans de prison dont un an ferme. L’ancien Président de la République subit ici un camouflet. Pour Les Républicains, c’est un coup de massue compte-tenu de la popularité de l’ancien homme fort de Neuilly-sur-Seine chez les militants.

Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois et soutien indéfectible de Nicolas Sarkozy, ne s’est pas encore exprimé sur le sujet.

Une femme enceinte d’Aulnay-sous-Bois oubliée toute la nuit au parloir d’une prison !

Elle était venue visiter son mari au centre pénitentiaire de Liancourt (Oise). Oubliée, la future maman est

C’est une histoire totalement rocambolesque mais qui aurait pu mal finir. Une femme de 43 ans, enceinte de 8 mois et demi, a passé, la nuit de dimanche à lundi, coincée dans un parloir au centre pénitentiaire de Liancourt (Oise), établissement qui accueille 600 détenus et qui a une bonne réputation. Le 5 juillet, Madéré B. était venue rendre visite comme chaque week-end à son compagnon incarcéré.

Vers 17 heures, à la fin de son parloir, le détenu est extrait du box et ramené en cellule. La visiteuse, elle, reste dans le parloir en attendant les résultats de la fouille de son compagnon, comme le veut la règle. Une demi-heure passe, puis une heure. Aucun surveillant ne vient lui ouvrir. Elle frappe à la porte du box, crie à travers la petite lucarne du parloir. Aucune réponse.

«Heureusement cela n’a pas déclenché l’accouchement»

La quadragénaire va rester séquestrée durant 16 longues heures dans le noir et le froid, sans pouvoir ni boire, ni manger. « Ma mère a frappé, hurlé, personne n’est jamais venu la chercher. Elle a eu très froid car la clim fonctionnait et elle a dû se retenir d’uriner. Heureusement cela n’a pas déclenché l’accouchement », raconte sa fille de 20 ans, encore sous le coup de la colère.

Source et article complet : Le Parisien

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