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Panne de réseau SFR qui impacte une partie de la ville d’Aulnay-sous-Bois

fibre_optiqueOn nous informe qu’une grosse panne de réseau chez SFR a eu lieu ce matin dans une partie de la ville d’Aulnay. Les abonnés n’ont plus d’accès à Internet. Le retour à la normale devrait cependant avoir lieu dans les prochaines heures. En attendant, les personnes sinistrées peuvent profiter du beau temps et sortir de chez elles.

Un adjoint du Blanc-Mesnil devra rembourser 4900 € de frais internet à la ville

Thierry_Meignen_InterventionTout le monde sait que la connexion « Données » des téléphones portables et tablettes sont payantes à l’étranger selon les opérateurs. Cependant, un adjoint du Blanc-Mesnil, Abdelsalem Hitache, s’est fait piéger et devra rembourser, officiellement, 4900 € à la ville. M. Hitache a effet embarqué son appareil pendant ses vacances en Algérie, et aurait oublié de désactiver les transferts de données ou de mettre son appareil en mode itinérance. La visualisation de vidéo serait la principale raison de cette explosion du forfait, selon Le Parisien. L’appareil concerné serait une tablette dont la marque n’a pas été communiquée.

Plus préjudiciable pour l’adjoint, selon l’entourage du Maire Thierry Meignen, ce serait finalement ses enfants qui auraient utilisé cet appareil fourni par la ville dans le cadre de ses fonctions d’adjoint. Payé par le contribuable, les appareils portables et les tablettes ne devraient en effet pas être utilisés de manière intensive à des fins personnelles.

Minecraft reste populaire malgré son âge et la concurrence

MinecraftAlors que les médias spécialisés du jeu vidéo n’ont d’yeux que pour Pokemon Go, le jeu de construction entièrement libre Minecraft poursuit son chemin débuté en 2009 sous l’impulsion de son concepteur initial, Markus Perrson. Le principe est simple et plutôt prenant : suivant le mode de jeu sélectionné, ce jeu plonge le joueur dans un univers généré aléatoirement. Il vous permet de construire des formes, des villages, des empires à l’aide de cubes. Pour cela, il doit savoir gérer les ressources naturelles (végétales, animales, minérales, fossiles) pour les transformer et créer des unités de production, de fabrication, de la nourriture ou d’autres éléments permettant à une cité de survivre.

Vendu à plus de 100 millions d’exemplaires sur de nombreuses plateformes (Windows, Mac OS, Linux, PS3, X1, PS4, PS Vita, iOS, Android…), le jeu a connu un succès planétaire grâce aux possibilités de personnalisation ou de modification des univers créés aléatoirement. Chaque joueur peut en effet ajouter ou supprimer des blocs ou cubes, lui permettant une capacité de survie meilleure et une expansion de ses structures plus rapide. Autre intérêt : au fur et à mesure que le joueur évolue dans son mondé, la carte du monde se complète de nouveaux paysages (forêts, déserts, marais…), de nouvelles surfaces (minerais, grottes, cavernes) ou même de structures (donjons, châteaux…). La taille d’une carte au final est quasiment infinie. Le jeu peut se jouer seul ou en multi-utilisateurs au travers d’internet, les mondes Minecraft pouvant être hébergés sur un serveur autonome.

Dans ce monde se trouvent des créatures amies, à apprivoiser (chevaux, loups) ou ennemies (zombies, squelettes…), qui apparaissent également au fur et à mesure de l’exploration.

De nombreux clones ont vu le jour, et de nombreux joueurs ont mis en ligne leur propre création pour inviter des internautes à les rejoindre et à explorer leur oeuvre. Certains en ont d’ailleurs profiter de créer des vidéos, accessibles sur Youtube. Parmi la catégorie des Minecraft jeux, on peut citer Pixel Warfare (jeu de guerre), Zombiecraft, Exit Through The Dungeon (qui ressemble pour les anciens à Dungeon Master) ou encore Minecraft Defense Tower.

Et vous ? Avez vous aussi une fois joué à ce jeu de construction et si oui, quel est votre retour d’expérience ?

 

 

Achats en ligne : quoi de neuf ?

argentAlors que les ventes en ligne sont en forte croissance depuis 10 ans environ, un certain nombre de mesures ont été prises dernièrement afin de renforcer la protection des cyber-consommateurs. C’est ce que répond le ministère en charge de l’économie à une question écrite d’un sénateur.

L’encadrement juridique des contrats de vente conclus par la voie électronique a été renforcé avec la loi relative à la consommation du 17 mars 2014 (dite « loi Hamon »), notamment par :

  • un allongement du délai de rétractation passant de 7 jours à 14 jours (sans frais ni pénalités),
  • des mentions d’information du consommateur renforcées et dont le non-respect entraîne pour le professionnel une déchéance au droit à certains paiements,
  • un délai de remboursement du consommateur ramené à 14 jours au lieu de 30 auparavant,
  • l’interdiction des pratiques de pré-cochage sur internet.
  • le renforcement des pouvoirs des agents de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) qui peuvent utiliser une identité d’emprunt sur internet pour y effectuer leurs contrôles, ou encore, enjoindre aux professionnels du e-commerce qui ne sont plus en capacité d’exécuter leurs obligations de livraison, de ne plus prendre aucun paiement avant la livraison intégrale des produits.

Cette loi comprend également de nombreuses autres mesures concernant, en particulier, l’action de groupe, les contrats d’assurance, les prêts immobiliers, les garanties ou encore le démarchage téléphonique.

Article proposé par Annie Neveu

Contenus publiés sur internet : qui est responsable ?

fibre_optiqueLorsqu’un contenu est publié sur internet (texte, vidéo…), c’est l’auteur qui en est responsable et qui peut être condamné en cas de contenus illicites. Pour en savoir plus sur le sujet, vous pouvez consulter la fiche pratique portant sur laresponsabilité des contenus publiés sur internet, sur Service-public.fr.

On distingue la responsabilité des éditeurs de contenus (qui en sont les auteurs) de celle des hébergeurs (assurant uniquement le stockage des contenus).

La fiche détaille par ailleurs ce qu’il faut connaître concernant la demande de retrait d’un contenu :

  • procédure non-judiciaire (demande à adresser directement à l’hébergeur),
  • procédure judiciaire (demande à adresser d’abord à l’éditeur puis, le cas échéant, à l’hébergeur avant toute poursuite en justice de l’hébergeur).

Dans le cas d’avis, critiques … publiés par un internaute à la suite d’articles en ligne par exemple, les auteurs de ces commentaires sont responsables de leurs propos. Par conséquent, en cas de délit de presse (injure, diffamation, incitation à la haine raciale…), les éventuelles plaintes doivent viser les auteurs des commentaires et non les propriétaires des sites sur lesquels se trouvent les commentaires.

À noter :

  • La diffamation consiste à attribuer un fait non avéré portant atteinte à l’honneur et à la considération d’une personne.
  • L’injure est une expression outrageante ou méprisante, non précédée d’une provocation et qui n’attribue aucun fait précis à la victime (le qualificatif donné ne peut pas être vérifié).

Article proposé par Annie Neveu

Guide des droits de l’homme pour les utilisateurs d’internet

fibre_optiqueLe Conseil de l’Europe diffuse un guide des droits de l’homme pour les utilisateurs d’internet. Son but est d’aider les utilisateurs d’internet à mieux comprendre leurs droits de l’homme en ligne, leurs limites possibles ainsi que les recours disponibles contre d’éventuelles atteintes à ces droits.

Le guide se fonde sur les droits et libertés consacrés par la Convention européenne des droits de l’homme ainsi que sur l’interprétation de ces droits notamment par la Cour européenne des droits de l’homme. Il repose sur l’idée que les droits de l’homme et les libertés fondamentales ont la même valeur dans le monde virtuel que dans le monde réel.

Ce guide décline les droits et libertés dans les environnements internet : accès à internet, liberté d’expression et d’information, association et participation, protection de la vie privée et des données personnelles, accès aux connaissances, libertés et protection des enfants et des jeunes, voies de recours.

Le guide figure en annexe de la recommandation adoptée par le Comité des ministres le 16 avril 2014.

Article proposé par Annie Neveu

www.internet-signalement.gouv.fr, le site pour signaler les contenus illicites sur internet

Stop_mensongesContenus racistes ou homophobes sur internet, images pédopornographiques ? Vous pouvez les signaler sur www.internet-signalement.gouv.fr. Ces signalements sont analysés par des policiers et gendarmes affectés à la plateforme d’harmonisation, d’analyse, de recoupement et d’orientation des signalements (Pharos).

Vous pouvez signaler les contenus ou comportements illicites (interdits et punis par une loi française). Ils doivent par ailleurs être publics et accessibles à tout internaute (site internet, blog, forum, discussion en direct…). Ne sont pas concernés par ces signalements :

  • les contenus ou comportements que vous jugez simplement immoraux ou nuisibles,
  • les affaires privées avec une personne de votre connaissance,
  • une urgence nécessitant l’intervention de service de secours (accident, incendie, agression…).

À noter que toute dénonciation mensongère fera systématiquement l’objet de poursuites.

Ce site dispense également une série de bonnes pratiques :

  • conseils aux parents (ne pas laisser les enfants seuls face à internet, contrôler l’accès à l’ordinateur, installer un logiciel de contrôle parental…),
  • conseils aux plus jeunes (messagerie, achats en ligne, mots de passe…),
  • internet prudent (scamphishingpeer to peer…),
  • protection de l’ordinateur (antivirus, pare-feu, anti-espiogiciels…).

Téléphonie et internet : doit-on toujours accepter la facture électronique ?

argentSi les services de téléphonie et les fournisseurs d’accès internet mettent souvent en avant les aspects positifs de la facture électronique, êtes-vous dans l’obligation de l’accepter ? Non, ce n’est pas une obligation. C’est ce que répond 60 millions de consommateurs en expliquant que vous pouvez toujours demander à recevoir vos factures en version papier.

En effet, un arrêté publié au Journal officiel du 4 janvier 2014 précise que les factures peuvent être adressées gratuitement sur support papier, à la place du support dématérialisé proposé par l’opérateur. Cette demande peut être effectuée par tout moyen et à tout moment, y compris lors de la souscription. Si la demande intervient en cours de contrat, elle est prise en compte dans les dix jours ouvrés.

Par ailleurs, toute facture détaillée sous format papier comportant des communications effectuées lors de l’un des douze derniers mois doit également être fournie sur demande du souscripteur.