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Pfizer roule sur l’or avec plus de 85 milliards d’euros de chiffre d’affaires prévu grâce aux vaccins Covid-19
Le géant des Big Pharmas Pfizer s’est fixé un objectif d’environ 100 milliards de dollars (87,6 milliards d’euros) de chiffre d’affaires. Parmi les principales rentrées attendues : la vente de vaccins (32 milliards de dollar) et la vente de sa pilule destinée à traiter le virus.
Porté par les différents gouvernements qui ne jurent que par la vaccination pour lutter contre le Covid-19, Pfizer pourra grassement rémunérer ses actionnaires qui ont eu le nez fin en 2020 en investissant dans son action.
Pourtant, cette vaccination ne semble pas porter ses fruits : des pays fortement vaccinés comme Israël subissent une vague de contamination, d’hospitalisation et de morts à cause du Covid-19. A l’inverse, des pays peu vaccinés comme en Afrique ne subissent quasiment plus de surmortalité. Que faut-il en déduire ?
Une dose de rappel de Pfizer pour les 12 à 15 ans à l’étude
Alors que très peu d’adolescents subissent des complications à cause du Covid-19, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a annoncé mardi qu’elle avait commencé à évaluer une demande d’approbation d’une dose de rappels du vaccin anti-Covid de Pfizer-BioNTech, appelé Comirnaty, pour les enfants de 12 à 15 ans. Une autre étude est en cours pour faire une dose de rappel pour les 16-18 ans.
Covid-19, un léger mieux dans les services hospitaliers avec une baisse des cas graves
Si les chiffres des contaminations ont bien amorcé une baisse, l’effet ne se fait pas encore massivement sentir dans les hôpitaux. Selon le dernier bilan de Santé publique France, un total de 33 447 malades du Covid-19 étaient encore hospitalisés ce lundi, contre 32 374 il y a une semaine. Un niveau proche du record (33 466 hospitalisations) atteint le 11 novembre 2020. Concernant l’occupation des services de soins critiques, unités réservées aux patients atteints des formes les plus graves de la maladie, une très légère baisse pointe son nez : 3 622 personnes y sont toujours accueillies, contre 3 700 la semaine dernière.
Source et article complet : Libération
L’Afrique du Sud a déjà vaincu le Covid-19 malgré un faible taux de vaccination
Alors que des pays en Europe comme la France ou l’Autriche continuent d’appliquer des mesures sanitaires restrictives en incitant la population – même jeune – à se faire vacciner, d’autres pays ont fait un choix différent, et semblent retrouver une vie normale, comme avant.
Alors que le taux de vaccination en Afrique du Sud est de l’ordre de 33% (contre près de 80% en France), le pays semble avoir vaincu le Coronavirus après avoir durement subi plusieurs vagues de contamination.
Le diagramme ci-dessous montre la surmortalité recensée dans ce pays (en orange, le nombre de décès prévus par les démographes hors Covid avec en pointillés les estimations basses et hautes et, en noir, le nombre de décès réel) :
On voit que le pays a connu 4 vagues :
- La première, d’amplitude moyenne, est liée à la souche originale du Covid-19 (Alpha)
- La deuxième, de forte amplitude mais de durée courte, correspond à celle du variant Beta
- La troisième, de forte amplitude et longue, correspond aux dégâts occasionnés par le terrible variant Delta
- La quatrième, de faible amplitude et courte, à une petite résurgence du variant Delta et à la l’arrivée d’Omicron, très peu mortel selon les épidémiologistes Sud-Africains
Aujourd’hui ce pays revit. La mortalité a repris un cours normal et malgré une faible vaccination, les Sud-Africains semblent avoir vaincu ce virus qui continue de pourrir la vie des gens, notamment dans les pays fortement vaccinés. Faut-il voir une relation de cause à effet ? Il est trop tôt pour en avoir la certitude.
Et contraire à celles et ceux qui ne connaissent pas le pays, l’Afrique du Sud est certes un pays plus jeune que la France mais relativement âgé par rapport au reste de l’Afrique, et de nombreux endroits sont de véritables concentrés de population propices à la contagion (province du Gauteng, province du Cap Occidental, Townships…). De plus, l’Afrique du Sud est un pays où de nombreuses personnes sont immunodéprimées, le VIH étant présent chez environ 15% des gens.
L’Afrique du Sud a misé sur la sauvegarde de sa jeunesse (malgré quelques confinements forts mais de courte durée) et sur l’immunité collective. On verra si le pays sera renforcé lors de la prochaine vague (le Covid étant un virus de type SARS ou grippe, il est donc cyclique et reviendra toujours) ou si les pays où la vaccination est forte seront mieux lotis.
O’Parinor se mobilise pour faciliter l’accès à la vaccination avec un stand accessible à tous les créneaux pour enfants
Le 13 décembre dernier, un centre de vaccination a été installé au sein du centre commercial O’Parinor, et un bilan positif peut déjà être tiré un mois et demi après son ouverture : 13 620 doses de vaccin contre la Covid-19 ont été administrées sur le site au 22 janvier, soit plus de 330 vaccinations effectuées par jour en moyenne.
Afin de faciliter l’accès à la vaccination au plus grand nombre, des créneaux dédiés spécifiquement à la vaccination des enfants entre 5 et 11 ans ont été mis en place le mercredi après-midi ainsi que toute la journée en week-end.
« Depuis le début de la crise sanitaire, nous mettons un point d’honneur à protéger la santé de nos visiteurs. Après la mise en place d’un protocole sanitaire spécifique permettant un respect strict des mesures de protection et de distanciation, puis l’installation de stands de tests, nous tenions à faire un pas supplémentaire dans la lutte contre l’épidémie en accueillant le centre de vaccination du département au sein de notre centre commercial », explique Sarah Zerouali, Directrice du centre commercial O’Parinor.
En parallèle de la vaccination, le stand continue de proposer des tests de dépistage du Covid- 19.
Informations pratiques :
Adresse : Le Haut de Galy, 93600 Aulnay-Sous-Bois
Le centre de vaccination et de dépistage est situé sur le parking 0 du centre commercial O’Parinor, en face de la gare routière et du garage Feu Vert.
Il est ouvert 7 jours sur 7 de 10h à 20h et accueille les volontaires avec ou sans rendez-vous. Pour prendre rendez-vous sur Doctolib.fr : centre de vaccination O’Parinor
Source : communiqué Hammerson
Les chroniques d’un non-vacciné contre le Covid-19 : une seule solution, l’exil ?
Contraintes de plus en plus fortes, impossibilité de partager des moments de joies avec mes enfants (sportifs, ils peuvent toujours avec un pass sanitaire exercer leur passion, mais je suis interdit d’entrée dans les stades et gymnases), vacances impossibles (pass vaccinal obligatoire pour aller dans un hôtel ou un camping) : le Président de la République a réussi son coup, emmerder des non-vaccinés comme moi jusqu’au bout.
Face à ces contraintes, ce sentiment d’abandon, d’oppression et de honte, la majorité des français semble acquiescer, plus ou moins ouvertement, cette mise au ban des non-vaccinés. J’ai beau poser à ces pro-vaccination des questions précises (pourquoi utiliser un vaccin que des spécialistes considèrent comme un médicament et qu’il faut réinjecter tous les 4 mois ? Pourquoi cette campagne vaccinale pour les plus jeunes pourtant peu sujets aux formes graves du Covid ? Pourquoi se vacciner si on doit porter un masque, que cela n’empêche pas les contaminations ? Quid de la garantie de n’avoir aucune séquelle ou réaction ?). A chaque fois la réponse est : espèce d’antivax, les vaccins c’est la vie, il faut se vacciner au cas où... Mais jamais je n’ai eu vraiment réponse à mes questions.
Mais ce n’est pas tout : si on est mis au ban, on est aussi pointé du doigt, désigné, humilié en public. Récemment, j’ai croisé une connaissance au supermarché du coin. A peine un bonjour et devant tout le monde, le sourire perceptible malgré le masque, il cria haut et fort « Alors comment ça va le non-vacciné ?!« . Devant quelques clients ébahis, j’ai dû lui mentir, dire que j’étais vacciné depuis quelques mois, que j’avais changé d’avis.
Les non-vaccinés sont devenus des parias, des fantômes, des indésirables. Non, contrairement à ce que l’on peut voir dans certains sites, les non-vaccinés ne sont pas devenus les juifs des années 40 ou les tziganes, ni les Arméniens dans l’empire Ottoman : notre vie n’est pas en danger, on ne nous parque pas dans des camps de concentration, on ne nous fait pas traverser un désert sans vivres pour mourir de soif. Non, cette comparaison est déplacée et malheureuse pour les victimes de ces génocides.
Non, s’il fallait faire une comparaison plus juste, ce serait de faire référence aux Huguenots, protestants français sous Louis XIV qui devaient payer très cher le maintien de leur foi face aux persécutions catholiques. Bien entendu ce que subirent les protestants avec les dragonnades n’ont rien à voir avec ce que les non-vaccinés peuvent subir aujourd’hui même si, dans les standards de l’époque, ce moyen de pression était jugé comme « modéré », puisque le protestant pouvait se convertir ou, s’il voulait garder la foi, devait héberger un dragon (fantassin de l’époque) à ses frais et subir des brimades (il y a eu tout de même dans certaines contrées des tortures et des exécutions).
Pour continuer cette référence aux Huguenots, les non-vaccinés n’ont pas beaucoup de choix : se vacciner (se convertir pour les protestants), accepter cette mise au ban et avoir moins de droits (supporter les dragonnades pour les protestants) ou partir. A l’image de ces protestants – appelés ensuite Huguenots – qui partirent aux Pays-Bas ou en Afrique australe (la pointe du Cap était alors sous domination Hollandaise), les non-vaccinés pourraient trouver leur salut dans un pays étranger.
Après tout mon profil pourrait intéresser de nombreux pays en Europe de l’Est ou en Afrique australe comme l’Afrique du Sud. Je parle anglais couramment, mes enfants pourraient découvrir une nouvelle culture, et mes connaissances et mon travail pourraient de nouveau être reconnus à leur juste valeur tout en contribuant pour une autre nation. Un nouveau départ, de nouveaux défis, un nouvel horizon, un espoir à portée de main. C’est peut-être cela la solution pour nous, non-vaccinés.
Après tout peu de monde – hormis nos proches – nous regrettera. Nous sommes à entendre celles et ceux dans leurs certitudes la cause de bien des maux : nous avons un faible quotient intellectuel, nous ne sommes que des extrémistes qui ne pensent qu’à nous. Ce sera donc pour la majorité des Français – dont le nombre de contaminations et le protocole sanitaire font bien rire à l’étranger – un grand soulagement. Tout le monde sera content, et chacun pourra se faire son propre bilan quelques années plus tard.
L’exil, c’est peut-être le seul compromis possible, et les actifs non-vaccinés comme moi pourront peut-être profiter pleinement, ailleurs, des dispositifs publics ou ludiques en utilisant le fruit de leur labeur, et partager de nouveau des moments de joie avec leurs enfants.
Source : contribution externe
Les non-vaccinés craquent et se font une injection à O’Parinor Aulnay-sous-Bois juste avant le passe vaccinal
A partir de ce lundi 24 janvier, il ne sera plus possible d’aller au cinéma, à la piscine, au restaurant, ou de prendre le TGV sans une preuve de vaccination contre le Covid-19. Nous sommes allés à la rencontre des immunisés de dernière minute dans un centre d’Aulnay-sous-Bois en Seine-Saint-Denis.
« Dans le box, je me suis dit : mais pourquoi je suis là ? » Mélissa, 25 ans, a franchi le cap de la vaccination contre le Covid-19, ce dimanche 23 janvier, dans un barnum géant, au pied de la gare routière du centre commercial O’Parinor d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Pas vraiment la sortie dominicale rêvée pour cette jeune femme réfractaire, venue de Nanterre (Hauts-de-Seine) pour recevoir une première dose à la veille de l’entrée en vigueur du passe vaccinal, lundi 24 janvier.
Source et article complet : Le Parisien
Une 6e vague de contamination Covid-19 avec le variant Omicron prévue cet été
Si les derniers chiffres relatifs au nombre de personnes en réanimation sont rassurants, des épidémiologistes estiment qu’une nouvelle vague aussi importante que celle que nous venons de vivre devrait apparaître en été, lorsque les Français abandonneront les gestes barrière. En effet, ce n’est pas tant la vaccination mais plutôt la prudence des Français qui permet de réduire les risques de transmission et, par conséquent, le nombre d’hospitalisation.
Selon toute vraisemblance, on devrait assister à une décrue au printemps puis à une augmentation des contaminations dès juin 2022. Sauf si un nouveau variant plus dangereux arrive, la létalité de cette nouvelle vague ne devrait être qu’à peine perceptible.
Plus de 100 000 cas d’effets indésirables suite à l’injection d’un vaccin contre le Covid-19 en France
Déjà trois doses et plus de 50 millions de Français avec un schéma vaccinal complet, d’après les chiffres du ministère des Solidarités et de la Santé. La vaccination contre le Covid-19 s’est accélérée depuis la première dose en décembre 2020 injectée à l’hôpital René-Muret de Sevran, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Plus d’un an après, quels sont les principaux effets secondaires de ces nouveaux vaccins ? On fait le point.
« Une grande majorité des cas déclarés sont des effets non graves, par exemple des réactions comme de la fièvre, une inflammation locale, de la diarrhée, des vomissements », précise l’Agence nationale de sécurité du médicament (l’ANSM). Sur le mois de décembre 2021, pour l’ensemble des vaccins, 75 % des effets indésirables étaient non graves contre 25 % graves. Des chiffres similaires au début de la vaccination.
Source et article complet : Paris Normandie
La levée des restrictions sanitaires contre le Covid-19 est critiquée par des epidémiologistes
Alors que la vague Omicron frappe la France, le gouvernement, par l’intermédiaire du premier ministre Jean Castex, annonce la levée de certaines restrictions comme le port obligatoire du masque en extérieur, l’interdiction des concerts debout ou la fermeture des discothèques. Cependant, certains épidémiologistes estiment qu’il est trop tôt pour alléger ce dispositif dans la mesure où le variant Omicron, même moins dangereux, frappe de plein fouet le pays.
Sur les sept derniers jours, 337 192 nouveaux cas ont été recensés par jour en moyenne, soit près de 30 000 de plus que la semaine précédente. De quoi inquiéter de nombreux épidémiologistes, selon France Info


