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La diva d’Aulnay-sous-Bois Aya Nakamura annonce un troisième concert au Stade de France

Les fans d’Aya Nakamura auront l’opportunité de voir la chanteuse non pas deux, mais trois fois sur la scène du Stade de France. Deux jours à peine après avoir annoncé une deuxième concert au Stade de France, l’artiste a ajouté une nouvelle date, le 31 mai 2026.

« Pas contents? Triplé », a-t-elle déclaré sur Instagram en référence à une punchline célèbre de Kylian Mbappé prononcée dans un reportage de Canal+.

Source et article complet : BFM TV 

Carlos Martens Bilongo ancien coach sportif de l’artiste d’Aulnay-sous-Bois Aya Nakamura témoigne du racisme

Carlos Martens Bilongo est aujourd’hui sans nouvelles de la procédure mais explique qu’il était important de ne pas laisser passer ces propos. « Renvoyer quelqu’un à son origine comme cela, c’est complètement abject. On est dans une période de montée de l’extrême droite et la réussite d’une jeune femme noire dérange. C’est une icône qui appartient au patrimoine français donc on doit tout faire pour qu’elle aille le mieux possible et la protéger, même si certains ont du mal à l’entendre », dénonce le député élu en 2022 dans le Val-d’Oise sous l’étiquette de la Nupes, alors qu’on le rencontre à l’Assemblée nationale.

Source et article complet : Ouest France

Vidéos. La diva d’Aulnay-sous-Bois Aya Nakamura grande gagnante des flammes 2024 !

Encore une fois, Aya Nakamura a brillé aux flammes en remportant 3 trophées. Ce triomphe pour la chanteuse d’Aulnay-sous-Bois est encore plus prononcé cette année puisqu’elle a écrasé toute la concurrence, si bien que certaines langues affirment que c’est toujours elle qui est récompensée.

Quoiqu’il en soit, c’est encore la ville d’Aulnay-sous-Bois qui est mise à l’honneur.

Ci-dessous les vidéos de ce triomphe :

 

André Cuzon : « Commu » d’Aulnay-sous-Bois Pâques 2024

Je  commencerais par le capitaine de Gourgue (famille du Château d’Aulnay) héros de la lutte contre les colons espagnols en 1568 en s’alliant aux indiens en Floride. Cela se passait avant l’arrivée massive d’esclaves noirs. Cette lutte a  été écrite en alexandrins par un ami d’André Laude : André Mathieu («Nova Gallia »), présent à Aulnay lors de l’invitation de Serge Wellens à la bibliothèque Dumont en avril 2006.

On peut poursuivre par  l’attitude exemplaire du vicomte de Gourgue pendant l’occupation allemande en 1870-71 : ce qu’en écrit Jules Princet en fait foi.

Jules Princet est aussi un homme et un écrivain dévoué au petit peuple d’Aulnay paysan, ouvrier  et artisan.

C‘est le sens profond du « théâtre aux champs » : création collective  en plein air sans autre théâtre que les champs, avec les paysans comme acteurs et comme spectateurs.

Il est « rousseauiste ».

Mais il faut aussi comprendre le sens des productions de Jules Princet : « Lamennais » et « Bolivar ».

Lamennais fut prêtre, journaliste, écrivain mais fut à la fin un révolutionnaire (voir dans le Maitron), une référence du mouvement ouvrier et populaire du 19° siècle, un ami du peuple ; il a écrit le « livre du peuple ». Son enterrement fut à peine toléré par le pouvoir comme pour Navalny: à l’aube le peuple l’accompagna pour la fosse commune.

Bolivar dont la statue parisienne se trouve sur le cours de la Reine est le héros la lutte anticoloniale espagnole en Amérique du sud.

Jules Princet mort jeune a eu une fille Noëlle et un fils Maurice (journaliste, acteur  et écrivain) qui participa à l’histoire de « l’Orphéon » après guerre dans les années 50.

Ses filles Liliane (née en 1928) et Nicole (née en 1933) comme leur père  sont des acteurs importants de « l’Orphéon ». Ils participaient aux rencontres  poétiques à l’école du Bourg près de chez eux. Liliane qui a eu pour compagnon Nikos Athanassiou, écrit dans le « Monde diplomatique »,  «Esprit».

Elle a écrit  un petit planète sur la « Crète ». Elle traduit aussi les auteurs grecs  Níkos Kazantzákis  (Zorba ) …et fut l’institutrice au cinéma dans « Mouchette » de Bresson. Le fief de Nikos Athanassiou (« Zorba le grec » dans la restauration rue Grégoire de Tours à Paris) fut aussi un fief d’André Laude collègue du « Monde » .

Georges Sénéchal fut le pilier de l’édition des cahiers de « l’Orphéon ». Après des publications dans les « cahiers de Rochefort » et ailleurs  il fit une carrière de cinéaste. Ses films sont conservés dans le département du Puy-de-Dôme

Sa femme Nicole Sénéchal (nièce d’Alexandre Vialatte) fut témoin au mariage de Nicole Princet et de Pierre-Jean Ségalat l’un des poètes de « l’Orphéon ».

Roger-Jean Ségalat et Nicole Princet eurent deux enfants et se séparèrent au début des années 60 juste après la fin de « l’Orphéon ».

N’oublions pas Anne et Jacques Six bien sûr, photographes et entomologistes.

Ni tous les auteurs des « cahiers de l’Orphéon ».

Ni  Guy Robin, ni Gabriel Robin, ni Bernard Saintville, ni les Buclet, ni Françoise Lo (alias Sophie Makhno du nom de l’anarchiste ukrainien) autrice de chansons et secrétaire de Barbara, autrice du « Charles Dumont » de chez Seghers et d’un livre sur Barbara.

Ni Jean Rousselot le «  parrain » de « l’orphéon » et l’ami de Max Jacob, ni les acteurs-lecteurs de poèmes : Marie-Ange Dutheil, André Hersin, Marguerite Ambrosini ( la « Marguerite » de Wellens), Marcel Lupovici, ni les jeunes admiratrices : Françoise Carriol, Denise Cornefert…

Serge Wellens (né rue de « Deux Ponts » à Aulnay en 1927 habitait avant-guerre (et pendant ?) le café de ses parents au « soleil levant » à « la croix verte » café dit des « Pailleux » qui jouxtait la propriété des « Princet ».

Il acheta vers 1953 la librairie de l’avenue Dumont qui devint le siège des poètes  de l’Orphéon. Roger-Jean Ségalat devint instituteur à la rentrée 1956 à l’école du Bourg proche du domicile des Princet.

Les uns et les autres participèrent à l’aventure de la revue « Sources » du breton Gilles Fournel, plus tard à celle de la revue « IO » de Millas-Martin. André Laude plus jeune participa largement aux activités, aux publications des cahiers de « l’Orphéon ». Il prit  un envol parisien assez rapidement.

Son amitié avec Michel Donnet fils du directeur de l’école Paul Bert lui-même enseignant au Parc en fit un écrivain et un militant anarchiste.

Il écrit dans le « Libertaire » très jeune : le groupe d’Aulnay était important Mohamed SAIL (le premier anarchiste algérien) en faisait partie. Ils étaient plutôt « messalistes ». André Laude fut « porteur de valises » puis devint un « pied rouge » collaborateur du nouveau pouvoir algérien. Il fut aussi proche des artistes latinos ou caraïbéens comme Depestre, Bloncourt, Amado et Wilfredo Lam.

Il publia un article sur la « négritude » en 1966 dans la revue « Souffles » d’Abdellatif Laâbi. Au retour d’Algérie il publia en 1967 une série d’articles dans « Combat » sur son expérience.

Les références au peuple de Lamennais et aux peuples du monde de Bolivar furent aussi les leurs : André Laude était reçu à Botzulan (à Pont Aven) par Xavier Grall qui publiait son « Lamennais » en 1978. Le travail de mémoire et d’édition sur André Laude après son décès en 1995, a connu un moment important lors de l’invitation de Serge Wellens à Aulnay en avril  2006.

Tous les amis  de l’Orphéon étaient là, hormis Roger-Jean Ségalat, mais Nicole Princet était là. Il y avait aussi Annie Wellens, Marie-Pierre Aynes la première compagne d’André Laude et leur fils Vincent (comme Van Gogh) expert de Prévert. Il y avait aussi Jean Dubacq, José Millas-Martin « l’argentin », Hocine Bouakkaz (acteur de l’édition de la Différence et auteur d’une pièce jouée au « Point Virgule » pour le dixième anniversaire de la mort du poète : « comme un  début d’humanité ».

Aulnay prolongeât  cette amitié « orphéonesque » avec Laude et Wellens, lors de l’exposition rétrospective « Gabriel Robin » de 2008 en présence de sa fille Evelyne Millet et avec  l’hommage à Serge Wellens après son décès en 2010 en présence d’Anne-Marie Rousselot la fille de Jean Rousselot.

En 2008 les « amis d’André Laude » grâce à Abdellatif Laâbi éditaient l’œuvre poétique d’André Laude aux éditions de « La Différence » et aussi trois cahiers « André Laude » grâce à la municipalité de l’époque. Un site « André Laude » a été créé et mis-à-jour par Pierre Kobel.

Osvaldo Torres « l’ami chilien » des aulnaysiens a réalisé un livre d’artiste de poèmes de Laude traduits en espagnol. Les élèves du lycée « Jean Zay » avec leur professeur de théâtre ont présenté à Prévert une pièce de poèmes d’André Laude en 2012.

Mais l’association a dû s’arrêter. La liste des décès est longue : après Serge Wellens,  l’éditeur Joaquim Vital, le préfacier Yann Orveillon, André Mathieu, jean-Pierre Begot,  les peintres Corneille et Fassianos et la galeriste Céres Franco qui a créé un musée d’art  brut dans l’Aude.

Récemment « Nora Nord » Nicole Postnikova est décédée, après fin 2022 la fille d’André Laude Sabine et sa mère. Mais le combat continue et cette année 2024 nous offre des surprises essentielles : des traductions de grande qualité en langue turque par Aytekin Karaçoban (aux éditions « klaros ») et en espagnol par Adrian Fernandez Burlo  (Ediciones Lo Desconocido).

N’oublions pas les contributions de René Depestre que nous avons publiées dans nos cahiers, surtout pour souligner qu’il est encore parmi nous, à 98 ans,  lui aussi dans le département de l’Aude, lui l’ami du Che et de Pablo Neruda.

Toute cette culture aux « armes miraculeuses » (Césaire)  était culture « autogestionnaire » et de résistance. La « maison de la culture » du 93 et son antenne « enfance jeunesse» attendirent 1980 pour voir le jour.

Robert Ballanger le breton qui se souvenait de la « chasse à l’enfant » après la mutinerie du bagne de Belle-Ile-en-Mer en 1934 et du poème de Prévert proposa le nom de « Jacques Prévert » pour cette antenne enfance.

Mais à Aulnay la mairie de droite a remis en cause à Aulnay l’antenne  « MC 93 » comme les « banlieues bleues ». Elle fait aussi de temps en temps la chasse aux enfants :

« Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
Qu’est-ce que c’est que ces hurlements
Bandit ! Voyou ! Voyou ! Chenapan !
C’est la meute des honnêtes gens
Qui fait la chasse à l’enfant »      (Prévert)

Le maire est un « shérif», expert judiciaire en diffamations et/ou harcèlements. Les « jeunes indigènes » qu’il traite de « voyous » ne l’aiment pas  à cause de la couleur de ses yeux : ils sont racistes ! Il croit vivre dans son «village» avec ses promoteurs immobiliers chercheurs d’or.

Aulnay est la capitale du Territoire « Paris Terres d’envol » aux deux aéroports attentatoires au climat. 
Aulnay est devenu  une « commu » (Aya Nakamura) « internationale » qui n’est pas limitée au football, ni à la chanson, (ce qui est très bien ) mais elle participe à la légende des siècles et à la marche du monde.

Source : André Cuzon

Bibliographie :

Jules Princet : « Histoire d’Aulnay-sous-Bois » IER 1991

André Mathieu : « Nova Gallia » édition des Moires

André Laude « Liberté couleur d’homme » Encre Paris 1980 pages 69 et suivantes

Serge Wellens « « cahiers NOAH » n°2 1986

L’oreillette n° 7 été 1992 « serge wellens l’orphéon »

Laurent Ségalat: « Roger Ségalat » infolio 2015

Cahier André Laude N° 1 janvier 2009 « Souvenirs de l’Orphéon » par Serge Wellens

DVD « Retour au pays natal » réalisé par nous en 2006 à la bibliothèque d’Aulnay (en ligne).

André Laude Les Nouvelles Littéraires Pâques 1977 pour la mort de Prévert : « frère jacques »

Robert Ballanger au parlement le 11 mai 1968.

Pour Jordan Bardella, la diva d’Aulnay-sous-Bois Aya Nakamura ne peut pas représenter la France lors des Jeux Olympiques

Le RN continue de faire connaître son opposition au projet de faire chanter Aya Nakamura lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris. « Quand on a été condamné pour violences conjugales, on ne peut pas représenter la France », a ainsi estimé mercredi Jordan Bardella.

La star de la R’n’B-pop Aya Nakamura et son ex-conjoint, Vladimir Boudnikoff, ont été respectivement condamnés le 23 février à 10.000 et 5.000 euros d’amende pour des violences sur conjoint datant d’août 2022 par le tribunal correctionnel de Bobigny. Aya Nakamura n’a pas interjeté appel.

Source et article complet : 20Minutes

63 % des Français ne veulent pas qu’Aya Nakamura d’Aulnay-sous-Bois chante du Édith Piaf aux JO de Paris 2024

Depuis qu’Emmanuel Macron a laissé entendre qu’Aya NAkamura pourrait chanter du Édith Piaf lors de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024, la polémique ne désemplit pas. À tel point que selon un sondage, près de 63 % des Français ne voudraient pas de la star pour la cérémonie et proposent même d’autres noms. 

Sa présence n’a même pas encore été officialisée que la chanteuse Aya Nakamura se retrouve déjà dans une polémique malgré elle. Le président de la République Emmanuel Macron aurait en effet demandé à la star française du RnB de chanter du Édith Piaf lors de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024.

Source et article complet : Midi Libre

Emmanuel Macron souhaite que la diva d’Aulnay-sous-Bois Aya Nakamura chante Edith Piaf lors des JO 2024

Aya Nakamura n’est pas Gabriel Attal. Quand la chanteuse du tube Djadja traverse, en tailleur noir discret et en catimini, la cour de l’Elysée le 19 février dernier, imagine-t-elle qu’elle est sur le point de se soumettre à un interrogatoire conduit par le président de la République en personne ? Avant, après, rien ou presque n’a fuité. Plus que ce rendez-vous élyséen, c’est son ordre du jour qui, coûte que coûte, doit demeurer secret : la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques 2024 à laquelle l’artiste franco-malienne va, selon nos informations, participer.

Pas une petite affaire, aux yeux d’Emmanuel Macron. De quoi justifier qu’il exig… « qu’il propose », rectifie-t-on à l’Elysée, deux ou trois broutilles pour le grand jour. La fête, imaginée par le metteur en scène Thomas Jolly, doit retranscrire « l’universalisme des valeurs françaises », répète-t-on autour du chef de l’Etat. Un moment que lui, président de cultures mêlées, inconditionnel de Sardou et lecteur de l’exigeant Pierre Michon, rêve populaire et élitiste. En même temps. « Alors, quels chanteurs ou quelles chansons du répertoire français comptent pour vous ? »

L’interprète de Jolie Nana est priée de ne pas décevoir, trouver un terrain d’entente avec le directeur artistique bis de la cérémonie qui se passionne pour la variété française et compte bien qu’hommage soit rendu à ce pan de notre patrimoine. « … J’aime beaucoup Edith Piaf. » La réponse ravit Emmanuel Macron. Qui tout à trac se fait coach : « Eh bien, il faut que le jour J vous chantiez ce que vous aimez. » The Voice en direct de l’Elysée.

Source et article complet : L’Express

Cambriolage au domicile du conjoint de la diva d’Aulnay-sous-Bois Aya Nakamura, celle-ci dément

Le phénomène prend une telle ampleur qu’il en devient quasiment hebdomadaire. Une personnalité française vient une nouvelle fois d’être la cible de malfrats. Dans la nuit de mardi à mercredi, quatre hommes ont fait irruption au domicile du conjoint de la chanteuse Aya Nakamura, le producteur de musique Vladimir Boudnikoff, situé à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris de plusieurs sources policières. Dans une précédente version de cet article, nous écrivions qu’il s’agissait du domicile d’Aya Nakamura.

Source et article complet : Le Parisien

La diva d’Aulnay-sous-Bois Aya Nakamura vous fait vibrer avec 3 chansons inédites : «Come Back», «Bisous» et «Chérie»

Des Mélodies Captivantes pour l’Été À l’écoute depuis le jeudi 17 août, ces trois nouvelles chansons nommées «Come Back», «Bisous» et «Chérie» sont dévoilées par l’artiste de renom, âgée de 28 ans. Aya Nakamura, une figure majeure de la scène musicale francophone, séduit depuis des années avec ses hits.

Source et article complet : Safetypromo

Aya Nakamura et son ex condamnés à des amendes pour des violences conjugales réciproques

Une dispute qui dégénère et conduit à des violences et des menaces. Aya Nakamura et son ex-compagnon, le producteur Vladimir Boudnikoff, ont été condamnés ce jeudi 23 février à des amendes pour des « violences réciproques sur conjoint » datant d’août 2022.

Le tribunal judiciaire de Bobigny a infligé une amende de 10 000 euros à l’encontre de la chanteuse, tandis que son ancien conjoint devra s’acquitter de 5000 euros, rapportent Le Parisien et l’AFP.

Source et article complet : Huffingtonpost