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Décès de Jean Toulgoat, ancien élu communiste à Aulnay-sous-Bois

Les communistes d’Aulnay-sous-Bois ont la grande tristesse d’apprendre le décès, à l’âge de 88 ans, de Jean TOULGOAT, ancien élu communiste de notre ville. Jean Toulgoat était une figure locale et communiste convaincu, comme une bonne partie de sa famille.

Ci-dessous le communiqué du PCF Aulnay-sous-Bois :

Hommage à Jean-Louis Chaussat, une personnalité locale à Aulnay-sous-Bois qui nous a quitté récemment

Jean-Louis Chaussat était un personnage atypique à Aulnay-sous-Bois. Militant de droite et fier d’appartenir à cette famille politique, il était discret mais disposait d’un très bon réseau local. Nous avions déjà évoqué son parcours dans cet article puis dans un autre (où on annonça sa démission de son poste de Maire à Saint-Oradoux-Près-Crocq.

Jean-Louis Chaussat nous a quitté le 27 septembre 2024 après un long combat contre un cancer. Sa discrétion et son humilité étaient sa marque de fabrique, et c’est donc en petit comité que ses proches lui ont rendu hommage début octobre en Creuse, sa nouvelle terre d’adoption après de grosses déceptions à Aulnay-sous-Bois, notamment vis-à-vis de son frère Jacques, à qui il n’a jamais pardonné sa trahison politique. Sa vie ne fut pas un long fleuve tranquille, il n’eut pas la chance que d’autres ont eu et s’est sacrifié pour ses proches, privilégiant le lien du sang à des ambitions politiques ou professionnelles.

Bien entendu, il n’y aura pas de plaque ni de rue portant son nom à Aulnay-sous-Bois. Mais il restera dans les mémoires des plus anciens et de ses anciens camarades politiques. Son franc parler, son humour si particulier et sa culture générale manqueront à n’en pas douter. Il restera à jamais gravé dans les mémoires de ses compagnons de route !

Un prévenu décède dans une cellule du tribunal de Bobigny

Selon une source policière, l’homme a été pris d’un malaise dans sa cellule. Intervenu une demi-heure plus tard, le médecin a diagnostiqué une crise d’angoisse et indiqué que le détenu pouvait être maintenu dans sa cellule sous surveillance régulière, a ajouté la source policière. 

Peu de temps après son départ, lors de leur première ronde de surveillance, les policiers ont retrouvé le prévenu en arrêt cardio-respiratoire. Malgré leurs tentatives de réanimation et l’intervention des secours, l’homme a été déclaré décédé peu après 3 h 30.

Source et article complet : La Montagne

L’évolution de l’utilisation des cartes de décès et des faire part décès en France en 2024

L’annonce d’un décès est toujours un moment délicat pour les proches. En 2024, le faire-part reste une tradition solidement ancrée dans la société française, bien qu’il ne soit pas une obligation légale. Cette pratique ancestrale s’adapte à son époque en intégrant les nouvelles technologies et en reflétant les changements sociétaux. 

Le faire-part, un pilier des usages funéraires

Apparu sous le règne de Louis-Philippe, le faire part pour décès occupe toujours une place prépondérante dans les coutumes funéraires françaises. Ce document a pour fonction d’informer la famille et les connaissances du décès d’un proche. Il respecte généralement une structure codifiée qui mentionne l’identité du défunt, la date du décès et les détails de la cérémonie. Même s’il n’est pas imposé par la loi, le faire-part répond à un besoin social fondamental : celui d’informer et de rassembler autour du deuil.

La rédaction d’un faire-part est une tâche délicate pour les proches endeuillés. Le texte se doit d’être à la fois sobre, respectueux et précis dans les informations communiquées. De ce fait, de nombreuses familles préfèrent confier cette mission à des professionnels du funéraire, comme les pompes funèbres. Ces spécialistes proposent des modèles personnalisables et se chargent de l’impression et de l’envoi.

Du papier au numérique : la métamorphose des supports

Les supports de diffusion des faire-part se multiplient. Si le format papier a longtemps été plébiscité, il voit progressivement sa suprématie remise en question par les alternatives numériques. Les annonces en ligne séduisent de plus en plus, grâce à leur rapidité de diffusion et leur capacité à toucher un large public. Les sites spécialisés et les réseaux sociaux permettent ainsi d’informer un grand nombre de personnes en quelques clics.

Cependant, le faire-part papier conserve de fidèles adeptes. Il offre un support tangible, souvent conservé précieusement en souvenir du défunt. Certaines familles optent pour une approche hybride. Cette stratégie permet de satisfaire les différentes générations et habitudes au sein de l’entourage. Le choix du support est aussi le reflet de la personnalité du disparu et des préférences de ses proches.

Vers une personnalisation accrue des faire-part

Loin de la sobriété austère d’autrefois, les faire-part de décès actuels laissent une large place à la personnalisation. Ils s’attachent davantage à refléter la vie et la personnalité du défunt. L’ajout de photos, de citations ou de symboles évocateurs devient monnaie courante. Cette tendance répond au désir croissant de célébrer l’existence du disparu plutôt que de se focaliser uniquement sur la perte.

Les progrès technologiques offrent de nouvelles possibilités créatives pour honorer la mémoire des défunts. Certains faire-part numériques incluent des liens vers des albums photos ou des vidéos hommages. Des QR codes figurant sur les versions papier peuvent renvoyer à des pages mémorielles en ligne

Ces innovations permettent de partager plus largement les souvenirs et l’histoire du disparu. Elles créent également des espaces virtuels de recueillement, particulièrement appréciés lorsque la distance empêche une présence physique aux obsèques.

Confidentialité et gestion des informations sensibles

La publication d’un faire-part soulève inévitablement des questions relatives à la protection de la vie privée. Certaines familles font le choix de limiter la diffusion de l’annonce pour préserver leur intimité en cette période de deuil. Les faire-part peuvent ainsi préciser le caractère privé de la cérémonie ou demander de s’abstenir de visites. Ces mentions permettent de gérer les attentes et de protéger l’espace de recueillement des proches.

Dans le cas des faire-part numériques, la gestion des informations personnelles requiert une vigilance particulière. Les plateformes spécialisées proposent des options de paramétrage pour contrôler l’accès aux détails sensibles. 

Avant de diffuser une annonce en ligne, il est recommandé de réfléchir attentivement à la portée souhaitée. Trouver le juste équilibre entre le besoin d’informer et le respect de la vie privée est un enjeu crucial dans le choix du support et du contenu du faire-part.

Source : contribution externe

René-Augustin Bougourd rend hommage à Alain Boulanger

En tant que Président de l’Association Aulnay Environnement, je tiens à m’associer aux hommages rendus à un homme investi dans la vie de la commune, un homme pour lequel le mot « citoyen » avait un sens.

Je n’oublierai pas mon premier contact avec lui, sur le marché du Vieux Pays, alors que j’étais encore peu au fait des arcanes de la vie politique aulnaysienne. Nous avons discuté de l’action du politique. Je prétendais que son rôle était de faire avancer la conscience des citoyens. Il s’appuyait sur son expérience pour dire que cela n’était pas si simple. De ce moment, je garde le souvenir d’un homme qui savait pratiquer l’art de la conversation et de la controverse, dans le respect du contradicteur, loin de l’atmosphère de guerre civile que l’on entretient aujourd’hui, où une seule vérité (souvent une contre-vérité) est audible, où aucune voix dissidente n’est tolérable.

Nous n’étions certes pas d’accord sur tout, mais avec nos associations, nous avons longtemps échangé et collaboré dans des combats communs, comme celui contre Europacity ou précédemment celui contre l’implantation d’un fast-food en bordure de zone pavillonnaire, et j’ai regretté sa disparition progressive de la scène Aulnaysienne. La démocratie ne peut fonctionner sans que de telles fortes personnalités viennent l’animer. C’est une perte, non seulement pour sa famille et ses amis, mais pour toute la communauté des citoyens d’Aulnay.

René-Augustin BOUGOURD, Président d’Aulnay Environnement

Mort d’Alain Boulanger, une figure locale d’Aulnay-sous-Bois pas comme les autres

Nous apprenons le décès d’Alain Boulanger, homme politique local, responsable associatif, ancien membre d’Aulnaycap et combattant de la première pour le maintien de la zone pavillonnaire à Aulnay.

Nous reviendrons prochainement dans un billet qui lui sera consacré. Toutes nos condoléances à ses proches.

Obsèques de l’ancien Maire d’Aulnay-sous-Bois Gérard Gaudron le 12 avril, hommage le 19 avril

Ce mardi 9 avril, la municipalité et les agents communaux ont observé une minute de silence en hommage à Gérard Gaudron, ancien Député-Maire de la Ville d’Aulnay-sous-Bois disparu ce week-end.

La Ville d’Aulnay-sous-Bois vous invite à témoigner vos hommages sur le registre installé dans le hall de L’Hôtel de Ville. Il est accessible de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30 de mardi après-midi à vendredi midi .

En accord avec la famille, les obsèques auront lieu ce vendredi 12 avril 2024 à 15h30 à l’église Saint-Sulpice (parvis Jean-Paul II – 93600 Aulnay-sous-Bois).

Un hommage public sera rendu au Nouveau Cimetière vendredi 19 avril à 17h30 (154 route de Mitry – 93600 Aulnay-sous-Bois).

Gérard Gaudron, le destin d’un homme politique à Aulnay-sous-Bois parsemé d’embûches et de trahisons

Gérard Gaudron, ancien Maire et Député d’Aulnay-sous-Bois, s’est éteint aujourd’hui à l’âge de 75 ans. Aulnaysien depuis 1980, il s’était rapidement rapproché de Jean-Claude Abrioux, homme politique bien connu dans la ville qui avait réussi à faire basculer Aulnay à droite en 1983, après un nouveau vote (la première élection municipale à Aulnay-sous-Bois avait été invalidée pour fraude, une urne avait été bourrée par certaines personnalités locales de Gauche). 

Adjoint puis premier adjoint, Gérard Gaudron avait également été conseiller général (jusqu’en 1998) et député (de 2007 à 2012). Celui qui avait été à la tête de la ville de Droite la plus importante du département de la Seine-Saint-Denis (de 2003 à 2008) n’a pas eu une carrière politique qui ressemble à un long fleuve tranquille. Zoom sur les éléments clé qui ont fait de l’ombre à un homme politique modeste et discret.

Une relation mouvementée avec Jean-Claude Abrioux

Gérard Gaudron était très connu dans les quartiers Nord de la ville, canton où il résidait et où il a été conseiller général 13 ans. Les habitants le voyaient souvent sillonner les quartiers dans sa petite voiture de l’époque, dans les années 80s et 90s. Bien moins à l’aise à l’oral que le Maire de l’époque Jean-Claude Abrioux, il était connu pour son travail de terrain, souvent dans la discrétion. Ce n’est qu’au milieux des années 90s qu’il trouva sur son chemin un certain Gérard Ségura, également implanté dans les quartiers Nord. Si on devait désigner quelqu’un qui a détruit la carrière politique de Gérard Gaudron, c’est bel et bien Gérard Ségura, qui l’a battu aux élections cantonales (1998 et 2004), mais surtout aux élections municipales de 2008 (pour 204 voix !).

Si ses relations avec Jean-Claude Abrioux étaient plutôt bonnes, elles se tendirent à partir de 2006, quand Gérard Gaudron, suivant les consignes de son parti, se présenta à la députation 2007. Jean-Claude Abrioux soutenait alors le Maire des Pavillons-sous-Bois, Philippe Dallier. De cette bataille électorale naquit un véritable schisme entre deux sous-groupes au sein de la Droite Aulnaysienne, le sous-groupe de Gérard Gaudron étant toutefois bien supérieur en nombre, Jean-Claude Abrioux ne pouvant compter souvent que sur d’anciens fidèles. Ce schisme eu un impact non-négligeable sur la suite des événements.

Un homme brisé par la défaite des élections municipales de 2008

Maire en 2003 suite au retrait de Jean-Claude Abrioux (qui resta conseiller municipal) via un vote au conseil municipal, Gérard Gaudron se présenta devant les électeurs en 2008 fragilisé par deux facteurs importants : l’impopularité croissante du président Nicolas Sarkozy, qu’il soutenait car étant du même parti, et surtout la triste affaire des Assedic, où le Canard Enchaîné, suite à des fuites en provenance d’un homme de Gauche, avait révélé qu’il percevait des indemnités chômages alors qu’il était député-maire (ce qui n’est pas compatible). Même s’il remboursa les sommes indûment perçues, son rival Gérard Segura profita de l’aubaine pour faire campagne en distillant informations, rumeurs et parfois mensonges, tel un lent poison.

Gérard Gaudron devait également faire face à une campagne calomnieuse insidieuse du fait qu’il avait mis dans sa liste Daniel Jacob, qui était connu pour son appartenance au Mouvement Pour la France de Charles Pasqua. Même si Daniel Jacob avait quitté ce parti, la Gauche Aulnaysienne, y compris le blogueur local Hervé Suaudeau (qui était de mèche alors avec Alain Amédro, homme politique écologiste et membre de la liste de Gérard Ségura), joua sur les ambiguïtés. De l’aveu même de Séverine Maroun et de Frank Cannarozzo, la présence de Daniel Jacob sur la liste aurait fait perdre…des centaines de voix ! Bien entendu, il était impossible de vérifier la justesse de cette estimation, Daniel Jacob s’étant beaucoup investi dans la campagne.

La suite, on la connait : il perd les élections municipales 2008 de peu, et malgré un recours (retoqué ensuite par le conseil d’Etat, sur recommandation du rapporteur public, ancien proche… de Lionel Jospin !). Cette défaite le brisa et jamais il ne s’en remettra.

Un homme affaibli et attaqué directement ou sournoisement par des membres de sa propre famille politique

Suite à cette défaite, le parcours politique de Gérard Gaudron s’apparente à une véritable descente aux enfers : il se fit malmener, parfois humilier en conseil municipal par le Maire Gérard Ségura, et la confirmation de l’élection de 2008 donna de l’appétit à quelques barons locaux, qui voulaient le déloger pour tenter de battre Gérard Ségura en 2014.

Tout d’abord, il y eu Jacques Chaussat qui, de manière assez habile, préféra laisser son parti UDF pour basculer au Parti Radical (rattaché à l’UMP) pour pouvoir se présenter en 2008 dans le canton sud de la ville. Gérard Gaudron, alors au sommet (il était député-Maire) aurait bien pu investir un candidat UMP pour battre Jacques Chaussat dont le mouvement était plus opportuniste qu’autre chose. Mais Gérard Gaudron, qui n’aimait pas les conflits, laissa l’investiture à Jacques Chaussat. Mal lui en a pris, puisque ce choix s’est retourné contre lui.

Jacques Chaussat, profitant d’un Gérard Gaudron affaibli, tissa son réseau en s’appuyant sur Billel Ouadah, franc-tireur et fin politique qui n’hésita pas « lancer des scuds » en direction de Gérard Gaudron – sous la bénédiction de Jacques Chaussat – pour préparer le terrain. Jacques Chaussat a également utilisé Daniel Jacob, commerçant bien connu à Aulnay-sous-Bois, pour savonner la planche de Gérard Gaudron, et pour débaucher des militants et sympathisants UMP pour les rallier à la cause de Jacques Chaussat. Bien entendu, Daniel Jacob ne faisait que suivre à la lettre les directives qu’on lui donnait.

Mais Gérard Gaudron devait aussi faire face à des ennemis internes bien plus sournois. C’est ainsi que Frank Cannarozzo, qui avait rejoint Jean-Claude Abrioux par opportunisme alors qu’il appartenait à une liste dissidente (Gisèle Dellinger), se voyait investi d’une mission divine et tenta de fédérer autour de lui une équipe pour « tuer le père ». Sans jamais s’exposer (même si Gérard Gaudron avait des soupçons), Frank Cannarozzo ne cessa de balancer des peaux de banane à celui qu’il croyait incapable de battre Gérard Ségura. Il n’hésitait pas à le railler en cercle clos, et attendait son heure pour véritablement sortir du bois.

Gérard Gaudron devait également se méfier d’autres membres de son cercle proche, mais ceux-ci étaient bien moins dangereux politiquement que les deux mentionnés ci-dessus.

Malgré les défaites et les trahisons, Gérard Gaudron pouvait toujours compter sur quelques soutiens indéfectibles

Si la gentillesse et surtout la faiblesse de Gérard Gaudron ouvraient la porte à des attaques de l’intérieur, il pouvait compter sur quelques soutiens non négligeables. Alain Ramadier par exemple, celui qu’il poussa pour qu’il devienne conseiller régional, lui vouait une loyauté indéfectible. Même pendant sa descente aux enfers, jamais Alain Ramadier n’a osé tenter de trahir Gérard Gaudron. Il était le seul responsable politique à le défendre face à la grogne interne. Une véritable amitié s’était forgée entre les deux hommes.

Gérard Gaudron pouvait également compter sur le soutien du Maire du Raincy (Eric Raoult), qui ne le lâcha jamais… sauf quand il n’avait plus guère le choix (il dû s’incliner face au Maire de Meaux Jean-François Copé, qui ne voyait pas Gérard Gaudron battre Gérard Ségura, car déjà trop affaibli face à la maladie et aux trahisons internes).

Un homme politique…trop gentil ?

Mais ce qui pouvait caractériser Gérard Gaudron, c’était peut-être sa gentillesse, gentillesse qui devenait une faiblesse. Il n’hésita pas à proposer d’aider le blogueur Alain Rabier, pris dans la tourmente judiciaire avec Gérard Ségura suite à quelques articles malencontreux. Pourtant Alain Rabier avait pris ouvertement position contre lui. Séverine Maroun et Frank Cannarozzo n’étaient pas du même avis et souhaitaient laisser Alain Rabier dans la panade.

Malgré les trahisons de Jacques Chaussat, jamais Gérard Gaudron n’a souhaité répliquer politiquement face à celui qui profitait d’une situation qui lui semblait favorable. Il n’hésita pas non plus à aider Séverine Maroun suite à la défaite de 2008 en la prenant comme attachée parlementaire, quand celle-ci était en difficulté financière suite à sa démission de son poste à la Mairie d’Aulnay-sous-Bois en espérant devenir adjointe.

On n’imagine pas l’actuel Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza faire preuve d’une telle mansuétude…

Un hommage unanime pour un homme qui incarne le dernier Maire type de sa génération

Il laisse derrière lui enfants et petits-enfants. De sa timidité et de son apparente non-envie d’aller au contact des gens, il a laissé plus d’un dans l’incompréhension. Pourtant, Gérard Gaudron était loin d’être hautain et carriériste et incarna cette génération de Maire au contact des habitants et des employés de la ville. Gérard Ségura instilla une autre génération, axée sur la communication, l’aspect théâtral des conseils municipaux et la politique spectacle, génération aujourd’hui parfaitement incarnée par Bruno Beschizza, puissance 10 !

Plus que son œuvre politique, c’est son humanisme, sa gentillesse, son caractère réservé qui resteront à jamais son image de marque. Et rien que pour cela, c’est bel et bien un hommage unanime que la ville lui doit, de l’extrême-gauche à l’extrême-droite. Et bien entendu, toute la rédaction d’Aulnaycap lui rend hommage et adresse ses plus sincères condoléances aux membres de sa famille. Jamais Gérard Gaudron ne quittera le cœur des personnes qui l’on côtoyé… 

Décès de l’adjoint au Maire de Villepinte Jean-Paul Valleton, le Maire d’Aulnay-sous-Bois lui rend hommage

Le 13e adjoint au Maire de Villepinte, Jean-Paul Valleton, est mort. Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, lui rend hommage dans la lettre ci-dessous :

Mort du Caporal-chef Dorian Damelincourt qui essayait d’éteindre un feu de voiture à Saint-Denis pendant les émeutes

Cette nuit, en luttant contre un feu de plusieurs véhicules dans un parking souterrain à Saint-Denis (93), un jeune Caporal-Chef de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris de 24 ans est décédé malgré la prise en charge très rapide par ses équipiers.
Le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin adresse ses condoléances sincères et attristées à la famille, aux proches, aux camarades et à la BSPP.