Archives du blog
Hadama Traoré indigné par l’état d’un appartement d’une mère isolée à Aubervilliers
Comment laisser vivre des habitants dans de telles conditions ? Le leader révolutionnaire Hadama Traoré n’en revient pas.
C’est l’histoire d’une maman seule vivant avec son fils. Depuis 2023, après la mort de son mari, elle ne peut plus assumer la réhabilitation de son logement par ses propres moyens. Voici le résultat : le mur est carrément tombé et c’est comme cela depuis 2023 !
Les responsables du bailleur Immobilière 3F sont passés mais rien n’a été entrepris.
À partir de la semaine prochaine, M. Traoré va mener la lutte contre le IMMOBILIÈRE 3F à Bondy, Aulnay-sous-Bois et Aubervilliers.
La défense des locataires et copropriétaires en difficulté, une des priorité de la campagne municipale à Aulnay-sous-Bois
Pour Cheickh Nguette du mouvement « La Révolution Est En Marche (LREEM) », les bailleurs doivent être responsables. Trop d’écarts, trop de réponses tardives, trop de silence face aux demandes des locataires. Cela ne peut plus durer. »
Récémment, La Démocratie Représentative (une des constellations LREEM) était aujourd’hui au Merisier, dans les quartiers nord d’Aulnay-sous-Bois, pour rappeler que le logement est une priorité absolue. Un logement digne, entretenu, accessible : c’est un droit, pas une faveur, selon Cheikh Nguette.
La municipalité était présente aux côtés de LREEM en la personne d’Aïssa Sago. Le thème du logement sera crucial dans les débats pour les municipales 2026 à Aulnay-sous-Bois. Même si l’issu du scrutin ne laisse quasiment aucun doute, toutes les listes devraient mettre en avant les difficultés grandissantes des personnes à se loger notamment dans les quartiers Nord de la ville.
Amak se bat contre le cabinet Philippe Blériot à Saint-Denis avec l’appui du révolutionnaire Hadama Traoré
Amak Napporn se bat depuis 2016 contre ce cabinet dite sarl Philippe Blériot.. Pour les copropriétaires qui n’arrivent plus à payer les charges, le syndic et le conseil syndical peuvent décider de vendre le bien aux enchères à un prix dérisoire.
Son appartement a été vendu aux enchères au tribunal de Bobigny pour 44 000 euros, mais aucune trace de cette somme n’a été retrouvée depuis mars 2022. En outre, Amak affirme avoir envoyé des chèques au cabinet Philippe Blériot, sans pour autant savoir où se trouve l’argent encaissé, selon M. Amak Wanteed.
Quant au commissaire-priseur qui a vendu son appartement à un prix dérisoire, il n’a été informé de la vente que trois jours avant, sans avoir le temps de se retourner. Après enquête, Amak découvre que son bien a été vendu, informé de la vente de son appartement par un visiteur qui visité son appartement.
Amak a écrit à Stéphane Peu, Éric Coquerel, à l’ancien maire Monsieur Didier Paillard, au procureur de la République de Bobigny, Monsieur Éric Mathais, ainsi qu’à bien d’autres. Malheureusement, malgré cette longue liste de démarches, rien n’a changé. Les politiciens ne bougeant que lorsqu’il y a des élections.
C’est un véritable drame qui se déroule pour ce jeune homme dont l’investissement immobilier ne fut pas heureux. Les enchères sont aussi l’occasion pour certains de s’accaparer de biens à vils prix, puis de faire une plus-value très intéressante. Amak Wanteed fait partie de ces naufragés du mirage de l’investissement immobiliers où seuls les plus forts et les plus rusés parviennent à s’enrichir…
Nous reviendrons prochainement sur cette histoire.
Démantèlement d’un réseau de marchands de sommeil à Bondy
L’opération a mobilisé 70 agents appartenant à plusieurs services de l’Etat. Lundi 3 février, 43 logements de Bondy, dont certains situés dans les rues Compagnon et Henri Alpy, et dans l’allée de la Jardinière, ont été perquisitionnés ou visités dans le cadre du démantèlement d’un des réseaux de marchands de sommeil présumé parmi les plus importants de Seine-Saint-Denis, explique un communiqué du tribunal judiciaire de Bobigny et de la préfecture du Département.
Avec le soutien et l’accord de la commune de Bondy, l’action coordonnée et programmée pour durer toute la semaine, a impliqué le Groupe interministériel de recherche (GIR), l’Unité de lutte contre l’immigration irrégulière (ULII), la Direction territoriale de la sécurité de proximité (DTSP 93) et l’Agence régionale de santé (ARS).
Source et article complet : MesInfos
Neuf mois de prison ferme requis contre Hadama Traoré pour avoir intimidé une huissière à Aulnay-sous-Bois
Au XXIe siècle, on peut comparaître devant un tribunal de grande instance pour, soi-disant, avoir été énervé… Car c’est ça qui m’a été reproché ! » Face caméra à la sortie du palais de justice de Bobigny (Seine-Saint-Denis), Hadama Traoré n’a pas tardé à dégainer une vidéo en direct pour les milliers de personnes qui le suivent sur les réseaux sociaux. Neuf mois de prison ferme et six mois de sursis venaient d’être requis à son encontre. Le délibéré sera rendu le 24 octobre.
Le militant comparaissait ce jeudi devant le tribunal correctionnel pour avoir intimidé une huissière de justice, qui était intervenue en mars dernier dans le local de son association à Aulnay-sous-Bois. Une personnalité parfois « impulsive », « agressive » et « qui monte vite en tension » selon les mots de la présidente du tribunal : une bonne partie des débats a, en réalité, tourné autour de l’attitude du prévenu, très engagé dans la défense des copropriétaires en difficultés.
Source et article complet : Le Parisien
Hassan originaire d’Aulnay-sous-Bois squatte une maison dans l’Oise et agresse les policiers
Le 22 juin dernier à Boran-sur-Oise (Oise), un habitant a eu la désagréable surprise de découvrir un inconnu installé chez lui à son retour de vacances. L’homme, Hassan E., 28 ans, originaire d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), se trouvait confortablement assis sur le canapé, vêtu des habits du propriétaire, et regardait la télévision, raconte Le Parisien.
Le squatteur a immédiatement pris la fuite en direction de la gare. Le propriétaire, accompagné d’un voisin, l’a suivi jusqu’au quai, en attendant l’arrivée des gendarmes. Ces derniers ont interpellé Hassan E. et trouvé sur lui des objets volés dans la maison, dont des clés de voiture et un chargeur de téléphone. Conduit à la brigade de gendarmerie de Saint-Leu d’Esserent, Hassan E. est devenu agressif. Il a refusé de répondre aux questions et a donné un coup de tête à un gendarme tout en l’insultant. Placé en détention provisoire, il devait subir une expertise psychiatrique, mais au moment de s’y rendre, il a frappé et tenté d’étrangler un surveillant pénitentiaire.
Source et article complet : Actu17
La police municipale à Aulnay-sous-Bois agit contre les squats !
À Aulnay-sous-Bois pas de place pour le squat ! Depuis 2014, la Ville lutte contre l’insécurité, les incivilités et l’insalubrité générées par les squats.
Plus de 455 occupations illégales évitées en 10ans ! Ces résultats sont la conséquence d’une collaboration efficace entre la Police Municipale et les autorités compétentes.
La police municipale est plus que jamais mobilisée pour prévenir tout autre risque de tentative de squat sur le territoire communal, mais, pour cela, il faut également que les autres acteurs de la sécurité publique, et, en premier lieu l’État, jouent pleinement leur rôle.
Au moindre risque de squat, contactez immédiatement votre police municipale au 0 800 39 93 93.
Après deux mois sans chauffage au Parc de la Noue à Villepinte, les esprits s’échauffent
« Depuis deux mois, plusieurs bâtiments n’ont pas eu une minute de chauffage », entame Reyad. La quinzaine de résidents qui l’entourent ce mercredi-là opine du chef. Les esprits s’échauffent au Parc de la Noue, copropriété de 15 bâtiments et de 757 logements située à Villepinte (Seine-Saint-Denis).
Le retard dans la mise en route de la chaufferie, prévue mi-octobre, puis l’inondation de cette dernière un mois plus tard condamnent au froid une partie des quelque 3 000 habitants de cet ensemble immobilier bâti au début des années 1960.





