Archives de Catégorie: Education
Palmarès des lycées du Parisien, Voillaume meilleur que Jean Zay et l’Espérance à Aulnay-sous-Bois !
La méthodologie exclusive du Parisien/Aujourd’hui en France se base sur la progression des élèves de la seconde au bac et non la performance pure des élèves en Terminale. Notre classement met donc en valeur plutôt des lycées méconnus mais qui, avec un accompagnement fort des professeurs, font progresser leurs effectifs par rapport à une moyenne nationale (en partant des résultats du brevet, de la structure de la population du lycée, critères socio démo) : des lycées qui permettent un ascenseur social.
Dans le classement en Seine-Saint-Denis, l’établissement Voillaume arrive en 10e position alors que le lycée Jean Zay n’arrive qu’en 29e position. Le lycée l’Espérance arrive en 25e position.
Source : Le Parisien
Une classe pour lycéens étrangers doit fermer à Pantin
Avec l’arrivée de réfugiés ukrainiens se pose de manière accrue la question de l’accueil des enfants qui ne parlent pas français. Le Rectorat de Créteil va fermer une classe pour lycéens étrangers à Pantin. Enseignants, élus et associations de la ville de Pantin s’indignent.
Ils viennent d’Egypte, du Mali, du Bangladesh, de Moldavie. Certains sont arrivés comme mineur isolé, d’autres ont fui la guerre ou la famine avec leurs parents. Ces adolescents parlent peu ou pas du tout le français mais s’améliorent chaque jour dans leur classe dédiée, des Unités pédagogiques pour élèves allophones arrivants – surnommées UP2A.
Au lycée professionnel Simone Weil de Pantin, deux classes accueillent ainsi depuis 20 ans des élèves étrangers. Une quarantaine en général, divisés par groupes de niveau, qui suivent des cours de français, mais aussi de maths, physique ou histoire-géo en version simplifiée.
Source et article complet : France3
700 élèves ont fait leur rentrée dans au nouveau collège Jean Lolive à Pantin
Ils ont déménagé de quelques centaines de mètres. Depuis la rentrée des vacances de février, 700 élèves ont pris possession du nouveau collège Jean Lolive à Pantin (Seine-Saint-Denis). Lundi 14 mars 2022 l’établissement était officiellement inauguré en présence du président du Département, Stéphane Troussel.
Source et article complet : Actu.fr
Les élus de Seine-Saint-Denis critiquent l’inefficacité du plan pour un Etat plus fort
Lenteur, manque d’ambition, effets d’annonces… Les élus locaux ne sont pas tendres avec l’application du plan « Etat plus fort en Seine-Saint-Denis », annoncé en grande pompe par le Premier ministre Edouard Philippe, en octobre 2019. Près de deux ans et demi plus tard, les députés se sont penchés sur sa mise en oeuvre, le 31 janvier à l’Assemblée, puis le Conseil départemental et la préfecture ont fait de même mardi dernier lors d’un point d’étape.
Ce plan vise à remédier aux défaillances des services de l’Etat dans le département, via 23 mesures. Il s’appuie principalement sur un rapport des députés François Cornut-Gentille (LR) et Rodrigue Kokouendo (LREM), accablant sur plusieurs lacunes de l’Etat en Seine-Saint-Denis.
Source et article complet : Les Echos
Amina Khelil veut que les jeunes à Aulnay-sous-Bois aime les maths
« Quels sont tes modèles ? Quelles sont les grandes figures qui t’ont donné envie de faire des sciences ? » Safa, 15 ans, qui rêve d’être médecin, réfléchit un instant et répond : « Marie Curie et… Amina Khelil ! » Autour d’elle, ses copines de cours, Lylia, Fatima, Maryem et Maya, approuvent. Debout, près du tableau, Amina Khelil rougit de plaisir. Nous sommes dans le centre de soutien scolaire que cette jeune femme de 30 ans a créé à Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis : D-PhiAlpha (dphialpha.fr). Un lieu d’un genre particulier – elle préfère parler de « centre de réussite scientifique » –, axé essentiellement sur l’enseignement des maths. Particularités : aujourd’hui, tous les profs sont des femmes (« Cela donne un modèle positif »), sont accessibles (15 euros l’heure) et, sur la centaine d’élèves, on trouve autant de filles que de garçons.
Source et article complet : Elle
En Seine-Saint-Denis, les parents d’élèves sont déjà mobilisés en vue de la rentrée 2022
Après avoir organisé des rassemblements à Pantin et Saint-Denis lors des deux premiers week-ends de février, la fédération de parents d’élèves FCPE 93 appelle les familles à se mobiliser cette semaine, avant les vacances scolaires qui débutent samedi, pour réclamer des moyens éducatifs supplémentaires pour l’année scolaire 2022-2023.
Si lors d’une conférence de presse fin janvier, le recteur de l’académie de Créteil Daniel Auverlot avait affirmé que la dotation horaire globale (DHG) ― l’enveloppe d’heures de cours attribuées par le rectorat à un établissement du second degré ― serait en hausse au niveau académique l’an prochain malgré la baisse du nombre d’élèves, sur le terrain, les parents des collégiens et lycéens voient se profiler la rentrée de septembre avec inquiétude.
Source et article complet : Le Parisien
Les enseignants du Lycée Jean Zay d’Aulnay-Sous-Bois protestent contre les classes surchargées
Il y a deux semaines, la direction nous menaçait d’une DHG en chute libre (elle-même déjà en baisse depuis au moins 3 ans) : une chute de 134 heures par rapport à la rentrée 2021-2022, qui entraînait la suppression de 3 postes fixes, 3 classes et tous les BMP (postes d’enseignants à l’année). Nous aurions été le 7e établissement le plus touché de l’académie !
Mais depuis – coup de théâtre ! – le rectorat ne veut pas que l’expression « suppressions de postes » soit prononcée… en cette année 2022 !
Il menace désormais de 54 heures postes en moins, 49 Heures Supplémentaires Annualisées soit 110 heures en moins en comptant les marges, 2 divisions (1 en première, 1 en terminale), malgré 30 élèves en plus !!!!
Les prévisions annoncent donc une augmentation de 30 élèves avec une baisse de la dotation (110h !!!), autant dire que le nombre d’élèves par classe va exploser et devenir ingérable pour garantir un accueil et un enseignement de qualité. Le rectorat attend peut-être que nous lui disions merci pour avoir sauvegardé finalement les postes fixes… mais les heures de BMP et tous les postes stagiaires sont sacrifiés !
Nous refusons la menace de classes surchargées. Nous refusons l’augmentation du nombre d’élèves par classe, qui équivaut, qu’on le veuille ou non, à une « suppression des postes » !
Nous refusons de négocier notre situation particulière auprès d’un rectorat qui voudrait nous isoler les uns des autres pour mieux nous imposer à tous ses coupes sombres.
Nous exigeons une augmentation du nombre d’heures, pour rétablir les dédoublements nécessaires à nos enseignements et/ou le maintien du nombre de classes, à effectifs constants.
Une réunion intersyndicale du 93 se tient aujourd’hui à 16h pour décider d’une journée d’action pour la semaine prochaine, nous avons voté de nous y rallier quel que soit le jour, par la grève !
Nous proposons de prendre contact avec les établissements du secteur, du district, du département 93 et au-delà pour rejoindre la lutte de ceux qui se battent déjà (dans le 92, dans le 94 et ailleurs), contre les baisses de dotations et pour l’augmentation des moyens, comme nous l’avons fait lors de toutes les mobilisations de ces dernières semaines.
Source : Les enseignantEs du Lycée Jean Zay, soutenu.es par leurs organisations syndicales : CGT Éduc’Action, SUD Éducation, SNES-FSU
Vers un retour des maths en première et en terminale ?
Les nombres dérivés, la formule d’Al-Kashi ou les produits scalaires… Les maths vont-elles revenir au programme obligatoire des élèves de Première et Terminale au lycée ? Jean-Michel Blanquer s’est exprimé en ce sens, dimanche 6 février 2022 sur CNews , affirmant qu’il faudrait « probablement » ajouter des mathématiques au tronc commun de ces élèves, pour développer leur « culture mathématique ».
Source et article complet : Ouest France
Plus de 110 millions d’euros pour rénover neuf collèges de Seine-Saint-Denis, mais pas à Aulnay-sous-Bois

Aulnay, mercredi 5 juin. Le président PS du département Stéphane Troussel inaugure la rénovation énergétique du collège P.Néruda.
Neuf premiers collèges rénovés et 525 places créées. À l’occasion du vernissage, vendredi dernier, de l’exposition « Les collèges en Seine-Saint-Denis, un patrimoine en commun », aux Archives départementales de Bobigny, le président du conseil départemental, Stéphane Troussel (PS), a annoncé la mise en œuvre du « plan éco-collège ». Voté en novembre 2020, ce plan pluriannuel (2021-2030) d’un milliard d’euros prévoit la construction de huit nouveaux collèges, la rénovation de 43 établissements et la création de 7 000 places.
« La priorité à engager est celle des rénovations-extensions parce qu’on a des besoins démographiques importants », a déclaré Stéphane Troussel. Les places ainsi créées le seront grâce à la reconstruction du collège Pierre-Brossolette, à Bondy, et aux rénovations-extensions de trois collèges : Antoine-de-Saint-Exupéry à Noisy-le-Grand, Jean-Jaurès à Montfermeil et Albert-Camus à Rosny-sous-Bois.
Cinq collèges bénéficieront de rénovations thermiques : Jean-Zay à Bondy, Pablo-Neruda à Pierrefitte-sur-Seine, Langevin-Wallon à Rosny-sous-Bois, René-Descartes au Blanc-Mesnil et Eugène-Carrière à Gournay-sur-Marne. Ils ont été sélectionnés, en priorité, en raison de leur consommation énergétique élevée et de leur vétusté.
Source et article complet : Le Parisien
Les épreuves de spécialité du baccalauréat sont reportées à la mi-mai à cause du Covid-19
Depuis plus d’une semaine, élèves, parents et enseignants attendaient des réponses. C’est désormais chose faite. Les épreuves de spécialité du baccalauréat sont reportées au 11, 12 et 13 mai, a indiqué le ministère de l’Education nationale à l’issue d’une réunion, ce vendredi 28 janvier 2022, avec les partenaires sociaux et les associations de parents d’élèves.
Dans un communiqué, il justifie sa décision :
« La situation actuelle a des conséquences, non seulement sur l’organisation même des examens, mais aussi et surtout sur les conditions de préparation des candidats. De fait, compte tenu des nombreuses et successives absences pour maladie, les élèves se trouvent dans des situations très différentes en termes de préparation. Maintenir les épreuves inchangées au mois de mars aurait donc conduit à des ruptures d’égalité entre candidats selon les territoires ou les situations personnelles. »
Source et article complet : Actu.fr
