Archives de Catégorie: Environnement

La ville d’Aulnay-sous-Bois rénove son éclairage pour diminuer l’impact sur l’environnement

La Ville engage un grand plan de rénovation de ses installations lumineuses : éclairage public et sportif, feux tricolores et illuminations festives.

Aujourd’hui, près de 7 000 points lumineux restent à convertir en LED et les réseaux, devenus vieillissants, nécessitent une intervention urgente pour garantir la sécurité des usagers et la qualité du service public.

Ce programme ambitieux répond à trois priorités essentielles :

  • Réduire fortement les coûts de fonctionnement
  • Agir concrètement pour la transition écologique
  • Rénover un patrimoine technique devenu critique

Drancy obtient le label 4 fleurs par Villes et Villages Fleuris

Drancy rejoint le club très select des communes labélisées 4 Fleurs par Villes et Villages Fleuris.

En Seine-Saint-Denis, seules Aulnay-sous-Bois, Gagny et Livry-Gargan partagent cette distinction prestigieuse.

Ce prix vient saluer l’implication des agents municipaux pour offrir aux Drancéens un cadre de vie plus agréable, fleuri et durable malgré les incivilités qui dégradent trop souvent les efforts collectifs.

Et si les habitants d’Aulnay-sous-Bois, de Sevran et Villepinte produisaient moins de déchets ?

Vous ne voulez plus voir la quantité de vos déchets ménagers s’accumuler ?

Lancez-vous dans le défi Familles Zéro Déchet ! C’est un accompagnement gratuit de Paris Terres d’Envol pendant 6 mois pour vous aider à produire moins de déchets et à faire des économies grâce à une consommation responsable.

Objectifs du défi :

  • Agir concrètement pour l’environnement
  • Faire des économies
  • Préserver sa santé
  • Prêt à relever le défi ? Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 30 septembre, il suffit de remplir le formulaire en ligne !

Plus d’information : cliquez ici.

Y-a-t-il un pilote dans l’avion à Aulnay-sous-Bois ? Encore un méfait des élagueurs fous

Les riverains de l’avenue Paul Langevin et de la rue du Gros peuplier ont dû se plaindre : on avait à peine la place de passer et on devait se baisser pour marcher sous les arbres, à cause  « des drageons et des jeunes rameaux présents au plus près des troncs des arbres » (lettre de M. SANOGO, Adjoint au Maire Environnement- Espaces verts – Voirie). Il a donc annoncé « une taille d’entretien » ! Voici le résultat :

Plus aucune ombre pour les piétons. Comment les arbres vont-ils survivre à une taille « à blanc » en pleine canicule ?

Normalement, on peut penser qu’une personne chargée des espaces verts n’ignore pas que la météo, ça compte pour la végétation, (surtout à la veille de l’été et en phase de réchauffement climatique), et qu’elle consulte les prévisions avant de déclencher des travaux en début de canicule. Pas à Aulnay.

Entre un élagage des drageons et des branches basses et une taille sévère, on sait faire la différence. Pas à Aulnay.

Plus gênant : la lettre de M. Sanogo parle de « rideaux de platanes». Ou les élagueurs se sont trompé de rues, ou M. Sanogo ne sait pas faire la différence entre tilleuls et platanes. Complétons donc la formation initiale de notre « responsable des espaces verts » :

L’avantage des platanes, outre la différence absolue des écorces et des feuilles, c’est qu’ils ne « drageonnent » pas. M. Sanogo ne semble pas le savoir, ni se souvenir qu’avec les tilleuls, c’est chaque année le même problème.

On est tenté par 3 réponses :

Réponse a : la colère

Réponse b : l’incompétence de nos élus est suffisamment établie pour que ça ne vaille plus la peine de réagir

Réponse c : expliquez-nous ce qui a pu conduire à une telle aberration et discutons d’une « Charte de l’arbre »

En bons démocrates, on serait tentés par la réponse c. Mais quel sera le retour de la municipalité ?

Réponse a : silence méprisant

Réponse b : les gens ont demandé un élagage, ils n’ont plus qu’à la boucler !

Réponse c (qui suppose un certain sens de l’humour) : ok, on a fait une erreur, discutons-en !

Quelle sera la réponse ? On parie ?

Source : Aulnay Environnement

Abattage de platanes malades à Aulnay-sous-Bois, une nécessité pour la sécurité

Depuis 2017, un champignon dangereux, le phellin tacheté, s’attaque aux platanes de la ville d’Aulnay-sous-Bois. Il fragilise leur bois en profondeur, au point de provoquer la chute de grosses branches, voire de l’arbre entier.

En 2024, un diagnostic sanitaire indépendant a révélé que 24 arbres sur 44 examinés sont gravement atteints et représentent un danger pour les piétons, les automobilistes et les enfants. Les platanes touchés par le phellin tacheté représentent un danger car ce champignon attaque l’intérieur du bois des arbres, sans forcément montrer de signes visibles à l’extérieur.
Concrètement :

  • Il fragilise la structure de l’arbre en profondeur,
  • Les branches principales peuvent se casser soudainement,
  • Dans les cas les plus graves, l’arbre entier peut tomber,
  • Cela met en danger les piétons, les automobilistes, les enfants à proximité, ainsi que les bâtiments ou véhicules autour.

C’est pourquoi les arbres les plus atteints doivent être abattus rapidement, avant qu’un accident ne se produise.

Ces platanes vont être abattus dans les prochaines semaines :

  • 11 sur le boulevard Lefèvre
  • 3 sur l’avenue Jean Jaurès
  • 3 sur l’avenue Pierre Jouhet
  • 5 sur la route de Bondy
  • 1 dans la cour de l’école Nonneville
  • 1 au Multi accueil du Gros Saule

Les riverains concernés seront informés individuellement des dates d’intervention.

Les arbres seront replantés à l’automne/hiver 2026 avec des essences variées et plus résistantes, pour un environnement plus durable et diversifié.

Le scandale écologique des terres Montceleux à Sevran : Jessy Miller dénonce le double jeu du maire Stéphane Blanchet

Présenté comme un “quartier écologique d’avenir”, le projet “Terre d’eaux” est le nouveau programme d’aménagement urbain porté par la municipalité de Sevran.

Implanté sur les terres naturelles Montceleux, ce projet prévoit la construction de plusieurs centaines de logements, une crèche, une école, des voiries, des espaces dits “végétalisés”, ainsi que divers équipements publics.

Affiché comme un symbole de mixité, de modernité et de transition écologique, il s’étendra sur plus de 18 hectares d’un espace encore largement préservé et vivant.

Mais pour Jessy Miller, candidat aux élections municipales de 2026, ce projet est tout sauf écologique.

Il y voit une opération de densification brutale, masquée derrière une communication séduisante, qui sacrifie le vivant et accentue les dérèglements climatiques, en contradiction flagrante avec les discours portés par le maire sortant.

Il dénonce aussi une orientation de fond : Stéphane Blanchet livre la ville aux promoteurs immobiliers, et en particulier aux bailleurs sociaux, sans vision d’ensemble, au détriment des équilibres urbains et de l’environnement.

Une écologie de Vitrine :  Derrière le rose bonbon, le béton

Sur le site même des terres naturelles Montceleux, un grand panneau flambant neuf a été installé. Couleurs pastel, visuels souriants, slogans rassurants : tout y est pour séduire le regard.

On y évoque la “nature en ville”, la “sobriété énergétique”, la “qualité de vie”… mais ce vernis rose bonbon masque une tout autre réalité.

Derrière l’emballage, ce sont 18 hectares de sol fertile qui vont être artificialisés. Des arbres seront abattus, des prairies rasées, la biodiversité chassée. Des immeubles sortiront de terre là où se trouvait encore un espace vivant. Le béton remplacera les haies, les routes remplaceront les fourrés.

« Ce n’est pas une erreur. C’est une stratégie. On repeint la destruction en vert, on parfume le béton avec des mots doux. C’est de la communication, pas une vision…ce n’est que du marketing politique et rien d’écologique  » — Jessy Miller

Le Maire connait les risques : Il a fait le choix de bétonner

Lors d’une réunion publique en date du 31 janvier 2024, le maire Stéphane Blanchet a lui-même reconnu que les terres naturelles MONTCELEUX constituent “le point le plus chaud de Sevran”, selon les relevés de température.

Une telle information aurait dû inciter à la préservation, à la création d’un îlot de fraîcheur, d’un refuge naturel.

Mais au lieu de cela, c’est précisément là qu’il a choisi de densifier, de construire, de bétonner.

Pour Jessy Miller, ce n’est pas un aveuglement, mais un choix politique assumé, en contradiction totale avec les discours sur la transition écologique. Stéphane Blanchet soutient la densification urbaine au détriment de la qualité de vie et de l’écologie.   

MONTCELEUX, sacrifié pour des projets incohérents

Avant “Terre d’eaux”, les terres naturelles Montceleux avaient déjà fait l’objet de plusieurs projets absurdes : un cinéma multiplex, un stade de rugby de 90000 places refusé par la Fédération, et une vague de surf artificielle prévoyant de pomper dans la nappe phréatique locale.

Ce dernier projet n’a été stoppé que grâce à la mobilisation citoyenne, jamais par volonté municipale.

« La mairie ne recule jamais d’elle-même. C’est toujours la population qui se lève pour défendre son territoire. À chaque fois, un nouvel emballage. À chaque fois, la même logique : bétonner. » — Jessy Miller

Contre EuropaCity à Gonesse, pour la bétonisation à Sevran ?

Jessy Miller rappelle que Stéphane Blanchet et Clémentine Autain s’étaient publiquement opposés au projet EuropaCity, centre commercial géant prévu sur les terres agricoles du Triangle de Gonesse.

Ils dénonçaient alors l’artificialisation des sols, la menace sur la biodiversité, l’absurdité climatique d’un tel projet.

« Stéphane BLANCHET trouvait scandaleux qu’on sacrifie des terres agricoles à Gonesse, mais aujourd’hui il sacrifie les terres naturelles de Sevran avec le sourire. Quelle est la différence, sinon l’adresse du chantier ? » — Jessy Miller

Leçons aux multinationales, béton pour les sevranais. L’exigence climatique « Laisse béton à Sevran ! ».

En 2018, la ville de Sevran annonçait fièrement sa participation à une action judiciaire collective contre Total Energies pour inaction climatique.

Le Maire Stéphane Blanchet signait, avec 12 autres collectivités et plusieurs ONG, un courrier à destination du PDG de Total pour l’inviter à modifier son plan de vigilance et limiter ses émissions de gaz à effet de serre.

« Face au réchauffement climatique, Sevran et 12 autres collectivités interpellent Total, l’un des plus gros pollueurs en France, pour l’inciter à intégrer dans son plan de vigilance l’objectif de limiter à 1,5 °C ses émissions de gaz à effet de serre. » (extrait site officiel de la mairie)

Mais aujourd’hui, ce même maire porte un projet à Sevran qui artificialise, détruit un îlot de biodiversité, et aggrave les effets du réchauffement urbain.

« Interpeller les grands pollueurs, c’est bien. Mais encore faut-il ne pas leur ressembler localement. » — Jessy Miller

Un contre-projet : Une forêt urbaine avec 1000 arbres, pas 1000 tonnes de béton

Face à ce qu’il considère comme une erreur morale et politique, Jessy Miller propose une alternative claire : planter 1000 arbres sur les terres naturelles Montceleux.

Un geste simple et puissant pour rafraîchir le climat local, protéger le vivant, renforcer le lien social et préserver l’avenir.

« Quand on coupe un arbre, on coupe une respiration. Quand on rase un espace vivant, on rase aussi une part de notre avenir. » — Jessy Miller

Municipales 2026 : le choix entre storytelling et vérité

À l’approche des élections, le projet “Terre d’eaux” devient le miroir d’une gestion municipale.

D’un côté, des visuels flatteurs, des slogans écologiques, des promesses marketing.

De l’autre, la réalité d’une destruction environnementale dissimulée.

« La maison brûle. Et pendant ce temps, ils enrobent leurs projets de slogans verts pour mieux bétonner les terres naturelles Montceleux. Ce n’est pas de l’écologie. C’est une imposture. » — Jessy Miller

Et maintenant ? Un appel à l’union pour Sevran

Ce projet de bétonisation des terres naturelles Montceleux n’est pas une fatalité. Il peut encore être stoppé.

Mais cela exige une mobilisation citoyenne large, consciente et déterminée.

Autour de la candidature de Jessy Miller pour les élections municipales de 2026, une dynamique s’organise. Elle rassemble toutes celles et ceux qui refusent que l’on sacrifie le vivant, que l’on trahisse l’écologie au profit du béton, que l’on maquille la destruction par des slogans.

Faire échouer le projet Terre d’eaux, c’est possible. Mais cela commence maintenant, en rejoignant celles et ceux qui défendent une autre vision pour Sevran.

Source : Jessy Miller, candidat aux municipales 2026 à Sevran

Interview avec Claire Corajoud conceptrice du Parc du Sausset à Aulnay-sous-Bois et Villepinte

Le Parc du Sausset a une histoire, une âme. Mais saviez-vous que c’est une Parisienne, Claire Corajoud, qui a conçu avec son mari cet immense parc qui fait la renommée de la Seine-Saint-Denis ?

Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur l’histoire de ce parc et sur les choix paysagistes en cliquant ici.

Le projet Terre d’Eaux à Sevran va-t-il priver la ville de son dernier espace sauvage préservé ?

Sous le nom flatteur de 𝙏𝙚𝙧𝙧𝙚 𝙙’𝙀𝙖𝙪𝙭, 𝙎𝙩é𝙥𝙝𝙖𝙣𝙚 𝘽𝙡𝙖𝙣𝙘𝙝𝙚𝙩 et son équipe veulent bétonner l’un des derniers espaces encore préservés de Sevran.

Ils appellent ça « habiter en pleine nature »…

𝗠𝗮𝗶𝘀 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮 𝗻𝗮𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗾𝘂’𝗶𝗹𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗲𝗻𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻𝘀𝗲𝘃𝗲𝗹𝗶𝗿.

𝙑𝙤𝙞𝙘𝙞 𝙡𝙖 𝙫é𝙧𝙞𝙩é :

  • 18 hectares de biodiversité rasés
  • Des immeubles, du bitume, du bruit
  • Zéro consultation sérieuse des habitants
  • Un greenwashing maquillé en modernité

Tout cela dissimulé derrière des dessins mignons, un panneau rose bonbon et des slogans creux.

Mais le marketing politique ne remplacera jamais les arbres qu’on coupe.

𝙇𝙚 𝙥𝙧𝙤𝙗𝙡è𝙢𝙚 ?

Ce projet n’est ni écologique, ni urgent, ni adapté aux vrais besoins des Sevranais.

C’est un choix politique assumé : 𝗯é𝘁𝗼𝗻𝗻𝗲𝗿 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘂𝗻 𝘀𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿𝗲.

𝙀𝙩 𝙨𝙞 𝙤𝙣 𝙤𝙨𝙖𝙞𝙩 𝙙𝙞𝙧𝙚 𝙎𝙏𝙊𝙋 ?

  • Pas à la ville.
  • Pas au progrès.
  • Mais à l’hypocrisie.
  • À la destruction de nos terres.
  • À cette écologie de façade.

Source : 𝗝𝗲𝘀𝘀𝘆 𝗠𝗜𝗟𝗟𝗘𝗥, 𝙋𝙤𝙪𝙧 𝙪𝙣 𝙎𝙚𝙫𝙧𝙖𝙣 𝙦𝙪𝙞 𝙧𝙚𝙨𝙥𝙞𝙧𝙚. 𝙋𝙖𝙨 𝙪𝙣 𝙎𝙚𝙫𝙧𝙖𝙣 𝙦𝙪’𝙤𝙣 𝙖𝙨𝙥𝙝𝙮𝙭𝙞𝙚.

La ville d’Aulnay-sous-Bois investit dans les écoles pour réduire la consommation d’énergie

Aulnay-sous-Bois accélère la rénovation énergétique de ses écoles en s’engageant dans un vaste programme de rénovation énergétique de ses établissements scolaires, affirmant ainsi son double engagement pour l’éducation et la transition écologique.
Depuis 2021, 61 écoles ont fait l’objet d’audits énergétiques approfondis. Désormais, la ville passe à l’action avec :

  • La rénovation énergétique complète de 10 groupes scolaires parmi les plus énergivores : Fontaine des Près, Ambourget, Paul Eluard, Jules Ferry, Bourg 2, Croix Rouge, Nonneville primaire, Petit Ormes, Merisiers et Anatole France.
  • L’installation de centrales photovoltaïques sur 26 bâtiments, contribuant à la transition énergétique.
  • Des actions de sobriété énergétique impliquant les usagers.
  • Un programme global d’amélioration du patrimoine municipal.

Ces travaux permettront de réduire de 40% la consommation énergétique d’ici 2030, en conformité avec le Décret Tertiaire et la loi ELAN.

Journée verte le 5 avril à Drancy pour le plaisir de jardiner

Vous aimez jardiner, planter ? Alors venez à la journée verte de l’ASPE le 5 avril à la salle Albert Liard – 12 rue Étienne Dolet – DRANCY.

Vous y trouverez des pousses de plantes, des semis, des boutures, des accessoires de jardinage MAIS vous pourrez aussi, feuilleter livres et revues au milieu d’une exposition de peintures.

UNE RESTAURATION SIMPLE VOUS SERA PROPOSÉE (sandwichs – boissons)

Pour tous renseignements joindre le 06.52.03.47.62 ou le 06.82.17.32.55

Source :

L’Association de Solidarité et de Prévention du Quartier de l’Économie
Salle Albert Liard
La Maison du Temps Libre
12 rue Étienne Dolet
93 700 DRANCY