Archives de Catégorie: Ecologie

Rénovation énergétique de votre maison : un nouveau dispositif d’aide à Aulnay-sous-Bois

L’établissement Public Territorial Paris Terres d’Envol a lancé « Terres d’Envol Rénov’ », un programme d’aide aux travaux de rénovation énergétique des logements.

La subvention « Terres d’Envol Renov »

Le dispositif « Terres d’Envol Rénov’ » vous permet de bénéficier d’une subvention de 2 500 € à 4 000 €, sous réserve de remplir certaines conditions. Grâce à ce programme, vous pourrez financer vos travaux d’amélioration énergétique comme l’isolation thermique extérieure, l’isolation des combles, la réfection des menuiseries…

Source et article complet : site d’Aulnay-sous-Bois

Économiser l’énergie à la piscine d’Aulnay-sous-Bois, une solution écologique qui ne date pas d’hier.

Suite à la flambée des prix de l’énergie, certaines piscines ont fermé ou ont limité leur activité.

Fin septembre, Bruno Beschizza se voulait rassurant pour le centre aquatique l’Odyssée et déclarait : « c’est un équipement vertueux doté d’une solution écologique qui chauffe les bassins grâce à la chaleur des eaux usées ».

Or, cette solution écologique, innovante pour sécuriser le chauffage de la piscine avec une énergie locale, décarbonée, disponible et à prix fixe ne date pas de 2022 mais de 2013 avec l’ancienne municipalité de gauche !

Le dossier travaillé par les 2 Élus en charge de l’espace public et les services techniques de la ville était bouclé début 2014, avec l’attribution du marché à Suez.

C’était le procédé écologique « Degrés bleus » expliqué dans le numéro d’Oxygène du 3 mars 2014 : « La chaleur des eaux usagées par exemple celle des salles de bains ou des machines à laver est récupérée grâce à un échangeur de chaleur installé au fond du collecteur départemental d’eaux usées … Ces calories sont transportées jusqu’à une pompe à chaleur placée dans la chaufferie du stade nautique… En optant pour cette énergie dite verte, la ville évitera l’émission de 242 tonnes équivalent CO2 par an soit le volume de 280 voitures en circulation… »

Or Bruno Beschizza, dès son élection, a mis un coup d’arrêt au projet, bien avant les problèmes de charpente de la piscine et durant 8 ans, plus personne n’a entendu parler de cette solution apparemment mise aux oubliettes !

Il a fallu que l’on s’interroge sur la fermeture éventuelle de la piscine pour que Bruno Beschizza nous dévoile que le centre nautique privé a opté pour un procédé ayant la même technologie !

Bien évidemment, on se félicite de cette installation.

Pour conclure, dès 2014, Bruno Beschizza et ses élus ont fait preuve de sectarisme, d’une volonté systématique d’effacer les dossiers du mandat précédent et même d’engager un bras de fer avec le Département de gauche provoquant par exemple la fermeture désastreuse des 7 antennes sociales.

Le sectarisme, l’autoritarisme et le manque de transparence sont des freins à la démocratie.

Une équipe municipale a tout à gagner à travailler avec tous ses élus, majorité et opposition, les associations et les citoyens afin d’assurer, pour le bien de tous, la poursuite de projets communs.

Source : Les élus et la section socialistes d’Aulnay-sous-Bois

Dépôt de déchets électriques à la Ferme du Vieux-Pays à Aulnay-sous-Bois le 28 mai

Déposez vos déchets électriques le samedi 28 mai, de 9h à 13h, à la Ferme du Vieux-Pays et profitez, si vous le souhaitez, d’un atelier de réparation de vos petits appareils électroménagers.

En Ile-de-France, des niveaux inquiétants de particules ultrafines dangereuses pour la santé

Elles font la taille d’un virus ou d’une molécule d’ADN et sont invisibles à l’œil nu. Très nombreuses dans l’air qu’on respire, les particules ultrafines (PUF), actuellement non réglementées – contrairement aux particules (PM10) et particules fines (PM2.5) –, font l’objet d’inquiétudes croissantes de la part des autorités sanitaires dont l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) et de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Dans une étude parue ce mardi, l’association indépendante Airparif, chargée de la surveillance de la qualité de l’air en Ile-de-France, dévoile les résultats d’une campagne de surveillance inédite de ces particules ultrafines, menée de décembre 2020 à février 2021 sur quatre zones situées loin des sources de pollution que sont les routes (une dans l’agglomération parisienne, deux en zone périurbaine et une en zone rurale).

Source et article complet : Libération

A quand la biodiversité dans les cimetières d’Aulnay-sous-Bois ?

Un article de la revue Plantes & santé évoque le développement de la biodiversité dans les cimetières (image ci-contre).

Notre lectrice Géraldine est une habituée du cimetière du Vieux-Pays et déplore les désherbages et tailles massifs, les allées sans arbres exposées à la sécheresse l’été, les murs sans végétation. A contrario elle adore les coques de noix parsemées dans ses allées par les oiseaux, les plantes grasses qui tentent de pousser entre les pierres, les buissons ardents trouvant forces dans le moindre coin de terre.

Pour Géraldine, cet article serait un bon support pour motiver les élus dans la végétalisation de ces havres de paix et de recueillement.

La transition énergétique, une utopie ou une réalité à portée de main ?

A l’heure où les énergies fossiles sont dans le collimateur des écologistes et où les prix volatiles mettent à rudes épreuves de nombreux foyers précaires, la transition énergétique semble tomber à point nommé. Mais est-ce que la transition énergétique est à la portée de toutes et de tous ?

Alors que de nombreuses personnes, y compris des écologistes, préfèrent la voiture diesel à la voiture électrique, alors que de nombreux foyers continuent de se chauffer au fioul ou au gaz sans chaudière à condensation, alors que le président Macron a promis de construire de nouveaux réacteurs nucléaires, cette transition semble avoir du plomb dans l’aile.

Pourtant, avec un minimum de recherche, un petit investissement au départ et une modification à minima de son mode de vie, on est libre tout un chacun de participer activement à cette transition énergétique. Comme l’indique ce site, de nombreux artisans RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) peuvent proposer leurs services pour changer une vieille chaudière en chaudière à condensation à haut rendement énergétique, une centrale au fioul par une chaudière à granulés ou encore remplacer de vieux radiateurs électriques de type grille-pain en radiateurs électriques modernes à fluide, capables de maintenir une certaine chaleur même une fois éteints.

Cette transition énergétique permet de recevoir quelques avantages comme des crédits d’impôts si le foyer est éligible. Cette transition doit également prendre en compte la partie isolation du logement (notamment au niveau du toit où les déperditions sont les plus importantes, mais aussi le changement des fenêtres simple vitrage par des fenêtres double ou triple vitrage en dépose totale). Il reste beaucoup à faire dans l’hexagone comparé à d’autres pays bien plus avancés comme en Allemagne où les logements sont en moyenne bien mieux isolés, sollicitant bien moins les centrales électriques en période hivernale, notamment lors des pics de froid.

Avec un minimum de volonté politique, une sensibilisation bien en amont dans le cursus scolaire et une campagne rondement menée, la France peut réduire son retard et rentrer pleinement dans l’ère de la transition énergétique. Si les aides permettent à certains de faire le premier pas, des actions coercitives pourraient également pousser les réfractaires à être plus nobles en termes de respect de l’environnement. Enfin, il ne faut oublier que quelques gestes au quotidien permettent de réduire notre empreinte carbone : baisse de la température ambiante dans la maison (18 °C est une bonne température), ne pas prendre sa voiture pour faire moins de 1 km sauf pour faire ses courses, acheter des appareils électriques faible consommation… Il suffit d’un rien pour faire un monde meilleur !

Source : contribution externe

Retour sur l’aventure RailCoop avec son premier client Ethiquable, à quand pour Garonor Aulnay-sous-Bois ?

@SÉBASTIEN CASSES, Actu.fr

Le 15 novembre dernier, la société coopérative ferroviaire RailCoop ouvrait sa première ligne de fret entre Toulouse-Saint-Jory et Capdenac-gare dans l’Aveyron. Un convoi de 8 wagons vides au départ empruntant des voies uniques pour arriver dans une gare marchandise abandonnée par SNCF en 1989 (cette gare a commencé sa rénovation en 2018 pour pouvoir accueillir de nouveaux opérateurs ferroviaires).

Le premier client de RailCoop est une autre coopérative, Ethiquable, qui souhaitait participer à cette aventure en abandonnant le camion pour le train. La rédaction a contacté le service presse d’Ethiquable pour en savoir plus sur cette première liaison.

Tout d’abord, il faut savoir que les produits Ethiquable transportés dans ce premier train étaient des produits finis, à destination de magasins clients. 4 palettes ont été chargées pour démarrer, palettes constituées de produits panachés (cafés, thés, chocolats…) pour livrer 4 clients de la région de Figeac.

Si Ethiquable souhaite s’organiser pour pouvoir livrer régulièrement les magasins de la région via fer routage, la coopérative n’a pas encore défini de cadences régulières. Cependant, Ethiquable souhaite à terme que les expéditions soient au maximum acheminées via transport ferroviaire, afin de diminuer l’impact carbone dû au transport des marchandises.

Mais si Ethiquable est volontaire, la cooperative sait que celaprendra longtemps, car notre pays est actuellement sous équipé en transport de fret Ferroviaire (de nombreuses lignes sont laissées à l’abandon par SNCF Réseau, qui souvent préfère déclasser les voies ferrées en voies vertes pour promeneurs du dimanche).

A noter que le transport de marchandise par train pour Ethiquable est plus cher que la route (de l’ordre de 50%). Il s’agit ici d’un geste écologique et citoyen plus qu’une opération économique. RailCoop est à la recherche de nouveaux clients sur le secteur de Capdenac, notamment de la Meca Valley dans l’Aveyron, pour remplir son convoi et assurer dès la fin du premier trimestre 2022 un convoi quotidien.

Quid d’Aulnay-sous-Bois et de la Seine-Saint-Denis ?

Pourquoi parler de RailCoop pour une liaison fret dans l’Aveyron ? S’il y a des fans de ce département en Seine-Saint-Denis et à Aulnay-sous-Bois en particulier, c’est avant tout pour montrer qu’il est possible, pour les entreprises qui se donnent les moyens, de délaisser le transport routier pour le transport ferroviaire.

La zone industrielle de Garonor était reliée à la voie mère qui reliait autrefois PSA / IKEA à la gare de triage de Drancy. Cette voie mère a été délaissée suite à la fermeture de l’usine PSA et à l’installation d’un camp de Roms qui a provoqué une suppression d’une partie de la voie ferrée. Alors que les autoroutes A1 et A3 sont souvent saturées, une partie des marchandises qui transitent par la route pourrait très bien l’être par train. Pour cela, il faudrait que SNCF Réseau remettre en état la voie mère, que les collectivités locales (villes du Blanc-Mesnil et d’Aulnay-sous-Bois, département de la Seine-Saint-Denis, région Île-de-France) fasse pression sur SNCF Réseau et sur les entreprises de Garonor pour privilégier le fret ferroviare, et que des opérateurs comme RailCoop proposent des liaisons fret. Moins de bouchons sur la route, moins de risque d’accident et bilan carbone bien meilleur. Mais encore faut-il qu’il y ait une volonté politique et des entreprises qui jouent le jeu.

Le Diesel, une véritable plaie pour la planète qui contribue au réchauffement climatique

Le réchauffement climatique, les dérèglements météorologiques et les conséquences dramatiques sur les sociétés humaines imposent un changement de comportement à tout un chacun. Les véhicules diesel sont dans le collimateur de nombreuses collectivités du fait de leur impact sur la santé (la pollution est responsable de 40 000 morts chaque année en France, soit presque autant que la surmortalité de Covid en 2020). 

Si de nombreuses personnalités écologistes estiment qu’il faut mettre fin au diesel, d’autres écologistes ou proches des écologistes militent pour ce type de combustion. Certains disent également que le diesel ne contribue pas au réchauffement de la planète ! Cependant, la vérité est toute autre puisque si les moteurs diesels consomment moins que l’essence et rejettent donc moins de dioxyde de carbone (CO2), ils émettent en revanche du protoxyde d’azote, autre gaz à effet de serre, 300 fois plus puissant (source : Le Parisien).

Certains essayent de se dédouaner en colportant de fausses informations. Le diesel est bel et bien responsable, pour partie, du réchauffement climatique, et n’est donc pas une solution pour sauver la planète. Que faire si on a un véhicule diesel me direz-vous ? Rien ne sert de se jeter sur le prochain véhicule électrique (bien moins nocif pour la planète mais qui pose soucis avec le recyclage de la batterie) : il suffit de changer un peu son comportement, essayer de faire ses courses 1 fois par semaine, ne pas prendre son véhicule pour faire moins de 1 km (sauf si bien entendu, vous avez un handicap moteur), et éviter d’utiliser la climatisation et de pousser ses rapports inutilement. Parce qu’on ne s’autoproclame pas écologiste, ce sont les actions au quotidien qui permettent de définir si vous souhaitez – ou pas – préserver le capital vie de vos enfants et arrière-petits enfants…

Les écologistes d’Aulnay-sous-Bois veulent limiter la vitesse sur les autoroutes à 110 km/h

Après les centres-villes à 30 km/h, les écologistes souhaitent désormais s’attaquer aux autoroutes et abaisser la limitation de vitesse à 110 km/h. Alors que de nombreux français protestent contre la baisse de la vitesse maximale autorisée sur les portions de routes départementales à 80 km/h (au lieu de 90 km/h, même si plusieurs départements commencent à faire marche arrière), cette proposition risque une fois de plus de faire grincer des dents.

A lire le tweet des écologistes Aulnaysiens, ce n’est pas tant la sécurité des conducteurs dont il est question mais des économies de carburant engendrées. On pourrait d’ailleurs se demander jusqu’où pourraient aller les écologistes dans la démarche : la limitation à 70 km/h sur les routes secondaires ? Le 30 km/h appliqué systématiquement en zone urbaine ?

Est-ce que les automobilistes sont d’accord pour augmenter leur temps de trajet ? 

Pantin expérimente le dimanche sans voiture, et pourquoi pas Aulnay-sous-Bois ?

Ce dimanche 19 septembre il sera presque impossible de rouler en voiture à Pantin. Les scooters, les motos et autres engins à moteur seront proscris. Quasiment toutes les rues de Pantin seront concernées sauf quelques voies à la périphérie et les très grands axes de transit.

Cette démarche écologiste est salutaire, mais peut-elle être appliquée à d’autres villes comme Aulnay-sous-Bois ? Imaginez un dimanche sans bruit de moteur (sauf peut-être au niveau de l’autoroute A3 et de l’ex RN2), les Aulnaysiens qui laissent leur voiture de côté pour se rendre au marché, les voitures diesel tant décriées laissées au garage, le chant des oiseaux et un air respirable. Quel serait l’impact sur le marché du Boulevard de Strasbourg et celui des 3000 ? Est-ce que le groupe Aulnay En Commun, si prompt à défendre l’écriture inclusive et à conspuer les mauvais automobilistes, pourrait émettre un vœux au prochain conseil municipal ?

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