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Retour sur l’aventure RailCoop avec son premier client Ethiquable, à quand pour Garonor Aulnay-sous-Bois ?

@SÉBASTIEN CASSES, Actu.fr

Le 15 novembre dernier, la société coopérative ferroviaire RailCoop ouvrait sa première ligne de fret entre Toulouse-Saint-Jory et Capdenac-gare dans l’Aveyron. Un convoi de 8 wagons vides au départ empruntant des voies uniques pour arriver dans une gare marchandise abandonnée par SNCF en 1989 (cette gare a commencé sa rénovation en 2018 pour pouvoir accueillir de nouveaux opérateurs ferroviaires).

Le premier client de RailCoop est une autre coopérative, Ethiquable, qui souhaitait participer à cette aventure en abandonnant le camion pour le train. La rédaction a contacté le service presse d’Ethiquable pour en savoir plus sur cette première liaison.

Tout d’abord, il faut savoir que les produits Ethiquable transportés dans ce premier train étaient des produits finis, à destination de magasins clients. 4 palettes ont été chargées pour démarrer, palettes constituées de produits panachés (cafés, thés, chocolats…) pour livrer 4 clients de la région de Figeac.

Si Ethiquable souhaite s’organiser pour pouvoir livrer régulièrement les magasins de la région via fer routage, la coopérative n’a pas encore défini de cadences régulières. Cependant, Ethiquable souhaite à terme que les expéditions soient au maximum acheminées via transport ferroviaire, afin de diminuer l’impact carbone dû au transport des marchandises.

Mais si Ethiquable est volontaire, la cooperative sait que celaprendra longtemps, car notre pays est actuellement sous équipé en transport de fret Ferroviaire (de nombreuses lignes sont laissées à l’abandon par SNCF Réseau, qui souvent préfère déclasser les voies ferrées en voies vertes pour promeneurs du dimanche).

A noter que le transport de marchandise par train pour Ethiquable est plus cher que la route (de l’ordre de 50%). Il s’agit ici d’un geste écologique et citoyen plus qu’une opération économique. RailCoop est à la recherche de nouveaux clients sur le secteur de Capdenac, notamment de la Meca Valley dans l’Aveyron, pour remplir son convoi et assurer dès la fin du premier trimestre 2022 un convoi quotidien.

Quid d’Aulnay-sous-Bois et de la Seine-Saint-Denis ?

Pourquoi parler de RailCoop pour une liaison fret dans l’Aveyron ? S’il y a des fans de ce département en Seine-Saint-Denis et à Aulnay-sous-Bois en particulier, c’est avant tout pour montrer qu’il est possible, pour les entreprises qui se donnent les moyens, de délaisser le transport routier pour le transport ferroviaire.

La zone industrielle de Garonor était reliée à la voie mère qui reliait autrefois PSA / IKEA à la gare de triage de Drancy. Cette voie mère a été délaissée suite à la fermeture de l’usine PSA et à l’installation d’un camp de Roms qui a provoqué une suppression d’une partie de la voie ferrée. Alors que les autoroutes A1 et A3 sont souvent saturées, une partie des marchandises qui transitent par la route pourrait très bien l’être par train. Pour cela, il faudrait que SNCF Réseau remettre en état la voie mère, que les collectivités locales (villes du Blanc-Mesnil et d’Aulnay-sous-Bois, département de la Seine-Saint-Denis, région Île-de-France) fasse pression sur SNCF Réseau et sur les entreprises de Garonor pour privilégier le fret ferroviare, et que des opérateurs comme RailCoop proposent des liaisons fret. Moins de bouchons sur la route, moins de risque d’accident et bilan carbone bien meilleur. Mais encore faut-il qu’il y ait une volonté politique et des entreprises qui jouent le jeu.

Procès des braqueurs d’un camion qui transportait des ordinateurs Apple à Aulnay-sous-Bois

Les camions et les zones de fret restent des cibles faciles et particulièrement lucratives pour les voleurs. Ce lundi s’ouvre, devant la cour d’assises de Paris, le procès d’une équipe de onze malfaiteurs chevronnés arrêtée en flagrant délit en 2018.

La métropole parisienne, ses entrepôts et ses camions remplis de produits manufacturés, excitent toujours la convoitise des braqueurs de fret. C’est guidé par cette convoitise qu’une équipe de haut vol emmenée par Gaël Nivelais, 41 ans, surnommée le «bébé braqueur», est une nouvelle fois tombée, en mars 2018, entre les mains de la justice.

L’homme comparait avec dix complices, âgés de 26 à 58 ans, ce lundi 15 février devant la cour d’assises de Paris, pour vol en bande organisée et association de malfaiteurs. Une partie de ses complices, des bandits chevronnés, sont accusés d’avoir braqué avec lui, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), un camion qui transportait une cargaison d’ordinateurs Apple d’une valeur de 288 300 euros.

«Ça m’a fait tellement peur que je me suis jeté sur ma couchette»

Ce matin du 8 mars 2018, il est 7h45 lorsqu’un semi-remorque sort du dépôt TNT de Garonor. «A la sortie du dépôt, j’ai vu un fourgon gris foncé qui s’est mis au milieu de la route, raconte Rabah, le chauffeur routier encore traumatisé par cette expérience. J’ai vu trois hommes encagoulés en sortir d’un coup. L’un d’eux s’est mis devant ma portière et criait : Tu es braqué, pas un geste

Le chauffeur voit un pistolet pointé sur lui. «Il y en a un qui a tapé sur la vitre avec un marteau, continue-t-il. Elle a explosé et le son a résonné comme un coup de feu. Ça m’a fait tellement peur que je me suis jeté sur ma couchette.»

Deux hommes montent dans le camion, forcent le conducteur à rouler sur l’autoroute, en convoi, suivis d’un fourgon Mercedes et d’une puissante Renault Clio RS. Le camion rejoint un champ près de la zone industrielle de Mitry Compans (Seine-et-Marne) où se trouve un autre fourgon blanc. Les malfaiteurs bandent les yeux du chauffeur et l’attachent avec des liens en plastique. Toute l’opération est réalisée sous la protection d’un brouilleur d’ondes. Les malfrats communiquent entre eux avec des talkies-walkies. Les voleurs déchargent le matériel informatique dans les fourgons et s’apprêtent à quitter les lieux.

Le piège se resserre sur les braqueurs

C’est à ce moment que les enquêteurs de la brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la police judiciaire parisienne, qui surveillaient toute l’opération depuis le début, interviennent. Le conducteur de la Clio tente de s’échapper, mais il percute une voiture de police.

Pascal V. le doyen des braqueurs, met la main à sa poche où se trouve un pistolet Mauser et hésite à le sortir, avant de finalement se rendre. Les trois hommes à bord, Karim P. Pascal V. et Saïd S.A.M sont interpellés. Dans la voiture, les forces de l’ordre mettent la main sur un fusil à pompe, un pistolet calibre 38, Smith et Wesson et des munitions.

Pendant ce temps, les conducteurs des deux fourgons sautent tous les deux sur un scooter TMax conduit par Nabil M. Sur cet attelage, le trio tente de fuir avant d’être percuté par une voiture de police. Le pilote est immédiatement maîtrisé. Les deux autres s’échappent en courant. Un policier, seul derrière leurs talons, tir en l’air. Les deux hommes, Gaël Nivelais et Hassen Belferroum, se figent et s’allongent par terre en signe de reddition.

Le «bébé braqueur» conteste le rôle de leader

Au centre de cette affaire, bien qu’il se défende d’être le chef de la bande, se trouve le «bébé braqueur», né à Saint-Denis, condamné neuf fois notamment pour vol avec arme. «Gaël Nivelais conteste le rôle de leader qui lui est prêté. Il s’agit d’un raccourci sur lequel il s’expliquera», précise son conseil, Me Marie Violleau. Aux côtés de ce récidiviste se tiennent des connaissances de quartier à Bondy et deux anciens braqueurs qui se sont liés avec lui à la maison d’arrêt de Villepinte, Pascal V. et Hassen Belferroum, connu pour avoir été condamné à six ans de prison pour le braquage de la bijouterie Harry Winston commis à Paris en 2008.

«J’ai bricolé à droite et à gauche, je n’avais plus d’argent et j’ai eu le projet de faire un camion, c’est ce qu’il y a de plus simple et de moins risqué», a expliqué Gaël Nivelais lors des auditions.

Les malfaiteurs étaient tous sous la surveillance des enquêteurs de L’Office central de lutte contre le crime organisé (OCLCO) depuis le mois d’octobre 2017. Nivelais et ses complices ont été écoutés et pistés dans leur moindre déplacement, alors qu’ils effectuaient des repérages dans les sociétés de transports de fret. Selon le parquet, l’opération a été mûrement préparée. Mais, dans leurs déclarations, les braqueurs évoquent plutôt une opération un peu improvisée.

Deux ans après cette arrestation en flagrant délit, «les camions de fret sont toujours des cibles faciles, explique un commissaire de police. Des équipes de spécialistes ciblent plus que jamais les cargaisons qui se revendent bien : les téléphones et ordinateurs Apple ou les cigarettes.»

90% du fret se fait par camion

Pas plus tard que le lundi 1er février à Herblay (Val-d’Oise), vers 5 heures du matin, le patron d’un entrepôt a été braqué par trois malfaiteurs encagoulés qui ont séquestré le patron et trois employés avant de faire main basse sur douze palettes d’iPhone. «Les fabricants de téléphones n’équipent pas leurs boîtiers de système de traçage», regrette ce commissaire de police. Les filières de recel sont très classiques. Les cigarettes sont écoulées auprès de buralistes peu regardants et dans les cités. Les téléphones peuvent être revendus dans des boutiques de téléphonie ou exportés, notamment en Afrique ou en Europe de l’Est, ce qui neutralise toute chance de les retrouver.

La région parisienne accueille 17 millions de mètres carrés d’entrepôts. Ils sont majoritairement situés en grande couronne le long de la Francilienne mais aussi à proximité des aéroports. Les camions transportent aujourd’hui 90% des 217 millions de tonnes annuelles de marchandise qui arrivent ou partent d’Ile-de-France. 54,4% des marchandises transportées sont des produits manufacturés.

La sécurité est un sujet plus que sensible, la Fédération nationale des transporteurs routiers n’a pas souhaité s’exprimer. Pas plus que la société de transport Gefco. «Les vols de fret ont toujours existé, explique le délégué CFDT FGTE (transport et environnement) Patrick Blaise. Mais les grandes plates-formes de logistique sont aujourd’hui de plus en plus protégées.»

Source et article complet : Le Parisien

Le gang du « bébé braqueur » mis en échec en Seine-Saint-Denis

@Le Parisien

Deux récidivistes et sept autres malfaiteurs ont été mis en examen dans deux affaires qui ont mobilisé deux des plus prestigieux services de police de France.

Composée de braqueurs récidivistes, cette équipe de la banlieue nord s’était reconvertie dans le vol de fret. En trois jours, début mars, deux services de police différents ont interpellé les neuf membres de ce gang entre Mitry-Mory et Compans (Seine-et-Marne), Gonesse (Val-d’Oise) et Thiais (Val-de-Marne). Ils ont tous été mis en examen à Paris, dans deux dossiers différents.

Pris en flagrant délit après le braquage d’un camion

Le 8 mars, c’est un autre service, la brigade de recherche et d’intervention de la police parisienne, qui arrête Nivelais et Belferroum en flagrant délit dans la zone d’activité de Mitry-Compans ainsi que quatre autres complices après le braquage d’un camion d’ordinateurs dans la zone d’activité de Parinor (Seine-Saint-Denis). Les six suspects sont placés en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire de Seine-Saint-Denis.

Et pendant ce temps, le 11 mars à Aulnay-sous-Bois, trois autres membres de l’équipe dérobent une remorque pleine d’outillage Weldom d’une valeur de 100 000 €. Les voleurs remisent leur butin dans leur planque et les policiers de l’OCLCO les surveillent toute l’après-midi. Finalement, à minuit et demi, les voleurs décident de bouger avec leur camion et une voiture. Ils seront arrêtés à Thiais après une rocambolesque course-poursuite. La marchandise a ensuite été retrouvée. Lors des perquisitions, des balises de géolocalisation et des brouilleurs d’ondes ont été saisis.

Source et article complet : Le Parisien

Qui se souvient des locomotives qui desservaient la zone industrielle Garonor à Aulnay-sous-Bois ?

forum.e-train.fr

Construite dans les années 1970, la voie ferrée appelée « la voie mère » reliait le centre de triage du Bourget à Paris Nord 2, et desservait Garonor, Citroën (puis PSA), Ikea et quelques entrepôts au niveau de Paris Nord 2.

Ikea utilisait essentiellement le fret ferroviaire pour réapprovisionner jusqu’au milieu des années 90s, tout comme Garonor. On n’a pas trop d’information concernant les entrepôts de Paris Nord 2, et PSA utilisait cette voie jusqu’à sa fermeture.

Aujourd’hui, c’est 100% camion, il n’y a plus de trains qui circulent sur la voie mère (qui a été en partie déferrée suite à l’installation d’un camp de Roms au niveau de l’autoroute A3). Les raisons de l’abandon du train sont multiples : non respect des délais, marchandise abîmée, tarifs de plus en plus importants, des infrastructures pas toujours entretenues…

Les plus anciens ont certainement vu les anciennes locomotives diesel vertes tracter des wagons en direction de Garonor, où plusieurs entrepôts étaient raccordés. Jusqu’au milieu des années 1990s, 1 à 2 convois par semaine passaient à l’intérieur de la zone industrielle. Aujourd’hui, si l’on voit encore les voies ferrées, elles ne sont plus utilisées.

La photo ci-contre montre une vielle locomotive qui se trouvait jusqu’en 2007 dans la zone de Garonor. En bon état, elle a été depuis évacuée. Elle acheminait les wagons dans plusieurs entrepôts et était conduite par un conducteur de la société en charge de l’exploitation de cette zone industrielle. Si des lecteurs ont des photos de cette époque révolue, nous sommes preneurs pour les faire partager au plus grand nombre !

 

Après le Fret, la SNCF veut-elle tuer les trains Intercités ?

Voie_Ferree_Paris_Nord_Aulnay

Vidéo

Alors que l’écologie devrait selon toute vraisemblance être un axe majeur dans le développement et l’aménagement du territoire, nous apprenons que la SNCF étudie la possibilité de remplacer des trains Intercités (reliant plusieurs villes de province) par des autocars, bien plus polluants.

Un déficit de plusieurs centaines de millions d’euros

Les trains Intercités permettent de relier des villes comme Saint-Quentin à Maubeuge, ou Hirson à Metz, voire Caen à Tours. L’essentiel de l’activité se trouvant en Ile-de-France, à proximité de Paris, inutile de préciser que la fréquentation de ces lignes est loin d’être optimale. Le coût et également quelques problèmes de fiabilité finissent par décourager les potentiels Clients de ces lignes ferroviaires.

Un groupe d’élus et d’experts, sous la direction du député Socialiste Philippe Duron, préconise ainsi de supprimer plusieurs lignes ainsi qu’une grande partie des trains de nuit pour utiliser à la place des autocars. Ces autocars, bien plus polluants, sont en effet moins couteux à entretenir. Le réseau autoroutier privé (Sanef, Vinci…) serait utilisé, autant dire que cette décision pourrait faire plaisir aux actionnaires de ces sociétés d’autoroute.

Le réseau ferré français est quasi-exclusivement géré par RFF (Réseau Ferré de France) et exploité par la SNCF (position de quasi-monopole).

Le réseau ferré français de plus en plus menacé

A la différence de nos voisins Allemands de leurs 40 000 km de voies ferrées, le réseau français n’a cessé de se contracter depuis des décennies, avec un réseau exploitable de moins de 30 000 km. Alors que le Fret Allemand semble en constante progression (il est également bien en point dans de nombreux pays européen), le transport ferroviaire français est en déclin et est très déficitaire. La majorité du réseau est utilisé pour le transport de voyageurs.

Jusqu’en 1937, les voies ferrées étaient gérées par des compagnies privées. L’âge d’or a pris fin par la soudaine décision de nationaliser ces voies et de créer une société de toute pièce appelée SNCF. Depuis, la politique nationale a été de supprimer des voies ferrées pour développer le transport routier. De nombreuses lignes ont ainsi été fermées. On peut citer par exemple :

  • La ligne reliant Crepy-en-Valois à Creil en passant par Senlis
  • La ligne reliant Roye à Cambrai en passant par Peronne
  • La ligne reliant Chartres à Massy en passant par Gallardon

Tout d’abord, ce furent les transports de voyageurs, puis vinrent l’arrêt total du transport de Fret. En 2007, avec la décision de la SNCF de supprimer ce que l’on appelle les Wagons uniques (entreprises ne nécessitant qu’un wagon par semaine), plusieurs entreprises françaises ont été contraintes de se tourner vers le transport routier. Des dépôts de gaz, ravitaillés avant le le Fer, utilise maintenant la route pour stocker leur matière dangereuse, avec tous les risques que nous connaissons.

La suppression des lignes Intercités semble donc s’inscrire dans une sorte de continuité.

RFF préfère supprimer des lignes plutôt que de laisser la concurrent les exploiter

Au hasard de mes lecteurs sur le Net, je me suis arrêté sur une troublante histoire ou des Coop française (stockage / transport de produits céréaliers) alerte sur la fermeture des voies capillaires (voies secondaires à faible utilisation). Alors que la concurrence (on peut citer Colas Rail) estime à 300 000 € la remise en état et l’entretien des voies, RFF estime de son côté le coût à… 6 millions d’euros !

Certaines voies ont été fermées et ce malgré la protestation des élus, des usines ou exploitations agricoles et la volonté de certaines sociétés privées de maintenir les voies ferrées. RFF / SNCF ont même refusé à des entreprises de se relier à des voies capillaires en prétextant que celles-ci n’étaient plus aux normes et qu’elles étaient vouées à disparaitre.

Avec la fin de l’éco-taxe, la route apparaît comme la priorité du gouvernement

Les beaux discours sur l’écologie et le développement durables n’ont finalement eu qu’un effet très minime sur l’aménagement du territoire : la fin de l’éco-taxe, la construction / optimisation de nouvelles portions routières, l’abandon de lignes de fret, la fin programmée des liaisons Intercités semblent s’inscrire dans une volonté plus globale de s’appuyer quasi-exlusivement sur le réseau routier. Cela a plusieurs avantages :

  • Les sociétés d’autoroute voient le trafic ainsi augmenter
  • La consommation en carburant est de fait en augmentation (TIPP)
  • L’industrie automobile bénéficie d’une usure plus rapide du parc, et donc d’un renouvellement de pièces ou véhicules plus fréquent

Du côté sombre de ce tableau, on peut s’attendre à une augmentation de l’impact carbone, à l’heure où plusieurs pays tentent de se mettre d’accord pour réduire cet impact sur l’environnement. Etrangement, cela ne semble pas émouvoir les écologistes, pourtant si prompts à réagir sur d’autres sujets.

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