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Qui pour battre Alain Ramadier sur la circonscription d’Aulnay-sous-Bois aux législatives 2022 ?
Alain Ramadier avait gagné difficilement en 2017 dans la circonscription d’Aulnay-sous-Bois / Les Pavillons-sous-Bois / Bondy Sud-Est face au candidat Macroniste Billel Ouadah qui profitait de la ferveur En Marche de l’époque. 5 ans plus tard, Alain Ramadier semble intouchable, profitant d’une véritable protection dans son fief LR à Aulnay-sous-Bois.
Mais avec les difficultés de la candidate Valérie Pécresse à la présidentielle 2022 et une victoire annoncée comme facile pour Emmanuel Macron, qu’en sera t-il en juin 2022 ? Quel candidat LREM pourra faire de l’ombre à Alain Ramadier et unir derrière lui tous les courants allant de la Gauche Sociale Démocrate aux Centristes et libéraux ?
Et si Benjamin Giami, pour le moment en retrait, incarnait cette figure capable de battre Alain Ramadier ?
Hadama Traoré très critique envers Benjamin Giami, conseiller municipal En Marche à Aulnay-sous-Bois
BANDE D’OPPORTUNISTE DE BAS ÉTAGE. HONTE À CEUX QUI SOUTIENNENT CES MACRONISTES
Les professionnels de la politique de bas étage sont de sortis mdr.
Vous étiez où pendant 2 ans ???
Vous effectuez quel combat socio-économique pour les quartiers Nord ??
Quelle proposition pour améliorer les conditions de vie dans les parcs HLM et les copropriétés privées ??
Quelle initiative pour améliorer la sécurité des administrés des quartiers Nord ??
Quelle politique de prévention sanitaire proposée aux administrés des quartiers Nord ??? Vous êtes juste des professionnels de la politique et je vous promets que plus jamais vous allez mettre les pieds dans les quartiers Nord de la ville d’Aulnay-sous-Bois sans vous faire réprimander sur votre bilan inexistant.
Bande d’irresponsable. Vous êtes juste des opportunistes. Je ne sais même pas si un Aulnaysien a liké vos publications qui insultent l’intelligence des administrés des quartiers Nord de la ville d’Aulnay-sous-Bois.
En mars 2020, j’ai été claire : on va nettoyer au karcher la racaille au col blanc. La révolution est en marche et personne ne pourra l’arrêter.
Source : Hadama Traoré, leader du mouvement La Révolution Est En Marche
Hadama Traoré critique Benjamin Giami et son groupe carriériste au conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois
La lutte contre la politique macroniste commence dans vos communes.
Ces élus centrés sur eux mêmes, et centrés sur leur carrière sont culottés. Car un macroniste ça ose tout.
En 2020, ces professionnels de la politique ont fait des promesses.
Aujourd’hui, ils sont inexistants sur le terrain social. J’espère que les 2000 personnes qui ont voté pour ces imposteurs vont réclamer un bilan de terrain.
J’ai la rage envers ces politiques de bas étage qui prennent les Aulnaysiens des quartiers Nord pour des individualistes portés par le clientèlisme.
Le nettoyage au karcher de ces professionnels de la politique est une obligation. La révolution est en marche et personne ne pourra l’arrêter.
Source : Hadama Traoré, leader du mouvement La Révolution Est En Marche
Intervention de Benjamin Giami sur le budget 2021 d’Aulnay-sous-Bois
Ce soir, nous devons donc voter le budget et faire par conséquent une analyse de vos dépenses de ces dernières années. Avant de commencer, je souhaiterais faire un bref rappel sur les chiffres financiers et budgétaires de notre ville.
Le budget global de la ville s’élève à environ 219 millions d’euros, 151 millions d’euros au titre des dépenses de fonctionnement et 68 millions pour les investissements.
Sur les 151 millions d’euros de dépenses de fonctionnement, il faut rappeler qu’il y a plus de 94 millions d’euros dédiées aux charges de personnel.
Le poste des ressources humaines est donc très, voire trop important puisqu’il représente plus de 60% des dépenses de fonctionnement. Et ce qu’on remarque, c’est que même si l’on a moins de salariés, la masse salariale continue à progresser.
Alors pourquoi ? Déjà, simple exemple, vous avez multiplié par deux le nombre de Directeurs Généraux Adjoints, les faisant passer de 4 à 8, avec des salaires très élevés, ce qui n’est pas justifié puisque vous mettez en place des délégations de services publics et que les transferts de compétences se font désormais de la ville vers le territoire Paris Terre d’Envol.
Les charges de personnel augmentent donc alors que nous sommes dans une situation financière et budgétaire extrêmement inquiétante. Alors, où allez-vous faire des économies ?
Par exemple, vos dépenses relatives aux sports et à la jeunesse passent de 5,9 millions d’euros à 4,8 millions€. Donc tout est une question de priorité, vous me direz. Mais baisser autant les dépenses dans ce domaine me semble être une erreur et un très mauvais signal à notre jeunesse.
Sur les dépenses d’investissement, vous avez de moins en moins de marge de manoeuvre. En 2020, 20% des dépenses étaient destinées au remboursement de la dette. En 2021, la part de ces dépenses dépasse désormais les 25 %. Oui, vous avez bien entendu : un quart des dépenses d’investissement est désormais destiné au remboursement de la dette. Et devinez quoi, sur les recettes de la ville, eh bien 28% proviennent de nouveaux emprunts ! Sans oublier que près de la moitié de cette dette est à taux variable. C’est un véritable cercle vicieux.
Après un mandat de mauvaise gestion, nous nous engageons sur la même voie, les dépenses d’équipement sont financées par l’emprunt… La dette s’alourdit de plus en plus, passant de 100 millions en 2014 à 160 millions d’euros aujourd’hui, pour atteindre selon vos projections 184 millions d’euros en 2025.
Le ratio de l’encours de dette par habitant augmente de près de 7% en une année, à environ 1900€ par habitant en 2021, sachant que la moyenne des villes de même strate est de 1410€. C’est-à-dire que toutes les dépenses à venir vont être grevées par cette épée de Damoclès que l’on a sur nos têtes.
Bientôt, vous ne pourrez plus rien faire, car la dette a pris une telle importance qu’elle ne pourra qu’augmenter. Les chiffres que je viens de citer sont éloquents. Et ce, en grande partie à cause des charges de personnel qui sont trop fortes et des dépenses inconsidérées que vous avez engagées ces dernières années, notamment un parking à 7 millions € où personne ne va.
Et que dire du stade nautique ? Si nous ne contestons pas l’utilité d’une piscine pour notre ville, nous nous interrogeons sur la réalité de son coût et la maitrise des dépenses à venir, quand on sait que le constructeur vient de vous demander 2,8 millions d’euros supplémentaires par rapport à ce qui était prévu, en raison de retards liés à la pandémie et à des mesures de protection supplémentaires. Ce surcoût imposé à la ville est inquiétant pour la suite de la délégation de service engagée pour 25 ans.
Encore une fois, pour justifier votre manque de marge de manœuvre, vous n’aurez pas d’autre choix que de continuer à vous défausser sur les autres pour justifier votre gestion de bon père de famille. Vous pourrez encore et toujours justifier votre dette par la baisse des dotations de l’Etat. Pourtant, les chiffres sont là et sont sans équivoque. Même si les dotations avaient été maintenues, la dette aurait augmenté drastiquement.
Et pour faire suite à ce que vous avancez, il n’y a pas de comparaison possible entre la mission du gouvernement qui est de soutenir l’économie et d’aider les différents secteurs en crise, alors qu’avant cette crise, le gouvernement s’est toujours attaché à respecter la règle des 3%, et votre gestion imprudente de la ville depuis plus de 7 ans.
Par conséquent, bien évidemment, le groupe « Aulnay Plus Fière Plus Forte » votera contre ce budget.
Source : Benjamin Giami, président du groupe Aulnay Plus Fière, Plus Forte
Vidéo, Benjamin Giami s’inquiète du budget catastrophique de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Lors du conseil municipal du 7 avril 2021, chaque président de groupe pouvait s’exprimer sur le budget 2021 de la ville d’Aulnay-sous-Bois. Benjamin Giami, président du groupe Aulnay Plus Fière, Plus Forte, s’est exprimé sur le sujet et dresse un bilan bien sombre des finances de la ville :
- Part de la charge du personnel
- Salaire ahurissant des salaires des DGA malgré une délégation à Paris Terre d’Envol
- Augmentation de la dette
- Part du remboursement de la dette dans le budget
- Augmentation de la facture pour le centre nautique
Compte-tenu de ce constat, Benjamin Giami a appelé à voter contre ce budget.
Ci-dessous, la vidéo de son intervention :
Benjamin Giami alerte Bruno Beschizza sur la situation financière désastreuse de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Je tiens tout d’abord à remercier les services de la ville pour ce rapport qui nous a été transmis la semaine dernière. Je sais combien il a dû être difficile de fournir tant d’éléments financiers et budgétaires au regard de la situation actuelle.
Avant d’aborder le point relatif au rapport d’orientation budgétaire, je souhaiterais rappeler que la crise sanitaire que nous vivons tous, depuis le début de l’année 2020, a poussé le gouvernement et les banques centrales à prendre des mesures fortes et efficaces pour préserver au mieux notre économie.
L’ampleur du soutien de l’Etat à l’ensemble des secteurs fait de la France l’un des pays les plus protecteurs au monde. Je pense notamment aux soutiens à l’activité partielle, au fond de solidarité pour les entreprises, aux prêts garantis par l’Etat, à l’aide exceptionnelle de solidarité, à la prime jeune précarité destinée aux moins de 25 ans ayant perdu leur emploi ou leur stage en raison de la crise etc.
Pour impulser un rebond économique et atteindre un niveau de croissance permettant de revenir au niveau d’activité d’avant-crise, le gouvernement a mis en œuvre un plan de relance de 100 milliards d’euros, le plus important de tous les plans de relance des Etats membres de l’Union européenne. Sur ces 100 milliards, 40 milliards seront financés par l’Europe. Avec un objectif simple : renforcer la compétitivité des entreprises, accélérer la transition écologique et préserver l’emploi et la cohésion sociale.
Et, bien évidemment, dans votre rapport d’orientation budgétaire, vous nous faites part de votre grande inquiétude quant aux mécanismes qui seront mis en place pour apurer cette dette COVID. Pas une seule fois, en revanche, il n’est fait mention des très grandes dépenses engagées par la région, présidée par la droite, voire même du département, présidé par la gauche.
Pour revenir à Aulnay, je souhaiterais commencer ici par un point intéressant à évoquer dans cette assemblée : la différence entre votre rapport de l’an dernier, où vous prévoyiez une dette de 153 millions d’euros en 2025, avec votre rapport d’aujourd’hui où vous prévoyez désormais une dette de 184 millions d’euros en 2025. Il y a un écart de 31 millions d’euros pour cette même année 2025, entre vos prévisions de l’an dernier et aujourd’hui !
Cela en dit long sur la fiabilité des projections que vous faites chaque année et sur la sincérité de votre rapport d’orientation budgétaire. Je me souviens surtout de certains des membres de votre majorité, qui faisaient l’an dernier ici-même un exercice d’autosatisfaction sur les bons chiffres budgétaires et financiers de la ville, forts de leurs 8000 voix aux élections municipales, alors que nous n’avons cessé de vous alerter sur la pente dangereuse que vous prenez. C’est quand même préoccupant de se tromper de 31 millions d’euros d’une année sur l’autre ! Il y a de quoi se poser des questions !
Et, bien évidemment, vos présidents de groupes vont encore une fois nous dire ce soir combien la situation financière de votre ville n’est pas dramatique, ou inversement dire que c’est la faute à l’ancien maire qui a quitté ses fonctions il y a sept ans, ou encore que c’est la faute au président Hollande ou au président Macron… Bref, ce sera forcément la faute à quelqu’un d’autre !
Ce soir, nous allons encore le répéter : la ville est dans une impasse financière dramatique. Il se passe aujourd’hui exactement ce que je vous ai dit il y a deux ans.
La dette continue d’augmenter à un rythme très élevé.
- En 2020, nous étions à 162 millions d’euros de dette.Rappelons qu’en 2014, à votre arrivée au pouvoir, nous avions une dette de 100 millions d’euros.
- Vous avez affirmé que la dette avait grimpé sous la mandature Ségura. C’est désormais faux : sous son mandat la dette grimpait de 11 millions d’euros, sous la vôtre c’est de plus de 10 millions. Vous n’avez pas du tout infléchi la pente. Bien au contraire.
Sur l’épargne nette, qui est je le rappelle les recettes de fonctionnement moins les dépenses de fonctionnement et le remboursement de capital :
Comme nous l’avons prédit il y a deux ans, l’épargne nette de la ville est désormais négative. Cela veut dire que la ville n’a pas assez chaque année pour rembourser sa dette. La ville d’Aulnay doit désormais emprunter pour rembourser la dette. C’est le serpent qui se mord la queue ! La ville n’a donc plus aucune capacité d’investissement propre.
J’aimerais juste rappeler ici que la pandémie que nous subissons de plein fouet depuis un an n’est en rien responsable de cette situation financière catastrophique. Les recettes de la ville ne sont pas liées au cycle économique, à part les droits de mutation qui sont restés stables à environ 2,4 millions d’euros.
Maintenant le futur. Quel futur attend notre ville ?
La situation financière va empirer, année après année. Et elle correspond une nouvelle fois à ce que j’ai annoncé il y a deux ans. Voilà ce qui nous attend :
- Une épargne nette durablement négative pour les trois prochaines années. Au moins.
- Une capacité de désendettement qui va empirer. Je rappelle qu’au-dessus de 10 années de capacité de désendettement, c’est-à-dire le nombre d’années qu’il nous faut pour nous débarrasser de notre dette, notre ville est en mauvaise santé financière.
- Je rappelle aussi que le plafond prévu pour les communes de notre taille par la loi d’orientation des finances publiques est de 12 ans. 12 ans de capacité de désendettement maximum.
- En 2020, Aulnay avait une capacité de désendettement de 14 ans, ce qui n’était pas bon. Désormais, pour 2021,vous prévoyez une capacité de désendettement de 30 ans ! Oui, 30 longues années.
- Alors, vous nous dites que vous allez faire des efforts, et que par un coup de baguette magique vous allez redescendre à 18 ans pour les prochaines années. Pour ma part, je ne crois pas à la transmutation du plomb en or.
Vous savez très bien ce qui est en train de se passer. La dette de la ville augmente d’environ 10 millions d’euros par an : elle atteindra près de 190 millions d’euros fin 2024. Soit un quasi-doublement par rapport à la situation de 2014, à votre arrivée aux affaires. Je suis même malheureusement persuadé que nous serons bien au-delà de ces 190 millions d’euros de dette.
Votre rapport d’orientation budgétaire ose même présenter une baisse des investissements et une légère baisse de la dette en 2025. C’est une plaisanterie. Nous serons à ce moment-là en période pré-électorale et, bien évidemment, ce sera tout le contraire avec une hausse de la dette et une hausse des investissements.
Par conséquent, le groupe « Aulnay Plus Fière, Plus forte » n’est plus ici pour vous alerter ou vous dire combien il est inquiet pour notre ville, il est surtout ici pour alerter les Aulnaysiennes et les Aulnaysiens sur la pente dangereuse she vous prenez pour Aulnay.
Source : Benjamin Giami, conseiller municipal et chef du groupe Aulnay Plus Fière, Plus Forte
Vidéo, Benjamin Giami alerte sur la situation financière désastreuse de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Dans le cadre du débat d’orientation budgétaire de la ville d’Aulnay-sous-Bois, Benjamin Giami, chef du groupe d’opposition Aulnay Plus fière, Plus Forte, a évoqué la crise sanitaire et économique que traverse le pays. Il a souligné cependant l’effort de l’Etat avec son plan de relance de 100 milliards d’euros, le plan de relance le plus important de l’Union Européenne. Il souligne également que 40 milliards ont été financés par l’Europe.
Alors que la majorité municipale s’émeut des dépenses de l’état et de la dette de la France, Benjamin Giami rappelle lès grandes dépenses de la région Île-de-France, dirigée par la Droite (Valérie Pécresse), et celles du département de la Seine-Saint-Denis, dirigé par la Gauche (Stéphane Troussel).
Mais M. Giami rappelle aussi que la dette de la ville d’Aulnay-sous-Bois devrait atteindre 184 millions d’euros en 2025, soit 31 millions d’euros de plus de ce qui était prévu initialement ! Il émet des doutes sur la fiabilité sur la projection du budget et sur le réelle sincérité dans les débats d’orientation budgétaire. Monsieur Giami estime que la ville est dans une impasse financière dramatique (160 millions d’euros de dette en 2020 au lieu de 100 millions d’euros en 2014 à l’arrivée de M. Beschizza à la tête de la ville). Une moyenne de 10 millions d’euros d’augmentation par an est constatée, sans réel infléchissement.
Enfin, Benjamin Giami fait observer que l’épargne nette de la ville est négative. La Ville doit désormais emprunter pour rembourser la dette. Et pour compléter le tableau, la ville n’a plus de capacité d’investissement propre.
L’épargne nette serait négative pour les 3 prochaines années et la capacité de désendettement va empirer (14 ans en 2020, 30 ans en 2021). M. Giami estime que les jérémiades de la majorité municipale qui se plaint que la faute en incombe à l’ancien Maire Gérard Ségura ou à l’Etat doivent cesser et qu’une solution doit être trouvée.
Pour voir la vidéo, cliquer sur ce lien.
Les voeux du groupe Aulnay Plus Fière, Plus Forte
Apres une année 6 combien éprouvante, nous vous présentons nos meilleurs vœux pour l’année 2021.
Une année qui sera, nous l’espérons, faite d’espérance, de renouveau et de réussite.
Paree que beaucoup reste a faire, et parce que la solidarité et l’entraide doivent être au coeur de nos actions, notre devoir est d’être a vos cotes.
Les restrictions sanitaires ont rendu les occasions de vous rencontrer très rares. II nous tarde de pouvoir échanger avec vous très prochainement.
En attendant ce moment, nous restons a votre disposition et a votre écoute.
Source : Benjamin GIAMI, Conseiller municipal, President du groupe «Aulnay Plus Fiere, Plus Forte»
Election du comité En Marche à Aulnay-sous-Bois, un véritable camouflet pour Marc Masnikosa !
Dimanche dernier, les résultats aux élections des animateurs du comité En Marche d’Aulnay ont donné gagnants le binôme composé de Leila Abdellaoui et Benjamin Giami, à près de 90% des suffrages exprimés, face au binôme constitué de Marc Masnikosa et Sylvie Sanchez.
Ces résultats sans appel, pour l’un des comités les plus gros en terme d’adhérents, nous pousse à être encore plus déterminés et motivés pour défendre les valeurs du mouvement et préparer les futures échéances électorales.