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Aménagement du terrain de la Croix Blanche, surprenante RECULADE du Maire d’Aulnay-sous-Bois !
Deux pas en avant, un pas en arrière ! Le Maire revient en partie sur son projet rue de la Croix Blanche : construction d’un nouveau Foyer Autonomie pour remplacer celui des Cèdres qu’ils veulent démolir, situé au bord du canal !
Un 1er permis de construire avait été déposé en septembre 2022. Les associations Aulnay Environnement et Q.C.B.E avaient tout bloqué par un recours auprès du Tribunal administratif car le permis n’était pas conforme au PLU (barre de 100 logements, 80 m de long, 16 m de haut, manque de places de stationnement, plan non conforme pour les voiries et réseaux …)
Le Maire avait alors annoncé qu’il pouvait classer le futur foyer « Construction et Installation Nécessaire Aux Services Publics ou d’Intérêt Collectif » CIVASPIC, ce type de construction pouvant bénéficier de règles d’urbanisme spécifiques, plus souples.
Il suffisait ensuite pour Beschizza, Maire et Président du Territoire, de faire voter une modification du PLU d’Aulnay pour régler tous les points soulevés par le recours.
Ainsi, du 4 au 27 septembre 2023, conformément à la règlementation en vigueur, le Territoire a organisé une concertation éclair, passée inaperçue.
Nous avons récupéré le bilan de concertation. Il est écrit que la modification vise à :
« faire évoluer les règles relatives au stationnement des CINASPIC »
« l’augmentation des hauteurs pour les CINASPIC en zone UG (zone pavillonnaire)
Suite du feuilleton : Lundi 5 avril, vote de la modification 4 du PLU au Conseil de Territoire. Surprise ! B. Beschizza recule … pour le moment … le texte qui sera voté ne modifie pas les hauteurs en zone UG mais modifie le stationnement.
PLU actuel, secteur Croix Blanche : hauteur maxi des bâtiments 9 m. Pour les CINASPIC, 16 m mais en zone UI (espace d’activités) et non en zone UG.
PLU modifié pour le stationnement : 1 place pour 250 m2 au lieu de 200 dans toutes les zones. Par ce tour de passe-passe, que le futur foyer soit classé CINASPIC ou pas, le problème de places de stationnement est facilité pour les constructeurs dans TOUT Aulnay.
Grâce avant tout aux associations qui ont fait un recours, aux protestations des riverains mais aussi aux élu.e.s d’opposition, la construction initiale va sans doute évoluer.
Ce projet est cependant un beau gâchis : disparition d’arbres centenaires et démolition injustifiée du Foyer Autonomie Les Cèdres, un bâtiment agréable, fonctionnel, qui pouvait être rénové, au bord de ce canal tellement vanté par le Maire dans le dernier Oxygène ! Dans le futur foyer, les résidents n’auront plus que leur immeuble comme horizon, en bord de rue, sans la verdure et la vie permanente le long des berges du canal.
Que deviendront les 6 357 m² occupés par le foyer actuel, propriété de la ville depuis 1989 ?
Une belle opération immobilière en vue ? Combien de logements de luxe, à quel prix ?
Pour finir, quelques mots sur l’historique et points de comparaison :
- 1999 : le centre des Impôts part à Blanc-Mesnil, le site est pillé et devient un point de
- 2008 : l’ancienne municipalité de gauche fait racheter pour la ville les 4240 m² par l’Établissement Public Foncier d’Île de France, l’EPFIF
- 2011 : démolition du bâtiment. 1ère concertation
- Juin 2012 : création d’un Comité de pilotage de 20 personnes (associations, habitants, élus)
- 2013 : Projet ACCEPTE en conseil municipal. Promesses tenues : respect du PLU, chênes sauvegardés, un lotissement de 45 logements de 65 m2 dont des petits pour les jeunes ou les seniors, 11 m de haut et des locaux pour la mairie annexe.
Espérons que les seniors ne regretteront pas leur ancien foyer ! Dommage pour les seniors qui réservaient déjà un petit logement dans le lotissement prévu en 2023.
Source : groupe d’opposition de Gauche à Aulnay-sous-Bois
Aulnay Environnement et projet de résidence senior quartier Croix-Blanche
Nous pensons de notre responsabilité d’informer les Aulnaysiens qui s’inquiètent du retard pris par le projet de résidence senior sur le terrain de la Croix Blanche.
Une solution de facilité pour les élus est d’en faire porter la responsabilité à Aulnay Environnement et Q.C.B.E. (Défense de L’environnement du Quartier Croix Blanche d’Aulnay Sous Bois et des Environs) qui ont mené une action en justice administrative si bien fondée que la municipalité a décidé de retirer son permis.
La responsabilité de cet espoir déçu incombe totalement à la municipalité, pour deux raisons fondamentales :
- Le refus obstiné de dialoguer avec les associations et les riverains, fortement impactés par le projet
- La contradiction totale du projet avec l’engagement répété de défense de la zone pavillonnaire
Pour bien comprendre que ces affirmations ne sont ni gratuites, ni partiales, il est utile de revenir en arrière.
Un peu d’histoire :
- 1999 : le site de l’Hôtel des Impôts est disponible pour une autre affectation. Les équipes municipales de Jean-Claude Abrioux jusqu’en 2003, puis de Gérard Gaudron jusqu’en 2008, tergiversent, et laissent le prix du foncier s’envoler, ce qui décourage les promoteurs.
- L’EPFIF (Établissement Public Foncier d’Ile de France) acquiert finalement le terrain, charge à la municipalité d’Aulnay sous Bois de présenter un projet.
- 2012 : l’équipe Gérard Ségura présente aux riverains un projet de petits immeubles d’habitation qui provoque un violent rejet. La municipalité décide alors de créer un Comité de Pilotage largement ouvert, où figurent des habitants, Aulnay Environnement et Q.C.B.E.
- A l’issue des débats, la municipalité présente un projet de petites unités représentant 45 logements d’une hauteur maximale de 11 mètres, compatible avec les caractéristiques d’un quartier pavillonaire.
- 2014 : sitôt élue, l’équipe Bruno Beschizza enterre le projet, met fin au Comité de Pilotage, et laisse le terrain en friche durant toute une mandature.
- Le terrain devient un dépôt de matériaux pour les travaux d’assainissement entrepris dans le quartier, sans aucune des précautions définies par un rapport établi lors de la démolition de l’Hôtel des Impôts : sous des tonnes de matériaux, le tassement des terres au pied des chênes centenaires favorise leur dépérissement, prétexte pour qu’ils soient un à un abattus de 2021 à 2023, à l’exception d’un seul.
- 2021 : le Conseil de Quartier découvre le projet d’une résidence senior, un immeuble de 80 mètres de long sans aucun rapport avec les caractères du quartier pavillonnaire. Les riverains s’indignent : « on va avoir ce contre quoi on a lutté sous Ségura ! », « pas de ça chez nous ! ». On demande que les riverains soient associés à une concertation, refus absolu des élus. Première occasion de débloquer la situation rejetée.
- 2022 : durant les vacances d’été, des riverains découvrent, avenue Jean Jaurès (et non avenue de la Croix Blanche, principalement impactée), derrière une camionnette-ventouse, un affichage annonçant les travaux. Affichage non conforme, puisqu’il n’indique pas la hauteur des bâtiments. Les associations sont contraintes d’avoir recours à un huissier pour faire changer l’affichage. Il apparaît alors que la hauteur prévue n’est pas conforme au PLU, en dépassant les hauteurs permises en quartier pavillonnaire.
- Les associations, en toute légalité, demandent la communication du Permis de construire, on leur répond d’abord qu’il est égaré. À force d’insistance, on obtient le minimum, c’est-à-dire le plan masse où il apparaît une occupation massive du terrain, avec des zones de parkings et d’espace verts notoirement insuffisants.
- Les associations déposent un recours gracieux auprès du Maire, auquel il n’est pas répondu. Deuxième occasion de débloquer la situation rejetée. Le seul recours qui reste aux associations est de consentir à des frais importants, de prendre un avocat et de saisir le Tribunal Administratif.
- L’avocate peut alors avoir accès à l’ensemble du permis, et découvre, outre les contradictions avec le PLU, de nombreuses insuffisances du projet, eu égard à sa destination :
- Les avis de services d’incendie et de secours, des responsables des réseaux d’eau et d’électricité, de Veolia, des Directions Départementales des Territoires (logement), de la Direction Régionale et Interrégionale de l’Aménagement et du Transport n’ont pas été sollicités
- Pas de schéma de gestion des eaux pluviales
- Une surface insuffisante et un emplacement inadéquat pour les locaux d’ordures ménagères, aussi bien pour leur dépôt par les résidents que pour leur enlèvement
- Vue sur le cœur d’ilot complètement obstruée sur 80 m, alors qu’elle doit être préservée au-delà de 20 mètres de façade.
- Hauteur de 16 mètres non conforme au règlement
- Une volumétrie, des matériaux et des teintes sombres en totale rupture avec le bâti environnant, portant atteinte à l’intérêt du quartier
- Un nombre de places de stationnement insuffisant, un local vélo et deux roues motorisées non conforme
Il apparaît donc clairement que le permis de construire, accordé tacitement, n’a pas été correctement conçu par l’architecte, ni correctement examiné par les services municipaux.
- Août 2023 : La solidité de la requête présentée par notre avocate conduit la municipalité à comprendre qu’elle n’aura pas gain de cause devant le Tribunal, si bien qu’elle retire son permis. Le Tribunal impose au promoteur et à la municipalité de dédommager les associations pour un montant de 1000€ chacune, ce qui représente à peine un tiers des frais engagés. Le promoteur paie ce dédommagement, nous attendons toujours le versement de la municipalité.
- Juillet 2023 : la municipalité a changé de méthode pour passer en force : modifier le PLU et assimiler le projet à une CINASPIC (Construction ou Installation Nécessaire à un Service Public ou d’Intérêt Collectif) et en assouplir les règles, particulièrement en matière de places de stationnement, de hauteur de construction et de retrait par rapport aux limites séparatives. Lors de l’enquête publique, nous avons exprimé notre désaccord : un CINASPIC n’a pas sa place dans une zone pavillonnaire. Nous attendons l’avis du commissaire-enquêteur et la décision du Préfet.
Le fond du problème :
- en l’absence de toute information, il ne s’agit pas d’un service public, mais d’une opération immobilière.
- Il ne s’agit pas d’un établissement supplémentaire, mais du remplacement de la Résidence des Cèdres, un établissement public dépendant du Centre Communal d’Action Sociale, par une structure privée ouverte au libre marché. Les résidents actuels des Cèdres et les nouveaux postulants ne doivent donc pas s’attendre au maintien dans la durée des conditions financières de l’actuelle résidence.
Nous ne sommes pas opposés à une construction destinée aux seniors sur le terrain de la Croix Blanche, mais nous demandons :
- Qu’un dialogue avec les riverains et les associations soit établi, avec une information sincère et précise
- Que le projet s’intègre harmonieusement dans le tissu pavillonnaire, avec 40% de la surface en espaces verts en pleine terre et compensation pour les arbres détruits
- Que tout soit fait, en matière de stationnement, pour ne pas aggraver l’encombrement du quartier
- Que l’établissement reste de statut public et soumis aux règles de l’Action Sociale
- Que le Foyer des Cèdres situé sur la rive du canal soit rénové et non promis à une juteuse opération immobilière au profit d’opérateurs privés.
Notre participation aux institutions qui permettent l’expression et l’information des citoyens (CODEV de la métropole du Grand Paris, journées Adaptaville) nous font découvrir qu’à Vincennes, qui engage une limitation des places de stationnement au profit de plantation d’arbres, ou à Villeneuve la Garenne, qui assure un suivi de chantier aux habitants, deux villes dirigées par des équipes situées dans la même zone de l’échiquier politique que notre municipalité, on a compris, et on répète que « rien ne peut être fait sans l’accord des habitants ».
Certes, la vie démocratique n’est jamais de tout repos, mais Aulnay doit-elle rester une ville qui lui tourne le dos ?
Source : association Aulnay Environnement
Résidence senior Croix Blanche à Aulnay-sous-Bois : On change les règles !
Que faire lorsqu’on a approuvé un permis de construire dont on n’a même pas vu qu’il ne respectait pas le règlement du PLU, de sorte qu’Aulnay Environnement et Q.C.B.E. ont attaqué le projet et qu’on a été obligé de le retirer ?
Qu’à cela ne tienne, il suffit le changer le règlement ! La 4e modification du PLU d’Aulnay-sous-bois, déjà approuvé par le Conseil de Territoire, permet de calibrer précisément le règlement sur le projet du promoteur !
· imposer rue Jean Jaurès « ce signe architectural ponctuel » :
« il sera possible de créer un élément architectural marquant dans un plafond de hauteur de 16 mètres » (p6/11)
Ainsi on se dispense des règles auxquelles le règlement contraint le simple citoyen, qui dans la zone UG ne peut élever de nouvelle construction au-delà de 11m.
Mais ne boudons pas notre plaisir de pouvoir bénéficier d’un si bel embellissement de notre paysage urbain ! Cela valait bien une modification du PLU !
- Mettre les places de parking à la portion congrue:
La modification du PLU indique que pour une « résidence senior » d’une centaine de logements, avec des services spécifiques pour cette tranche d’âge, « le nombre d’employés (est) éventuellement inconnu lors du dépôt de la demande d’autorisation» (p 7/11). Il suffit de consulter sur le net les effectifs dans certaines résidences senior : une vingtaine de personnes! Alors que nous avions relevé l’insuffisance du nombre de places de parking, il est encore réduit au minimum : au lieu de « 1 place pour 3 employés + 1 place pour 200m2 de SDP (Surface De Plancher) », on exigera juste « 1 place pour 250 m2 de SDP ». Soit pour l’ancien projet de 5000m2 : 25 places + places employés. On tomberait à 20 places ! Les employés imprévisibles, les résidents et les visiteurs n’auront qu’à se garer dans une rue déjà saturée. Ou sur les trottoirs, comme c’est la coutume de laisser-faire à Aulnay !
Cependant, quelques articles n’ont pas pu être changés :
- «Toutes les façades doivent être conçues de sorte à ne pas porter une atteinte excessive à l’unité architecturale de leur environnement bâti ». (article 11/2.3). Les participants au Conseil de Quartier s’étaient précisément scandalisés de l’aspect d’un projet dont la volumétrie, les matériaux et les teintes sombres étaient en rupture complète avec le bâti environnant.
- « La vue sur les cœurs d’ilots doit être conservée pour les façades (…) présentant un linéaire supérieur à 20 mètres ». Or le projet qu’Aulnay Environnement et Q.C.B.E. ont combattu avait une façade de 80 mètres !
Le nouveau projet tiendra-t-il compte du refus des riverains de voir implanter en plein quartier pavillonnaire un ensemble digne des casernes qui ont fleuri dans toutes les villes des l’Est de la France à la fin du XIXe siècle ?
Est-ce cela, l’intention affichée de « défendre la zone pavillonnaire » ?
Il reste un point essentiel : cette « résidence senior » qui n’est pour l’instant qu’une opération immobilière privée remplaçant un établissement public dépendant du Centre Communal d’Action Sociale (Les Cèdres) peut-elle être vraiment assimilée à un CINASPIC (Construction ou Installation Nécessaire à un Service Public ou d’Intérêt Collectif) ? C’est en effet sur cette dénomination que repose la justification de ces modifications.
Nous serons très vigilants sur le nouveau permis de construire dont nous espérons, lorsqu’on en demandera la communication, qu’on ne nous dira pas, comme pour le précédent : « on ne sait pas où il est !»
QUAND LES ÉLUS VOUDRONT-ILS BIEN ASSOCIER LES AULNAYSIENS À LA TRANSFORMATION DE LEUR VILLE ?
Source : Aulnay Environement
La municipalité et le promoteur doivent rembourser les associations Aulnay Environnement et QCBE !
Le Tribunal Administratif de MONTREUIL, par son ordonnance du 19 novembre 2023, condamne la Commune d’Aulnay-sous-Bois et la société bénéficiaire de l’autorisation de construire (le promoteur) à verser la somme de 1.000 € à chacune des deux associations, Aulnay Environnement et Q.C.B.E, soit 2.000 €.
Cette somme est loin de couvrir nos frais, mais elle contribue à légitimer notre bon droit. Il est malheureux que le budget communal soit amené ainsi à financer une action en justice à la suite du dépôt d’un permis de construire indéfendable en droit et surtout contraire aux vœux que les riverains ont exprimé en Conseil de Quartier.
Que les Aulnaysiens se rassurent : cette somme servira à financer notre action, qui consiste entre autres à les informer de tout ce que la municipalité ne veut pas que l’on sache, et à porter leurs aspirations au développement d’une ville conçue avec eux, et non contre eux.
Il ne faut pas rêver : la municipalité n’en tire pas la conclusion qu’il faut dialoguer. Seul le rapport de force compte pour elle, et elle a tous les moyens d’imposer sa volonté, tout simplement en changeant le règlement du PLU pour rendre son projet inattaquable.
Source : Aulnay Environnement
Le projet de la résidence séniors quartier Croix-Blanche à Aulnay-sous-Bois passe mal
Août 2022 : l’avis de construction est affiché, et peu visible (constat d’huissier)
SEPTEMBRE 2022 : Aulnay Environnement et Q.C.B.E. déposent un recours gracieux reprenant les griefs des habitants
DÉCEMBRE 2022 : L’AVOCAT DES ASSOCIATIONS DÉPOSE UN RECOURS AUPRÈS DU TRIBUNAL ADMINISTRATIF
DÉNONÇANT DES VIOLATIONS DU CODE DE L’URBANISME ET DU PLU et notamment :
- Les avis de services d’incendie et de secours, des responsables des réseaux d’eau et d’électricité, de Veolia, des Directions Départementales des Territoires (logement), de la Direction Régionale et Interrégionale de l’Aménagement et du Transport n’ont pas été sollicités
- Pas de schéma de gestion des eaux pluviales
- Une surface insuffisante et un emplacement inadéquat pour les locaux d’ordures ménagères, aussi bien pour leur dépôt par les résidents que pour leur enlèvement
- Vue sur le cœur d’ilot complètement obstruée sur 80 m, alors qu’elle doit être préservée au-delà de 20 mètres de façade.
- Hauteur de 16 mètres non conforme au règlement
- Une volumétrie, des matériaux et des teintes sombres en totale rupture avec le bâti environnant, portant atteinte à l’intérêt du quartier
- Un nombre de places de stationnement insuffisant, un local vélo et deux roues motorisées non conforme
L’AVENIR DU PROJET DOIT ÊTRE DISCUTÉ AVEC LES RIVERAINS !
Source : Aulnay Environnement
Les aménagements du Pont de la Croix-Blanche à Aulnay-sous-Bois : le constat d’un échec
File de voitures du rond point de la rue du Clocher / Av . Croix Blanche jusqu’au pont de la Croix Blanche
File de voitures du rond point de la rue Arthur Chevalier/ Av. Schueller jusqu’au pont de la Croix Blanche
Côté NORD :
File de voitures du moulin neuf jusqu’au pont de la Croix Blanche
File de voitures du stop de la rue du 11 novembre jusqu’au pont de la Croix Blanche
Que l’on attaque le Pont de la Croix Blanche par tous les côtés, c’est le blocage aux heures de pointe….alors que les techniciens avaient certainement planché sur la faisabilité du projet, avaient étudié ses effets et avaient donc conclu à son intérêt général pour obtenir ensuite la validation des élus très compétents en la matière mais qui auront l’aplomb de prouver, une habitude, que leur choix est au dessus de tout soupçon, afin de répondre à :
« La municipalité travaille pour améliorer votre cadre de vie »
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Encore un raté mais ce n’est pas grave, c’est l’argent du contribuable que l’on utilise le plus souvent au gré de ses impulsions, au gré parfois des intérêts d’ élus …
Qu’en sera-t-il, le 22 décembre 2018, le 14 janvier 2019 …etc, certainement pire avec augmentation de la population sans en mesurer les conséquences.
Prochain article avec photos
Source : Un automobiliste aulnaysien
Bientôt la fin des bouchons sur le pont de la Croix-Blanche à Aulnay-sous-Bois ?
Il faut aujourd’hui parfois 30 minutes pour aller du Lycée Jean Zay à l’entrée de l’avenue du Clocher en passant par le pont de la Croix-Blanche en heure de pointe. Entre le flot de voitures, les bus qui peuvent doubler la file via leur voie réservée et les petits malins qui font de même pour gagner quelques minutes, il y a parfois de quoi perdre patience.
Une troisième voie sera bientôt créer sur le pont via un projet dont le montant est estimé à 500 000 €. Est-ce que cela sera suffisant pour réduire les blocages de circulation ?
Les chênes du terrain de la Croix-Blanche à Aulnay-sous-Bois commencent à être éliminés
L’élimination des chênes du terrain de la Croix Blanche a commencé. Retour de congé, je découvre dans ma boîte l’annonce que le champignon lignivore a encore frappé, et que les services techniques lui emboîtent le pas. Tôt ce matin, le quartier résonne du chant des tronçonneuses.
Aucune analyse scientifique n’est invoquée, mais je ne doute pas qu’on pourra me fournir tous les documents justificatifs dûment estampillés. Je tiens cependant à dire toute amertume à constater qu’à propos d’arbres magnifiques et patrimoniaux plus que centenaires, aucune concertation (au sens municipal, c’est-à-dire, où l’on vous réunit pour vous dire ce qui a été décidé) n’a été proposée à une association connue pour défendre les arbres, en lui communiquant les documents qui justifient cette action. C’est une fois de plus, l’éloquente démonstration du mépris dans lequel on tient les Aulnaysiens et leurs associations.
La mandature Beschizza, qui ne fait guère de distinction entre arbres malades et en bonne santé (voir place ex-Camélinat) sera sans aucun doute mémorable, non seulement par le massacre de notre paysage urbain, mais aussi par la plus grande hécatombe d’arbres patrimoniaux.
Source : communiqué Aulnay Environnement
Que devient le terrain de la Croix-Blanche à Aulnay-sous-Bois ?
Aujourd’hui, le terrain de la Croix-Blanche sert de base de vie aux ouvriers qui travaillent dans le quartier pour la modernisation du réseau d’assainissement, afin que les inondations de 2013 ne se reproduisent pas.
Mais demain ?
Pour l’instant, seuls des bruits circulent sur d’éventuels projets, mais rien de réellement concret. Nous sommes donc dans l’attente et dans l’interrogation les plus totales. Malheureusement, nous n’avons AUCUNE INFORMATION sur le devenir du terrain.
Sachez néanmoins que nous resterons fermes sur les demandes faites dès 2011 : le maintien de la mairie annexe et la mise en place d’un autre équipement de quartier, ainsi que des logements à taille humaine et en respect avec l’environnement proche. Des logements qui seront réfléchis et raisonnés, et bâtis en concertation avec les riverains.
Nous lançons donc un appel à la Mairie pour savoir où en est le projet et sommes bien évidemment vigilants, mobilisés et à votre écoute !
Source : communiqué QCBE
Des dizaines de camions de CRS aperçus au niveau du Pont de la Croix-Blanche à Aulnay-sous-Bois
Un lecteur nous informe que des Bonjour que plus de 10 camions de CRS sont stationnés au niveau du pont de la Croix-Blanche. Les accès sont très difficiles, mais aucune information n’a pu être recueillie jusqu’à présent.
Fausse alerte ou réel danger ? Mieux vaut être prudent si vous passez par ce secteur.

