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Le policier en cavale Arnaud Bonnefoy a retiré 1500 € à Breteuil avant de filer vers Amiens
Arnaud Bonnefoy, soupçonné d’avoir tué sa compagne Amanda Glain à Paris, a tiré 1 500 € en espèce dans un distributeur à Breteuil (Oise), quelque jours avant que son véhicule et son arme on été retrouvés à Amiens (Somme). Il file donc vers le Nord. Il reste dangereux.
Arnaud Bonnefoy était en poste au commissariat du Blanc-Mesnil et était connu pour ses accès de violence et de dépression.
La voiture et l’arme du policier Arnaud Bonnefoy en cavale pour le meurtre d’Amanda Glain retrouvées à Amiens
Plusieurs semaines après la découverte du corps d’Amanda Glain dans une baignoire de son appartement à Paris 19e, les forces de l’ordre sont toujours à la recherche de son compagnon, le policier en poste au Blanc-Mesnil Arnaud Bonnefoy. L’enquête avance et on sait désormais que le policier en cavale est passé par Amiens, puisque sa voiture et son arme ont été retrouvés.
L’étau se resserre mais ce policier parvient pour le moment à déjouer tous les pièges et parvient à se cacher. Il est accusé d’un féminicide et encoure une peine de prison lourde.
Un lecteur affirme avoir peut-être aperçu le policier en cavale du Blanc-Mesnil Arnaud Bonnefoy
Un lecteur du site Aulnaycap affirme avoir aperçu très récemment une personne, seule et sans véhicule, qui ressemblait étrangement à Arnaud Bonnefroy, le policier du Blanc-Mesnil en cavale. Il est soupçonné d’avoir tué sa compagne Amanda Glain qui n’avait que tout juste 28 ans.
Il est armé est reste particulièrement dangereux. Si vous pensez le reconnaître ne tentez rien, passez votre chemin et appelez la police une fois éloigné de lui.
Un appel à témoin pour retrouver Arnaud Bonnefoy policier du Blanc-Mesnil suspecté d’avoir tué sa compagne
Cela fait environ 2 semaines que le policier en poste au Blanc-Mesnil, Arnaud B. âgé de 29 ans, est recherché pour le meurtre de sa compagne Amanda. Malgré l’insistance de la classe politique choqué par ce féminicide, le portrait de ce policier n’a été affiché que très récemment.
On ignore où il se cache et s’il est toujours en possession de son arme. Si vous le voyez, ne tentez rien, appelez simplement la police.
Procès du migrant Soudanais qui a tué sa compagne Audrey Coignard, militante pro-migrants, à Saint-Ouen
Audrey Coignard avait fait de brillantes études de médecine à Caen et avait le coeur sur la main. Elle aidait son prochain et s’était engagée dès 2016 dans l’accueil des migrants notamment autour de Paris. Elle avait trouvé l’amour en rencontrant l’une des personnes qu’elle avait secourue. Les deux tourtereaux se sont donc mis ensemble pour partager une vie commune, malgré les différences.
Ce migrant Soudanais, peu reconnaissant de tout le bien qu’avait pu lui procurer Audrey, a donné de nombreux coups de couteaux qui ont été fatal. Audrey est morte à Saint-Ouen le 16 septembre 2019 alors qu’elle n’avait que 27 ans et toute la vie devant elle.
Le migrant Soudanais est jugé à Bobigny jusqu’au 4 février 2022 pour féminicide.
Arnaud B., le policier en exercice au Blanc-Mesnil qui aurait tué sa compagne, toujours en fuite, armé et dangereux
Arnaud B., jeune policier en exercice commissariat du Blanc-Mesnil, est toujours activement recherché après la découverte du corps de sa compagne dans sa baignoire de son logement à Paris XIX. Il est introuvable, injoignable et armé. Son véhicule (Peugeot 208 blanche) est toujours introuvable également.
Ce jeune policier est connu pour des faits de violence et a eu des troubles psychologiques notamment après une rupture amoureuse mal digérée.
Le policier au Blanc-Mesnil soupçonné d’avoir tué sa femme reste introuvable
Ce policier du Blanc-Mesnil de 29 ans, en poste depuis trois ans, est toujours recherché depuis vendredi soir. Sa compagne a été retrouvée morte dans sa baignoire, dans le 19e arrondissement. Le policier est soupçonné de meutre dans cette affaire.
Selon Le Parisien, il y aurait eu des cas de violences conjugales par le passé.
De plus en plus de femmes battues et tuées par leur mari en Seine-Saint-Denis
A peine quatre mois jour pour jour après l’hommage rendu à Hamana, tuée par son conjoint, la maire d’Aubervilliers Karine Franclet (UDI), accompagnée de l’Observatoire des violences envers les femmes et des associations, a une nouvelle fois fait part de son indignation. A Aubervilliers plane un triste air de déjà vu.
« A nouveau, nous connaissons un féminicide à Aubervilliers. A nouveau, nous sommes rassemblés ici pour exprimer notre indignation et notre refus collectif de cette violence envers les femmes. Ce type de crime n’est pas un fait divers », a rappelé Ayoub Bendahmane, membre du conseil local des jeunes d’Aubervilliers.
Le conjoint mis en examen
Le samedi 8 janvier, Elsa-Marie et sa fille ont été poignardées à plusieurs reprises. Quelques instants après le drame, le père et conjoint des victimes était interpellé alors que sa voiture venait de percuter violemment un mur. En garde à vue, il a finalement reconnu les faits. Il est depuis mis en examen pour « meurtre par concubin », « meurtre sur mineure de moisn de 15 ans » et « tentative de meurtre ».
Source et article complet : Actu.fr
Une femme tuée devant ses enfants en Seine-Saint-Denis, 81e féminicide en France cette année
Il y a 4 jours, une femme a été tuée par son mari furieux devant ses 4 enfants à Aubervilliers. Une crise de rage qui a laissé la vie d’une mère de famille devant ses enfants apeurés. Un enfant a même tenté d’intervenir mais a été violemment repoussé.
Depuis le début de cette année, 81 femmes ont été tuées par leur mari en France. Un phénomène qui ne semble pas s’atténuer et qui passe aujourd’hui inaperçu, ou presque. Les féministes s’attendent à une justice implacable face à ce genre de comportement.
En Seine-Saint-Denis, une prise en charge inédite des enfants de victimes de violences conjugales
Le «protocole féminicide» s’attelle à créer un cocon pour entourer et soigner les enfants dont l’un des parents est victime d’un homicide par conjoint.
«On ne peut pas faire plus de mal à un enfant qu’en tuant sa mère»: c’est pour cette raison qu’Ernestine Ronai, responsable de l’Observatoire des violences envers les femmes de Seine-Saint-Denis, a eu l’idée de mettre en place un «protocole féminicide» pour prendre en charge les enfants dont la mère est tuée par son (ex)conjoint. Un dispositif unique en France dont la généralisation a été discutée dans le cadre du Grenelle des violences conjugales organisé par le gouvernement.
Dès 2008, l’Observatoire des violences envers les femmes s’inquiétait du traumatisme subi par un enfant confié à des proches- parents, frères, sœurs, amis du coupable ou de la victime – souvent sous le choc, et qui n’ont «pas forcément la disponibilité psychique nécessaire à l’enfant», explique Clémentine Rappaport, cheffe du service pédopsychiatrie de l’hôpital intercommunal Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois. «La plupart des enfants sont jeunes et ils manifestent leur souffrance par le jeu traumatique, développe la spécialiste. Certains rejouent la scène en boucle, d’autres s’expriment verbalement» sur le sujet, en continu.
Source et article complet : Le Figaro