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La France Insoumise Aulnay-sous-Bois présente au marché des 3000 ce samedi 11 janvier

Vous pourrez retrouver les membres du parti de La France Insoumise (LFI) ce samedi 11 janvier sur la place du marché de la Rose-des-Vents (3000), dans le cadre des Rencontres Nationales des Quartiers Populaires.

Leur objectif est de pouvoir discuter des préoccupations des Aulnaysiens, et de partager leurs remarques et propositions pour leur quartier à l’approche des élections municipales de 2026.

Qui sera la tête de liste LFI en 2026 pour tenter de battre le redoutable Maire LR Bruno Beschizza ? Peut-être un élément de réponse ce samedi.

La députée Nadège Abomangoli présente ses voeux à Aulnay-sous-Bois le 25 janvier avec Mathilde Panot

La députée de la 10e circonscription de la Seine-Saint-Denis (Aulnay-sous-Bois, Les Pavillons-sous-Bois, Bondy Sud-Est) vous souhaite une belle année 2025.

Sur le plan politique, ses projets sont clairs : tout changer en France avec ses compagnons de route du parti de La France Insoumise (LFI). Nadège Abomangoli souhaite donc une année combative, pour signifier qu’un autre monde est possible.

Le 25 janvier 2025 à 19 heure, salle Dumont (12 Boulevard Galliéni), Nadège Abomangoli présentera ses voeux.

Et pour ses vœux il y aura du lourd : Mathilde Panot, présidente du groupe LFI-NFP – sera présente à sa cérémonie.

Nadège Abomangoli parviendra-t-elle a conserver la 10e circonscription de la Seine-Saint-Denis ?

Nadège Abomangoli, députée sortante de la 10e circonscription de la Seine-Saint-Denis (Aulnay-sous-Bois / Les Pavillons-sous-Bois / Bondy Sud-Est), a été réinvestie par son parti LFI pour défendre la bannière « Nouveau Front Populaire ». Si elle fait figure de grande favorite dans cette circonscription où le parti LFI est arrivé largement en tête aux Européennes, parviendra-t-elle à surfer sur la vague ?

Réponse les 30 juin et 7 juillet prochains.

Carlos Martens Bilongo ancien coach sportif de l’artiste d’Aulnay-sous-Bois Aya Nakamura témoigne du racisme

Carlos Martens Bilongo est aujourd’hui sans nouvelles de la procédure mais explique qu’il était important de ne pas laisser passer ces propos. « Renvoyer quelqu’un à son origine comme cela, c’est complètement abject. On est dans une période de montée de l’extrême droite et la réussite d’une jeune femme noire dérange. C’est une icône qui appartient au patrimoine français donc on doit tout faire pour qu’elle aille le mieux possible et la protéger, même si certains ont du mal à l’entendre », dénonce le député élu en 2022 dans le Val-d’Oise sous l’étiquette de la Nupes, alors qu’on le rencontre à l’Assemblée nationale.

Source et article complet : Ouest France

Nadège Abomangoli soutient les grévistes de Stellantis à Aulnay-sous-Bois

Pour la députée Nadège Abomangoli, pendant que Carlos Tavares se gave à 36,5 millions d’euros par an, son groupe Stellantis joue avec la vie de 280 familles d’Aulnay-sous-Bois.

La France Insoumise a déposé une proposition de loi pour encadrer ces salaires indignes. Son groupe récompense les dividendes et punit le travail réel, selon la députée.

Emeutes à Aulnay-sous-Bois, LFI réclame justice pour Nahel et une réforme complète de la police

Vous trouverez ci-dessous le communiqué LFI Aulnay-sous-Bois concernant les émeutes dans la ville, la mort de Nahel et le souhait de réformer la police.

Lettre ouverte du POID Aulnay-sous-Bois à Nadège Abomangoli, députée de la NUPES sur la 10e circonscription

Madame la députée,

Lundi 22 mai a commencé à l’Assemblée nationale la présentation de la loi de programmation militaire (LPM) pour les années 2024-2030, qui sera suivie d’une discussion et enfin du vote. Le Président Macron, après avoir imposé par la force la loi sur les retraites, veut faire adopter cette LPM de 413 milliards sur six ans, soit 40% d’augmentation de plus par an que la précédente.

Qu’allez- vous voter, Madame la députée ?

Nous avons pris connaissance des discussions et des votes dans la commission de la défense nationale qui ont préparé la présentation en séance plénière le 22 mai. Le groupe LFI auquel vous appartenez a déposé 388 amendements dans les quatre commissions concernées dont celle de la défense. Aucun député n’a exprimé une quelconque opposition au projet de 413 milliards ! Les députés PS et EE LV se sont abstenus, ceux de LFI n’ont pas pris part au vote.

Parmi les amendements de votre groupe, la Nupes (LFI – PS – PCF – EELV), dans la commission de défense, on peut lire- amendement LFI ajouter les munitions et les équipements fabriqués comme éléments constitutifs de la sécurité des approvisionnements pour la continuité des missions des forces armées. » (amendement DN435) Accord du ministre macroniste Lecornu et adopté.

Ou bien – Amendement LFI : « si nous voulons que nos réserves montent en puissance aussi bien dans la diversité de leurs missions qu’en effectifs, leur emploi doit être intensifié. » (DN440). Accord de Lecornu – Adopté

Ou encore : Amendement LFI : (demander « 3 satellites Syracuse IV » plutôt que 2, « une cible de 1610 véhicules Griffon d’ici à 2030 » au lieu de 1345, davantage « de systèmes de drones aériens marine ». (DN 448) – Refusé

Les travailleurs, les citoyens ne vous ont pas mandaté, vous et votre groupe, pour présenter des amendements à une loi de 413 milliards pour la défense, pour la soutenir (ou vous abstenir). Cela va se faire au détriment des services publics, de l’école, des hôpitaux. Le ministre du Budget Bruno Lemaire annonce « des mesures douloureuses » et la réduction de 7 milliards des dépenses publiques en 2024.

Vous avez fait connaître, à juste titre, sur les réseaux sociaux, votre soutien à la grève des personnels de la gynécologie- obstétrique de l’hôpital Ballanger. Celui-ci a vu les urgences très ralenties faute de personnel et il manque dramatiquement des personnels dans tous les services.

N’est-ce pas contradictoire avec un soutien ou une abstention à la LPM ?

La logique voudrait donc que les travailleurs, les citoyens soient informés du contenu de cette loi des 413 milliards, des conséquences effrayantes qu’elle va avoir sur l’hôpital, l’école et tous les services publics. Et que les députés se réclamant de la gauche votent contre cette LPM, la dénoncent et appellent à manifester devant l’Assemblée nationale le jour du vote de cette loi.

Nous sommes impatients de connaître votre réponse et sommes à votre disposition pour vous rencontrer.

Pour le comité d’Aulnay du POID : Sylvie Guy et Michel Lefebvre

Le journaliste Amaury Bucco accuse Rachel Kéké et Hadama Traoré d’avoir voulu empêcher l’expulsion d’un islamiste Ivoirien

Le 14 novembre, la députée LFI Rachel Kéké s’est rendue au centre de rétention (CRA) de Plaisir pour apporter son soutien à un ressortissant ivoirien (dénommé Mousse B.) sur le point d’être expulsé dans son pays, après de nombreux démêlés judiciaires.

Mousse B. est né en 1984 en Côte d’Ivoire. Il est ajd âgé de 38 ans. Il est arrivé régulièrement en France à l’âge de 4 ans, au titre du regroupement familial, et entame dès l’adolescence un long parcours de délinquant « qui se déploie sur 20 années au total » selon les autorités. Ses déboires avec la police et la justice commencent à la fin des années 90. Il se fait peu à peu connaitre dans le milieu criminel sous les alias « l’Afrique » ou « Buldo ». Il est rattrapé par la justice et condamné à de multiples reprises entre 2003 et 2021, notamment pour des faits de: port d’arme, association de malfaiteur, vol avec violence, délit de fuite, violences & outrages, refus d’obtempérer, etc. « Le quantum total de ses peines s’élèvent à plus de 15 années d’emprisonnement » indique les autorités préfectorale dans un document consulté par CNEWS.

Il est d’ailleurs incarcéré en continue de mai 2012 à novembre 2020. Sa détention est marquée par plusieurs incidents. En 2015, par exemple, après une permission, il ne réintègre pas la prison, ce qui est considéré comme une évasion. Quelques semaines plus tard, il donne un coup de tête à un surveillant.

Selon les services de renseignement, il se radicalise en prison, où il fréquente des détenus proches de la mouvance islamiste. Il est donc inscrit en 2018 au FSPRT (fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste). En conséquence, peu après sa sortie de prison en 2020, il est visé par une mesure individuelle de contrôle administratif et de surveillance (Micas) qui l’oblige à respecter certaines contraintes, comme ne pas sortir de son département et de pointer au commissariat. Mesures qu’il viole à plusieurs reprises, ce qui lui vaut 2 nouvelles condamnations à de la prison ferme, l’une en 2021, l’autre en 2022. Lors de cette seconde peine, plusieurs ouvrages «présentant une vision salafo-whabbite de l’islam» sont retrouvés dans sa cellule, selon les renseignements.

Pour toutes ces raisons, le ministère de l’Intérieur songe à expulser Moussa B. vers son pays d’origine, la Côte d’Ivoire. D’autant que, selon les autorités préfectorales, Mousse B. n’a obtenu qu’un titre de séjour en 2004 au titre de sa vie privée et familiale. Titre qu’il n’a jamais renouvelé par la suite, ce qui lui a valu un arrêté de reconduite à la frontière en 2006.

Oui mais voilà : Mousse B. bénéficie d’une protection quasi absolue contre les expulsions, puisqu’il est arrivé avant l’âge de 13 ans en France et qu’il possède des attaches familiales en France: son père, sa sœur, un enfant (reconnu tardivement) né d’une précédente relation, et une compagne. Le seul moyen de l’expulser est donc de prendre un arrêté ministériel d’expulsion basé sur le danger qu’il représente pour la sureté de l’Etat du fait de sa radicalisation. Un peu comme pour l’Imam Hassan Iquioussen. Ces motivations ne convainquent toutefois pas la Commission d’Expulsion (Comex), composée de magistrats, qui rend en janvier 2022 un avis défavorable à l’expulsion de Mousse B.

Le ministère de l’Intérieur décide néanmoins de passer outre (l’avis de la Comex étant purement consultatif) et prononce un arrêté ministériel d’expulsion en juillet 2022, conformément à la volonté de Gérald Darmanin d’expulser les étrangers dangereux. Mais pour autant, Mousse B. ne quitte pas la France. De source policière, il refuse à 8 reprises de se soumettre à un test PCR (nécessaire pour se rendre en Côte d’Ivoire) et fait ainsi annuler 7 retours programmés vers son pays d’origine. Ces multiples refus lui valent d’être déféré, jugé et condamné à de la prison ferme par le tribunal de Meaux pour « refus pas un étranger de se soumettre aux obligations sanitaires nécessaires à l’exécution d’une décision d’éloignement » indique à CNEWS une source judiciaire. Le 5 novembre 2022, à sa sortie de prison, il est placé au centre de rétention administrative (CRA) de Plaisir. Et reçoit alors le soutien de la député LFI Rachel Kéké, ainsi que d’un comité composé de ses proches et du militant de banlieue Hadama Traoré, fondateur de l’association La Révolution est en marche (Hadama Traoré avait déjà fait parler de lui après l’attentat dans la préfecture de Paris, en organisant une manifestation de soutien à Mikaël Harpon qu’il estimait injustement accusé de terrorisme).

Ce comité s’oppose à l’expulsion de Moussa B., qui serait selon eux injustifiée. Lundi 14 novembre au matin, la député LFI Rachel Kéké se présente ainsi au centre de rétention de Plaisir en compagnie d’une attachée parlementaire, pour rendre visite à Mousse B. La scène est d’ailleurs filmée via Facebook Live par le militant associatif Hadama Traoré. A noter que le commissariat de Plaisir (qui ne forme qu’un seul et même bâtiment avec le CRA) avait été alerté de cette « manifestation » par les services de renseignement. Même si les participants sont moins nombreux que prévu, la visite tourne dans un premier temps au vinaigre.

«Ils cherchaient clairement l’incident, surtout Hadama Traoré» raconte à CENWS un policier présent sur place. Selon cette source : Rachel Kéké n’aurait pas présenté le justificatif habituel faisant état de sa qualité d’élue; par ailleurs, Hadama Traoré filme et diffuse la scène contre l’avis des policiers présents sur place ; enfin, les membres du comité de soutien composés d’une demi-douzaine de personnes demandent à pouvoir rentrer tous ensemble, en même tps, dans le centre. La police les autorise finalement a rentrer au compte goute, et fait d’abord entrer la députée LFI et son assistante. Elles s’entretiennent plus d’une heure avec Mousse B., puis visitent l’établissement (qui comprend 26 places). Le lendemain, mardi 15 novembre, Hadama Traoré appelle sur les réseaux sociaux à «harceler» le standard du centre de rétention.

Selon le même militant, Rachel Kéké aurait par ailleurs contacté l’ambassade de Côte d’Ivoire à plusieurs reprises pour demander la suspension du laissez-passer consulaire octroyé à Mousse B.
Contactée à de nombreuses reprises par CNEWS, l’équipe de la députée LFI, n’a pas souhaité répondre à nos questions, et n’a donc pas confirmé ces propos.

Le mardi 15 novembre, l’expulsion de Mousse B. est prévue en toute discrétion. Les autorités françaises ont réussi à négocier son expulsion sans test PCR pour éviter un nouveau refus. Ce jour-là, il est simplement informé qu’il doit se rendre à Roissy pour signer des papiers.

Mousse B., qui se doute de quelque chose, passe des coups de fil à ses proches. Ces derniers décident de se rendre à l’aéroport pour faire barrage à son expulsion. Le militant associatif Hadama Traoré appelle sur les réseaux sociaux à se rendre au terminal 2E pour rejoindre le comité de soutien à Mousse B. Une fois dans l’aéroport, ils tentent de convaincre les passagers du vol pour Abidjan de refuser la présence de Mousse B dans l’avion, et ainsi faire échouer son expulsion. Mais ils se trompent de vol. Mousse B. est expulsé plus tard dans l’après-midi, vers 17h, avec une escorte de 4 policiers de la police aux frontières (PAF) qui font donc l’aller et retour en avion. Il atterrit dans la soirée en Côte d’Ivoire, son pays, le 15 novembre.

Le lendemain, l’association d’Hadama Traoré rédige une plainte à l’encontre du ministère de l’Intérieur, accusé d’islamophobie. Contacté par CNEWS, Hadama Traoré explique que les accusations de radicalisation visant Mousse B. ne sont pas fondées et qu’il s’agit de discrimination. Il indique par exemple que l’un des nombreux livres trouvés dans la cellule de Mousse B., dénommé « La citadelle du musulman » et jugé fondamentaliste par les renseignements, lui a été remis par son aumonier en prison. Contacté par CNEWS, un directeur de prison nous confirme que ce livre n’est pas interdit en prison et qu’il peut être remis par les aumoniers musulmans aux détenus qui le souhaitent. L’association invoque aussi les attaches familiales de Mousse B. en France, ainsi que le statut d’ancien combattant (non confirmé) de son grand-père.

La plainte contre le ministère de l’Intérieur aurait été remise en main propre par la sœur de Mousse B. à la députée LFI Danièle Obono, le 16 novembre dernier. L’association milite désormais pour le « rapatriement » de Mousse B. en France.

Source : Amaury Bucco, journaliste CNEWS

La France Insoumise à Aulnay-sous-Bois n’appelle pas au rassemblement de la Gauche au deuxième tour des départementales

Il n’y aura pas de consigne de votre de La France insoumise à Aulnay-sous-Bois que ce soit pour « la droite dure » ou « la gauche qui contribue à dénaturer le département ». Vous trouverez le communiqué LFI Aulnay-sous-Bois en cliquant sur l’image ci-dessous :

La France Insoumise à Aulnay-sous-Bois fait des propositions sur les transports dans le cadre des élections départementales 2021

La France Insoumise à Aulnay-sous-Bois défend quelques pistes pour améliorer les transports dans le département de la Seine-Saint-Denis, propositions que nous vous proposons de découvrir ci-dessous :