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La voix des vaccinés mécontents de leurs injections est niée, délibérément ignorée et même censurée par ce gouvernement et les GAFAM

Les témoignages récoltés sur le groupe Facebook dénommé » effets indésirables » groupe 6 sont authentiques et l’expression sincère et souvent poignante des vaccinés qui ont subi ces injections et qui le regrettent amèrement car leur vie est devenue un cauchemar depuis leurs vaccins !
Le fait qu’ils aient été censuré 5 fois prouve si besoin en était que le gouvernement honteusement soutenu par les GAFAM qui entravent le droit d’expression, ne tient pas à ce que ces témoignages peu flatteurs pour leur campagne vaccinale massive soient divulgués. La censure pratiquée à outrance par nos dirigeants n’est rien d’autre qu’un dol, visant à tromper les citoyens par omission et suppression d’informations pourtant essentielles et capitales concernant le choix et le consentement à se faire vacciner ou pas.
Article 1137 du Code civil :
Le dol est le fait pour une partie d’obtenir le consentement de l’autre par des manœuvres déloyales ou des mensonges.
La vaccination rendue quasiment obligatoire et contraignante par quantités de mesures coercitives illégales est un vice du consentement pratiqué sans scrupules et sans vergogne par ce gouvernement. Quand vous faites le prosélytisme de cette vaccination en niant les effets indésirables graves et les décès, et que vous cherchez par tous les moyens à faire passer les non vaccinés pour des égoïstes, des assassins, des irresponsables ou des imbéciles qu’ils ne sont pas, vous vous rendez coupables de manœuvres dolosives aggravées et répétées, et vous êtes donc passible de condamnations !
En effet, la dissimulation intentionnelle d’une ou de plusieurs informations dont on n’ignore pas le caractère déterminant pour la décision et le consentement de l’autre partie, relève du chef d’accusation de dol et de manœuvre dolosive. Notre justice ne permet absolument pas que des mensonges ou des omissions de faits tels qu’ils sont abondamment pratiqués par nos dirigeants soient mis en place pour faire consentir les citoyens qui refusent cette vaccination. Elle considère le dol comme un vice de consentement au même titre que l’erreur et la violence, au sens des articles 1130 et suivants du Code civil.
Dans le cas qui préoccupe les réfractaires à ces injections, il y a également beaucoup de violences à leur encontre et cette violence est également répréhensible aux yeux de la justice.
Enfin la façon de nier les effets indésirables est exactement le reflet condamnable de l’omerta coupable instaurée volontairement par nos dirigeants. Les conséquences sanitaires nocives et dommageables de ces injections qui remontent de la France d’en bas, celle qui subit sans être respectée ni entendue, ne doivent ni ne peuvent plus être cachés ni censurés sans se rendre coupable de manœuvres frauduleuses, et doivent s’inviter dans les débats sur la question des bienfaits supposés et revendiqués des vaccins !
Ainsi donc la » réticence dolosive » est le fait de rester intentionnellement silencieux sur une ou plusieurs informations essentielles pour éclairer le choix et le consentement ! Les décès, les maladies neurologiques et les handicaps à vie provoqués par ces injections qui sont niés et censurés par le gouvernement constituent les preuves de cette réticence dolosive !
En clair, le gouvernement et les promoteurs agressifs des injections ainsi que tous ceux qui soutiennent leurs thèses mensongères et manipulatoires pour que les gens subissent de force cette vaccination mortifère, êtes attaquables et condamnables, indépendamment des autres chefs d’accusation de crime contre l’humanité !
Constitue un crime contre l’humanité, le fait d’utiliser des mesures coercitives pour contraindre des êtres humains à un acte médical auquel il ne veut pas se soumettre, avec des produits encore en phase expérimentale et dont on sait désormais que depuis les débuts de la vaccination de masse, qu’ils apportent leurs lots d’effets indésirables graves et malheureusement des décès !
Le fait de nier ces sinistres réalités constitue une aggravation du crime contre l’humanité et le fait d’aller jusqu’à faire interdire ou censurer la publication de ces témoignages, une autre preuve patente d’aggravation de ce crime.
Plusieurs plateformes ( Crowdbunker, Odyssee, télégrame etc…. ont vu le jour suite à la censure arbitraire et violente pratiquée par les GAFAM ( Facebook, Youtube, Google, Twitter etc….) Cette floraison de plateformes apportant des contrepouvoirs et des solutions aux entraves violentes au droit d’expression, signale que la France n’est plus démocratique et que sous les ordres de nos dirigeants soutenus par les GAFAM, elle ne respecte plus les droits humains et citoyens !
Article rédigé le 4 janvier 2022 par Catherine Medioni
L’Omerta est toujours en vigueur dans les cités d’Aulnay-sous-Bois face au trafic de drogue
Le trafic de drogue ne s’est jamais arrêté dans les cités d’Aulnay-sous-Bois. Tout au plus, il s’est déplacé en fonction des allées et venues des CRS qui, à certaines occasions et souvent sous une impulsion politique ou un fait divers alarmant, se sont positionnés à des endroits stratégiques.
La rédaction d’Aulnaycap a interrogé quelques résidents de ces cités qui n’ont pas souhaiter révéler leur identité. Si les dealers, les guetteurs et les hébergeurs de produits illicites ne sont pas forcément violents et casseurs comme certains l’imaginent (au contraire, le trafic illicite requiert une certaine discrétion), ils font la pluie et le beau temps dans leur quartier.
Ainsi, seuls les résidents « identifiés comme tels » peuvent partir et venir sans être réellement inquiétés. Les visiteurs doivent quant à eux montrer patte blanche. Le simple fait de prendre des photos peut paraître suspect et, à moins d’être fortement accompagnés, il n’est pas rare que des individus accostent et posent des questions avec insistance sur le pourquoi de ces clichés. Généralement sans violence, le photographe ou toute personne suspectée d’être de connivence avec la police est raccompagnée à l’extérieur du « point de deal », terme employé par la municipalité. Ces « points de deal » sont connus des services municipaux, des élus et de la police. Il y a même des consignes pour les éviter. Autant dire qu’il est pratiquement impossible de faire un reportage vidéo…
Certains halls d’immeuble restent occupées, à partir de 12h00 jusque tard dans la soirée. Selon les aveux même d’un résident de ces quartiers dits sensibles par les pouvoirs politiques, il y a une sorte d’accord tacite entre les habitants et les dealers : « On les laisse faire leur trafic, en échange ils ne nous agressent pas, ils n’importunent pas nos enfants, ne font pas de vague et ne nous cambriolent pas« . Pour d’autres, la peur empêche certaines personnes de les dénoncer, sous peine de représailles parfois physiques. Certains prétendent que la police est au courant de ces agissements mais n’intervient pas pour éviter une émeute. Pourtant, quelques descentes et perquisitions ont lieu, les filatures existent. Le manque de moyen de la police semble être un frein pour enrayer ce commerce parallèle qui fait vivre plusieurs dizaines d’individus.
Contrairement aux idées reçues, ces quartiers ne sont pas pour autant des zones d’ultra-violence, de peur et de non-droit. Au profit d’une Omerta, des actifs peuvent se rendre au travail sans avoir peur de trouver un jour, sur le parking, son véhicule brûlé. Les mamans peuvent ramener leurs enfants à l’école sans être inquiétées. Tout le monde semble s’être habitué à ce commerce parallèle, implanté pour durer. Toute personne souhaitant dénoncer ou contester cela est vite ravisée par ses voisins, toute dénonciation peut conduire à des actions parfois brutales.
Plusieurs riverains de ces quartiers ont toutefois remarqué que les patrouilles de police sont plus nombreuses depuis l’arrivée de Bruno Beschizza en 2014. Patrouilles qui rassurent mais qui ne permet pas encore de mettre à mal tout ce business. Certains affirment que les bobos et les enfants fortunés font le jeu des dealers en achetant de l’herbe et du cannabis « pour faire tendance ». Tant qu’il y aura des consommateurs, il y aura des dealers…
La police Allemande sommée de garder le silence sur les délits commis par les migrants
Plus les jours passent et plus l’Allemagne semble confrontée à une grosse gueule de bois : il aura fallu attendre les dramatiques événements de Cologne le jour de l’An (2 000 individus divisés en bandes organisées pour attaquer, voler et parfois violer) et des plaintes de plus de 120 femmes pour que la Police Allemande commence à donner ses statistiques sur la criminalité des migrants (plus de 1 million d’entrée en 2015).
Pour tant, les forces de l’ordre avaient interpellé 70 personnes, la plupart des demandeurs d’asile, rien qu’à Cologne lors de la nuit du drame. Pourtant, aucun média ne l’avait évoqué, aucune alerte n’avait été donnée.
C’est maintenant le responsable de la police de Francfort de jeter un nouveau pavé dans la mare, en indiquant qu’il existe une interdiction de ne pas divulguer les crimes commis par les réfugiés. En Rhénanie Nord Westphalie et dans d’autres Landers, la même consigne a été donnée. Le quotidien « Le Bild » s’est fait l’écho de cette étonnante déclaration.
Selon un haut responsable de la police de Francfort-sur-le-Main, il existe « une interdiction de ne pas divulguer les crimes commis par les réfugiés ». Le Bild affirme que des instructions similaires ont été données à la police de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie.
Selon le porte parole du Ministre de l’intérieur Allemand, cette consigne a bien été donnée, pour ne pas donner du grain à moudre aux partis d’extrême-droite et aux partis anti-migrants.
Des faits similaires ont aussi été signalées à Berlin, Francfort-sur-le-Main, Stuttgart et Bielefeld.
A l’approche du Nouvel an, quatre réfugiés syriens ont également violé deux filles âgées de 14 et 15 ans dans la ville de Weil am Rhein (Baden-Württemberg). La police n’a communiqué sur les faits que le 7 janvier suite à de nombreuses requêtes de la part des journalistes. A noter que ces deux filles avaient suivi un migrant âgé de 21 ans, qu’elles connaissaient bien, dans son appartement. Les 3 autres réfugiés impliqués dans cette affaire de viol sont mineurs.
Ces informations risquent de soulever la question sur le rôle de l’Allemagne dans la gestion de la crise des migrants, où l’Europe a laissé ouvert grande les portes à des personnes dont certains individus qui pourraient être des terroristes, des criminels sortis de prison, des trafiquants ou des pillards.
On imagine mal comment la France réagirait si de tels instructions avaient été données à la Police, le ministre de l’Intérieur aurait certainement été contraint de démissionner.