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Mieux comprendre son environnement sociétal d’aujourd’hui
« L’ARCHIPEL FRANÇAIS » / Naissance d’une nation multiple et divisée de Jérôme FOURQUET
La cohésion de la société française a été particulièrement bouleversée au cours de ces dernières décennies. Elle est décrite de façon très approfondie par Jérôme Fourquet (avec la collaboration de Sylvain Mantenach), Analyste politique, expert en géographie électorale, directeur du département Opinin à l’IFOP dans son livre « L’ARCHIPEL FRANCAIS », un livre indispensable à consulter lorsque l’on souhaite comprendre les transformations de la société française et de mieux appréhender son propre environnement.
De façon abrégée :
« Il s’agit d’un mouvement de séparatisme social qui engage une partie de la frange supérieure de la société.»
« Les occasions de contacts et d’interactions entre les catégories supérieures et le reste de la population se raréfient.»
A savoir que :
« Les membres de la classe supérieure se sont progressivement coupés du reste de la population et se sont ménagés un entre-soi bien confortable pour eux. »
Ce que démontre J.Fourquet précisant auparavant :
« Cette situation n’est pas totalement nouvelle et il ne s’agit pas de lui opposer une prétendue période révolue par une osmose parfaite entre les élites et le peuple. Mais un processus protéiforme s’est mis en place depuis une trentaine d’années , creusant un fossé qui s’élargit entre la partie supérieure de la société et le reste de la population parcourue par ailleurs par de signes de faille. »
« Cette distance croissante explique le fait que les élites ont de plus en plus de mal à comprendre la France d’en bas .»
Explications ?
« Un des ressorts majeurs de ce processus est à rechercher dans une nouvelle stratification éducative de la société , engendrée par l’augmentation très significative de la proportion de diplômés du supérieur . Pour E.Todd, cette situation a abouti au fait que pour la première fois ,les éduqués supérieurs peuvent vivre entre eux, produire et consommer leur propre culture. Autrefois, écrivains, producteurs d’idéologies devaient s’adresser à la population dans son ensemble ou se contenter
de parler tous seuls. L’émergence de millions de consommateurs culturels de niveau supérieur autorise un processus d’involution. Le monde dit supérieur peut se refermer sur lui-même, vivre en vase clos et développer, sans s’en rendre compte, une attitude de distance et de mépris vis-à-vis des masses, du peuple et du populisme qui naît en réaction de ce mépris .
A cette émergence d’une nouvelle stratification éducative de la société française caractérisée par l’existence d’une strate de diplômés rassemblant environ 30% de la population , se sont ajoutés d’autres processus de nature diverse aboutissant in fine à la sécession culturelle, géographique et idéologiques des élites. »
A suivre : « La densité de cadres vivant au cœur des métropoles ne cesse de se renforcer. »
Source : Christian Picq
Les chroniques d’un non-vacciné contre le Covid-19 : l’ostracisation et la honte
Actif et sportif, je suis également plutôt bien éduqué et dispose d’une situation confortable. J’ai aussi un côté rebelle qui me colle à la peau, et cette manie de me poser tout un tas de questions lorsque les médias et les principales forces politiques crient en cœur ce que les gens sont sensés accepter sans broncher. Cependant j’accepte le choix de la majorité et à vrai dire, de nombreux sujets de société ou d’affaires étrangères n’intéressent que très peu de français qui ne voient que pouvoir d’achat, zone de confort et sécurité dans leur très grande majorité.
Ainsi quand la campagne vaccinale a été mise en avant par le gouvernement et quelques scientifiques, c’est avec méfiance que j’analysais les résultats. Sauver des vies, les personnes âgées ou fragiles, c’est un concept noble. Mais ce virus, aussi contagieux soit-il, n’a que très peu d’incidence sur la majorité des personnes jeunes et en bonne santé. Bien entendu, j’ai connu dans mon entourage des personnes atteintes par la première souche, avec perte de goût, d’odorat, une forte fièvre, une grande fatigue et une gorge endolorie. Des personnes très âgées auraient succombé mais pour celles et ceux que je connais, moins de 60 ans, ils purent se rétablir au bout d’une semaine (sauf un cas, atteint d’un Covid long, 1 mois à l’arrêt).
Lorsque que pass sanitaire a été instauré l’été 2021, ce fut pour beaucoup la consternation. Il y avait bien sûr des pro-vaccination à l’époque, mais nombreux sont ceux qui ont accepté de se faire vacciner pour pouvoir vivre normalement – sans vraiment croire en la nécessité du vaccin. Celles et ceux qui ne voulaient pas se faire vacciner, pour de multiples raisons, étaient alors plutôt bien perçus.
Mais rapidement, ce sentiment changea sous l’impulsion du gouvernement et d’une grande partie des médias. Les personnes qui refusaient la vaccination étaient accusées de tous les mots : hôpitaux encombrés, contamination, création de variants… Peut-être que tout n’était pas faux, mais comment se fait-il qu’une minorité de personne puisse mettre à mal le système hospitalier alors que le pourcentage de cas graves reste faibles même chez les non-vaccinés (moins de 2%) ? Quant à la création de variants, jamais les scientifiques n’ont pu prouver que c’étaient les non-vaccinés les responsables.
Très vite donc, les non-vaccinés sont devenus des boucs émissaires, et très vite, j’ai commencé à raser les murs. Dans la presse, les « journalistes » sélectionnent quelques hurluberlus non-vaccinés pour discréditer cette position, disent que la vaccination va jusqu’à réduire par 60 les cas graves (ce qui est faux puisque ce taux oscille aux alentours de 10). Des personnalités appellent à la sélection naturelle, des politiques ou journalistes demandent d’isoler les non-vaccinés pour protéger le reste de la population. Sur un plateau télé, un journaliste ira jusqu’à souhaiter que les forces de l’ordre aillent toquer aux portes des non-vaccinés pour avoir une dose de force.
Il y a 2 ans, j’aurais pensé qu’un tel acharnement, de telles mises en scène auraient choqué l’opinion publique. Ce n’est pas le cas, l’immense majorité des Français approuvent ce modus operandi. Pire encore, les non-vaccinés, quel que soit leur statut social, leur métier, leur âge, sont devenus la cible des pires attaques sur les réseaux sociaux, mais aussi dans les couloirs des entreprises, et parfois dans les rues.
Aujourd’hui, pour préserver un semblant de vie sociale, pour ne pas être au ban de la société, pour éviter les pressions morales, je suis obligé de dire que je suis vacciné, ou que j’ai pris ma première dose. Sinon, c’est le pointage du doigt, la peur immodérée qui se déclare chez les autres. J’ai même reçu, un jour, un coup par une personne que je ne connaissais guère parce que j’avais avoué n’être pas vacciné.
A vrai dire, un sentiment de honte me ronge. Je suis obligé de cacher mon statut vaccinal, je suis obligé de mentir, aussi pour mes enfants, pour éviter une véritable cabale à notre encontre. Et pourtant, je suis un homme de science, j’ai tous mes autres vaccins à jour. Mais je ne comprends pas pourquoi on m’impose un vaccin alors que je ne suis que très peu concerné du fait de ma catégorie d’âge, pas une fois je suis tombé malade depuis mars 2020. Je ne comprends pas pourquoi on m’impose un vaccin sachant que celui-ci ne protège pas à 100%, n’empêche pas de contaminer les autres, ne me permet pas d’ôter mon masque en magasin ou qui apparaît comme inefficace contre certains variants (d’ailleurs, Pfizer annonce un vaccin spécial Omicron, plus efficace selon la forme, en cours d’expérimentation, jugeant de facto son vaccin actuel comme superfétatoire).
Sans oublier, et c’est aussi un point essentiel, la peur de ce vaccin, avec toutes les histoires partagées sur Internet, tous ces témoignages d’effets indésirables, ces scientifiques – certes minoritaires – qui mettent en garde. Difficile de faire la part du vrai et du faux dans tous ces témoignages mais en tant que personne curieuse, cela m’interpelle.
Je dois donc, avec ma famille, continuer à vivre dans la honte, demander la clémence des personnes vaccinées qui me connaissent, et tenter d’avoir un semblant de normalité avec les enfants, qui souffrent le plus de cette situation.
Source : contribution externe
Un EQUILIBRE à la dérive chez L’Oréal à Aulnay-sous-Bois
Si tout est en ordre dans votre service et que vous êtes satisfait de votre EFA, PARFAIT, vous pouvez tout de même lire la suite cela nous concerne TOUS.
Rendez-vous compte, il y a de quoi se réjouir des 27,9 milliards de chiffre d ’affaires , de l’agilité, de la responsabilité et de l’éthique que prône notre Entreprise et cela grâce à l’investissement de tous dans un contexte de transformation et de crise sanitaire mondiale.
Cependant, à l’usine Soproreal, nouvelle vitrine du Luxe, il en est autrement !
Une charge de travail qui ne cesse d ’augmenter dans toutes les catégories : cadres, employés, agents de maîtrise et ouvriers avec de nouvelles tâches imposées aux opérateurs logistiques, de conditionnement, de fabrication, de qualité, etc…sans avoir au préalable évalué la pénibilité et l’impact sur nos métiers au quotidien.
Pas de recrutement du personnel pour les services en souffrance et aucune analyse terrain. Pour les travailleurs de l’usine, le résultat des EFA est socialement une catastrophe :
67 salariés sur 228 ont eu une augmentation soit 29 % de l’usine et pour les ouvriers seulement 21 sur 81 soit 27 % avec des pourcentages d’augmentation dérisoires.
DEMORALISANT ! Tous ces facteurs engendrent un climat anxiogène qui dégrade nos conditions de travail et augmente les RPS (risques psycho-sociaux)
Ceci n ’est pas une fatalité .
Heureusement, nous avons le savoir-faire, les compétences, que nous avons notre conscience professionnelle et notre exigence qui pallient cette totale désorganisation.
Nous sommes légitimes, nos demandes sont légitimes ; ainsi naturellement l’action devient nécessaire.
On nous doit la justice salariale, l’équité et la reconnaissance de notre labeur.
Vos représentants CGT ont alerté la Direction dans l’ensemble des instances et a rendu compte au personnel de l ’usine de cette situation anormale.
Nous interpellons la Direction une nouvelle fois et leur soumettons nos revendications :
- L’embauche en CDI pour les services en surcharge de travail (35 équivalents temps plein en moyenne)
- Une augmentation de 200 €
- Mise en place de la subrogation pour éviter les situations financières précaires
- Plan de cessation anticipée d’activité pour les salariés proches de la retraite comme cela se fait partout dans le groupe L‘Oréal.
- Plan de reclassement ou d’aménagement de poste pour tous les salariés handicapés ou en maladie professionnelle
- Un réajustement des coefficients en cohérence avec nos métiers.
En conclusion, chacun d’entre nous doit se poser les bonnes questions. Sommes-nous rémunérés à notre juste valeur ? Sommes-nous prêts à continuer à subir cette pression ? Avons-nous les moyens de travailler dans de bonnes conditions ?
Nous reviendrons vers vous dans un délai de 15 jours avec la réponse (ou pas) de la DIRECTION sur nos revendications et aviserons ensemble de l’ACTION à mener.
Source : les élus CGT de l’usine SOPROREAL à Aulnay-sous-Bois
Vois pouvez signaler la présence d’un point de vente de drogue à Aulnay-sous-Bois
Discrètement, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a déclaré qu’il était possible, pour tout citoyen, de signaler la présence d’un point de vente de drogue aux autorités. La France compte plus de 4000 point de deal alors que la ville d’Aulnay-sous-Bois en aurait près d’une dizaine.
Vous pouvez effectuer ce signalement directement en vous rendant sur ce site : moncommissariat.fr.
Pour rappel, le business autour de la drogue permet de faire vivre plus de 240 000 personnes. Sans compter qu’une partie des bénéfices obtenus par ce trafic permet également de faire vivre des personnes à l’étranger, notamment dans les pays exportateurs de drogue. Cependant, la drogue a des effets néfastes sur la santé, provoque des troubles neurologiques et la perte du sens de la réalité.
Les boulangeries d’Aulnay-sous-Bois bientôt au secours des femmes battues ?
C’est un concept qui est né à Noisy-le-Sec suite à l’impulsion de l’adjointe au Maire à l’égalité homme-femme, Sandrine Louet. Pour sensibiliser aux violences conjugales, des messages sont imprimés sur les sacs à pain qui accompagnent les baguettes vendues en boulangerie.
L’idée est simple mais efficace : au recto est imprimé un « violentomètre », baromètre de la violence verbale et physique qui peut exister au sein d’un couple, et au verso des numéros d’aide, dont le 39 19. Cela permet aux femmes qui souffrent des violences à la maison de pouvoir alerter les autorités et faire valoir leurs droits.
Pourquoi la boulangerie ? Tout simplement parce que ce type de commerce fonctionne toujours même pendant le confinement, et que c’est un lieu de vie où les personnes peuvent se confier. Ce concept pourrait peut-être arriver à Aulnay-sous-Bois et aider ainsi les pauvres femmes qui subissent les violences de leur conjoint.
L’argent de la drogue ferait vivre 240 000 personnes en France !
Aussi impensable que cela puisse paraître, l’argent de la drogue en France permettrait de faire vivre environ 240 000 personnes selon Frédéric Ploquin, journaliste spécialisé dans les domaines de la police, du banditisme et du renseignement. Le chiffre d’affaires des dealers avoisinerait les 4 milliards d’euros par an. Chaque mois, ce sont près de 40 tonnes de cannabis ou d’herbe qui sont écoulées sur le territoire Français.
Selon le journaliste, certains pays profitent de ce business et ne font rien pour casser les trafics, les rentrées d’argent étant beaucoup trop intéressantes. Ce qui est inquiétant, c’est de constater que de nombreux français consomment des substances non seulement illicites mais également toxiques, tout en enrichissant des personnes peu scrupuleuses. N’y a t-il pas de remèdes, d’activités plus intéressantes et enrichissantes que de fumer un joint ?
Vous pouvez retrouver l’article choc sur FranceInfo.
L’Oréal : plus fort que le Covid-19, le profit !
Dans un contexte de pandémie mondiale d’un virus mortel le covid-19, la CGT dénonce l’attitude irresponsable de certaines entreprises d’avoir continué à produire des biens non essentiels en mettant en danger la santé de leurs salariés !
C’est le cas de l’OREAL et de son usine d’Aulnay-Sous-Bois, qui malgré le confinement décrété par le gouvernement et la situation critique en Seine Saint Denis a fait travailler pendant un mois, jusqu’au 14 avril, ses salariés SANS MASQUES, NI GANTS, et une distanciation approximative inhérente au travail dans une usine de production !
Pour une entreprise qui prône le « bien-être », la santé de ses salariés n’est pas la priorité de la direction. Pour satisfaire son obsession productiviste, l’OREAL est prête à mettre en danger ses petites mains, en majorité des ouvriers.
L’entreprise du CAC 40 a annoncé à grand coup de communication dans les médias qu’elle orientait sa production de cosmétiques pour produire du gel hydroalcoolique. Elle informe refuser le mécanisme du chômage partiel et maintenir 100% du salaire aux non volontaires.
D’abord pour ce qui est du maintien de salaire, l’entreprise a créé un dispositif spécial destiné aux salariés de l’usine appelé « absence non travaillées » et qui fait perdre toutes les primes aux non volontaires soit à peu près 10% du salaire. Ce dispositif ne manque pas son objectif d’influencer les salariés dans leurs choix de venir travailler plutôt que de rester confiné !
S’agissant de la production de gel hydroalcoolique pour les services publics EHPAD, la vérité c’est que « ce bon geste » au demeurant a servi d’écran de fumée pour continuer à produire des milliers de parfums, d’échantillons de parfums gratuits et de soins cosmétiques !!!
Cette usine peut de produire du gel hydroalcoolique, pourquoi ne pas l’avoir réquisitionnée entièrement à ce besoin primordial comme la CGT le demande ?
Beaucoup d’efforts et de solidarité sont demandés aux salariés, mais qu’en est-il pour le PDG de l’OREAL et des actionnaires du groupe ?
Vont-ils refuser le versement de leurs dividendes pour « l’effort de guerre » ?
Le PDG Monsieur Agon et la famille Bettancourt vont-ils faire un don financier à la hauteur de leurs fortunes au service public de la santé ?
Pour le 11 mai, la CGT est très inquiète de la reprise générale du travail envisagée en Seine-Saint-Denis car la situation sanitaire reste très grave dans notre département.
Ce ne sont pas les annonces du gouvernement pour le déconfinement qui sont faites pour nous rassurer. Bien au contraire, le risque de contagion pourrait s’amplifier.
Pour la CGT cette décision n’a qu’un but économique au détriment de la santé de la population !
On l’a bien compris, le patronat veut se servir de cette crise sanitaire pour exploiter toujours plus le monde du travail et augmenter ses profits.
Leurs profits, nos morts !!!!
Source : communiqué UL CGT Aulnay-sous-Bois
Une société de désinfection à Aulnay-sous-Bois qui lutte également contre le coronavirus
MB Hygiène est une société spécialisée dans la désinfection et la suppression des nuisibles comme les rats, les cafards ou les blattes. La société dispose également de produits capables de détruire les germes et ainsi éradiquer la présence du Covid-19.
La société propose ses services aux professionnels et aux parrticuliers.
Plus d’information en cliquant ici.