Archives de Catégorie: Société
Les boulangeries d’Aulnay-sous-Bois bientôt au secours des femmes battues ?
C’est un concept qui est né à Noisy-le-Sec suite à l’impulsion de l’adjointe au Maire à l’égalité homme-femme, Sandrine Louet. Pour sensibiliser aux violences conjugales, des messages sont imprimés sur les sacs à pain qui accompagnent les baguettes vendues en boulangerie.
L’idée est simple mais efficace : au recto est imprimé un « violentomètre », baromètre de la violence verbale et physique qui peut exister au sein d’un couple, et au verso des numéros d’aide, dont le 39 19. Cela permet aux femmes qui souffrent des violences à la maison de pouvoir alerter les autorités et faire valoir leurs droits.
Pourquoi la boulangerie ? Tout simplement parce que ce type de commerce fonctionne toujours même pendant le confinement, et que c’est un lieu de vie où les personnes peuvent se confier. Ce concept pourrait peut-être arriver à Aulnay-sous-Bois et aider ainsi les pauvres femmes qui subissent les violences de leur conjoint.
L’argent de la drogue ferait vivre 240 000 personnes en France !
Aussi impensable que cela puisse paraître, l’argent de la drogue en France permettrait de faire vivre environ 240 000 personnes selon Frédéric Ploquin, journaliste spécialisé dans les domaines de la police, du banditisme et du renseignement. Le chiffre d’affaires des dealers avoisinerait les 4 milliards d’euros par an. Chaque mois, ce sont près de 40 tonnes de cannabis ou d’herbe qui sont écoulées sur le territoire Français.
Selon le journaliste, certains pays profitent de ce business et ne font rien pour casser les trafics, les rentrées d’argent étant beaucoup trop intéressantes. Ce qui est inquiétant, c’est de constater que de nombreux français consomment des substances non seulement illicites mais également toxiques, tout en enrichissant des personnes peu scrupuleuses. N’y a t-il pas de remèdes, d’activités plus intéressantes et enrichissantes que de fumer un joint ?
Vous pouvez retrouver l’article choc sur FranceInfo.
L’Oréal : plus fort que le Covid-19, le profit !
Dans un contexte de pandémie mondiale d’un virus mortel le covid-19, la CGT dénonce l’attitude irresponsable de certaines entreprises d’avoir continué à produire des biens non essentiels en mettant en danger la santé de leurs salariés !
C’est le cas de l’OREAL et de son usine d’Aulnay-Sous-Bois, qui malgré le confinement décrété par le gouvernement et la situation critique en Seine Saint Denis a fait travailler pendant un mois, jusqu’au 14 avril, ses salariés SANS MASQUES, NI GANTS, et une distanciation approximative inhérente au travail dans une usine de production !
Pour une entreprise qui prône le « bien-être », la santé de ses salariés n’est pas la priorité de la direction. Pour satisfaire son obsession productiviste, l’OREAL est prête à mettre en danger ses petites mains, en majorité des ouvriers.
L’entreprise du CAC 40 a annoncé à grand coup de communication dans les médias qu’elle orientait sa production de cosmétiques pour produire du gel hydroalcoolique. Elle informe refuser le mécanisme du chômage partiel et maintenir 100% du salaire aux non volontaires.
D’abord pour ce qui est du maintien de salaire, l’entreprise a créé un dispositif spécial destiné aux salariés de l’usine appelé « absence non travaillées » et qui fait perdre toutes les primes aux non volontaires soit à peu près 10% du salaire. Ce dispositif ne manque pas son objectif d’influencer les salariés dans leurs choix de venir travailler plutôt que de rester confiné !
S’agissant de la production de gel hydroalcoolique pour les services publics EHPAD, la vérité c’est que « ce bon geste » au demeurant a servi d’écran de fumée pour continuer à produire des milliers de parfums, d’échantillons de parfums gratuits et de soins cosmétiques !!!
Cette usine peut de produire du gel hydroalcoolique, pourquoi ne pas l’avoir réquisitionnée entièrement à ce besoin primordial comme la CGT le demande ?
Beaucoup d’efforts et de solidarité sont demandés aux salariés, mais qu’en est-il pour le PDG de l’OREAL et des actionnaires du groupe ?
Vont-ils refuser le versement de leurs dividendes pour « l’effort de guerre » ?
Le PDG Monsieur Agon et la famille Bettancourt vont-ils faire un don financier à la hauteur de leurs fortunes au service public de la santé ?
Pour le 11 mai, la CGT est très inquiète de la reprise générale du travail envisagée en Seine-Saint-Denis car la situation sanitaire reste très grave dans notre département.
Ce ne sont pas les annonces du gouvernement pour le déconfinement qui sont faites pour nous rassurer. Bien au contraire, le risque de contagion pourrait s’amplifier.
Pour la CGT cette décision n’a qu’un but économique au détriment de la santé de la population !
On l’a bien compris, le patronat veut se servir de cette crise sanitaire pour exploiter toujours plus le monde du travail et augmenter ses profits.
Leurs profits, nos morts !!!!
Source : communiqué UL CGT Aulnay-sous-Bois
Une société de désinfection à Aulnay-sous-Bois qui lutte également contre le coronavirus
MB Hygiène est une société spécialisée dans la désinfection et la suppression des nuisibles comme les rats, les cafards ou les blattes. La société dispose également de produits capables de détruire les germes et ainsi éradiquer la présence du Covid-19.
La société propose ses services aux professionnels et aux parrticuliers.
Plus d’information en cliquant ici.
Ne pas oublier qui que ce soit lors de la disparition d’un proche avec la distribution de cartes de décès
La disparition d’un proche est toujours un cap difficile à surmonter. C’est à ce moment là que l’on peut compter sur de véritables amis, des personnes qui peuvent vous aider à surmonter cette épreuve, et qui vous accompagneront tout au long des commémorations jusqu’à l’enterrement ou l’incinération du corps.
Les membres de la famille, les proches, les amis, les collègues et les connaissances qui ont compté sur le défunt sont bien souvent disséminés un peut partout en France et parfois à l’étranger. Afin de les prévenir et des les remercier de leur présence aux obsèques, la diffusion de carte de remerciement décès prend tout son sens. Avec ces cartes décès que vous pouvez commander en ligne et que vous pouvez personnaliser pour en faire des cartes de condoléances ou un faire-part de décès, vous allez pouvoir réunir autour du défunt les personnes qui ont pu compter dans son existence.
Que ce soit pour annoncer le décès ou remercier les personnes qui auront fait le déplacement et qui vous accompagneront dans votre deuil, il vous faudra identifier au travers d’une liste celles et ceux qui sont susceptibles de venir lors de la cérémonie funéraire et surtout, bien récupérer leurs adresses postales, à l’heure où une grande partie de la communication devient impersonnelle par email. Ces cartes de remerciement devront s’appuyer sur un modèle sobre mais suffisamment personnalisé afin de montrer à quel point la présence de la personne comptait à vos yeux. N’hésitez pas à choisir différents modèles en fonction des relations qu’avaient les proches avec le défunt : membre de la famille, collègue de travail, collègue associatif, ami d’enfance, voisin…
Bien entendu, la carte n’a de sens que si elle contient un message émanant du plus profond de votre personnalité. Un petit texte simple mais émouvant, avec si possible une citation bien connue, sera apprécié des proches. Vous pouvez bien entendu laisser libre court à votre imagination pour personnaliser le texte en fonction du rôle et des relations des destinataires par rapport au défunt. Envoyez si possible ces cartes dans les deux semaines suivant l’enterrement ou l’incinération du défunt, et n’hésitez pas à vous faire aider si besoin est.
Un décès peut être imprévisible, soudain, sans crier garde. Il est important de préserver l’image du défunt, qu’il ait été une personnalité politique, une personnalité associative, une figure locale ou un simple citoyen ayant participé ou non à la vie de la collectivité. Même après la mort, sa personnalité reste à jamais ancrée dans les mémoires et quoi de mieux que de faire lui faire honneur en invitant et en remerciant le maximum de personnes qui ont fait le déplacement pour les funérailles. Que vous soyez pratiquant ou non, que vous soyez religieux ou agnostique, ces petits gestes seront bien appréciés par l’entourage du défunt.
Enfin, n’oubliez pas qu’à l’heure du tout numérique, il est toujours bon de rendre hommage à une personne qui nous est proche via un témoignage que vous pouvez publier sur l’un des blogs ou au travers des réseaux sociaux.
Source : contribution externe.
La cité de l’Europe à Aulnay-sous-Bois infestée par les rats et où les pères et maris ont démissionné
La cité de l’Europe, c’est 800 familles entassées les unes sur les autres et un chômage endémique. Les portes des caves ont été condamnées pour éviter les trafics de drogue et, « du coup, on a des poubelles en permanence dehors, c’est très sale », s’énerve Fatou. « Tôt le matin, quand je pars au travail, vers 4 heures, je vois des rats… », renchérit une autre maman exaspérée. Les poubelles, le manque d’entretien des bâtiments : les habitants se sentent abandonnés, délaissés. Pourtant, ici, c’est la solidarité et le respect qui priment. « Dans notre culture [sénégalaise, malienne…], on écoute les anciens, les mamans. Nos enfants nous respectent, on est les mieux placées pour leur parler, alors on le fait. » Chaque année, le 31 décembre, elles patrouillent de nuit dans la cité par brigades de dix mamans pour éviter que les voitures ne brûlent ! Dans le petit parc, au centre des bâtiments identiques et symétriques, les petits frères et petites sœurs participent au grand nettoyage avec application.
Mais où sont les hommes, les pères, les maris ? « Oh, eux, ils n’aiment pas faire ça, relève une maman, un peu cynique. Ce sont les femmes qui font tout ici. Elles travaillent, élèvent les enfants, nettoient, gardent les petits-enfants, on a la vie dure… » Djénébou est épuisée mais, avec Fatou, sa grande copine, elle prend son balai comme un bâton de pèlerin, pour montrer que la cité ne doit pas seulement remplir la colonne des faits divers, que c’est leur maison, et que les mères peuvent beaucoup, même âgées, fatiguées et parfois malades, à cause de leur métier épuisant. Il est presque 16 heures, elles ont acheté de la viande, des saucisses pour faire un barbecue, avec les jeunes. Où sont-ils d’ailleurs, tous ces jeunes ? « C’était vendredi hier soir, ils sont sortis, ils dorment, ils vont venir vers 17 heures, on va les attendre et partager ce moment avec eux, mettre un peu d’ambiance. » La police n’est pas revenue depuis plusieurs semaines… Une victoire pour ces mamans militantes.
Source et article complet : Paris Match
Il y a 15 cm de neige et la France panique
Ces derniers jours ont été particulièrement chaotique en France, et plus particulièrement en région Parisienne : la neige a non seulement provoqué des embouteillages monstres (ce qui était prévisible), mais a également entraîné la fermeture d’écoles, de magasins, de bureaux de Poste… Les trains ne circulaient plus, sans parler des bus. Une partie de la France semblait paralysée.
Si la journée de Mercredi était particulièrement horrible du fait des routes non sablées et d’un certain manque de préparation, la journée de jeudi, pourtant beaucoup plus abordable, a été également éprouvante pour les parents avec les écoles fermées ou en effectifs réduits, les trains qui circulaient au ralenti, et les bus toujours interdits de circulation.
Pourtant, cet épisode neigeux n’a rien d’exceptionnel. Même si le « réchauffement climatique » nous a habitué à des hivers particulièrement doux, il n’était pas rare d’avoir, dans les années 70s/80s, des journées à -10°C, des routes avec des congères, des trottoirs enneigés. Pourtant, cela n’empêchait pas les voitures, et même les camions, de rouler. Les trains circulaient. Les écoles restaient également ouvertes, pour la plupart. Et les employés faisaient tout leur possible pour rejoindre leur lieu de travail (à l’époque, il n’était pas question de travailler à distance, le télé-travail n’existait quasiment pas).
Cet après-midi, un nouvel épisode neigeux est attendu. On imagine bien la panique cet après-midi sur les route la veille du week-end. Et pourtant, un peu de prudence, une meilleure organisation et de la proactivité permettraient de passer certes une journée difficile, mais surmontable. Comme quoi, la société évolue, mais notre capacité d’adaptation elle semble aller dans l’autre sens…