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Suspension du pass vaccinal et du pass sanitaire dès aujourd’hui

Le pass vaccinal et le pass sanitaire sont suspendus sine die à partir d’aujourd’hui sauf pour les établissements de santé et les EHPAD. Ces dispositifs avaient été mis en place plus inciter les personnes de 12 ans et plus à se faire vacciner.

Une suspension jusqu’à quand ?

S’il est trop tôt pour statuer, il est fort probable que le pass vaccinal soit réactivé dans quelques mois, après les élections législatives 2022. Aujourd’hui, et ce malgré un fort taux de vaccination, les contaminations repartent à la hausse. Même si les nouveaux variants sont moins dangereux qu’une grippe saisonnière selon une étude Britannique, le lobby des groupes pharmaceutiques pourrait inciter les pouvoirs politiques à remettre ces dispositifs en place.

Vers une obligation vaccinale ?

Si l’Autriche a suspendu cette mesure, l’Italie l’applique toujours. En France, plusieurs personnalités politiques se sont prononcées pour l’introduction de l’obligation vaccinale pour les plus de 18 ans. Cela obligerait les non-vaccinés à franchir le pas sous peine d’une amende.

Les chroniques d’un non-vacciné contre le Covid-19 : l’ostracisation et la honte

Actif et sportif, je suis également plutôt bien éduqué et dispose d’une situation confortable. J’ai aussi un côté rebelle qui me colle à la peau, et cette manie de me poser tout un tas de questions lorsque les médias et les principales forces politiques crient en cœur ce que les gens sont sensés accepter sans broncher. Cependant j’accepte le choix de la majorité et à vrai dire, de nombreux sujets de société ou d’affaires étrangères n’intéressent que très peu de français qui ne voient que pouvoir d’achat, zone de confort et sécurité dans leur très grande majorité.

Ainsi quand la campagne vaccinale a été mise en avant par le gouvernement et quelques scientifiques, c’est avec méfiance que j’analysais les résultats. Sauver des vies, les personnes âgées ou fragiles, c’est un concept noble. Mais ce virus, aussi contagieux soit-il, n’a que très peu d’incidence sur la majorité des personnes jeunes et en bonne santé. Bien entendu, j’ai connu dans mon entourage des personnes atteintes par la première souche, avec perte de goût, d’odorat, une forte fièvre, une grande fatigue et une gorge endolorie. Des personnes très âgées auraient succombé mais pour celles et ceux que je connais, moins de 60 ans, ils purent se rétablir au bout d’une semaine (sauf un cas, atteint d’un Covid long, 1 mois à l’arrêt).

Lorsque que pass sanitaire a été instauré l’été 2021, ce fut pour beaucoup la consternation. Il y avait bien sûr des pro-vaccination à l’époque, mais nombreux sont ceux qui ont accepté de se faire vacciner pour pouvoir vivre normalement – sans vraiment croire en la nécessité du vaccin. Celles et ceux qui ne voulaient pas se faire vacciner, pour de multiples raisons, étaient alors plutôt bien perçus.

Mais rapidement, ce sentiment changea sous l’impulsion du gouvernement et d’une grande partie des médias. Les personnes qui refusaient la vaccination étaient accusées de tous les mots : hôpitaux encombrés, contamination, création de variants… Peut-être que tout n’était pas faux, mais comment se fait-il qu’une minorité de personne puisse mettre à mal le système hospitalier alors que le pourcentage de cas graves reste faibles même chez les non-vaccinés (moins de 2%) ? Quant à la création de variants, jamais les scientifiques n’ont pu prouver que c’étaient les non-vaccinés les responsables.

Très vite donc, les non-vaccinés sont devenus des boucs émissaires, et très vite, j’ai commencé à raser les murs. Dans la presse, les « journalistes » sélectionnent quelques hurluberlus non-vaccinés pour discréditer cette position, disent que la vaccination va jusqu’à réduire par 60 les cas graves (ce qui est faux puisque ce taux oscille aux alentours de 10). Des personnalités appellent à la sélection naturelle, des politiques ou journalistes demandent d’isoler les non-vaccinés pour protéger le reste de la population. Sur un plateau télé, un journaliste ira jusqu’à souhaiter que les forces de l’ordre aillent toquer aux portes des non-vaccinés pour avoir une dose de force.

Il y a 2 ans, j’aurais pensé qu’un tel acharnement, de telles mises en scène auraient choqué l’opinion publique. Ce n’est pas le cas, l’immense majorité des Français approuvent ce modus operandi. Pire encore, les non-vaccinés, quel que soit leur statut social, leur métier, leur âge, sont devenus la cible des pires attaques sur les réseaux sociaux, mais aussi dans les couloirs des entreprises, et parfois dans les rues.

Aujourd’hui, pour préserver un semblant de vie sociale, pour ne pas être au ban de la société, pour éviter les pressions morales, je suis obligé de dire que je suis vacciné, ou que j’ai pris ma première dose. Sinon, c’est le pointage du doigt, la peur immodérée qui se déclare chez les autres. J’ai même reçu, un jour, un coup par une personne que je ne connaissais guère parce que j’avais avoué n’être pas vacciné.

A vrai dire, un sentiment de honte me ronge. Je suis obligé de cacher mon statut vaccinal, je suis obligé de mentir, aussi pour mes enfants, pour éviter une véritable cabale à notre encontre. Et pourtant, je suis un homme de science, j’ai tous mes autres vaccins à jour. Mais je ne comprends pas pourquoi on m’impose un vaccin alors que je ne suis que très peu concerné du fait de ma catégorie d’âge, pas une fois je suis tombé malade depuis mars 2020. Je ne comprends pas pourquoi on m’impose un vaccin sachant que celui-ci ne protège pas à 100%, n’empêche pas de contaminer les autres, ne me permet pas d’ôter mon masque en magasin ou qui apparaît comme inefficace contre certains variants (d’ailleurs, Pfizer annonce un vaccin spécial Omicron, plus efficace selon la forme, en cours d’expérimentation, jugeant de facto son vaccin actuel comme superfétatoire).

Sans oublier, et c’est aussi un point essentiel, la peur de ce vaccin, avec toutes les histoires partagées sur Internet, tous ces témoignages d’effets indésirables, ces scientifiques – certes minoritaires – qui mettent en garde. Difficile de faire la part du vrai et du faux dans tous ces témoignages mais en tant que personne curieuse, cela m’interpelle.

Je dois donc, avec ma famille, continuer à vivre dans la honte, demander la clémence des personnes vaccinées qui me connaissent, et tenter d’avoir un semblant de normalité avec les enfants, qui souffrent le plus de cette situation.

Source : contribution externe

Les chroniques d’un non-vacciné contre le Covid-19 : les doutes et les contraintes

Depuis ce jour de mars 2020 où le président de la République demanda aux Français de se confiner contre un terrible nouveau virus inconnu venu de Chine, la France mais aussi l’Europe, a basculé dans un monde de torpeur, de craintes, de doutes et de souffrance intérieure. Malgré une léthalité plutôt faible mais avec un système hospitalier non préparé et des lacunes en termes de logistique, la France est entrée dans un confinement dur, l’économie s’est arrêtée, la vie a complètement basculé.

Il y a eu cependant une lueur d’espoir en juin 2020, les Français ont pu partir en vacances, la vie reprenait son cours, mais les espoirs ont rapidement été douchés par une seconde vague et un second confinement. Et puis arriva le fameux vaccin qui devait protéger les plus faibles, les plus âgés, celles et ceux qui pouvaient mourir ce virus…

Des vaccins prometteurs devenus un véritable marché lucratif

Quand les premières personnes âgées ou immuno-déficientes ont pu recevoir leur première injection, ce fut un véritable soulagement. Peut-être qu’en ce début de janvier 2021 la France et le monde voyaient le bout du tunnel. Mais là aussi les espoirs s’assombrirent rapidement.

Ces vaccins d’abord réservés aux personnes âgées (il était proscrit pour des personnes jeunes de se faire vacciner sans raison) ont été étendus à l’ensemble des majeurs, avant d’être de facto imposés à enfants de 12 à 18 ans. Des vaccinodrones ont fait leur apparition, une campagne marketing en faveur du vaccin a été rapidement mise en place pour inciter à la vaccination. En tant que personne en pleine santé, plutôt jeune et sans comorbidité, cette vaccination me semblait superfétatoire. Après tout, une infime partie des moins de 50 ans subissait des complications et encore moins la mort. Et ces vaccins avaient à mes yeux une utilité pour les personnes fragiles dont je ne faisais pas partie. J’étais favorable à cette campagne gouvernementale tant que la vaccination ne nous était pas imposée. Celles et ceux, au printemps 2021, parlaient de pass sanitaire passaient pour des complotistes. Et puis vint le discours d’Emmanuel Macron, en plein juillet 2021, qui annonça l’arrivée de ce fameux pass sanitaire, qui a mis de nombreuses personnes dans l’embarras.

Une vie normale devenue quasiment impossible sans la vaccination

Dans mon entourage ce fut une grosse surprise même si des proches m’avaient alerté de cette éventualité. Beaucoup ont pris un rendez-vous sur Doctolib non pas par conviction, mais par contrainte. De mon côté, je me suis dit que le 15 novembre 2021 – date à laquelle le pass vaccinal devait disparaitre – n’était pas si loin. Et puis pour partir en vacances, un petit test PCR pour toute la famille suffisait pour profiter du soleil et de la mer dans un camping de qualité (aussi bizarre que cela puisse paraître, un test négatif suffisait, le premier jour à l’entrée du camping, pour obtenir le droit de venir pendant toute la durée du séjour, soit plusieurs semaines !).

Bien entendu, quelques activités nécessitaient le pass. Il y avait beaucoup de protestations d’autant plus que le pass sanitaire arrivait pour les enfants, le 30 septembre 2021. Et depuis ce 30 septembre, notre vie se résume à aller faire des tests en pharmacie, deux fois par semaine, pour que nos enfants puissent continuer à exercer leurs activités culturelles et sportives, sans quoi nos enfants seraient contraints à ne faire aucune activité extra-scolaire.

Ce fameux pass sanitaire était valable 3 jours, puis 1 jour, avant d’être transformé, le 24 janvier 2021, en pass vaccinal, condamnant des non-vaccinés, comme moi, à vivre une vie d’ermite. Mais ce n’est pas tant ma situation que celle de mes enfants qui m’attristent le plus. Pour sauver des personnes très âgées et fragiles – ce qui est un acte tout à fait louable – nous sacrifions notre jeunesse. Ce qui paraît naturelle pour un pays vieillissant comme la France – où les plus de 65 ans représentent une masse électorale importante – est ubuesque pour de nombreux pays pauvres, jeunes, qui misent sur la jeunesse et estiment que le sacrifice doit être inversé.

Aujourd’hui, plus de vacances, plus se liens sociaux dans des clubs de sport ou dans des associations culturelles, plus de bibliothèque, plus de plaisirs partagés avec des amis : la vie se résume à télétravail, courses et dodo. Et pour les enfants, du moins jusqu’à leur 16 ans, ce sera 2 tests antigéniques juste pour maintenir quelques activités sportives ou culturelles.

Suis-je un anti-vaccin, un antivax ou un hurluberlu ? Non, et je vous l’expliquerai pourquoi dans un autre billet.

Source : contributeur externe

Que faire des commentaires parfois injurieux qui critiquent la politique éditoriale Aulnaycap ?

@Pexels

Aulnaycap a toujours été un site à part dans la blogosphère Aulnaysienne (et qui rayonne désormais sur toute la France), avec une liberté d’expression quasi infinie, des articles aux thèmes variés et, contrairement aux autres blogs locaux (à l’exception notable d’Aulnay Relais Infos), non affilié à un parti politique (pas d’élus ou de colistiers chez les rédacteurs d’Aulnaycap). Depuis sa création, les commentaires sont ouverts, les critiques acceptées voire des insultes publiées, avec parfois des mots blessants.

Hormis la période où la rédactrice en chef Aurore Buselin tenait les rênes du blog – et qui n’hésitait pas à mettre à la poubelle les commentaires injurieux ou qui critiquaient un article -, nous avons accueilli à bras ouvert tous les commentateurs, positifs ou hostiles, identifiables ou anonymes. Avec l’apparition du Covid-19 et l’introduction du pass sanitaire – devenu pass vaccinal, la passion de déchaîne. Si Aulnaycap souhaite garder une posture neutre sur la question en proposant des articles factuels sur la question des mesures sanitaires, certains contributeurs et surtout notre rédactrice Catherine se sont montrés très hostiles à toutes les restrictions et à la campagne de vaccination devenue de facto obligatoire, et ce pour diverses raisons (inutilité du vaccin chez les plus jeunes, risques d’effet secondaire, enrichissement des Big Pharmas…).

Depuis, de nombreux commentaires négatifs, parfois hostiles, sont apparus. Nous les avons jusqu’à présent publiés, même s’ils sont déplaisants. Mais que faire face à ce flot de critique et parfois d’injures ?

Une tentative de débat qui a échoué par peur d’être identifié ?

Depuis des mois, plusieurs commentateurs sont devenus les fers de lance de la vaccination. Out, Patrice et surtout une certaine Lola témoignent des bienfaits de la vaccination et de l’incongruité de la position des non-vaccinés. Ils s’adonnent à des objurgations de se faire vacciner quelle que soit la catégorie d’âge dans laquelle nous sommes. Nous respectons cet avis même si nous ne le partageons pas. Lola est coutumière des admonestations à l’égard des membres de la rédaction ou de ses contributeurs dès qu’un article met en doute l’efficacité des mesures sanitaires mises en place par le gouvernement Français.

Nous avons proposé à débattre en vidéoconférence Zoom pour confronter nos points de vue, dans un cadre apaisé. Cela est resté lettre morte. Pourquoi ? Peut-être la peur de débattre à visage découvert, ou peut-être une certaine honte à défendre une telle position. En tout cas, Aulnaycap et ses rédacteurs sont prêts à débattre sur le sujet.

Des critiques et des attaques avec une récupération politique

Si certains commentaires ont été modérés voire censurés, c’est parce que certains membres de la rédaction ont été poussés à bout. Injures, admonestations, humiliation : certains commentateurs, et notamment Lola, ne sont pas allés avec le dos de la cuillère pour mettre à mal le fond de plusieurs articles. Il est vrai quelques articles étaient inexacts, que les recherches n’avaient pas été suffisamment fines. Nous sommes même revenus sur certains articles en nous excusant. Mais doit-on s’attendre à une perfection, à une rigueur sans faille lorsque l’on est bénévole, alors que dans le même temps de nombreux journalistes grassement payés (parfois grâce à la redevance télévisuelle) se prennent souvent les pieds dans le tapis ?

Et quelle ne fut pas notre surprise quand un blog politique local, donneur de leçons, utilisent ce phénomène pour tenter de récupérer quelques lecteurs et en traînant plus bas que terre certains membres de la rédaction ! Des seconds couteaux de la politique locale, prompts à traîner le nom des gens dans la boue mais qui n’appliquent même pas à eux-mêmes ce qu’ils veulent imposer à d’autres ! Ce type de site en mal d’audience qui utilise le nom d’Aulnaycap pour tenter de rediriger une partie du flux vers leur vitrine politique et dont l’unique objectif est de pouvoir préparer la prochaine échéance électorale locale. Un procédé abject qui dépasse l’entendement…

Et maintenant, que faire de ces commentaires irrespectueux ?

Comme vous le savez, la devise d’Aulnaycap, c’est « Avec vous, pour vous« . Notre notoriété et notre popularité font du site une cible de choix pour celles et ceux qui veulent le descendre. Nos rédacteurs sont mis en difficulté, et les nerfs sont mis à rudes épreuves. Mais que faire ?

Deux positions se confrontent de manière courtoise sur la manière de répondre face à tout ce flot de critiques et de rabaissement systématique :

  • Ne rien faire, laisser les commentaires tels quels, répondre si nécessaire et tenter de débattre malgré le dénigrement. Cela a l’avantage de maintenir Aulnaycap dans l’esprit « Voltaire », de permettre aux lecteurs d’avoir des avis différents, voire d’obtenir des informations supplémentaires qui renforcent – ou démontent – les informations de l’article. Mais cela a aussi des désavantages : lassitude des lecteurs face à ce flot de dénigrement, peur de certains lecteurs à commenter à cause de réponses agressives, mise à mal de l’intégrité des rédacteurs et contributeurs qui rédigent à visage découvert…
  • Censurer les commentaires jugés irrespectueux ou qui s’adonnent au dénigrement. Cela a pour avantage d’apaiser les débats et de protéger les rédacteurs. Mais inversement, cela peut faire passer Aulnaycap comme un site sectaire, qui n’accepte pas les critique et qui refuse une opinion différente de s’exprimer. D’autant plus que certains blogs mettent de l’huile sur le feu et n’hésiteront pas à nous qualifier de « complotiste » et de « fasciste » si nous pratiquons de la sorte

Et vous, qu’en pensez-vous ? Que devons-nous faire pour retrouver de bonnes conditions pour débattre et éviter toutes ces invectives ?

Pourquoi le pass sanitaire / vaccinal pourrait être désactivé pour plus de 500 000 Français

Si les non-vaccinés n’ont pas de pass valable sans les tests, les personnes de plus de 18 ans vaccinées pourront quand même se voir retirer leur pass sanitaire ce samedi 15 janvier si elles n’ont pas reçu de troisième dose 7 mois après la dernière injection. 

Concrètement, et selon le ministre de la Santé, Olivier Véran, entre 500.000 et 700.000 personnes pourraient voir leur pass se désactiver ce samedi. Un chiffre surestimé selon le ministre, invité de franceinfo ce mercredi 12 janvier. 

Le pass sanitaire va se désactiver 7 mois après la deuxième injection (ou infection). Ce délai comprend les trois mois nécessaires pour recevoir la troisième dose après avoir reçu la deuxième, mais aussi quatre mois de battement pour laisser le temps aux personnes de recevoir cette dose. 

Concrètement, si votre dernière injection/infection remonte à plus loin que le 15 juin, et que vous n’avez pas fait le rappel, votre précieux pass sera désactivé. Ce qui veut dire que vous n’aurez plus accès aux lieux de loisirs comme les restaurants, les salles de concert etc. 

Sauf qu’à partir du 15 février, ce délai de sept mois va être raccourci à quatre a annoncé Olivier Véran au Journal du Dimanche le 1er janvier dernier. Rappelant au passage qu’une infection était égale à une injection. 

Source et article complet : Actu.fr

Article Aux Aulnaysien.ne.s emmerdé.e.s, n’ayez pas peur et résistez ! 2/3

Suite de l’article de Sylvie Billard sur le Pass Vaccinal.

De la manipulation grossière à l’incitation à la haine

Nous le savons maintenant, face à un virus mutant de plus en plus contagieux et de moins en moins létal, les vaccins contre la COVID sont inefficaces et dangereux. Le gouverne-ment ment systématiquement sur les chiffres pour semer la confusion dans l’esprit des gens et ainsi les manipuler pour qu’ils se vaccinent et fassent pression sur les non-vaccinés.

Ce virus est devenu de moins en moins létal notamment pour les plus jeunes.

Ces vaccins sont inefficaces, y compris contre les formes graves.

  • Même l’un de ses fabricants, le PDG de Pfizer le dit : « Two doses offer limited protection, if any ». « Deux doses offrent une protection limitée, le cas échéant ».

  • Le Pr Éric Caumes affirme que ce n’est pas un très bon vaccin. Sa durée de protection ne se compte ni en année ni en mois. Elle est éphémère.

https://twitter.com/i/bookmarks

  • Sylvie Briand, directrice à l’OMS des risques épidémiques et pandémiques constate que « les vaccins que l’on a actuellement ont très peu d’influence sur la circulation du virus. Il faut vraiment se poser la question : qu’est-ce que l’on veut obtenir avec la vaccination ? Le vaccin n’est pas le seul traitement. La cohésion de la société ne doit pas être négligée. »

  Non vaccinés 2 doses Rappel
+ de 60 ans 13,2 % 45,7 % 41,1 %
18-59 ans 14,6 % 65,9 % 19,5 %
12-17 ans 44,1 % 54,7 % 1,2 %
  • 63 % des personnes décédées du covid sont vaccinées (source : DREES)

Ces vaccins n’évitent pas l’épidémie, au contraire ils l’aggravent. Pour Catherine Hill épidémiologiste, « La mauvaise nouvelle est qu’Omicron est un variant qui affecte les gens vaccinés ou qui ont déjà eu le Covid. Ce variant passe à travers l’immunité apportée par les vaccins ou un infection préalable. Donc du coup, il va circuler partout ».

https://twitter.com/search?q=israel%204%20eme%20dose&src=typed_query

Ces vaccins sont dangereux.

Le New York Times informe que « les injections de booster covid endommagent l’immunité, laissent le corps sans défense contre le virus. Trop d’injections peuvent causer une fatigue du système immunitaire et compromettre la capacité du corps à combattre le virus. »

Lors de son audition devant la commission des affaires sociales du Sénat le 01/12/2021, la Directrice générale de l’ANSM Christelle Ratignier-Carbonniel (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) a déclaré : « On le sait, il y a une sous déclaration en pharmacovigilance. A mi-novembre 2021, nous comptabilisons 110.000 effets indésirables pour les seuls 4 vaccins anti Covid 19 (autorisés en France). Les années sans pandémie, nous en avons 45.000 par an pour l’ensemble des médicaments en France. Donc même s’il y a sous déclaration, nous sommes très largement informés. (…) Les éléments mis en évidence par les données internationales mettent en avant une diminution de l’efficacité au-delà de 5 mois, nous n’avons pas de corrélat entre l’efficacité des vaccins et la protection. J’espère que nous les aurons un jour.»

https://twitter.com/search?q=ansm%20audition&src=typeahead_click

Au 30/12/2021, depuis le début de la vaccination, l’ANSM avait enregistré :

  • 128 666 effets indésirables,
  • dont 30 880 effets graves, soit 24%.

Alors que le gouvernement français envisage la 4ième dose, plusieurs pays comme le japon notamment abandonnent la vaccination et l’OMS prévient que le rappel vaccinal ne constitue pas une solution miracle et risque même d’accélérer les mutations du virus.

L’OMS condamne les approches misant tout sur la vaccination.

Le passe sanitaire ne protège pas, le pass vaccinal ne protègera pas davantage

Le président du conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, auditionné par le Sénat a déclaré : « Est-ce que le passe protège réellement ? Vous avez donné la réponse. La réponse est non. »

Au plaisir de vous lire,

Sylvie Billard

L’élue non-citoyenne de tou.te.s les Aulnaysien.ne.s

Au sujet de la vaccination contre le Covid-19 : proposition d’un débat ouvert sur Zoom par Aulnaycap

Chères lectrices, chers lecteurs,

Comme vous le savez, le sujet de la vaccination de facto obligatoire et du pass sanitaire contraignant pour les non-vaccinés est un sujet clivant qui divise les Français. Ce clivage est visible quotidiennement dans les échanges que nous observons dans les commentaires Aulnaycap.

Comme vous le savez, Aulnaycap est un espace de liberté d’expression et de débat quel que soit le thème concerné. Afin d’apaiser les choses et de permettre à tout un chacun de s’exprimer à visage découvert sans contrainte ni hostilité, nous vous proposons de faire un débat sans tabou sur le sujet de cette campagne de vaccination, des variants, du pass sanitaire et des effets secondaires que vous auriez observé lorsque vous vous êtes inoculé le vaccin quel qu’il soit.

Nous vous proposons de nous faire parvenir par email ou en commentaire les différents créneaux qui vous conviennent (nous avons ce samedi fin d’après-midi ou tout autre jour entre le 27 et le 30 décembre en fin d’après-midi) . Nous pensons notamment aux spécialistes autoproclamés de la santé où nous souhaiterions vivement échanger sur ce sujet de manière respectueuse et bienveillante.

Nous profitons de cet article pour signaler à notre commentatrice « Lola » que notre rédactrice Catherine Medioni ne souhaite plus être dénigrée ni insultée en respect de l’article 29 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.

La blogueuse d’Aulnay-sous-Bois Aurore Buselin témoigne des effets secondaires du vaccin Covid et de ses difficultés

Aurore Buselin

Le sujet de la vaccination et de ses effets secondaire est un débat clivant en France. Beaucoup de témoignages anonymes ou non vérifiables alimentent les réseaux sociaux, mais qu’en est-il de personnes clairement identifiables ?

Notre consoeur d’Aulnay Relais Infos nous fait part de son témoignage sur son expérience avec la vaccination et de ses effets indésirables en vidéo. Aurore est une personnalité locale parfaitement identifiable et sincère dans ses témoignages. En résumé :

  • Aurore et son mari ont connu des effets indésirables parfois graves mais s’en sont remis
  • Pas de connaissances proches décédées suite au vaccin
  • Pas de volonté de faire une 3e dose car privation des libertés et mauvaise expérience avec les deux premières injections
  • Pass sanitaire inacceptable
  • Pressions du gouvernement pour la vaccination jugées disproportionnées

La vidéo de l’interview est accessible ci-dessous :

La CNIL demande au gouvernement de fournir des preuves de l’efficacité du pass sanitaire

La Commission nationale de l’informatique et des libertés a publié un nouvel avis interpellant l’exécutif sur le manque de données disponibles pour évaluer les dispositifs de lutte contre le Covid-19, en particulier le pass sanitaire.

La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) perd patience. L’instance de contrôle du numérique a «de nouveau» demandé au gouvernement «de produire des éléments permettant d’évaluer pleinement l’efficacité» du pass sanitaire, dans son quatrième rapport sur les dispositifs mis en œuvre pour lutter contre le Covid-19, publié le 30 novembre.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/93192-cnil-demande-gouvernement-fournir-preuves-efficacite-pass-sanitaire-covid-19

Article proposé par notre lectrice Pascale

Le gouvernement durcit les mesures sanitaires en réduisant la durée de validité du test PCR et en obligeant la 3e dose de vaccin pour tous

Le Ministre Olivier Veran a indiqué de nouvelles mesures ce jour pour freiner l’épidémie.

Vous trouverez ci-dessous les principales annonces :

  • Le rappel vaccinal ouvert et obligatoire à tous les adultes de 18 ans et plus
  • Le délai entre la deuxième et troisième dose a été réduit de six à cinq mois
  • A compter du 15 décembre, le pass sanitaire pour les plus de 65 ans ne sera plus actif si le rappel n’a pas été fait dans un délai de sept mois après l’infection ou après la dernière injection.
  • A compter du 15 janvier le pass sanitaire de tous les autres publics, c’est-à-dire les Français âgés de 18 à 64 ans, ne sera plus actif si le rappel n’a pas été fait dans ce délai qui reste inchangé de sept mois après la dernière injection
  • Une alerte via l’appli TousAntiCovid sera envoyée à ceux qui l’ont téléchargée lorsque leur passe sanitaire arrivera bientôt à expiration
  • La gratuité du test PCR est soumise à condition. Le délai de validité sera réduit, dès ce lundi 29 novembre, de 72 à 24 heures
  • Doctolib a déjà ouvert la troisième dose de vaccination à toute la population concernée
  • Masque de nouveau obligatoire à compter de ce vendredi dans tous les lieux publics et recevant du public
  • Plus de fermeture de classe dès le 1er cas en primaire mais un dépistage systématique de toute la classe sera effectué et seuls les non-positifs pourront revenir à l’école.

Source : Oussouf Siby, conseiller municipal d’opposition

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