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L’incroyable histoire du chat Caramel qui quitte la Seine-Saint-Denis en faisant 150 km jusqu’à Migennes
On sait que les chats sont capables de faire de longues distances pour retrouver leur maître ou tout simplement pour s’établir sur de nouveaux territoires, comme les loups. Mais comment le chat Caramel, appartenant à une retraitée de Bobigny en Seine-Saint-Denis, a pu faire 150 kilomètres sur pattes malgré tous les obstacles et la circulation dangereuse ? C’est un mystère.
En tout cas, Caramel va bien et le fils de la propriétaire a pu le récupérer à Migennes, dans le département de l’Yonne. Tout est bien qui finit bien, Caramel doit maintenant se remettre de ses émotions.
Un enfant de 7 ans venu de Bobigny est mort noyé à Moulins dans l’Allier
Drame survenu le 15 août à Moulins dans l’Allier : un enfant de 7 ans de la ville de Bobigny s’est noyé. Il était de sortie avec son frère, dans une colonie de vacances de 33 enfants organisée par la mairie de Bobigny.
Entre le 1er juin et le 23 juillet, 193 personnes sont mortes noyées, soit +45% sur un an, selon les derniers chiffres de Santé publique France. Parmi eux, 27 enfants et adolescents sont décédés.
Rebondissement dans l’affaire de détournements de fonds publics au sein de l’OPH à Bobigny
L’affaire donne le vertige … Après un mandat (2014-2020) entaché par de multiples affaires de détournements de fonds publics, la majorité municipale UDI de Bobigny est sur le point de perdre la ville face à la liste communiste. Le 23 juin 2020, à 5 jours du second tour, Jonathan Berrebi, alors président de l’OPH et membre de la liste centriste, est pris d’une urgence. Il vend à prix d’amis l’immeuble HLM du 2 rue Gaston Crépin pour éponger les dettes de l’office, argue-t-il.
Malgré l’opposition ferme du Préfet, la SCI East Coast acquiert ce bout du parc HLM de la ville pour 410 000 euros, un montant inférieur au prix plancher fixé par les Domaines, un service de contrôle de l’Etat. Vendeur et acheteur s’affranchissent alors des dispositions légales régissant le logement social. Selon le code de la Construction, un logement social ne peut être vendu à un organisme privé. En 2019 déjà, Warren U. un ami de Jonathan Berrebi, avait tenté d’acquérir ce bien.
Source et article complet : France3
Ce que l’on sait sur l’agression qui a failli coûter la vie d’un adolescent devant son collège à Bobigny
L’adolescent de 15 ans violemment agressé à proximité de son collège de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, est sorti du coma artificiel, mercredi 5 février, a fait savoir le parquet. Plongée dans un coma artificiel après avoir été « frappée par plusieurs individus » en fin d’après-midi mardi, la victime « n’est plus dans le coma » et était « en cours d’audition » par les enquêteurs en fin d’après-midi, a-t-il rapporté.
Le collégien a été « frappé par plusieurs individus » et « hospitalisé, plongé dans un coma artificiel », a détaillé le parquet, confirmant une information du Parisien. Deux personnes, suspectées d’avoir pris part à l’agression, ont été placées en garde à vue. Toujours selon nos confrères, « cinq individus cagoulés », qui attendaient l’adolescent à la sortie du collège, ont participé à cette violente agression et ont fui lorsqu’un surveillant est intervenu.
Source et article complet : Le Monde
OUI au retrait du projet de déménagement des services du conseil départemental de Bobigny à Saint-Denis !
Soucieux d’anticiper les coupes budgétaires imposées par le gouvernement aux collectivités territoriales, le président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis a annoncé le déménagement d’une partie des services du conseil départemental situés à Bobigny dans les anciens locaux du comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques à Saint-Denis. Déménagement qui devrait commencer dès le mois de novembre 2025, qui permettrait une économie de 10 millions d’euros par an d’ici 2029.
C’est de fait sur le dos des agents et de la population du département que le conseil départemental programme des dizaines de millions d’euros d’économies. Dans un premier courrier à M.Troussel du 6 janvier, les syndicats CFDT, CGT, FO, FSU, SUD et UNSA précisent ainsi les raisons de la colère des agents :
- Le nouvel immeuble, dont « la surface utile sera presque divisée par deux », « ne peut accueillir plus de 2500 personnes » alors que « plus de 3000 agent.es travaillent actuellement dans les services dé- partementaux ». « Que deviendront ces centaines d’agents en moins ? Sous le déménagement, faut-il s’attendre à un plan social déguisé ? »
- « Fini le mode de travail actuel, place au flex-office ! Les es se retrouveront sans poste de travail attribué, avec la nécessité de trouver un espace le matin et de vider le bureau le soir en rangeant leurs affaires dans un casier personnel. Nous refusons une telle perspective, qui dégrade les conditions de travail, détruit les collectifs de travail, déshumanise et isole les salarié.es »
- Alors que le site de Bobigny est de plus en plus innervé par des transports venus de tout le département, le nouveau site ne serait accessible que depuis la ligne 12 du métro, venue de Paris. « Ce manque d’accessibilité » du nouveau site depuis la Seine-Saint-Denis pénaliserait les agents qui se sont instal- lés près de leur travail à Bobigny, mais aussi l’ensemble des habitants du département.
Parmi les services qui deviendraient ainsi plus difficiles d’accès pour la population figure la Maison départementale des Personnes Handicapées (MDPH), indispensable pour tous les travailleurs qui veulent faire reconnaître leur handicap ou celui de leurs enfants.
Jeudi 9 janvier, l’assemblée générale des agents du conseil départemental appelée par l’ensemble des syndicats a réuni 400 agents. Le refus du déménagement y a été voté à 99% ! La détermination des agents à obtenir satisfaction a conduit à l’organisation d’une manifestation le 23 janvier prochain.
Dans sa lettre demandant audience sur la base des milliers de signatures collectées pour la réouverture de 3 crèches départementales fermées en 2024 par M.Troussel et sa majorité PS-PCF-EELV-LFI, le Parti des Travailleurs de Seine-Saint-Denis écrivait : « Vous faites partie des élus qui, le 24 octobre dernier, ont publié une tribune dénonçant les « 10 milliards de coupes » dans les budgets des collectivités territoriales annoncées par le gouvernement Macron/Barnier. Vous parlez de « ponction (…) dangereuse car son ampleur imposera des remises en cause dans (les) services publics du quotidien ». Très juste ! Mais il y a une contradiction évidente entre cette prise de position de défense des services publics et votre décision de vous en prendre à ce service public si essentiel que sont les crèches publiques. ».
En annonçant ce déménagement contraire aux intérêts des agents et de la population, M.Troussel confirme donc qu’il s’inscrit dans les 50 milliards de coupes budgétaires que le 1er ministre Bayrou annonce vouloir imposer.
A contrario, avec les agents du conseil départemental et ses syndicats, le Parti des Travailleurs de Seine-Saint-Denis considère que rien ne peut justifier de s’en prendre aux services publics et à ses agents et exige le retrait du projet de déménagement des services du conseil départemental de Bobigny à Saint-Denis.
Source : Parti des Travailleurs – Comité départemental / contact@parti-des-travailleurs.fr
La boucherie Halal de Bobigny vendait du sanglier
La préfecture de Seine-Saint-Denis a en effet ordonné la fermeture d’urgence de la « Boucherie de Bobigny » dans un arrêté pris le 3 janvier 2025. Cela fait suite à un contrôle sanitaire effectué le 31 décembre 2024, après un signalement reçu par la direction départementale de la protection des populations (DDPP).
Mais c’est surtout le premier point qui anime les discussions : « détention, manipulation, découpe et mise en vente de vente de sanglier démunie de toute estampille vétérinaire certifiant la salubrité des viandes ». Cette boucherie est pourtant « 100% halal », d’après sa devanture. C’est la seule partie de l’arrêté qui a d’ailleurs été arrachée.
Source et article complet : Le Parisien
Le Mistral fait souffler un vent de solidarité sur Bobigny avec ses burgers à 5,50 €
Il y a une dizaine d’années, la tradition napolitaine du café suspendu traversait la Botte puis les Alpes pour essaimer ici et là en France. Dans l’Hexagone, ce geste de solidarité consistant à régler un petit noir qu’un autre client dans le besoin consommera à sa place a aussi pris la forme d’une baguette de pain. Moustafa n’est ni bistrotier ni boulanger mais il a le cœur sur la main. Qu’à cela ne tienne : dans son restaurant Le Mistral à Bobigny, ce sont des repas que la générosité collective finance.
Les vieux panneaux obsolètes de la RATP au Pont de Bondy
A la limite des villes de Bobigny, Bondy et Noisy-le-Sec, des panneaux antédiluviens de RATP subsistent au niveau de l’arrêt Pont de Bondy. Des lignes de bus qui ne circulent plus, le Noctambus qui ne circule plus depuis 2005… Il y a de quoi faire perdre la tête aux usagers qui ne sont pas du secteur.
Installés en 2003 suite au prolongement de la ligne T1, ces panneaux n’ont jamais été mis à jour. Défaut d’entretien ou « m’en foutisme » ? On ne sait pas si c’est à la RATP ou à la ville de Bobigny d’investir pour remettre ces équipements au goût du jour.
Dans 20 ans, peut-être que ces panneaux auront autant de valeur que les vieux panneaux en béton Michelin…
Viol d’une octogénaire par un résident temporaire dans un Ehpad à Bobigny
L’alerte a été donnée au petit matin par une aide-soignante. Il est environ 7h15, ce jeudi 26 décembre, et la professionnelle de santé, employée par l’Ehpad Hector-Berlioz de Bobigny (Seine-Saint Denis), fait sa dernière tournée. Elle entre dans la chambre d’une femme de 86 ans et surprend un autre résident, nu, en train de la violer.
La victime a été transportée dans la journée aux urgences gynécologiques pour procéder aux prélèvements et examens de rigueur. « Une enquête pour viol a été ouverte », confirme le parquet de Bobigny, ce vendredi. Elle a été confiée au commissariat de Bobigny.
Source et article complet : Le Parisien




