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Quand on entend le mot « culture » à Aulnay-sous-Bois, on sort…

Ce n’est rien qu’une histoire triste, car si c’était vrai, ce serait à pleurer.

Imaginez une île, grande comme la 50e ville de France. C’est une île pauvre, très pauvre.
Elle porte des (re)vêtements pleins de trous, que l’on raccommode comme on peut. Ici les trous sont vraiment vicieux, ils reviennent tout le temps.

L’île n’est pas bien propre, car il n’y a pas d’argent.

Les services sociaux, il vaut mieux oublier, car il n’y a pas d’argent.

Pas non plus d’ « exception culturelle » : pas d’argent pour les bibliothèques, elles ont déjà bien assez de livres de CD et de DVD. La bibliothèque principale, hébergée dans la maison d’un curé bienfaiteur, est fermée la moitié du temps. On est trop pauvre pour même imaginer la construction d’une médiathèque.

Pas de salle des fêtes, on se retrouve dans un gymnase des années 30, et pas de maison des associations. Les salles où elles se réunissent donnent l’impression d’avoir le même âge, la peinture s’écaille et les traces de moisi s’obstinent.

Vraiment, l’île est bien triste, au point que l’on s’est dit que le syndicat d’initiative, peut-être trop dynamique, était superflu.

Et pourtant, autrefois, c’était différent. On avait agrandi la bibliothèque, construit un centre culturel, un conservatoire, une école d’art, et une salle de concert dans le nord de l’île. Mais il n’y plus d’argent. Une année, on donne un coup de peinture, l’année suivante, on remplace quelques fauteuils.

Il y avait un bel équipement moderne le long du chemin de fer, avec un joli nom en « o », mais tout a été complètement rasé car comme dans toute île, il y a des cyclones, très nombreux, qui mettent par terre les belles vieilles maisons et leurs inutiles jardins.

Parfois, on en trouve, de l’argent, en vendant ce qu’on peut. Il y avait un beau terrain dédié à une association canine qui n’avait que 400 adhérents. On le récupère pour faire une « zone d’activités », et avec l’argent, on construit pour la cacher un bel équipement, torride en été, c’est normal pour une île. Ou on récupère une vieille ferme dans le sud, mais on fait les choses sérieusement : on mène des études qui durent des années pour se rendre compte qu’il faut abattre la plus grande partie des bâtiments, et on fait alterner les périodes de travaux avec des pauses de plusieurs mois pour être sûr que ça tient bien.

L’important c’est que ce soit prêt pour les prochaines élections.

Il y a une autre grosse ferme plus au nord, aménagée il y a bien longtemps pour les associations. Dans la grange la plus grande, il y a une dizaine d’années, on a fait une exposition sur la guerre 14-18. Les murs lépreux et les charpentes poussiéreuses collaient bien avec le thème, mais depuis, on est toujours en 14-18.

Dans l’île, il y a des artistes, mais l’île est trop pauvre pour leur offrir un lieu d’exposition.

Il y avait une demeure historique, déjà bien modeste pour une si grande île, au point qu’il n’y a jamais eu de panneau pour guider vers elle les visiteurs, mais elle a en partie brûlé, il y deux ans. Pas d’argent pour la réparer. Plus de lieu d’exposition pour l’école d’art.

Qu’à cela ne tienne, on va leur monter un barnum, dans un coin près du centre culturel.

Dans d’autres îles, on a proposé aux artistes d’exposer dans des locaux commerciaux vacants. Un pouvoir qui pense qu’il a une responsabilité envers les enseignants de l’école d’art, les citoyens et leurs enfants qui s’initient aux arts aurait agi ainsi, dignement, avec respect. Mais la population est affamée, et c’est cela la priorité : la nourrir, en ouvrant le maximum de commerces de bouche, et se faire côtoyer les « coffee shop » et les marchands de champignons. La culture, c’est du luxe pour les snobs.

Autrefois, il y avait un festival de musique au centre culturel, de grandes expositions et même des concerts classiques dans la mairie. Maintenant, la « maison commune » est bouclée, question de sécurité. Et c’était vraiment ridicule de dépenser tant d’argent pour des futilités. Il vaut bien mieux mettre le peu qu’on a dans l’aménagement du « Boulevard des commerces de bouche ».

On s’étonnera peut être de voir Aulnay Environnement s’amuser à raconter des fables, mais comme on dit, MIEUX VAUT EN RIRE QU’EN PLEURER.

Source : association Aulnay Environnement

La Gauche décortique le budget 2025 pour Aulnay-sous-Bois et alerte sur les finances !

Nous avons connu cette année les pires conditions pour analyser le budget de la commune, un 1er envoi du budget primitif 2025 le 27 mars puis l’envoi du bilan 2024 le 3 avril , soit 5 jours avant le Conseil Municipal du 9 avril mais il manquait des documents essentiels et obligatoires sans lesquels l’analyse était difficile. La municipalité d’Aulnay rend la trésorerie de Sevran, responsable du problème ! Les documents ne sont arrivés le 9 avril qu’à midi pour le Conseil Municipal à 20 h ! Malgré ces problèmes, voici notre analyse du budget.

  • Bilan de l’exercice budgétaire 2024

2024 a été une année faste puisque les recettes ont augmenté de 10 millions soit 181 M.

Les dotations et subventions (État, Région, Métropole …) sont restées stables ou ont augmenté.

Les recettes des services municipaux sont en hausse, peut-être la conséquence d’un nombre plus important d’inscrits mais aussi de l’augmentation des tarifs cantine, périscolaire, loisirs, santé etc… Mais surtout il y a eu 8,5 M de recettes exceptionnelles de la vente de biens municipaux, bâtiments, terrains …

Les dépenses sont prévues à 161,4 M, en baisse par rapport à 2024. D’une part, la ville a bénéficié d’une baisse des « fluides » (eau, électricité, chauffage, carburant) d’autre part, l’équipe municipale a réduit les dépenses sur de nombreux postes électricité, chauffage, frais de voirie …

Les charges de personnel 2024, mal estimées à 92 M (nous leur avions signalé l’erreur) ont été réévalués à 95,3 M, prenant en compte les avancements d’échelon, de grade des agents et surtout un dérapage sur les heures supplémentaires.

Sur les recettes d’investissement (pour les travaux et projets), seulement 29 M ont été utilisés sur les 45 M inscrits au Budget et pour les dépenses, 22 M réalisés pour 38 M inscrits.

De nombreux travaux ont été annulés (aménagements, constructions, rénovations…). Il est clair que la municipalité freine les investissements alors que les retards de travaux s’accumulent. On comprend mieux pourquoi la ville se dégrade d’année en année.

Finalement, il n’y a eu que 3,4 M pour l’ensemble des travaux de rénovation, une misère au regard de l’état de la voirie et des bâtiments publics.

Au niveau des projets : 3M pour le Boulevard de Strasbourg, autant que pour tous les travaux ! 1,3 M pour l’antenne jeunesse Berteaux, 1,2 M pour la vidéoprotection, comme pratiquement tous les ans et moins d’un million pour la laiterie Garcelon, les berges du canal et travaux divers.

La dette 2024 est à 147,8 M mais la part annuelle à rembourser reste élevée à 14,5 M.

  • Le Budget primitif 2025

Les recettes de fonctionnement retrouvent le niveau des années précédentes,169 millions. L’embellie n’aura duré qu’un an.

Les impôts et taxes, 52 M augmentent de 750 000 €, soit une hausse de 10 M depuis 2019.

Les dépenses de fonctionnement atteignent 163 M en augmentation de 1,3 M malgré la baisse des tarifs des fluides et 1,7 M d’économies dont 300 000 € de moins pour le nettoyage des locaux.

Les enfants et les enseignants étaient gelés cet automne à cause de problèmes récurrents de chaudière. Des économies sont nécessaires mais elles ne doivent en aucun cas pénaliser les enfants des crèches, les élèves et les adultes par un manque de chauffage ou d’hygiène.

Les charges de personnel atteignent 96,4 M soit 1,1 M de plus, le montant exact de la hausse de la participation de la ville aux cotisations retraite des agents municipaux. Il est donc fort probable que les charges de personnel augmentent encore avec la prise en compte des avancements des agents.

Certaines économies impacteront le personnel : baisse pour la formation, sur les primes et indemnités, sur les dépenses de médecine du travail, presque divisées par 2 !

Les transports collectifs chutent, 7 500 € au lieu de 88 000 ! qui sera touché ? Les élèves, les seniors, les associations ?… Par contre les dépenses de réception triplent, près de 100 000 €.

Au niveau des investissements, les programmes de travaux et projets étant réduits, il y a moins de travaux réalisés dans la ville (mis à part la poussée d’immeubles !) donc moins de TVA et moins de subventions. Quant aux recettes financières, elles ne peuvent plus compter sur des excédents de fonctionnement qui ont fondu. (-14 M)

La seule issue de l’équipe municipale, pour réaliser des travaux et payer la part de dette à rembourser de 13,7 M, c’est un nouvel emprunt de 9,7 M.

Il n’est prévu que 14,7 M de projets et travaux et lorsqu’on retire les études et les subventions d’équipement, il n’y aura plus que 12,6 M ! C’est le montant nécessaire pour une ville de 25/30000 habitants soit 65 € par habitant !

3,7 M pour les travaux récurrents dans les bâtiments, la voirie… au lieu des 11 M nécessaires. Pour les équipements : Bld de Strasbourg encore près de 6 M, (le double que pour l’ensemble des travaux) 2,3 M pour la Laiterie, 2M pour les berges du canal, 350 000 pour les caméras et 180 000 pour la rénovation de la salle Méliès du théâtre Jacques Prévert.

Voici leurs choix, extrêmement limités alors que les quartiers attendent leur rénovation ainsi que les bâtiments publics, que des kilomètres de rues et de trottoirs sont dégradés et dangereux …

Ils rafistolent, ils bouchent les trous … Il n’est plus question d’adaptation de la ville au changement climatique, de mise en accessibilité, ni même d’aménagements pour les vélos et piétons.

En conclusion, 2024 a bénéficié de recettes exceptionnelles grâce aux cessions de biens municipaux et de baisses des dépenses, ce qui a permis de dégager une épargne non négligeable mais pourtant insuffisante pour financer l’annuité de dette.

Ce sera beaucoup plus difficile pour 2025 avec des recettes qui stagnent et des dépenses en hausse. Le soi-disant budget de « bon père de famille » est un budget au bord du gouffre, qui ne répond plus à l’urgence, sacrifie le patrimoine par manque chronique d’investissements. Un budget qui ne peut répondre aux besoins des aulnaysiens en rénovant les quartiers dégradés, en réalisant de nouveaux équipements tels que les écoles, crèche … pour répondre à l’augmentation de la population, conséquence du nombre croissant de nouveaux logements.

Source : Oussouf SIBY Président de groupe, Sarah KASSOURI, Guy CHALLIER, Jean-Marie TOUZIN

Est-il temps d’investir dans les cryptomonnaies pour s’enrichir ?

En ces périodes incertaines où la conjoncture économique peut faire craindre le pire, certaines valeurs refuges permettent aux investisseurs et aux spéculateurs de maximiser les gains en attendant des jours meilleurs. Il a bien sûr l’or, mais aussi les cryptomonnaies, comme le Bitcoin, L’Ethereum ou encore le Dogecoin. Mais il y en a encore plein d’autres, avec la possibilité de gagner un maximum d’argent grâce à la volatilité des cours.

Mais qui dit transaction dit sécurité, et pour sécuriser ses cryptomonnaies, rien de tel qu’une plateforme reconnue et fiable pour éviter tous les soucis de piratage et de perte de ses monnaies. Vous pouvez compter par exemple sur l’expertise de la plateforme Finst qui vous propose d’investir sur un grand nombre de cryptomonnaies en toute sécurité. Les frais de transaction y sont très bas, il n’y a pas de « Spread » et vous pouvez compter sur un support dédié le cas échéant.

Vous êtes déjà au fait du marché juteux des cryptomonnaies ou vous êtes débutant tout en voulant diversifier votre patrimoine ? Sachez que ce marché n’est pas sans risque, le capital que vous investissez n’est pas forcément garanti. Mais les gains en valent la chandelle : si on prend l’exemple du Bitcoin, celui-ci valait quelques euros en 2011 alors qu’aujourd’hui, il se négocie à plus de 70 000 euros ! Certaines personnes sont devenues millionnaires et ont pu prendre une retraite anticipée, et profiter de leur vie.

N’hésitez pas à vous documenter sur les cryptomonnaies avant de vous lancer dans l’aventure. Il est bon de savoir quels sont les risques mais aussi les différents mécanismes qui vous permettront de faire les bons choix au bon moment. Et même s’il est difficile aujourd’hui de devenir millionnaire avec les cryptomonnaies si vous débutez dans le domaine, c’est toujours plus valorisant que de laisser dormir son argent dans des supports qui ne vous rapportent quasiment plus rien !

Source : contribution externe

Des investisseurs lésés avec le programme immobilier Fiducim à Villepinte

Ce programme immobilier de 110 logements à Villepinte avait tout pour plaire : un chantier à taille humaine, un dispositif Pinel, une potentielle plus-value grâce à l’arrivée de la gare du Grand Paris… Et cela attirait le chaland, notamment des petits investisseurs qui voyaient là un moyen de s’enrichir.

Mais tout est partie à vau-l’eau avec la faillite d’une filiale du promoteur Fiducim, la succession des sociétés en charge de la construction et l’arrêt des travaux à plusieurs reprises. Depuis, de nombreux investisseurs se sentent lésés et doivent rembourser leur crédit sans contrepartie. Et pour finir, le dispositif Pinel n’est plus possible, la signature de l’acte d’achat étant plus ancien de 30 mois avant la fin du chantier.

Que va-t-il se passer pour les investisseurs ? Le mal est fait…

NGE ouvre une nouvelle plateforme de valorisation des matériaux de chantier à Aulnay-sous-Bois

La nouvelle plateforme à Aulnay-sous-Bois rejoint la dynamique nationale impulsée par la filiale Revama du groupe NGE qui ambitionne de renforcer son implantation sur l’ensemble du territoire national. Cette 20e plateforme développe ses activités d’opérateur de déchets et de metteur sur le marché en lien avec l’éco-organisme Ecominéro en charge de la REP PMCB (Responsabilité Elargie du Producteur pour Produits, Matériaux et Construction issus du Bâtiment). Anciennement dédiée aux travaux de la ligne 16 du Grand Paris Express attribués à NGE, elle s’étend sur 3,5 hectares et offre désormais une solution locale permettant aux collectivités et aux entreprises de bénéficier de l’économie circulaire.

Source et article complet : Construction Cayola

Comment épargner efficacement à Paris malgré les temps difficiles ?

Paris est une ville dynamique, mais son coût de la vie ne cesse d’augmenter. Entre l’inflation, les loyers élevés et les dépenses du quotidien, de nombreux Parisiens peinent à joindre les deux bouts. Pourtant, face à cette situation, une solution efficace existe : l’épargne. Que ce soit pour faire face aux imprévus ou préparer l’avenir, bien gérer son argent devient essentiel. Découvrez comment adopter les bonnes stratégies pour économiser sans sacrifier votre qualité de vie.

Les défis économiques à Paris

Vivre à Paris est un véritable défi financier. En fait, le coût du logement y est l’un des plus élevés de France, absorbant une grande partie des revenus des ménages. À cela s’ajoutent l’inflation, la hausse des prix des transports, des courses et des services essentiels. De nombreux Parisiens ressentent une pression financière constante, rendant difficile toute tentative d’épargne. Face à cette situation, il est essentiel d’analyser vos dépenses et d’adopter une gestion rigoureuse de votre budget. Anticiper les imprévus et ajuster ses habitudes financières sont des solutions clés pour mieux faire face à cette réalité économique tendue. Pour en savoir plus, vous pouvez vous rendre sur le site finance-heros.fr.

L’importance de l’épargne dans ce contexte

Dans un contexte de hausse constante des dépenses, épargner devient indispensable. Avoir une réserve financière permet de faire face aux imprévus, comme une dépense de santé ou une perte d’emploi. De plus, une épargne bien gérée peut financer des projets, comme un voyage, un achat immobilier ou une formation. Contrairement aux idées reçues, il n’est pas nécessaire d’avoir des revenus élevés pour commencer à économiser. Mettre de côté ne serait-ce que 10 % de son salaire chaque mois peut, à terme, constituer une véritable bouée de secours en cas de coup dur.

Quelques conseils pratiques pour épargner efficacement

Pour commencer à épargner sans trop impacter son quotidien, il faut adopter les bonnes stratégies :

  • Établir un budget précis en listant ses revenus et ses dépenses essentielles.
  • Automatiser l’épargne en programmant des virements mensuels vers un compte dédié.
  • Réduire les dépenses inutiles en limitant les achats impulsifs et les abonnements superflus.
  • Profiter des bons plans comme les promotions ou les aides financières disponibles.

L’important est d’être constant et de voir l’épargne comme un allié pour un avenir plus serein, même dans une ville aussi chère que Paris.

En somme, épargner à Paris n’est pas une tâche facile, mais avec de la discipline et quelques ajustements, c’est tout à fait possible. En adoptant des habitudes financières saines et en optimisant vos dépenses, vous pouvez construire une sécurité financière durable. Chaque petit effort compte, et sur le long terme, ces économies feront toute la différence.

Source : contribution externe

Le marché de la location immobilière à Paris, toujours un bon plan ?

Faut-il continuer à investir dans l’immobilier à Paris alors que les taux d’emprunt sont de plus en plus élevés et que des villes comme Aulnay-sous-Bois commencent à lui faire de l’ombre ? Faut-il jeter le bébé avec l’eau du bain et faut-il faire une croix sur l’augmentation de son patrimoine immobilier dans la capitale ? Si l’on peut penser, en écoutant la dernière chanson de Pierre Perret, qu’il faut tirer un trait sur l’investissement locatif à Paris avec un constat amer et définitif, la première ville de France est loin d’être un marché immobilier sinistré comme certains le clament sans ambages.

Un loyer moyen qui reste élevé avec un retour sur investissement important

Malgré l’encadrement des loyers imposé par la ville de Paris, de nombreuses dérogations existent pour fixer le montant selon l’emplacement et la qualité du logement. Si vous souhaitez vous lancer dans la gestion des locations immobilières à Paris, il faut savoir que les loyers que vous pouvez imposer aux locataires de vos biens peuvent aller bien au-delà de la limite autorisée. Mais au-delà de tout ça, il faut savoir que la valeur de vos biens à Paris résistera bien plus aux troubles du marché immobilier, avec une dépréciation contenue alors que d’autres secteurs géographiques, principalement ruraux, seront touchés de plein fouet par la chute des prix.

Autre aspect à ne pas négliger : Paris, c’est plusieurs villes dans la ville, avec des arrondissements plutôt populaires et bon marché comme le 18e et le 20e arrondissements, et des arrondissements cossus comme le 6e. Le prix au m² peut augmenter de plus de 30% d’un arrondissement à un autre. A vous de bien fixer le prix du bien que vous voulez acquérir pour faire de la gestion locative, et de bien prendre en compte les projets à venir qui peuvent faire apprécier ou déprécier un quartier.

Enfin, sachez que les loyers élevés vous feront bénéficier d’une très forte liquidité des biens, ce qui vous facilitera également la vie lors de la revente. Paris reste la principale option patrimoniale lorsque l’on est à la recherche d’un investissement locatif dans la région Île-de-France.

Une ville où il y a une très forte demande de logement

Contrairement à d’autres capitales, Paris est une ville d’une taille relativement modeste. Le foncier y est plus que rare et les programmes immobiliers sont triés sur le volet. Il était interdit jusqu’il y a une vingtaine d’année de construire des tours de logements. C’est la raison principale du prix au m² très élevé, et c’est ce qui rend le marché immobilier à Paris très attractif et très demandé par les investisseurs.

Mais Paris, c’est aussi une ville étudiante et une ville touristique. Certains continuent à croire que Paris reste la ville la plus belle du monde et ce n’est pas pour rien de croiser de nombreux touristiques notamment du Sud-Est Asiatique, en quête de virées romanesque le soir tombé. Par conséquent, la demande de logements en location est toujours très forte, que ce soit de la location courte durée ou de la location longue durée. La demande en location de petits appartements meublés à la décoration soignée est aussi très importante. Si vous devez acheter des appartements à Paris pour de la location, misez ce segment qui a toutes les chances de rester efficace en termes de retour sur investissement.

Les petites surfaces restent celles qui ont le plus de succès à Paris dans la mesure où pour les grandes surfaces, les ménages préfèrent être propriétaires de leur lieu de vie. Limitez-vous à l’acquisition de biens du F1 au F3, bien plus facile à écouler et au rapport loyer / prix d’acquisition bien plus intéressant.

Un marché immobilier plus sécurisé qu’ailleurs

L’un des principaux atouts de Paris pour les investisseurs dans l’immobilier, c’est bel et bien son marché qui présente la particularité d’être stable, plus solide face aux tendances baissières cycliques que l’on peut voir en province. Et c’est pour cela que l’immobilier à Paris peut être considéré comme un placement sur le long terme, avec de belles perspectives de croissance. Sur les 30 dernières années, à de très rares exceptions, le marché de l’immobilier à Paris a toujours connu une croissance solide. Bien entendu, ces derniers temps avec l’augmentation du taux d’intérêt d’emprunt, les prix ont stagné voire baisser dans certains arrondissements. Mais tous les indicateurs montrent que ce n’est qu’un épisode passager avec pour cette année de belles perspectives de croissance.

Si vous hésitez toujours à vous lancer dans l’investissement locatif à Paris, n’hésitez pas à vous rapprocher de votre banquier voire d’un conseiller en patrimoine qui saura vous guider vers les programmes immobiliers les plus intéressants. Sachez que vous pouvez également profiter de belles défiscalisations en achetant des appartements à Paris pour de la location. Plusieurs dispositifs sont encore en place, dispositifs qui vous fera profiter d’une belle réduction au niveau des impôts.

Source : contribution externe

Aulnay-sous-Bois participe à la première édition de l’opération Quartiers Métropolitains d’Innovation

Le Maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, a eu le plaisir de retrouver Patrick Ollier, Président de la Métropole du Grand Paris, pour le lancement du dispositif « Quartiers Métropolitains d’Innovation ».

Le Maire est très heureux qu’Aulnay-sous-Bois ait été retenue pour participer à la 1ère édition de ce dispositif métropolitain ! Cette nouvelle opportunité va permettre à la Ville d’Aulnay-sous-Bois d’accueillir des entrepreneurs afin d’expérimenter des solutions innovantes en matière de transition écologique.

Le budget du Conseil départemental de 2022 de la Seine-Saint-Denis en baisse

Une enveloppe globale en baisse pour des secteurs en hausse

Une baisse totale qui s’explique tout d’abord par la renationalisation du financement du RSA, désormais pris en charge par l’état. Cependant, cela a permis une hausse des dépenses de fonctionnement et du budget d’investissement, d’après le Département. Ces deux secteurs ont observé par rapport à 2021 une hausse de 2,6% pour l’un et de 42% pour l’autre.

Soit 37 millions d’euros dépenses de fonctionnement pour atteindre 1,48 milliard d’euros. L’augmentation du budget d’investissement de 2021 représente 122 millions d’euros pour représenter la somme « jamais égalée » de 408 millions d’euros.

Source et article complet : Actu.fr

Emmanuel Macron promet de nouveaux équipements sportifs pour la Seine-Saint-Denis

Terrains multisports, dojos, salles de sports de combat, terrains de basket, terrains de padel,skate parks ou encore sites sportifs mobiles : Emmanuel Macron souhaite que le plus grand nombre puisse avoir un équipement sportif au plus près du domicile et du lieu de travail.

Selon le Monde, une enveloppe de 200 millions d’euros de crédits nouveaux sera affectée à ce plan de construction ou de requalification d’équipements, dont 100 millions dès 2022, à laquelle s’ajoutent 50 millions d’euros spécifiquement alloués à la rénovation thermique des équipements sportifs – ce montant renouvellera la somme identique du plan de relance consacrée à ce domaine en 2021.

Le département de la Seine-Saint-Denis serait bénéficiaire de ce plan, en adéquation avec les futurs jeux olympiques 2024. S’agit-il d’une promesse de campagne ou d’un projet réaliste ? En tout cas de nombreuses collectivités séquano-dyonisiennes accueillent favorablement cette initiative.