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Aujourd’hui un mensonge peut provoquer un meurtre
Rebondissement dans l’affaire Samuel Paty : l’adolescente à l’origine de la cabale-fatwa lancée sur les réseaux sociaux par son père, soutenu par un islamiste radical fiché « S » et connu des services de renseignements et qui a abouti à la décapitation de l’enseignant par un réfugié tchétchène demandeur d’asile vivant à Evreux, a enfin avoué avoir menti à son père et s’être enferrée dans son mensonge !
Dans une certaine religion que je m’abstiendrai de nommer, il est enseigné que « l’on pèche par pensées, par paroles, par actions et par omission ». S’il est vrai que pour que des paroles soient prononcées, il faut que la pensée l’ait précédé, on peut également affirmer dans le cas ici présent que les paroles ont conduit à des actions graves et que l’omission est avérée dès lors que l’on a dissimulé la vérité en omettant de la dire, voire en la travestissant !
Lors de sa mise en examen pour «dénonciation calomnieuse» le 25 novembre 2020, la jeune collégienne de 13 ans avait reconnu ne pas avoir été présente le jour du cours dispensé par Samuel Paty, parce qu’elle avait été exclue à la suite d’un mauvais comportement de sa part. Effrayée à l’idée de devoir révéler les vraies raisons de son exclusion à son père, elle a donc inventé cette histoire….dont son père s’est rapidement emparé pour la répandre sur les réseaux sociaux en agitant le spectre de l’islamophobie.
Dans la version de la collégienne, Samuel Paty avait demandé aux élèves de confession musulmane de quitter la salle. La jeune fille prétendait s’être insurgée contre son professeur et avoir été exclue du cours deux jours durant, ce que bien évidemment son père qui n’a jamais remis en cause à aucun moment la version de sa fille n’acceptait pas.
Les camarades de la collégienne ont pourtant démenti cette version auprès des enquêteurs de la sous-direction antiterroriste en révélant que la collégienne n’avait jamais assisté à ce cours et qu’en réalité Samuel Paty n’avait jamais demandé aux musulmans de quitter la salle de classe, mais simplement de détourner le regard : une mesure pleine de délicatesse en vérité pour protéger la sensibilité et les croyances des musulmans.
Comme on peut l’analyser et le constater, ce sont les mensonges d’une collégienne de 13 ans relayés par son père sur les réseaux sociaux qui ont conduit au meurtre et à la décapitation d’un enseignant de la république qui n’avait strictement rien fait d’autre que son devoir et qui l’a payé de sa vie gratuitement et inutilement !
Abdoullkh Anzorov, jeune tchétchène en mal de djihad qui avait demandé l’asile à la France, à l’autre bout des réseaux sociaux a bien reçu le message de la cabale-fatwa lancée par Brahim Chnina et montée en épingle par l’islamiste radical et prédicateur sulfureux Abdelhakim Sefrioui, comme une incitation au meurtre qu’il a prémédité et exécuté lui-même froidement !
Voilà comment un mensonge, mais également la manipulation irresponsable des réseaux sociaux à conduit à l’irréparable et à l’horreur !
Devons-nous continuer à accueillir au nom du droit d’asile des islamistes radicaux et des criminels en puissance qui pourraient très bien demander l’asile à des pays musulmans proches de leurs thèses idéologiques ?
Devons-nous conserver encore sur notre sol des islamistes radicaux réputés pour professer des thèses résolument et définitivement incompatibles avec nos lois, notre laïcité et nos modes de vies occidentaux, sans prendre le risque de nous exposer à des menaces de crimes contre l’humanité ? Sans devoir nous justifier continuellement auprès d’une idéologie religieuse obscurantiste qui n’est pas dans notre culture, qui cherche à s’imposer insidieusement et qui contrevient à notre éthique républicaine ?
La question se pose sérieusement et doit être courageusement abordée !
Article rédigé le 9 mars 2021 par Catherine Medioni
Ahmed Kaïd, le père d’Aymane tué par balle à Bondy, se confie en amenant le corps en Algérie
Ahmed Kaïd est un père au cœur brisé. Son fils, Aymane, était un boxeur émérite et surtout sa fierté. Dans Le Parisien, il se confie sur l’origine du drame, une rivalité sur le ring qui a mal tourné. Son fils avait déjà été agressé et son crâne ouvert par un coup de matraque.
Les deux frères qui ont tué Aymane se sont rendus à la police. L’un d’eux, le plus grand, a tué Aymane au travers de la fente de la boite aux lettres, lorsque la victime se trouvait dans l’espace Nelson Mandela. Tous les jours, des hommes et des femmes déposent des fleurs devant cet espace pour rendre hommage à un jeune garçon qui est parti trop tôt.
Quant au père, Ahmed, il souhaite que le tueur prenne le maximum et qu’il finisse ses jours en prison. Aymane sera inhumé en Algérie, à Sétif.
Kylian Mbappé rend un vibrant hommage à Aymen, adolescent lâchement assassiné à Bondy
L’onde de choc du meurtre du jeune boxeur Aymen, 15 ans, à Bondy a provoqué une onde de choc qui semble désormais atteindre tout l’hexagone. C’est dans ce contexte que la star de football Kylian Mbappé, également originaire de Bondy, a souhaité adresser à Aymen un message dans l’au-delà. Sur son compte twitter, on peut lire :
« Aymen
« Il n’y a pas d’au revoir pour nous. Peu importe où tu es, tu seras toujours dans le coeur des Bondynois. »
Repose en paix.
Mes condoléances les plus sincères à ses proches.«
Les deux individus responsables de son exécution ont été appréhendés. Selon les derniers éléments de l’enquête, un « différent » long de plus d’un an serait à l’origine de ce drame.
On en sait plus sur Aymen, tué devant l’espace Nelson Mandela à Bondy par deux personnes
Le terrible meurtre d’Aymen, 15 ans, a secoué plus que la ville de Bondy toute entière. Ce passionné de boxe, sans histoire, était reconnu comme quelqu’un de téméraire, volontaire. Son assassinat ne serait dû qu’à une dispute avec un jeune homme de 19 ans, qui a appelé son frère en renfort pour lui ôter la vie.
Les deux individus se sont rendus à la police et sont désormais en garde-à-vue. Une grave dispute s’est produit peu avant le drame, ce qui aurait rendu complètement fou le jeune homme derrière cette machination.
Le Maire Stéphane Hervé a appelé au calme et demande d’éviter toutes représailles. Il est à noter que le club de boxe où la victime s’entraînait est fermé pour cause de pandémie. L’heure à laquelle il a été tué aurait dû être l’heure de son entrainement…
Alain Ramadier consterné par le meurtre d’Aymen, enfant de 15 ans sans histoire tué à Bondy
C’est avec beaucoup d’effroi que j’ai appris hier le terrible drame qui s’est produit à Bondy. J’ai tout de suite pris contact avec le Maire, Stephen Hervé avec lequel j’ai échangé sur les premiers éléments de cette tragédie.
Aymen avait 15 ans et sa vie devant lui. Hier, deux individus la lui ont ôtée alors qu’il se trouvait dans le centre de loisirs Nelson Mandela.
C’est ce matin la colère qui m’anime. Comment est-ce possible.
La violence intolérable et aveugle doit cesser. Rien ne peut justifier de tels actes, tout doit être mis en œuvre pour que s’arrêtent ces drames, bien trop nombreux.
J’adresse mes plus sincères condoléances à la famille et aux proches de la victime.
Je veux également apporter mon soutien aux agents municipaux, ainsi qu’aux Bondynois présents au moment du drame.
Source : Alain Ramadier, député de la Seine-Saint-Denis
Le garçon de 15 ans lâchement abattu à Bondy par des malfrats était un adolescent en or !
Le meurtre du garçon de 15 ans, tué à bout portant par deux malfrats qui ont pris la fuite (ils se sont redus ensuite à la police), était un enfant sans histoire. Il n’était pas connu des services de police et n’était pas suspecté de trafic de drogue.
Au sein de son entourage, c’est la consternation, personne ne comprend cet acte. Deux individus ont été appréhendés et vont devoir répondre de leur acte.
Le mystère du corps retrouvé en morceaux dans une poubelle à Aulnay-sous-Bois dans les années 70s
Pour les plus anciens, c’est un mystère effrayant qui n’est pas encore résolu. Au milieu des années 70s, un habitant des quartiers Nord d’Aulnay, fraîchement sortis de terre, a fait une découverte macabre dans l’une des poubelles du secteur : un corps découpé en morceaux gisait, la tête parfaitement au dessus de la pile.
Rapidement, l’histoire a été colportée, déformée de quartier en quartier. Les enfants prirent peur, un monstre pouvait se cacher derrière cet acte odieux. S’agissait-il d’un tueur en série ? Du croquemitaine ? D’une créature maléfique ? Du descendant de Jack l’éventreur ?
A défaut d’avoir fait la une des journaux de l’époque, une légende s’instaura principalement dans le quartier des 3000. Puis la légende se dissipa pour ne rester qu’un vague souvenir chez les plus anciens. On ignore si le coupable a été appréhendé et l’identité de la victime, mais une chose est sûre : c’est une légende propre à Aulnay-sous-Bois.
Un homme tué d’une balle dans la tête devant son domicile au Blanc-Mesnil
Une homme de 29 ans a été abattu d’une balle dans la tête au Blanc-Mesnil, rue Laennec non loin du quartier Tour Eiffel à Aulnay-sous-Bois. Le tueur aurait envoyé un SMS à la victime qui serait descendue de son immeuble dans la nuit. Le tueur l’attendait patiemment dans la cage d’escalier et l’a tué presque à bout portant.
On ignore s’il s’agit d’une règlement de compte ou d’une vengeance, le tueur a réussi à prendre la fuite.
Une cagnotte pour Redha Achour assassiné à Aulnay-sous-Bois, Hadama Traoré réagit
Dans les quartiers de Nord de la ville d’Aulnay-sous-bois, nous avons vécu un drame humain sans précédent. Afin de soutenir la famille, Hadama Traoré, le leader de La Révolution Est En Marche (LREEM) vous demande de partager la cagnotte suivante pour soulager les proches de la victime, Redha Achour :
https://www.cotizup.com/pour-redha
Le mouvement LREEM souhaite des réponses de la part de l’association ADEF. Voici le mail envoyé à Mr VAILLANT, le directeur général de l’association ADEF, le 11 novembre 2020 :
« Bonjour Mr Vaillant,
Ce mercredi 11 novembre 2020 s’est produit quelque chose d’effroyable au sein de la résidence Matisse à Aulnay-Sous-Bois. Un meurtre dans l’une de vos résidences.
Nous déplorons qu’un tel incident ait pu se produire. Malheureusement depuis 2018 nous vous avons alertons sur les manquements dans la gestion de certaines de vos structures (les foyers), en décalage avec les engagements que l’on peut lire sur votre site internet. Notre démarche n’avait pas eu la chance de faire l’objet d’un retour de votre part. Nous avions alors effectué une dénonciation selon l’article 40 du code de procédure pénale, restée également sans réponse et sans suite.
Puis en 2020, nous vous avons interpellé à propos de manquements également mais cette fois-ci sur une structure dans le 78. Cette sollicitation avait donné lieu à plusieurs échanges mais sans mesures et changements.
En attendant que toute la lumière soit faite, nous nous demandons comment une telle tragédie peut arriver. Des locataires sur place semblaient dire que depuis plusieurs jours c’était très bruyant dans la résidence, peut-être les prémices. Bien loin de vous incriminer, nous sommes forcés de constater que l’accompagnement proposé dans ces structures n’est pas adapté.
La précarité nécessite et nécessitera toujours un accompagnement social. Nous ne comprenons pas par ailleurs que les résidences sociales et foyers ne figurent pas dans vos bilans d’activités de 2017 et 2020.
Comme déjà mentionné nous nous tenons à disposition pour participer à une amélioration dans ces structures. Nous souhaiterions que vous puissiez nous recevoir accompagné de vos collaborateurs pour échanger sur les possibilités d’une collaboration.
Dans l’attente de vous lire, voici un article https://www.francebleu.fr/…/aulnay-sous-bois-un-homme…
Cordialement,
Hadama TRAORÉ
Directeur Général de l’association Force Citoyenne«
Témoignages d’un meurtre au foyer de la Rose des Vents à Aulnay-sous-Bois avec un homme jeté du 6ème étage
Plusieurs personnes nous ont témoigné qu’un homme a été ligoté et jeté du toit du foyer de la Rose des Vents à Aulnay-sous-Bois, et que cette personne est décédée. Le corps du pauvre homme s’est écrasé sur le sol et il n’a pas survécu.
Selon les témoignages recueillis, il s’agirait d’un règlement de compte entre deux residents du foyer. La police est rapidement intervenue et le coupable aurait été interpellé. Selon les premiers éléments d’information obtenus, l’homme a été jeté du 6ème étage et son crâne aurait éclaté. Mais on ne sait pas comment il s’est retrouvé ligoté.


