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L’association Force Citoyenne assigne en justice plusieurs bailleurs à Aulnay-sous-Bois

Le 6 Janvier 2026, à 9h30, l’association Force Citoyenne du mouvement LREEM, va écrire l’histoire des quartiers Nord de la ville d’Aulnay-sous-Bois. En effet, au nom de la majorité silencieuse, l’association Force Citoyenne a assigné les bailleurs :

  • 1001 vies habitat ;
  • Emmaus Habitat ;
  • Immobilière 3F.

La demande principale est la suspension des loyers pour les locataires vivant dans des conditions d’insalubrité indignes d’un pays de droit.

La deuxième demande urgente, avoir accès aux justificatifs des charges récupérables, car au regard de la gestion catastrophique des parties communes, il est impossible de payer la régularisation des charges 2020, 2021, 2022, 2023 et 2024, en l’état.

Le 6 janvier 2026, à nous d’écrire l’histoire. La révolution est en marche et personne ne pourra l’arrêter. Cheickh Nguette, président de la Démocratie Représentative, fera du porte à porte pour sensibiliser la population des quartiers Nord.

Source : Hadama Traoré, leader du mouvement La Révolution Est En Marche

1000 logements seront construits à La Courneuve en lieu et place d’anciennes usines

Il n’y a que la Seine-Saint-Denis pour présenter encore aujourd’hui de telles friches, en zone urbanisée dense. À 2,5 km à vol d’oiseau de la porte de la Villette (Paris XIXe), les anciens entrepôts — fermés en 2018 — du spécialiste de la métallurgie KDI, forment un no man’s land de 5,5 hectares en plein cœur de La Courneuve. Le site va bientôt faire l’objet d’une reconversion majeure, à travers la zone d’aménagement concertée (ZAC) Quartier-de-la-Mairie de 8 hectares.

Source et article complet : Le Parisien

Hadama Traoré au secours des habitants de la Morée à Aulnay-sous-Bois

Les habitants de la copropriété de la Morée à Aulnay-sous-Bois ne décolèrent pas. De nombreux dysfonctionnements sont constatés et les sujets ne semblent pas être pris en considération ni par la municipalité, ni par le syndic. Ainsi, Hadama Traoré, au travers de l’association Force Citoyenne, a décidé de prendre les choses en main et de dire sans ambages ce qu’il pense de la situation.

Parmi les dysfonctionnements constatés :

  • Des ascenseurs en panne rendent difficile l’accès aux logements des personnes âgées ou affaiblies
  • Non-mise à disposition de badge d’accès aux copropriétaires malgré plusieurs demandes
  • Des caves non-accessibles alors que ces biens appartiennent bien aux copropriétaires
  • Des places de parking non-identifiées
  • Impôts sur une parcelle de terrain qui n’appartient pas à la copropriété

Hadama Traoré fait le serment qu’il imposera une scission de la copropriété de la Morée pour en faciliter la gestion. Il souhaite également profiter des prochaines élections municipales pour impliquer « l’opposition gauchiste » (sic) afin de mettre la pression sur Bruno Beschizza.

Le prix de l’immobilier chute à Aulnay-sous-Bois !

En 1 an, le prix moyen de l’immobilier à Aulnay-sous-Bois a chuté de près de 10% (neuf et ancien). Inflation, augmentation des taux d’intérêt, difficulté pour les primo-accédants d’obtenir un prêt… Tristes sont ceux qui ont acheté au pic de l’immobilier.

Sera-t-il bientôt accessible à tous d’acheter un appartement ou un pavillon à Aulnay-sous-Bois ?

Hadama Traoré appelle à la mobilisation ce mercredi contre OPH Aulnay-sous-Bois

L’ensemble des locataires de l’OPH AULNAY sont invités à une mobilisation historique ce Mercredi 22 juin de 8h du matin sans interruption. 

Les salariés réclament des conditions de travail digne de ce nom et rémunérés comme il se doit. Donc soyons nombreux ce mercredi.

On vous attend nombreux au 10 rue Nicolas Robert 93600 Aulnay-sous-Bois. 

Aulnaysiens, Aulnaysiennes, protégeons notre patrimoine. La révolution est en marche et personne ne pourra l’arrêter.

Source : Hadama Traoré, leader du mouvement La Révolution Est En Marche

Marc Verrecchia intervient aux côtés du Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza aux Assises Nationales du Logement

Bruno Beschizza

Le président du Groupe Verrechia, Marc Verrecchia interviendra aux côtés de Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois et Président de Paris Terres d’Envol, aux Assises Nationales du Logement et de la Mixité Urbaine.

Alors que le monde est secoué par une crise sans précédent qui bouleverse tous les modèles, les Assises Nationales du Logement et de la mixité urbaine, le 18 février 2021, seront l’occasion de réunir l’ensemble des acteurs du cadre de vie autour des sujets essentiels que sont le logement et le cadre de vie. Point d’étape sur les actions en cours, elles seront aussi l’occasion de se pencher sur demain et réfléchir aux modèles d’avenir.

Penser, produire et rénover le logement, réfléchir sur la mixité urbaine, c’est non seulement donner un visage aux villes et villages, mais surtout agir concrètement sur la société. Assistez au rendez-vous fédérateur de l’ensemble des acteurs de la filière, afin de faire un point d’étape complet après la crise, autour de la réglementation et des tendances actuelles qui font le logement de notre temps.

Quelles sont les réponses des professionnels du cadre de vie aux défis sociétaux, démographiques, économiques et environnementaux de notre temps ? Quelles politiques du logement et de la ville, post-crise ? Quelles sont les priorités ? Comment les mettre en œuvre ? Comment produire des logements abordables, confortables et durables ?

Pour s’inscrire et participer à l’événement, cliquer ici.

Oussouf Siby réagit aux interrogations concernant l’attribution de logements à Aulnay-sous-Bois

Beaucoup m’interrogent sur le pouvoir de décision du Maire et sur les modalités d’attributions des logements appartenant au patrimoine de la ville .

En temps qu’élu il est de mon devoir de vous apporter des éléments sur vos interrogations légitimes.

Lors du Conseil Municipal du 27 mai, le Maire demandait aux élu.e.s de voter la délibération qui lui permettait, avec sa majorité, de prendre des décisions importantes ne nécessitant ni explication publique devant les conseillers municipaux, ni débat, ni vote.

Pensant que les élu.e.s de la majorité n’avaient pas suffisamment lu cette délibération ou qu’ils ne mesuraient pas son importance et ses conséquences pour l’avenir, nous les avons alertés avant le vote.

Comme il fallait s’y attendre, ils ont voté sans sourciller cette délibération.

Or, cette délibération permet à B.Beschizza et sa majorité de gérer la ville le plus souvent par décision pour de très nombreux domaines comme les attributions de logements de la ville, prêts, emprunts, achats, prestations et même modification ou fermeture de services …

Il en a la possibilité réglementaire offerte par le Code général des collectivités territoriales et cette possibilité a été réaffirmée par le vote du 27 mai.

Les différentes décisions sont prises ‘entre soi », à trois voire quatre personnes. Nous élu.e.s de l’opposition, en sommes informé.e.s comme la loi l’exige, dans le document du conseil municipal mais bien après que la décision soit prise.

Nous ne pouvons que demander des explications, voire un débat, pour les décisions qui nous semblent problématiques, lors des conseils municipaux, mais il ne faut pas se leurrer, ça ne change rien.

La démocratie est mise à mal puisque le maire gère de plus en plus la ville via les décisions et que les conseils municipaux sont de moins en moins fréquents.

Concernant la mise à disposition des logements de la ville, il s’ agit essentiellement des anciens logements de fonctions des enseignant.e.s ainsi que des pavillons appartenant au patrimoine de la ville.

La ville n’est pas un bailleur et n’a pas vocation à l’être. Pour plus de transparence, nous avons demandé en début de mandature, la mise en place de critères objectifs permettant l’attribution de ces logements.

À notre grand regret ce fût refusé. C’est un fait, la majorité refuse toujours de créer des outils pour plus de transparence, d’équité et de lutte contre la corruption alors qu’elle aurait tout à gagner à garantir cette transparence, cela éviterait bien des soupçons de favoritisme, de clientélisme ou encore d’arrangements entre ami.e.s.

En effet aujourd’hui, des proches de la majorité municipale ayant fait ouvertement la campagne municipale (agents municipaux, responsables associatifs…) bénéficient de logements appartenant à la ville, appartements ou pavillons, parfois pour des loyers sous-estimés. On nous rétorque que des travaux sont nécessaires.

Il est vrai que nous ne savons pas comment sont calculés les montants des loyers, ni comment sont évalués les montants des travaux.

Rappelons qu’à Aulnay, il y a plus de 9000 demandeurs de logements dont beaucoup attendent depuis plusieurs années.

Il est temps, plus que temps, que des garde-fous soient mis en place.

Aulnay n’est la propriété de personne, il ne peut y avoir de clans, de favoritisme ou de « récompense pour bons et loyaux services ».

Pour cette année 2021 et pour redorer l’image de notre ville, l’exemplarité, l’honnêteté, la transparence et l’équité doivent être les valeurs portées par chaque élu.e. Il est temps de passer aux.

Source : Oussouf Siby, conseiller municipal d’opposition

La présidente de l’association Cap’Handi Kids accuse la municipalité d’Aulnay-sous-Bois de favoritisme

La campagne pour les dernières élections municipales de notre majorité actuelle a été faite sous le signe de la probité, en promettant en filigrane la fin du clientélisme, des passes droits. Les 8384 électeurs dont moi-même qui avons donné notre vote ont pris acte de ces promesses.

Pourtant à la lecture de certaines délibérations des derniers conseils municipaux, il est maintenant évident que la municipalité fait perdurer un système auquel elle n’a jamais réellement voulu mettre fin, bien au contraire cela constitue le socle principal de la gestion des affaires courantes de la ville.

Les faits :

  • En date du 27 Mai 2020 , un mois après les élections , le conseil municipal, sous la présidence du Maire M. Bruno Beschizza, a acté l’attribution d’un pavillon à un haut cadre de la ville dans le cadre d’une convention d’occupation précaire.
    Jusque-là rien de déroutant , même si la ville croule sous les demandes de personnes en attente d’un logement ou d’un relogement.
  • Premier élément intrigant, une fois n’est pas coutume et cela devient réellement inquiétant, cette attribution s’est faite au profit d’une personne proche de l’équipe municipale, soutient actif lors de la dernière campagne
  • Deuxième élément intrigant, à la lecture de l’article 22 (voir photo), cette convention d’occupation précaire a été conclue moyennant une redevance d’occupation de 1000 euros mensuel, recette qui aurait dû directement intégrée au budget de la ville.
  • Cependant, autre fait troublant , une exonération de la redevance d’occupation a été accordée au bénéficiaire de bail à compter du 17 Août 2020 et ce jusqu’au 17 Mars 2021. De fait pendant 7 mois, les bénéficiaires de cette convention d’occupation n’auront pas à verser le moindre euro en échange de travaux dits « de remise en état ». Cet arrangement est curieux pour deux raisons :
    • Soit le bien était vraiment en piteux état, voir insalubre (ce qui a ce jour n’a jamais été démontré) et dans ce cas la location de ce bien aurait été totalement illégale même dans le cas d’un bail précaire
    • Soit le bien nécessitait des travaux dits de confort et dans quel cas , ces travaux auraient dû être entièrement pris en charge par le bénéficiaire de la convention comme l’usage le prévois
    • Mais en aucun cas ces travaux auraient dû être financés par le contribuable, car oui cette somme représente un manque à gagner pour la ville et le financement de services publics ce qui en période de disette budgétaire est totalement inacceptable.

Autre jour , même lieu , même faits, en date du 24 Juin 2020, une nouvelle attribution d’un pavillon provenant du patrimoine de la ville , c’est à dire appartenant aux Aulnaysiens, à été actée cette fois ci à titre GRACIEUX, sans avoir à débourser le moindre euros , sans aucune motivation sérieuse, à une autre personne , encore une fois soutien officiel de M. le maire, dont pour des raisons évidentes de confidentialité je tairai le nom, mais qui n’est aucunement dans le besoin.

Rester silencieux face à cela , c’est accepter la dilapidation du denier public. C’est piétiner le lien de confiance qui doit unir une équipe municipale à ses administrés.
La spoliation du patrimoine financier de la ville doit cesser et la municipalité aura tôt ou tard à rendre compte de cella.

Je renouvelle une nouvelle fois en prenant tous les Aulnaysiens à témoin , la demande de création d’une commission indépendante chargé de contrôler les attributions.

NDLR :

  • Certains propos qui auraient pu être qualifiés de diffamants ont été supprimés
  • La photo du pavillon en question ne sera pas publiée car reconnaissable
  • Si les propos de la présidente de l’association Cap’Handi Kids sont exacts, il est encore plus étonnant que les membres de l’opposition, qui analysent en détail ces délibérations, ne s’émeuvent guère. A défaut d’une enquête approfondie, il faut rester vigilant et ne pas faire de conclusion hâtive

Vidéo : 99 nouveaux logements à Aulnay-sous-Bois dont 30 sociaux rue Jules Princet

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Vidéo

Il y avait au départ la SAEB. Puis cette entreprise est partie s’implanter sur Pantin, proche du Canal de l’Ourcq, pour laisser place à une parcelle dédiée à la construction de logements. Sous la mandature de Gérard Ségura, avec l’aide de la Région, il a été décidé d’en faire un lieu d’habitat collectif.

Les travaux viennent de débuter. 99 logements vont voir le jour dont 30 sociaux. 99 places de parking seront également aménagés mais est-ce que cela sera suffisant pour les résidents ? Le promoteur est Vinci.

Pour découvrir le début du chantier en vidéo ainsi que l’implantation de l’espace de vente, cliquer sur l’image ci-contre.

Trois enfants de moins de 5 ans et leurs parents mis à la rue par un propriétaire d’Aulnay-sous-Bois

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Le Parisien

Pas moins de 3 enfants, de 1 à 5 ans, ont été mis à la rue avec leurs parents, avec des sacs poubelles comme valises, dimanche soir à Aulnay-sous-Bois. Cela s’est passé dans le quartier de la Tour Eiffel. Le propriétaire, un homme de 52 ans, a été placé en garde-à-vue. C’est la police municipale qui a recueilli la famille en détresse.

Preuve du mal logement, cette famille occupait un appartement pour 1 050 € par mois, sans quittance ni bail. Le sous-sol était transformé en appartements. Mise à la rue parce qu’elle ne payait plus de loyer depuis 3 mois, cette famille d’origine Egyptienne qui louait à un compatriote habitait dans un sous-sol transformé en appartements. Séverine Maroune, 1ère adjointe et présente lors de la scène, a souligné vouloir combattre contre les marchands de sommeil.

Ce couple d’Egyptiens sans titre de séjour occupait ce logement depuis 8 mois environ, sans quittance ni bail. 

 

 

Source : Le Parisien