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Le champion de kick-boxing Freddy Kemayo de Villepinte devant la justice pour viols et coup de couteau

100 combats, 71 victoires, dont 49 par KO. Le palmarès de Freddy Kemayo, 100 kg pour 1,87 m, a de quoi impressionner. Mais le triple champion du monde de kick-boxing, forgé au Faucon Gym Boxing à Villepinte (Seine-Saint-Denis), n’a jamais cherché à dissimuler sa face sombre. « J’ai grandi dans une famille violente où les coups pleuvaient. Au niveau scolaire, j’avais arrêté les études très tôt, en 3e, après avoir été viré de mon collège. Sur mon bulletin était écrit : élève dangereux. Sans le kick-boxing, j’aurais mal tourné, c’est sûr », s’était-il notamment épanché, en mars 2016, dans nos colonnes.

Source et article complet : Le Parisien

La justice estime le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza innocent par rapport aux procédures bâillons

Le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza était accusé de dénonciations calomnieuses par le militant d’extrême-gauche Hervé Suaudeau le 6 janvier 2025. Ce dernier a été en effet attaqué à au moins 2 reprises par le Maire pour diffamation.

Finalement, le Maire d’Aulnay-sous-Bois a été relaxé en première instance. Cela fait suite à 2 procédures lancées par le Maire contre Bruno Beschizza, le premier accusant le second de complaisance avec l’islamisme politique et de dérives mafieuses. Finalement, la balle est renvoyée au centre, le Maire d’Aulnay-sous-Bois ayant perdu tous ses procès contre Hervé Suaudeau, et ce dernier ayant perdu son procès pour dénonciations calomineuses.

Hervé Suaudeau, que l’on verra certainement sur une liste aux municipales 2026 contre Bruno Beschizza, annonce faire appel. Il estime se sentir sous pression financièrement et psychologiquement face aux attaques judiciaires de l’édile d’Aulnay-sous-Bois. Un argument difficile à entendre, le blog Aulnaycap ayant été également attaqué en justice à plusieurs reprises par Bruno Beschizza, en gagnant ses procès et en ne dépensant pas un seul centime.

Usine d’amiante à Aulnay-sous-Bois, la justice est enfin rendue et le pollueur devient le payeur

Les élus PS actuels et ceux de l’ancienne équipe municipale PS, PC, PRG, Ecologie les Verts engagés de 2008 à 2014 aux côtés des associations pour la démolition de « l’usine poison », la recherche et le suivi des personnes exposées se réjouissent de cette victoire après 10 ans de procédure judiciaire ! Bravo aux associations et à leurs avocats, le combat et la persévérance ont payé.

En 2015, la justice condamnait le pollueur à verser la somme dérisoire de 400 000 euros. Aujourd’hui, la Cour d’appel de Paris reconnaît la « responsabilité délictuelle » de la société Comptoir des Minéraux et Matières Premières (CMMP), la condamne à verser plus de 13 millions à la commune d’Aulnay-sous-Bois et à indemniser également les associations.

Nous en sommes heureux et restons fiers du travail accompli en commun, élus, associations, médecins, partenaires car nous avons pu mettre fin à des décennies de scandale sanitaire.

Pour rappel, le CMMP, Comptoir des Matériaux et Matières Premières s’installe en 1938 en plein cœur d’Aulnay, à proximité de 3 écoles malgré l’opposition des riverains. L’usine broie de l’amiante jusqu’en 1975 puis poursuit des activités polluantes jusqu’ en 1991.

En 1998 la famille Voide / Léonard dépose une plainte après le décès des suites d’un mésothéliome (cancer provoqué par l’amiante) d’un parent habitant le quartier et ayant fréquenté l’école du Bourg.

En 2001, le Collectif de riverains et victimes de l’amiante est créé et qui multiplie durant des années les pétitions, lettres et manifestations devant l’usine.

La Haute Autorité de Santé (HAS) suite au rapport alarmant de la Cellule interrégionale épidémiologique recommande la recherche et le suivi des personnes exposées à cette pollution.

En Mars 2008 : le nouveau Maire, Gérard SEGURA, déjà engagé auprès des associations depuis plusieurs années, trouve l’usine en ruine, des trous béants dans la toiture avec un fort risque de propagation des fibres d’amiante dans tout le quartier.

La seule action de la municipalité précédente contrainte par le Préfet de l ‘époque a été en 2006, le déménagement des 400 élèves des 2 écoles mitoyennes dans des préfabriqués à Sevran.

Le nouveau Maire définit alors 3 axes de travail : faire disparaître l’usine – créer un comité de pilotage pour la recherche et le suivi des personnes exposées – engager un travail de mémoire.

De janvier 2009 à mars 2014 : chantier titanesque sous haute protection.

Démolition des bâtiments sous bulle étanche puis dépollution des sols sur l’ensemble du site soit 6 100 m2. Sols décapés sur 80 cm et plus, remblaiement avec 2 couches de béton concassé et compacté, pose de protections (film géotextile et filet avertisseur). En cours de chantier, évacuation non prévue de 1 000 tonnes de dépôts sauvages et enfin coulage de la dalle.

Projet d’aménagement discuté dès 2013 en conseil de quartier avec les habitants et ateliers avec les écoliers. Il était prévu un parking, un terrain multisports, des jeux et une promenade plantée.

Parallèlement, le Maire relance régulièrement les actions en justice pour faire payer les travaux à l’ancien propriétaire du CMMP.

Coût total : 6 millions pour le déplacement des élèves pendant 6 ans – Plus de 7 millions de démolition / dépollution – 4 millions pour la dépollution du sous -sol, le remblaiement et la dalle 5 M de subventions dont 2 pour la Région.

Par ailleurs, dès 2009, le Maire décide la création du Comité de pilotage Amiante chargé de la recherche des victimes, de la mise en place d’un suivi médical, d’aider les personnes à faire reconnaître leurs droits et d’engager un travail de mémoire.

Il est présidé par Maurice ALLOUCH, médecin à Aulnay depuis 40 ans et conseiller municipal dans l’opposition. Il reçoit chaque semaine les personnes inquiètes de leur proximité avec l’usine.

Principaux membres du Comité : les adjointes au Maire à la santé Evelyne Demonceaux et Nicole Siino, adjointe à l’éducation, les représentants des associations (Collectif des riverains et victimes du CMMP, Ban Asbestos France, Addeva 93, Aulnay Environnement) des chercheurs et médecins, les partenaires (ARS, CPAM…..)

Une étude menée par le GISCOP 93 (groupement scientifique pour les cancers professionnels) confirme qu’environ 40 000 personnes ont été fortement exposées entre 1938 et 75 sur Aulnay et Sevran et qu’il est possible de retrouver les anciens élèves des 3 écoles proches à partir des registres conservés dans les écoles.

En Avril 2013, suite à un entretien obtenu par le Député Daniel Goldberg, Marisol TOURAINE Ministre de la santé s’engage sur les 2 points demandés par le Comité de pilotage : la recherche de 14 000 anciens élèves – la mise en place d’un dispositif de santé publique piloté par l’Agence Régionale de Santé ARS. Un courrier sera envoyé aux personnes retrouvées avec des recommandations pour elles-mêmes et pour leur médecin traitant.

Les précieux registres sont retrouvés dans les écoles du Bourg et après une recherche longue et méthodique, les personnes retrouvées sont contactées par courrier.

Début 2014, le Comité de pilotage met en place un dispositif de suivi dans un local municipal : une permanence d’accueil tenue par les associations (écoute de la personne, reconstitution de son histoire et une orientation vers le médecin traitant), une information sur les structures de soins, un soutien psychologique si nécessaire et une aide aux démarches administratives de réparation.

La mission des anciens élus au sein du Comité de pilotage s’est arrêtée avec le changement de municipalité mais les associations ont continué seules les permanences d’accueil. Aujourd’hui le pollueur est reconnu coupable et devra payer. Ce n’est que justice.

Source : Oussouf SIBY Guy CHALLIER, conseillers municipaux d’opposition

Le révolutionnaire d’Aulnay-sous-Bois Hadama Traoré sort de garde à vue et évite la prison

1000 mercis pour votre soutien et pour ceux présents à la comparution immédiate de ce jour.

Depuis novembre 2023, le mouvement LREEM mène une lutte intellectuelle face au Tribunal Judiciaire de Bobigny pour le compte des copropriétaires de la résidence LA MOREE.

Afin de m’interdire l’accès au local des copropriétaires du 9 rue des Aulnes, le Tribunal Judiciaire de Bobigny a usé d’une histoire de violence que j’aurais commis à l’endroit d’une commissaire de justice pour demander un report d’audience au 10 octobre et me mettre en détention provisoire (prison) en attendant la date d’audience.
Pour mettre leur projet autoritaire en place, l’autre solution etait de m’interdir de paraître à mon domicile familial. DINGUERIE.

Ils ont cru faire peur à un révolutionnaire intégre et humaniste. J’ai été claire, je rentre à mon domicile familial, et je continue mon action associative ou la prison.
Je suis libre avec un contrôle judiciaire qui m’interdit l’accès au local des copropriétaires de la résidence LA MOREE. La réalité, c’était leur réel objectif : m’interdire l’accès du local des copropriétaires du 9 rue des Aulnes avant les multiples audiences à venir face à la juge, l’administrateur provisoire et la mairie d’Aulnay-sous-Bois.

La prochaine audience aura lieu le 8 juillet 2024 à 9h30 à la 6ème du Tribunal Judiciaire de Bobigny. On sera un minimum de 70 copropriétaires.
La dignité n’a pas de prix et la prison fait peur au faible d’esprit. La révolution philosophique est une obligation. La révolution est en marche et personne ne pourra l’arrêter.

Ps : n’oubliez jamais que je suis un croyant et chaque épreuve est bénéfique.

Source : Hadama Traoré

Vincent Lafon fait appel de sa condamnation d’exercer ses fonctions de policier pendant 6 mois

Jugé pour avoir consulté des fichiers confidentiels sans autorisation, Vincent Lafon a été condamné par le tribunal correctionnel de Paris à exercer ses fonctions de policiers pendant six mois, ainsi qu’à huit mois de prison avec sursis. Le procureur avait demandé une peine bien plus sévère (3 années d’emprisonnement et interdiction définitive d’exercer ses fonctions).

L’ancien commissaire d’Aulnay-sous-Bois, confiant, a fait appel du verdict pour continuer à exercer ses fonctions. Cet homme apprécié par ses collègues s’était remarqué par sa fermeté contre les dealers et les trafics en tout genre, là où les hommes politiques étaient plus conciliant.

 

L’ancien commissaire d’Aulnay-sous-Bois Vincent Lafon une nouvelle fois pris pour cible

Une nouvelle fois, Vincent Lafon, ancien commissaire à Aulnay-sous-Bois, est pris dans la tourmente avec une affaire judiciaire assez particulière. Au lieu d’un simple copier/coller de l’article du Parisien à charge, synthétisons les faits :

  • Vincent Lafon aurait consulté des données confidentielles à des fins personnelles et a été convoqué au tribunal correctionnel de Paris
  • Sa compagne, qui serait une ancien joueuse de Poker, serait prise dans une affaire d’escroquerie et se serait faite passée pour une avocate (sans en avoir la qualité)

Cette affaire judiciaire est en cours et nous laissons la justice faire son travail pour savoir si Vincent Lafon a fauté ou non.

Alors que quelques blogs et réseaux d’Extrême-Gauche se réjouissent d’une possible destitution de Vincent Lafon, il est à rappeler que ce dernier a toujours été blanchi des faits qui lui avaient été reprochés. L’affaire des insultes racistes d’un membre d’une patrouille à l’Île-Saint-Denis (l’individu avait tenté de voler du matériel sur un chantier) lui avait causé du tort, mais M. Lafon n’était pas là au moment des faits.

La municipalité d’Aulnay-sous-Bois et le Maire en particulier avaient pris fait et cause pour Théo Luhaka lors d’une interpellation musclée d’une patrouille de police. Sans même attendre les conclusions de l’enquête, le Maire Bruno Beschizza avait, par pur calcul électoral, critiqué cette patrouille, jetant le discrédit sur M. Lafon.

Vincent Lafon a certes des défauts, ses actions (comme pour chacun d’entre nous) ne sont pas toujours irréprochables. Mais contrairement aux autres commissaires et officiers de même rang, M. Lafon a toujours été un homme de terrain, souhaitant renforcer la sécurité dans certains quartiers abandonnés, a toujours défendu ses hommes (comme tout officier qui se respecte est sensé le faire). Ce n’est pas un syndicaliste qui souhaite gravir les échelons pour se frayer un chemin en politique, par pures ambitions personnelles. Il était de ceux qui n’hésitait pas à infiltrer les réseaux de trafic de drogue dans les quartiers Nord de la ville, quartiers qui aujourd’hui sont à l’abandon, en partie sous contrôle des dealers sans réelle volonté d’y faire régner l’ordre (les émeutes de l’été 2023 ont prouvé qu’à la moindre étincelle, tout flambait et que la ville était dans l’incapacité d’assurer la sécurité).

S’il a fauté et que la justice le déclare coupable, il devra se conformer au verdict. Mais au-delà de cette affaire, nous saluons un homme hors norme qui a tenté à sa manière de relever une situation désespérée, un homme loin d’être sans défaut mais qui ne cachait pas son jeu pour gravir les échelons. Vincent Lafon a tenté de faire respecter la loi de manière parfois brutale diront certains, tout comme Aetius avait tenté de sauvé ce qui restait de l’empire Romain tout en commettant des crimes ou Napoléon avait tenté de sauver la France après les troubles de la révolution Française, mutatis mutandis.

Ci-dessous les deux reportages que nous avions réalisé en sa compagnie dans les coulisses du commissariat d’Aulnay-sous-Bois :

 

Des peines de trois mois à trois ans de prison avec sursis pour les policiers qui ont interpellé Théo Luhaka à Aulnay-sous-Bois

Des peines de six et trois mois de prison avec sursis ont été demandées par l’avocat général à l’encontre de Jérémie Dulin et Tony Hochart, poursuivis pour des violences volontaires. La peine la plus lourde a été requise à l’encontre du gardien de la paix, Marc-Antoine Castelain, poursuivi, lui, pour des violences volontaires ayant entraîné une infirmité permanente : trois ans de prison avec sursis, cinq ans d’interdiction d’exercer sur la voie publique et cinq ans d’interdiction de port d’arme. Le magistrat a justifié ces peines par « l’absence d’antécédent » judiciaire des trois accusés et du temps long qui s’est écoulé depuis l’interpellation.

Source et article complet : L’Internaute

La maire LR de Noisy-le-Grand Brigitte Marsigny placée en garde à vue temporairement

« Accablement », « indignation »… Dans un communiqué commun, une partie des élus d’opposition demandent à la maire (LR) de Noisy-le-Grand Brigitte Marsigny de se « mettre en retrait » de la vie politique locale après avoir appris qu’elle a été placée en garde à vue, mardi dernier, dans une enquête ouverte pour blanchiment et prise illégale d’intérêts. L’élue a été relâchée sans poursuite à ce stade, précise le journal Le Monde qui a révélé l’information ce dimanche matin.

Source et article complet : Le Parisien

Vidéo. Le procureur de la République de Seine-Saint-Denis insulté en pleine audience et visé par une chaussure

Cette scène, qui a fait le tour des réseaux sociaux, s’est déroulée le 31 mars dernier lors d’une audience en comparution immédiate devant la 17e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Bobigny, a appris de sources concordantes. A la fin de cette audience, qui concernait une affaire de violences conjugales, la conjointe (et victime), mécontente de la condamnation prise à l’encontre de son conjoint violent, a jeté sa chaussure en direction de la procureur et proféré des insultes. « Il s’agit peut-être d’une action préméditée, puisque la scène a été filmée » indique une source au tribunal. Une enquête a été ouverte au commissariat de Bobigny pour violences, outrages à magistrat et pour le fait d’avoir filmé l’audience, ce qui est formellement interdit. Selon nos informations, la conjointe et auteur du jet de chaussure et des insultes n’a pas été interpellée sur le moment, faute de policiers présents lors de l’audience. Ce qui explique sans doute aussi pourquoi l’audience a pu être filmée (les policiers étant notamment là pour faire respecter l’interdiction des appareils photos et téléphones). D’après nos informations, l’absence de policiers dans le tribunal ce jour-là s’expliquerait notamment par la baisse des effectifs de police dédiés au tribunal de Bobigny.

Source : CNEWS. Vidéo ci-dessous :

2 ans de prison ferme pour un chauffard alcoolisé qui avait tué deux personnes en 2018 à Noisy-le-Grand

Juliette, 40 ans, et son frère Jérôme, 29 ans, avaient été fauchés à Noisy-le-Grand dans un accident provoqué par un homme en excès de vitesse, avec une alcoolémie près de trois fois supérieure à la limite autorisée. Le prévenu ne s’est pas présenté à l’audience, ce vendredi, devant le tribunal correctionnel de Bobigny.

Un homme de 28 ans a été condamné ce vendredi 24 février par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à une peine de deux ans de prison ferme aménageables sous forme de semi-liberté, et à trois ans de sursis probatoire de deux ans, pour avoir provoqué en 2018 un accident mortel de la circulation, en état d’ivresse et en excès de vitesse, à Noisy-le-Grand.

Source et article complet : Le Parisien