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Appel du BMS Judo à la solidarité des villes du département pour accueillir la 40ème Édition de son tournoi des 13 et 14 juin 2015
Après la culture, au travers de l’annulation ahurissante du concert de Grand Corps Malade Officiel par le maire UMP Thierry MEIGNEN, c’est au tour de l’excellence sportive blanc-mesniloise (à savoir le Blanc-Mesnil Sport Judo) d’être mise à l’épreuve…
En effet, nous apprenons avec stupéfaction que le BMS Judo ne pourra pas organiser la 40ème édition de son traditionnel tournoi au Blanc-Mesnil!!!
Bien que le BMS Judo, fort de ses 400 adhérents et de ses multiples performances sportives nationales et internationales, ait sollicité les services municipaux dès mi-janvier 2015 pour disposer du gymnase Delaune les 13 et 14 juins prochains, l’UMP Thierry MEIGNEN n’aurait toujours pas donné suite à cette demande…
Cette attitude est d’autant plus préjudiciable que le BMS Judo dispose à ce jour de l’accord de la ligue départementale de Judo avec des arbitres nationaux, l’accord des meilleures équipes des clubs de l’hexagone et cerise sur le gâteau, la présence et la participation exceptionnelle des équipes nationales d’ALGÉRIE et du PORTUGAL ; équipes que l’on retrouve régulièrement au tournoi de Paris à Bercy.
Ainsi, ne nous voilons plus la face, les citoyens blanc-mesnilois observent et se rendent bien compte aujourd’hui que pour être soutenu, il faut faire allégeance…
C’est pourquoi le BMS Judo, fleuron sportif du Blanc-Mesnil et fierté de ses habitants, attaché à son indépendance, appelle à la solidarité des villes du département voire d’Ile-de-France, par la mise à disposition d’un gymnase pour accueillir la 40ème Édition de son TOURNOI les 13 et 14 juin 2015 prochains.
Aux villes susceptibles de les accueillir par la mise à disposition du seul équipement sportif de leur commune, le BMS Judo précise disposer des tapis et du prestataire privé pour l’organisation du tournoi.
Enfin, pour conclure, rappelons que la tenue de cet évènement majeur est essentiel pour le Blanc Mesnil Sport Judo car il est l’aboutissement d’une saison au cours de laquelle tous les enfants du club, les bénévoles, les licenciés sportifs loisirs et de haut niveau se sont pleinement investis sans oublier bien entendu tous les passionnés de ce noble art qu’est le Judo.
Contact : M. CHÉRIF, Président du BMS Judo.
Source : communiqué BMS Judo
L’Entente Aulnay Handball – Blanc-Mesnil Sport accède à la demi-finale du championnat de France -18 ans
AULNAY HB et BLANC MESNIL SPORT sont des Habitués des joutes finales du Championnat de France dans cette catégorie.
En roue libre, les AMAZONES (> 18 ans) terminent la saison sans motivation. Cette fin de saison est appréciée car elle fut difficile tout au long de ces derniers mois. Entre certaines incertitudes, de nombreuses blessures, il était temps de prendre l’air pour revenir plus fort en Septembre et toujours en Nationale 1.
La Bourse du travail n’existe plus au Blanc-Mesnil
Au Blanc-Mesnil existait un lieu dévoué à la défense des intérêts collectifs et particuliers des salariés ; la Bourse du Travail. Le terrain avait été donné à la ville du Blanc-Mesnil justement pour y construire ce genre d’institution. Plusieurs syndicats y résidaient, comme la CGT ou la CFDT.
Seulement voilà, avec l’arrivée du Maire UMP Thierry Meignen, les choses changent et le contexte aussi. Il a été décidé de supprimer cette Bourse du Travail. Le personnel a été prié de quitter les lieux, 2 emplois ont été ainsi supprimés.
Choix politique ou fonctionnement peu efficace de la Bourse du Travail ? En tout cas le sujet semble déchaîner les passions dans notre ville voisine.
Image : Le Parisien où l’on voit le personnel nettoyer les lieux avant leur évacuation
Thierry Meignen se sépare de son adjoint à la santé Amar Amrane, militant UDI d’Aulnay-sous-Bois
Premier Accroc dans la majorité municipale de Thierry Meignen, le maire (UMP) du Blanc-Mesnil. L’élu a pris hier un arrêté retirant sa délégation de fonction à Amar Amrane (UDI), adjoint en charge de la santé et du handicap. Le prochain conseil municipal, le 13 novembre, se prononcera sur la perte du statut d’adjoint de M. Amrane. Thierry Meignen lui a retiré sa délégation pour « refus d’appliquer le programme de l’équipe municipale et déloyauté ».
Le maire accuse notamment Amar Amrane d’avoir voulu « fragiliser les centres municipaux de santé », alors que la majorité s’était engagée à les rénover. Thierry Meignen reproche à son adjoint aux « méthodes brutales » d’avoir voulu « supprimer le dictionnaire Vidal » et d’avoir « tenté d’empêcher le remplacement d’un allergologue et d’un ORL » dans ces centres. Il soupçonne au passage le docteur Amrane, par ailleurs médecin urgentiste à la clinique du Blanc-Mesnil, d’avoir fait passer « son sens des affaires » avant « son sens de l’intérêt général ».
« C’est affligeant ! J’ai voulu supprimer les Vidal pour mettre en place une version Internet en plus du papier, et c’est moi qui ai conseillé de recruter les deux médecins », répond Amar Amrane, échange de mails à l’appui. « Je suis pour la modernisation des centres, c’est moi qui ai rédigé la partie santé du programme du maire ! »
Autre accusation portée par Thierry Meignen : « Amar Amrane a déposé dans mon dos le nom de ma propre liste, le parti des Blanc-Mesnilois, afin de m’empêcher d’utiliser ce nom avec lequel j’ai fait toute ma campagne ». Cette marque a en effet été déposée à l’Institut national de la propriété intellectuelle (INPI) le 4 août par M. Amrane. Un communiqué de soutien à Gaza a été publié au nom de ce parti, sans en informer Thierry Meignen. Le maire a décidé de porter plainte pour « dépôt frauduleux de la marque ».
« J’avais manifesté pour Gaza et on me l’avait reproché de manière très véhémente. Je paye aussi mon indépendance politique et mon soutien à Yves Jégo pour la présidence de l’UDI », estime Amar Amrane, dénonçant au passage l’influence du député-maire UDI de Drancy, Jean-Christophe Lagarde, lui aussi en lice pour la présidence du parti et proche de Thierry Meignen.
Source : Le Parisien
Défilé militaire lors des commémorations des 70 ans de la libération du Blanc-Mesnil
Second volet de notre reportage, la rédaction vous propose de découvrir une partie du défilé militaire qui a eu lieu le 27 Août 2014 au Blanc-Mesnil. Cliquer sur l’image pour la découvrir.
Plus d’informations sur les véhicules ici.
Reportage réalisé par Aurore Buselin et Christelle.
Discours de Thierry Meignen, Maire du Blanc-Mesnil, lors des commémorations de la libération de la ville
Le 27 Août 1944, la ville du Blanc-Mesnil était libérée de l’occupation Allemande. 70 ans plus tard, la ville organisait une grande fête avec défilés et concerts. La rédaction était présente pour assister à cet évènement. Pour ce premier volet, nous vous proposons de découvrir le discours du maire UMP Thierry Meignen, en cliquant sur l’image ci-contre.
Reportage réalisé par Aurore Buselin et Christelle.
Vidéo : Voyage à l’intérieur des immondices du camp de Roms du Blanc Mesnil et d’Aulnay-sous-Bois
Le camp de Roms situé le long de l’autoroute A3 a été évacué lundi 12 Mai, sous la pression des nouveaux Maire UMP Bruno Beschizza (Aulnay-sous-Bois) et Thierry Meignen (Blanc-Mesnil). Aujourd’hui, les travaux de déblaiement ont bel et bien commencé, avec pour tâche principale d’évacuer les déchets qui jonchent l’ancienne voie ferrée liant la gare du Blanc-Mesnil au site PSA, aujourd’hui fermé.
La rédaction est allée sur place pour filmer un triste spectacle de désolation : immondices en tout genre et odeur piquante sont le triste constat d’une occupation illégale d’un terrain privé. Malgré le danger relatif au niveau sanitaire, un juge avait décidé d’empêcher l’évacuation de ce camp pour motif d’absence de danger. Aujourd’hui, c’est pourtant bel et bien une situation environnementale désastreuse que la collectivité tentera de réparer durant les prochains jours.
Pour accéder à la vidéo, cliquer ici ou sur l’image ci-contre.
Article proposé par Arnaud Kubacki
Aulnay-sous-Bois et Le Blanc-Mesnil, vidéo : un immense camp rom démantelé le long de l’A3
Ce lundi matin, vers 10 h 15, le démantèlement du grand camp rom situé le long de l’A 3, sur les communes d’Aulnay et du Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis) a débuté. Une voie de l’autoroute a été fermée, ce qui provoque de gros bouchons sur l’A3 et par répercussion sur l’A1. Une quinzaine de fourgons de police sont sur place.
Prévenus par huissier de la date de l’évacuation, les familles ont quitté les lieux ce week-end
Sur place, il reste des baraquements de bois et de plastique, des tas de pneus, des monceaux de déchets… Ce bidonville, mis en place depuis un an environ, a accueilli jusqu’à 700 personnes. La date de l’évacuation a été décidé il y un mois, par une action commune des nouveaux maires UMP d’Aulnay, Bruno Beschizza, et du Blanc-Mesnil, Thierry Meignen, en concertation avec le préfet Philippe Galli. Ce lundi matin, les deux édiles sont venus sur place pour assister à l’opération.
L’évacuation d’un autre grand camp rom, celui du boulevard Chagall à Aulnay-sous-Bois, doit avoir lieu la semaine prochaine, à la suite d’une décision de justice.
Source : Le Parisien du 12/05/2014
Note : la direction vous propose de consulter une vidéo prise juste avant le démantèlement du camp, vidéo consultable en cliquant sur l’image.
Camp rom entre le Blanc-Mesnil et Aulnay-sous-Bois : l’expulsion se précise
Les jours du vaste bidonville rom situé le long de l’autoroute A3, à cheval sur les communes d’Aulnay et du Blanc-Mesnil, sont comptés. Le maire UMP d’Aulnay, Bruno Beschizza, a pris un arrêté mettant en demeure ses occupants de quitter les lieux. Une injonction qui leur a été notifiée mardi et qui laisse donc présager une intervention de la force publique dans les prochains jours. L’élu avait été reçu en avril avec son voisin UMP du Blanc-Mesnil, Thierry Meignen, par le préfet, pour exposer leur volonté de voir disparaître ce campement, qui compte parmi les plus importants du département. On y recense environ 700 personnes.
Source : Le Parisien du 08/05/2014. Image : camp situé sur la RN2 ces derniers jours
Six villes basculent à droite en Seine-Saint-Denis, dont Aulnay-sous-Bois
Saint-Ouen, LeBlanc-Mesnil et Bobigny, trois bastions rouges, ont été remportés par ladroite, qui gagne aussi trois villes socialistes et divers gauche: Aulnay-sous-Bois, Villepinte et Livry-Gargan.
HISTORIQUE. Trois fiefs du PCF submergés par la vague bleue (lire ci-dessous), mais aussi Aulnay-sous-Bois et Villepinte, perdues par l’
UMP en 2008 et qui reviennent dans le giron de la droite, ou, plus inattendue, la victoire du jeune Pierre-Yves Martin, 33 ans, à la tête d’une coalition avec l’UDI, contre Alain Calmat (DVG) qui s’attendait à décrocher un 4emandat à Livry-Gargan.
Hier soir, le sénateur-maire (UMP) des Pavillons-sous-Bois, Philippe Dallier jubile au côté de Bruno Beschizza, nouveau baron de la droite en Seine-Saint-Denis. « C’est historique, même en 1983 on n’avait jamais vu une telle victoire ! Le PS et le PC sont en pleine débâcle ! » claironne le parlementaire qui lorgne déjà sur la présidence du Grand Paris en 2016.
L’élection a pris des allures de grand chamboule-tout
Pour le président (PS) du conseil général, Stéphane Troussel, « le résultat de ces municipales sonne comme un avertissement sévère à l’égard du gouvernement et du président de la République ». Il estime qu’il est « urgent de donner des signes clairs aux citoyens ». Le chef de file du PCF dans le département, Hervé Bramy, est resté injoignable hier soir.
Dans l’ensemble du département, l’élection prend des allures de grand chamboule-tout : dix maires sortants ont été battus, dont Eric Raoult (UMP) au Raincy ou encore Raymond Coënne (UMP) à Coubron, tous deux devancés par des dissidents de droite. Les communistes, qui perdent trois villes, en gagnent tout de même deux : Montreuil, l’ex-verte, et Aubervilliers, l’ex-PS.
A noter, la seule conquête du PS, Bagnolet, qui était communiste depuis 1928. Sans surprise, Michel Pajon (PS, 42,9 %) a été réélu à Noisy-le-Grand, Sylvine Thomassin (PS, 47,4 %) a gagné à Bondy, Laurent Rivoire (UDI, 58,5 %) à Noisy-le-Sec, Corinne Valls (DVG, 49 %) à Romainville, Claude Capillon (UMP, 49,4 %) à Rosny-sous-Bois, Stéphane Gatignon (EELV, 50,6 %) à Sevran, Azzédine Taïbi (PC, 50,3 %) à Stains et Carinne Juste (FG, 43,3 %) à Villetaneuse.
Source et image : Le Parisien du 31/03/2014




