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Avenir de l’aviation, du tourisme, des aéroports, des travailleurs de ces secteurs et des habitants du territoire « Paris terre d’envol »
L’aviation doit arrêter son développement, mieux diminuer.
Pour des raisons climatiques bien sûr et aussi pour mettre fin à la folie du tourisme international, aux abus du transport de fret qui génèrent des développements contraires à une vie économique et sociale équilibrée pour tous les pays qu’ils soient riches (et idiots avec un tourisme inhumain) ou pauvres (et esclaves des touristes riches).
De plus ces « libertés » de se déplacer (sans payer de taxes) amène à une interdépendance qui devient pour tous une dépendance sur le plan climatique, alimentaire, de la santé publique, des capitaux qui achètent les entreprises, les terres… le travail humain.
Nous venons de découvrir le télétravail et les réunions à distances à tous les niveaux y compris international.
La conséquence est évidente : il faut mettre en cause les aéroports d’affaires (derrière lequel peut se cacher du tourisme « abus de biens sociaux », soit l’aéroport du Bourget mais aussi beaucoup d’aéroports régionaux. L’aller-retour Paris-Province dans la journée en avion n’a pas de sens, le trajet Paris-Marseille en avion n’est pas justifié.
L’aéroport du Bourget ne doit pas rouvrir :
Il faut le reconvertir comme celui de Berlin-Tempelhof
Le gain de la fermeture du « Bourget » (envisagée depuis la création de Roissy) c’est la moindre pollution sonore des 92, 93, 95 pour quelques milliers de passagers et surtout la libération de 550 hectares de territoire de bonnes terres à 10 kilomètres de Paris.
Pour les aéroports régionaux, il faut restructurer l’ensemble des réseaux (route, rail, air, mer…) aux différents niveaux (local, régional, continental et intercontinental…). Nous avons finalement la chance d’avoir un réseau ferré national en étoile (radial) sur Paris qui est de fait une porte continentale et surtout intercontinentale.
Les lignes ferrée de rocade sont forcément concurrencées par la souplesse de la route (qui peut être du transport collectif, peu polluant…) …mais elles ont le mérite d’exister et doivent être réinventées : transport régional…
Cependant les régions excentrées ou insulaires au niveau européen peuvent avoir un trafic minimum aérien : Grèce, Irlande, Islande, Ecosse, Norvège, Italie du sud. Mais le trafic aérien peut aussi être réalisé par des dirigeables y compris au niveau international. Brest-New-York doit être envisagé par dirigeable comme par la mer…
L’Europe doit être innervée par des rails performants : de Paris à Moscou, de Madrid à Barcelone, Lyon, Italie du Nord et Balkans et du nord au sud…Des trains de nuit peuvent performer…
Evoquons le tourisme qui est une plaie évidente (Venise, Mont-saint-Michel et ailleurs…) et qui menace à terme nos pays riches comme ceux du sud (Tunisie et autres…)
La rencontre des hommes est devenue une réalité dans nos pays modernes. La découverte des paysages et des richesses artistiques ne peut pas être superficielle et attentatoire au climat : des séjours (type Erasmus…) seuls sont à même de favoriser de véritables échanges durables (apprentissage des langues, des cultures…), avec des perspectives professionnelles.
A l’inverse l’utilisation des mains d’œuvre bon marché pour les travaux saisonniers ou pour les travaux durs ou dangereux est à proscrire : il faut aller vers l’égalité des systèmes sociaux au moins continentale.
Il faut se battre contre les kilomètres inutiles dans tous les cas et surtout contre les kilomètres « bêtes et méchants ».
L’urgence sociale est majeure dans notre territoire dont les emplois actuels sont liés aux aéroports et à l’hôtellerie qu’il y a autour.
L’hôtellerie doit être reconvertie : logements sociaux, étudiants, jeunes travailleurs, accueil d’urgence (femmes battues, SDF, sans papiers, populations réfugiées…), réserves sanitaires… (de quarantaine).
Mais le territoire doit aussi être valorisé (campus de toutes natures en particulier universitaire, ensembles festifs, sportifs et culturels).
Enfin le territoire doit avoir une autonomie alimentaire minimum : les cultures vivrières doivent exister come le maraîchage d’antan à Aubervilliers, la grande culture et les élevages de toutes natures aussi et les marchés locaux accueillir les productions locales y compris de transformation agro-alimentaire.
Evoquons Roissy qui doit arrêter de grossir (T4 et CDG-Express), les directs RER B « Paris Roissy » vides doivent être abandonné sans délai : pour des raisons sanitaires aujourd’hui et pour donner la priorité aux travailleurs invisibles demain.
Source : André Cuzon
Pistes d’atterrissages pour notre territoire « Paris terres d’envol » par André Cuzon
Félicitations aux élus d’Aulnay et des autres communes du territoire.
Un mot sur les élections.
Une polémique ridicule avait abouti à la suppression des « machines à voter » acquises pour limiter la fraude électorale dont notre ville avait pâti en 1983 comme d’autres.
Si nous voulons voter plus souvent, « référendums locaux » ou autres il faut revenir aux machines et mieux mettre en place des outils démocratiques de vote électronique. Un outil basé sur les inscriptions sur les listes électorales pourrait facilement être utilisé au niveau du quartier (bureau de vote), du grand quartier (à redéfinir de mon point de vue) et au-delà au niveau du territoire « terres d’envol » à rebaptiser « terres à vivre ».
Il faut aussi que tous les dossiers et les commissions soient le plus transparentes possibles. Les commissions municipales ne sont pas mentionnées sur le site de la mairie d’Aulnay! Elles pourraient être ouvertes au public au moins une fois par an. Nous ignorons s’ il existe une commission santé ; nous en reparlerons.
Le territoire « terres d’envol » inconnu de la plupart des habitants devra l’être.
La réforme de la région, des départements, du grand paris, des territoires peut être facilitée si les informations sont partagées sur internet et que les débats publics soient une norme au-delà de la CNDP actuelle (couteuse et pas toujours adaptée)…
Pour notre territoire « terres d’envol » il est urgent de mettre à l’ordre du jour l’avenir du transport aérien et en particulier celui de l’aéroport d’affaires du Bourget qui n’a plus aucun sens après la pandémie.
Evidemment ce problème dépasse notre territoire mais si celui-ci ne prends pas les devants nous aurons un chômage de masse tôt ou tard : la mutation durable du territoire est urgente (je le dis depuis 20 ans !). Un « fake news » du lobby international de l’aviation (IATA) relayé par tous nos élus locaux du territoire de droite et de gauche fait croire à un pourcentage de 2 ou 3 % de l’impact du transport aérien sur le climat, alors qu’il faut le multiplier par trois. Ils oublient aussi qu’il n’y a pas de taxe sur le kérosène.
Pour notre territoire c’est la fracture territoriale due aux deux aéroports qui empêche l’indispensable liaison entre le 93 et le 95 : Gonesse (avec son hôpital) était le chef-lieu de canton d’Aulnay jusqu’en 1965. Les 550 hectares de l’aéroport du Bourget doivent revivre ; l’aéroport d’affaires ne doit pas rouvrir ! Ce sont des terres à blé et non pas des terres pour faire du « blé »!
- Ouvrons deux autres chapitres territoriaux dont les citoyens sont exclus…
- Commençons par les hôpitaux.
L’APHP (assistance publique des hôpitaux de Paris) a essaimé à l’époque dans le département de la « Seine » (Bobigny, Bondy) puis à Aulnay-Sevran pour la gérontologie) : ces 3 unités forment le GHU 93.
Les hôpitaux intercommunaux (Saint-Denis-Delafontaine, Montreuil-Grégoire, Aulnay-Ballanger, Montfermeil-le Raincy…) semblent avoir été créés par souci d’indépendance (politique ?) de Paris et de desserte plus éloignée de Paris.
Ce qui est sûr c’est que ces deux structures sont en concurrence. Les patients (à travers les commissions médicales type R.C.P.) vont dans un circuit ou un autre sans tenir compte de la proximité géographique (éventuellement le réseau intercommunal GHT GPNE (Aulnay, Montreuil, Montfermeil) peut être prolongé à Créteil _ pas à Mondor (APHP)_ ni à Paris qui peut être plus proche.
Cette double structure médicale-politique ne peut se faire qu’au détriment des patients et de la proximité.
Le projet Jean Verdier-Avicenne illustre cette aberration : aucun débat public (à Aulnay limitrophe de Verdier par exemple) : le site APHP cite les bondynois pour plaire à la mairie comme si l’hôpital était communal.
La question de la santé est plus large bien sûr : hôpitaux privés, centres de santé, médecine de ville : un débat public et une commission ad hoc locale et/ou territoriale est nécessaire… la santé est un service public : les aspects financiers (investissements, fonctionnement, revenus…) sont multiples tant dans le public que le privé : c’est le contrôle par les personnels, les usagers et les citoyens qui est fondamental pour assurer un service au public, en particulier à proximité des patients.
- Poursuivons par le transport
- J’ai déjà raconté les affiches du PSU que j’ai collées dans les années 1970 (« La RATP à Aulnay »).
En effet l’ancien STIF comme aujourd’hui « IDF mobilités » ont gérer les lignes de la petite couronne (département de la Seine) comme un monopole de la RATP et la banlieue éloignée était laissée aux transporteurs privés type TRA ou CIF (aujourd’hui Transdev). La concurrence était rude. A l’époque c’est la lutte qui a permis au 251 de la RATP venant de la porte de Pantin d’arriver jusque la gare d’Aulnay. Cela reste d’actualité sauf que le département a des conventions avec TRA et Transdev. L’avantage c’est que la grève RATP du début de l’année n’a pas eu touché lignes (613, 615 etc) ; l’inconvénient c’est que les statuts du personnel étaient très différents : à la RATP pas question d’embaucher des étrangers ! Autre inconvénient nous payons nous les banlieusards à tous les niveaux y compris local (ligne 637).
Avec l’arrivée du « grand paris express » cela ne peut que compliquer les restructurations nécessaire : cela doit être remis en cause bien sûr. Nous espérons pouvoir aller à notre ex-hôpital cantonal[i] de Gonesse par les transports publics un jour !
Cela est une dimension importante des structures de santé : l’accès par les transports collectifs est importante : la desserte future idéale de l’hôpital de Montfermeil par le métro doit faire étudier ailleurs les dessertes hospitalières avec des ligne de Bus à l’intérieur des hôpitaux ; le droit au transport médicalisé donne lieu à trop d’abus coûteux pour la collectivité.
Parlons Culture et vie associative
Nous avons pu pendant des décennies réunir des associations départementales à Aulnay (Environnement 93, comité des usagers du RER B, collectif contre le CDG-Express). Après 2014 le règlement des salles l’a empêché. Par ailleurs nos salles pour les associations non équipées et rares sont à l’aune de notre réputation du 9-3 malheureusement. Aussi nous saluons l’inscription dans le programme de la nouvelle majorité la « médiathèque » à un rayonnement départemental.
Ce projet doit avec les possibilités techniques de télématique et d’archivage électronique donner à notre banlieue une mémoire vivante. Il doit se faire en liaison avec les archives départementales, le musée de Saint Denis et les institutions parisiennes ou nationales. Il est temps que nos poètes soient honorés. Paul Eluard l’écolier de l’école du Parc, les amis de l’Orphéon Serge Wellens (décédé il y a 10 ans), André Laude décédé il y a 25 ans ou Jean Rousselot l’ami de Max Jacob mort à Drancy. Il y a aussi des peintres et d’autres artistes : nous pensons à Gabriel Robin le peintre cordonnier.
Notre future médiathèque doit faire la part belle aux cultures d’origine du Maghreb, de toute l’Afrique et au-delà bien sûr. Ce projet pourrait aller de pair avec un projet universitaire dont notre 9-3 et particulièrement notre territoire « terres d’envol » a besoin pour le « vivre ensemble ».
Sans attendre une commission santé télématique est urgente pour limiter les conséquences de l’épidémie et du futur déconfinement…Les citoyens doivent être informés et donné leur avis : MERCI
[i] Est-il marié avec Delafontaine-Saint-Denis comme envisagé en 2016 ?
Source : André Cuzon
Le maire du Blanc-Mesnil Thierry Meignen attaque Bruno Beschizza sur sa gestion du territoire Paris Terre d’Envol
Au dernier conseil de « Paris, terres d’envol », Thierry Meignen (Libres !) a attaqué le second (LR) sur sa gouvernance. Il regrette que les élus ne soient qu’une chambre d’enregistrement.
Les relations froides entretenues par les deux hommes, pourtant de la même famille politique, sont un secret de polichinelle. Le ton est encore monté d’un cran entre Bruno Beschizza, maire (LR) d’Aulnay-sous-Bois et président du territoire Paris, terre d’envol*, et l’ex-LR Thierry Meignen, maire (Libres !) du Blanc-Mesnil. Au conseil territorial lundi soir, le deuxième a mis en cause la gouvernance de l’EPT, visant clairement son président.
Objet du litige : une délibération lançant le projet d’espace culturel à Drancy, qui sera assumé par Paris, terre d’envol, dont les compétences incluent la prise en charge des équipements culturels de plus de 1 000 places.
«Ubuesque »
« C’est ubuesque ! Ce projet arrive sur la table… on ne sait pas trop comment », tonne Thierry Meignen. « Cette salle ne sera qu’à quelques kilomètres du Théâtre du Blanc-Mesnil, que j’ai fait rénover et agrandir l’an dernier avec l’argent de la ville. En plus de cela, en tant que ville-membre du territoire, je devrais payer celle du voisin ? Je suis libéral : je n’ai rien contre la concurrence… mais je trouve la méthode inéquitable et inélégante ! »
Le Blanc-Mesnil a voté « contre » cette délibération, tandis que Sevran s’est abstenu, « aucun plan de financement n’étant annexé au texte », indique Elsa Wanlin, maire adjointe à Sevran (Lrem).
«C’est évident que les choses sont dealées avant »
Meignen dénonce « des accords gérés de maire à maire, faisant du conseil du territoire une simple chambre d’enregistrement ». Là-dessus, il est rejoint par certains élus : « On est là pour lever la main, c’est évident que les choses sont dealées avant », regrette l’un. Un autre met en avant « la jeunesse du territoire (NDLR : créé en 2015), engendrant un fonctionnement balbutiant ».
D’autres défendent la méthode : « Heureusement que les maires se parlent entre eux autrement que lors d’une séance à 72 autour de la table », souffle un élu. Et aussi la personnalité de Bruno Beschizza, « le seul capable de dialoguer avec François Asensi (FG) et Jean-Christophe Lagarde (UDI) en même temps ! »
Bruno Beschizza est maire (LR) d’Aulnay et président du territoire Paris, terres d’envol/LP
Contacté, Bruno Beschizza indique n’avoir « aucune envie d’entrer dans une polémique ». Mais il rappelle avoir été élu à la tête du territoire par ses pairs « afin de trouver des consensus avec des maires de tous bords politiques ».
Source et article complet : Le Parisien
Les 8 maires de Paris Terres d’Envol dénoncent le soutien du gouvernement au projet EuropaCity le jour de l’ouverture du débat public
Les 8 maires de Paris Terres d’Envol* expriment leurs plus vives protestations contre la prise de position du Ministre de l’Economie, à l’occasion du salon du MIPIM à Cannes au sujet du très contesté projet d’Europacity.
Déni de démocratie ? Alors même que l’enquête publique sur le projet EuropaCity vient tout juste de débuter, le gouvernement montre qu’il entend imposer par la force un projet qui va nuire gravement au développement et à la qualité de vie du Nord Est parisien. Dans un contexte où de nombreux opposants au projet font entendre leurs voix (Collectif du Triangle de Gonesse, élus du Val d’Oise et de Seine-Saint-Denis, toutes tendances politiques confondues), le gouvernement affiche ainsi son manque de considération de l’avis des citoyens appelés à s’exprimer lors de ce débat public.
Alors que les collectivités locales portent déjà des projets de développement économique et social durables, dans des secteurs déjà urbanisés et en cohérence avec l’implantation des gares du Grand Paris, l’Etat affiche ainsi ostensiblement son soutien à un projet qui ne répond ni aux attentes des habitants, ni aux exigences environnementales et va affecter profondément l’emploi et les commerces de proximité.
Alors qu’il asphyxie financièrement les collectivités locales et les Français, il distribue dans le même temps 450 millions d’euros d’investissement public (déviation de la ligne 17, voirie, gare ….) pour un projet dans une zone qui compte déjà d’une offre importante en grands ensembles commerciaux (Aéroville, O’Parinor, Beausevran, Rosny 2 dont la fréquentation annuelle est supérieure à 45 millions de visiteurs).
Dans un territoire confronté au chômage, les huit maires de Paris Terres d’Envol, au-delà de leurs différences politiques, appellent plutôt le gouvernement à soutenir les projets déjà lancés sur le Territoire de Paris Terres d’Envol et directement reliés aux programmes de Renouvellement Urbain visant à désenclaver les quartiers et traiter de l’habitat dégradé en lien avec le développement économique.
À titre d’exemples, les projets qui vont valoriser les gares du Grand Paris et profiter aux habitants:
– La gare du Bourget s’intégrant au vaste projet urbain de développement du Bourget et de Dugny, devant accueillir le village des médias des JO 2024 (ligne 16)
– La gare d’Aulnay-sous-Bois redynamiseur du site en reconversion économique de PSA, situé sur la ligne 16 pour un projet mixte de développement économique et de logement,
– La gare du PIEX Paris-Nord Villepinte irrigant le parc international des expositions et le parc d’activité AeroliansParis, avec Paris-Asia Business Center et le projet de Colisée, salle multifonctionnelle de 8 000 à 10 000 places, situé sur la commune de Tremblay-en-France (ligne 17)
– La gare du Blanc-Mesnil permettant le désenclavement des zones pavillonnaires et des grands ensembles du quartier des Tilleuls et de la zone économique du Coudray,
– La gare de Sevran-Livry desservant le centre-ville et le parc de la Poudrerie,
– la gare de Sevran Beaudottes s’inscrivant au cœur du projet d’envergure: « Sevran Terre d’Avenir » dont l’objectif est de faire de Sevran une destination métropolitaine, autour de la restructuration urbaine et économique.
*François Asensi (député-maire de Tremblay-en-France), Bruno Beschizza (Président de Paris Terres d’Envol, Maire d’Aulnay-sous-Bois), Vincent Capo-Canellas (Sénateur-maire de Le Bourget), Stéphane Gatignon (Maire de Sevran), Jean-Christophe Lagarde (Député-maire de Drancy), Thierry Meignen (Maire du Blanc Mesnil), Martine Valleton (Maire de Villepinte), André Veyssière (Maire de Dugny)
Réunion publique ce soir pour le quartier Nonneville à Aulnay-sous-Bois
Une réunion publique a lieu ce soir, 19h00, au réfectoire Nonneville, 41 avenue de la Division-Leclerc.
Au programme :
- Présentation des compétences du nouveau territoire Paris Terre d’Envol
- Aménagement du souterrain pôle gare,
Entrée libre. Cette réunion publique sera animée par les adjoints Denis Cahenzli et Frank Cannarozzo.
Bruno Beschizza, maire d’Aulnay-sous-Bois et conseiller Régional, élu président de Paris Terres d’Envol
Nous avions été le premier a émettre cette hypothèse et cela est aujourd’hui confirmé : Bruno Beschizza a bel et bien refusé un poste de Vice-Président au Conseil Régional (il a été élu conseiller régional et aurait pu prétendre à cette place suite à la victoire de Valérie Pécresse) pour défendre le poste de président du territoire T7 : Paris Terres d’Envol ou Territoire des Aéroports.
Si la Gauche, quelque peu naïve, pensait que la non-obtention du poste de Vice-Président venait du score de la liste LR en Seine-Saint-Denis (loin derrière celle du Socialiste Claude Bartolone), l’édile d’Aulnay a encore montré ses habilités tactiques à obtenir des positions clé.
Rien n’arrête Bruno Beschizza, qui semble suivre la même carrière que son mentor Nicolas Sarkozy, parvenu jusqu’au plus haut sommet de l’état.
Les villes composant le territoire T7 :
- Aulnay-sous-bois
- Le Blanc-Mesnil
- Le Bourget
- Drancy
- Dugny
- Sevran
- Tremblay-en-France
- Villepinte
A noter que les adjoints Frank Cannarozzo, Denis Cahenzli et Alain Ramadier ont obtenu également des postes clé au sein du territoire T7 (délégués).