Archives du blog
Pour Bruno Beschizza, le gouvernement met la tension et laisse les casseurs blesser des policiers
Avec la manifestation imminente des policiers contre les violences à leur égard (des centaines de blessés depuis plusieurs mois) et les casseurs qui infiltrent les cortèges pour en découdre avec les forces de l’ordre, Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, a réagi sur Europe 1 en dénonçant le laisser-aller du gouvernement et la quasi-impunité de ces casseurs. Regrettant le manque de soutien du gouvernement pour les forces de l’ordre, l’édile d’Aulnay estime que les policiers ne doivent pas devenir de la « chair à canon ».
Article complet : cliquer ici.
Violent incendie au Galion à Aulnay-sous-Bois avec le marché régional évacué dans la panique !
Mobilisation générale des pompiers suite à un incendie au galion dans les 3000, où le feu aurait pris au premier étage d’une tour de bureaux du logement Francilien. Le sinistre a commencé vers 9h, des centaines de personnes ont été évacuées. Les habitants restants doivent s’éloigner des fenêtres.
Les pompiers ont commencé à quitter la cité après 2h30 d’intervention. Les policiers ont demandé aux habitants de ne pas s’approcher de la zone incendiée. Pas de blessé à déplorer.
Merci à Mickael pour les nombreuses photos envoyées.
Des faux policiers sévissent et cambriolent à Aulnay-sous-Bois
C’est encore l’incontournable quotidien Le Parisien qui s’en est fait l’écho : des complices se jouent de la crédulité de certains habitants d’Aulnay-sous-Bois pour mieux dérober bijoux et argent. Et le procédé est extrêmement simple :
- Un technicien arrive et demande aux propriétaires / locataires des lieux la possibilité d’effectuer une vérification sur de potentielles fuites d’eau suite à des travaux situés un peu plus loin (le rapport est quand même difficile à comprendre)
- Une fois qu’il pénètre dans les lieux, des faux policiers arrivent et appréhendent l’individu, en informant les propriétaires / locataires qu’il s’agit d’un lascar
- Les faux policiers demandent aux propriétaires / locataires de faire un état des lieux et de vérifier, ensemble, si les objets précieux n’ont pas disparu
- Au passage, les faux policiers dérobent bijoux et argent
Pour éviter de se faire piéger, demandez carte ou badge pour tout agent se présentant à votre domicile. A défaut de mandat comme aux Etats-Unis, un policier ne peut pas vous refuser de vous montrer son matricule.
En cas de doute, contactez la police municipale au 08.00.39.93.93
4 policiers agressés par 40 personnes à Aulnay-sous-Bois lors d’un contrôle d’immeuble : 2 blessés
Aulnay-sous-Bois n’a une fois de plus pas brillé dans son actualité classé faits divers. Hier en fin de journée, alors que 4 policiers de la Brigade Anti Criminalité (BAC) effectuaient un contrôle dans un hall d’immeubles, environ 40 individus sont venus les agresser.
Pour repousser cette agression, l’un des fonctionnaires a utilisé son Flash-Ball, blessant une personne et, moins gravement, un médiateur de l’association Saddaka venu calmer la situation.
La vie de la personne n’est pas en danger mais a été placé sous observation à l’hôpital Robert Ballanger, car blessée à la tempe.
Le Parisien annonce que la première adjointe Séverine Maroun se réjouie de l’intervention rapide de l’association Saddaka pour calmer la situation. Par contre nous ne savons pas pourquoi ces dizaines de personnes ont subitement voulu en découdre avec la BAC. Nous ne savons pas s’il y aura des interpellations…
[MAJ] L’agression a eu lieu dans la cité de l’Europe
[MAJ2] Un élu nous a contacté nous précisant que les deux personnes blessées ne faisaient pas partie des assaillants : elles se sont interposées entre les « jeunes » et la BAC
Un policier gravement blessé suite à un jet de projectile à Tremblay-en-France
Le Parisien nous informe qu’un Policier a été gravement blessé à la tête par un jet de projectile dans une cité de Tremblay-en-France. L’histoire est surprenante :
- Une patrouille à pieds tente d’interpeller un deux-roues. Le conducteur force le passage et refuse de se faire contrôler
- Les policiers retrouvent la moto et le conducteur un peu plus loin dans une cité de Tremblay-en-France
- La scène attire les curieux, les policiers se sentent en danger et appellent du renfort. Ils commencent à recevoir des jets de projectile
- Un policier tente de mettre à l’abri la moto en la posant au pied d’un immeuble. Erreur fatale : le policier reçoit un verre épais sur la tête, en provenance d’un étage supérieur
- Cette blessure lui fait perdre conscience 30 minutes, mais sa vie n’est pas en danger
- Le conducteur irascible à quant à lui été mis en garde-à-vue
Plusieurs questions nous viennent à l’esprit :
- Le conducteur a t-il été relâché le soir même ?
- Le ou les responsables de cet incident seront-il retrouvés et arrêtés ? Si oui, auront-ils une simple remontrance d’un juge ou devront-ils payer une lourde amende ?
La suite au prochain épisode.
Seine-Saint-Denis : cinq policiers de la BAC en garde à vue pour extorsion de fonds
Ces policiers sont soupçonnés d’avoir racketté la marchandise et l’argent de dealers depuis au moins deux ans. Ils sont aussi soupçonnés d’avoir prélevé dans des scellés judiciaires.
La police fait de nouveau face à un scandale, après l’affaire du vol de cocaïne au 36, quai des Orfèvres, commente France Tv Info aujourd’hui. Les policiers incriminés font partie de la Brigade anti criminalité (BAC) de Stains, en Seine-Saint-Denis. Ils ont été interpellés et placés en garde à vue pour extorsion de fonds en bande organisée et vols en réunion, hier.
Ces policiers auraient sévi depuis au moins deux ans. Ils auraient délesté des dealers de leur marchandise et de leur argent, et ils auraient aussi prélevé dans des scellés judiciaires. La drogue aurait été ensuite revendue par des fournisseurs protégés.
D’après Le Parisien, ils se seraient également livrés à des perquisitions à la mexicaine, qui n’avaient jamais été ordonnées par la justice, en simulant un cadre légal pour se servir chez leur victime. Les investigations porteraient également sur des soupçons de modification d’une scène de crime et de consultation illégale d’un fichier informatique.
Source : linfo.re
De faux policiers dérobent 14.000 euros à Aulnay-sous-Bois
Une femme de 93 ans s’est fait dérober 14.000 euros hier par trois malfaiteurs qui s’étaient introduits à son domicile en se faisant passer pour des policiers à Aulnay-sous-Bois en Seine-Saint-Denis.
Les trois voleurs se sont présentés à l’entrée de son appartement hier matin avec une fausse carte de réquisition. « Ils ont prétendu effectuer des vérifications après une série de cambriolages dans le quartier », a raconté cette source.
La nonagénaire a alors ouvert sa porte, laissant les trois malfaiteurs fouiller de fond en comble l’appartement, où se trouvait une enveloppe remplie d’argent en espèces. « Cette enveloppe contenait 14.000 euros. Ils sont partis avec », a précisé la source policière.
Une enquête pour « vol par fausse qualité » a été confiée au commissariat d’Aulnay-sous-Bois.
Source : Le Figaro
Policiers : le compte n’y est pas en Seine-Saint-Denis où des agents quittent le département
Plus de 200 gardiens de la paix ont quitté le département en septembre après avoir obtenu leur mutation. 129 postes seulement sont à pourvoir.
En septembre, plus de 200 des 4 000 policiers que compte la Seine-Saint-Denis quittaient le département le cœur léger, ravis d’avoir obtenu leur mutation après six, dix, quinze années d’attente pour certains… Mais ces départs compliquent le travail de ceux qui continuent à veiller sur le département. « On attend les sorties d’école de décembre », convenait en octobre Philippe Galli, le préfet de la Seine-Saint-Denis.
Manuel Valls a lancé une vaste campagne de recrutement pour renflouer les effectifs de police et de gendarmerie, prenant ainsi le contre-pied de la politique de Nicolas Sarkozy qui n’avait pas voulu remplacer la moitié des départs à la retraite. Les futurs gardiens de la paix terminent leur formation en ce moment et doivent choisir leur affectation pour commencer en décembre. D’après les tableaux affichés sur les sites de formation et dont nous avons eu connaissance, le compte n’y est pas : seulement 129 postes sont à pourvoir dans la Seine-Saint-Denis et uniquement dans certains commissariats. Il en manque donc au moins 70.
« C’est un bon bol d’oxygène, commente un policier, même si ça ne remplace pas tous les départs. » Les zones de sécurité prioritaires (ZSP), créées en 2012, le restent : Saint-Denis, Saint-Ouen, Aulnay-Sevran, Pantin-Aubervilliers accueilleront de nouvelles recrues, sans pour autant retrouver le nombre de fonctionnaires d’il y a quatre ans, date de la création de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), la police du Grand Paris.
A l’époque, par exemple, Saint-Denis comptait 340 fonctionnaires. Avec les 21 nouveaux gardiens, le commissariat arrive aujourd’hui à 317. « A première vue, ça tient plus compte du coup de main aux copains pour les municipales », estime Bruno Beschizza, ancien officier de police, élu régional et candidat (UMP) à Aulnay-sous-Bois. Il note que Villemomble, Le Raincy et Rosny n’ont rien. L’urgence n’est pas la même partout, comme l’affirme un gradé dans un autre commissariat. Livry-Gargan, Neuilly-sur-Marne, Noisy-le-Grand — villes dirigées par des élus PS ou apparentés — n’ont pas de renforts non plus. « Le 93 a toujours été sous-doté, regrette un gradé. Regardez, on n’est pas très loin derrière Paris en nombre de faits délictueux constatés, on a 4000 policiers alors que Paris en a 11000 avec 500000 habitants de plus que la Seine-Saint-Denis. »
Au quotidien, la débrouille est de mise : « Des brigades police secours fonctionnent à 8 ou 9 alors qu’il faudrait être entre 12 et 15; Aulnay et Sevran ont fusionné leurs BAC (NDLR : brigade anticriminalité) pour ne pas faire disparaître les brigades spéciales de terrain (BST) et la brigade de quartier (BSQ) », détaille Christophe Ragondet, du syndicat de gardiens de la paix Alliance.
« Il ne faut pas perdre de vue que l’on paye aujourd’hui les politiques de recrutement du gouvernement précédent avec des suppressions de postes. Pendant cinq ans, plus de 10000 postes ont été supprimés », rappelle Stéphane Troussel, président (PS) du conseil général, préoccupé aussi par les départs de gradés et d’officiers, non remplacés. Les plus optimistes veulent croire que les futures sorties d’école (au printemps et en septembre 2014) équilibreront l’équation. « Sauf si Marseille nous pique encore des gars. En décembre, il doit y avoir 80 créations de postes là-bas. » Ni la préfecture de police ni le ministère de l’Intérieur n’ont souhaité s’exprimer.
Au tribunal de grande instance aussi, 2014 s’annonce mal. Alors que 52 postes sont nécessaires au fonctionnement du parquet, ils ne seront que 47. Certes, 400 magistrats manquent partout en France, mais à Bobigny, où la charge de travail est indéniablement lourde, c’est du jamais-vu.
Source et image : Le Parisien du 20/11/2013
Aulnay-sous-Bois, Sevran : Ils se faisaient passer pour des policiers et volaient des personnes âgées
Deux hommes accusés d’avoir volé par ruse une dizaine de personnes âgées en Seine-Saint-Denis en se faisant passer pour des agents des eaux ou des policiers ont été interpellés mardi et placés en garde à vue.
Ils se faisaient passer pour des policiers ou des agents des eaux dans le but de dépouiller leurs victimes. Deux hommes accusés d’avoir volé par ruse une dizaine de personnes âgées en Seine-Saint-Denis ont été interpellés mardi et placés en garde à vue, selon la préfecture.
Les deux hommes, âgés de 55 et 56 ans, et déjà connus des services de police, ont été interpellés à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), au terme d’une enquête longue de plusieurs mois. Selon la préfecture, ils auraient trompé la vigilance d’au moins 11 personnes, à Sevran et à Aulnay-sous-Bois, grâce à un mode opératoire bien rodé.
Un scénario bien ficelé
« Le premier se présentait comme un agent des eaux, mandaté pour vérifier les canalisations. Le deuxième arrivait quelques minutes plus tard, en se faisant passer pour un policier venu interpeller le faux plombier », a-t-on raconté.
En créant de la confusion chez leurs victimes, ils parvenaient à dérober de l’argent et des objets précieux avant de prendre la fuite. Le montant des vols présumés n’a pas été précisé.
Source : TF1

