Archives du blog
Lettre ouverte de l’UNSA à Bruno Beschizza Maire d’Aulnay-sous-Bois concernant la CADA
Conformément à l’avis de la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA) n°20240579 du 20 mars 2024, que notre organisation syndicale a saisie suite à votre absence de réponse concernant la communication de la liste complète du personnel, arrêtée le 31 décembre 2022, malgré nos relances à votre administration.
Nous vous sollicitons encore une fois pour la communication de cette liste complète du personnel en respectant l’avis de cette instance, à savoir :
- La communication de cette liste doit être sur un support numérique (fichier informatique)
- Le renseignement de l’ensemble des rubriques autorisées par la CADA
- Nom, prénoms, grade, échelon, indice de traitement, NBI, indemnité de suggestion
- Statut de l’agent ; titulaire, contractuel, stagiaire ou
- Arrêté de nomination : date d’entrée et de sortie de la collectivité
- Service d’affectation
Dans l’attente de votre prompte réponse, veuillez accepter nos sincères salutations.
Pièce jointe : Avis de la CADA
Source : Le combat au quotidien / unsa.territoriaux.aulnay@gmail.com
Bruno Beschizza plante un hêtre à Aulnay-sous-Bois
Ce matin, j’ai eu le plaisir de planter un hêtre dans les jardins de l’hôtel de Ville avec les élus et le Conseil Municipal des Enfants. Cet arbre, symbole de confiance, vient compenser la perte de celui qui a chuté lors du violent orage de l’été dernier.
Il deviendra à terme un arbre remarquable et favorisa la biodiversité en étant un habitat de qualité pour de nombreuses espèces. Ce fut également l’occasion de constater le travail formidable que les agents des Espaces Verts fournissent sur notre Ville.
Source : Bruno Beschizza
Le Maire d’Aulnay-sous-Bois harcèle-t-il son opposition ?
Depuis plusieurs mois le Maire nous harcèle par des mises en demeure, des courriers intempestifs et déplacés pour cadrer de façon abusive l’expression des élus de la République que nous sommes.
La cause de sa colère est bien surprenante ! Il est furieux, tout simplement parce que nous osons utiliser le logo de la ville dans nos courriers et nos communications servant à informer les Aulnaysiennes et les Aulnaysiens. Serait-ce un crime de lèse-majesté ?
Récemment, il a engagé une action soi-disant imparable pour protéger ce fameux logo ou blason. Il écrit ainsi :
« pour garantir et limiter son utilisation à des fins de communication municipale, le blason de la ville fait l’objet d’une protection légale étant déposé devant l’Institut National de la Propriété Intellectuelle INPI, au titre des dessins et modèles. L’utilisation du blason est soumise à l’autorisation du Maire. »
C’est comme si aujourd’hui, la Présidente de l’Assemblée nationale interdisait aux députés de l’opposition de ne pas utiliser le logo de l’Assemblée nationale pour leur communication, comme si Séverine Maroun ou Franck Cannarozzo, conseillers départementaux, devaient demander au Président du Département, l’autorisation d’utiliser le logo du Conseil Départemental sous prétexte qu’ils sont dans l’opposition ! Impensable !
Que dit la loi ? Réponse du ministère de la cohésion des territoires :
En vertu de l’article L. 2121-29, les conseillers municipaux participent au règlement des affaires de la commune. Aucune disposition législative ou réglementaire ne s’oppose à ce qu’un conseiller municipal, qu’il appartienne à la majorité ou à l’opposition, utilise du papier avec l’en-tête de la commune pour sa correspondance, dès lors qu’il le fait dans le cadre de son mandat et non à des fins personnelles. Le conseiller municipal doit faire apparaître clairement son nom et sa qualité, afin d’éviter toute confusion avec un courrier adressé par le maire.
Les élus de l’opposition, conseillers municipaux ou départementaux ou autres, ne sont pas des élus de seconde zone, leurs droits doivent être respectés ! Le logo de la ville, même déposé à l’INPI, n’appartient pas au Maire !
Mais le Maire s’obstine dans un autoritarisme et une vision antidémocratique.
Rappelons qu’avec l’argent des Aulnaysiennes et des Aulnaysiennes, il n’a pas hésité à attaquer en justice des élus, des blogs, des citoyens engagés parce qu’ils ont osé critiquer sa politique et celle de sa majorité. La quasi-totalité des procès intentés a été perdue !
Nous, élus socialistes, communistes et citoyens, attachés au pluralisme et à la liberté d’expression, affirmons haut et fort que nous ne nous laisserons ni intimider, ni menacer par le Maire.
Aulnay et ses habitants méritent mieux !
Comme nous nous y sommes engagés en 2020, nous poursuivons notre mandat d’élu avec un objectif essentiel, celui de défendre au mieux les intérêts d’Aulnay-sous-Bois et de ses habitants,
Oussouf SIBY Président de groupe, Sarah KASSOURI, Guy CHALLIER, Jean-Marie TOUZIN
Le Maire d’Aulnay-sous-Bois met les grands moyens pour attirer les investisseurs
Ce mercredi, Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, a réuni les commerçants, chefs d’entreprises et investisseurs d’Aulnay-sous-Bois pour une présentation des grands projets de la ville.
Aulnay est une ville qui bouge où il fait bon vivre pour Bruno Beschizza. Il souhaite continuer à la développer en conservant son esprit village !
Le Maire, Conseiller Régional et Président de Territoire Bruno Beschizza ne toucherait que 3422 euros net par mois
Bruno Beschizza était l’invité de France Bleu Paris pour parler des difficultés qu’ont les Maires en France. Violences, incivilités, manque de considération : Bruno Beschizza estime que la « profession » manque de reconnaissance et fait partie des Maires qui souhaitent obtenir une augmentation.
Malgré les informations véhiculées par certains blogs où le Maire d’Aulnay-sous-Bois obtiendrait plus de 100 000 € brut par an cumulés, l’édile confirme qu’il ne toucherait que « 3422 € net par mois ». Un salaire bien inférieur à de nombreux cadres. Une « indemnité » pas à la hauteur des enjeux, selon Bruno Beschizza.
Pour plus d’information, cliquer ici.
Hadama Traoré accuse le Maire d’Aulnay-sous-Bois de récupération sur le dossier La Morée
Le 3 novembre 2023, les 836 copropriétaires de la résidence la Morée ont enfin eu la restitution de 2 070 358,82 euros liés à des travaux de réhabilitation effectués en 2013. Cela représente plus de 2000 € par copropriétaire en moyenne.
Hadama Traoré, leader du mouvement La Révolution Est En Marche (LREEM) et très impliqué dans le dossier La Morée, a tenu à féliciter les copropriétaires qui ont fait preuve d’une abnégation sans faille. Il a tenu également à rappeler que cette victoire n’est qu’une première étape, car il y a 5 autres procédures en cours concernant plus de 20 millions d’euros à récupérer. M. Traoré estime également qu’il pourrait y avoir un détournement de fonds, en précisant qu’il avait demandé une enquête à ce sujet.
Mais une lettre du Maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, est venue mettre le feu aux poudres, selon le leader révolutionnaire :
Datée du 2 novembre, cette lettre met en avant le travail réalisé par la ville, en attribuant indirectement les avancées au Maire et à son équipe.
Par conséquent, le sang de M. Traoré n’a fait qu’un tour et estime que ce courrier est une pure provocation, une tentative de récupération du travail que lui et son mouvement ont effectués depuis des années. On peut lire ainsi sa réaction :
« Le mouvement LREEM a effectué 10 semaines de mobilisation devant la Mairie d’Aulnay-sous-Bois pour récupérer plus de 2 millions, et le maire Bruno Beschizza ose envoyer en date du 2 novembre une lettre qui le déshonore.
En effet, depuis 2020, le mouvement LREEM n’a eu de cesse d’alerter la mairie d’Aulnay-sous-Bois sur la mauvaise gestion de 20 millions d’euros d’argent public. Sans réaction de la part du maire, le mouvement LREEM a été dans l’obligation :
-
- De saisir le Tribunal Administratif de Montreuil, pour mettre en exergue la mauvaise application du CCTP de la deuxième OPAH-CD portée par l’établissement public Paris Terres d’Envol,
- Déposer plainte contre Mr MIGNON, responsable de la ville d’Aulnay-sous-Bois, pour expropriation de 20 places de parking (7 places ont été restituées. Il en manque 13 à restituer aux copropriétaires),
- De Déposer plainte contre la mairie d’Aulnay-sous-Bois, auprès du Parquet National Financier, concernant le mauvais usage de 20 millions d’euros d’argent public«
Le mouvement LREEM continue ses actions au sein de la copropriété, mais aussi d’autres résidences de la ville d’Aulnay-sous-Bois, pour défendre les locataires et copropriétaires qui ne sont pas capables de le faire eux-mêmes, par manque de temps ou de compétences en matière juridique. Et le bras de fer entre ce mouvement et l’édile continue dans la même lancée…
Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza reçu à Matignon, il réclame de l’argent à l’Etat concernant les émeutes
Elisabeth Borne a reçu à Matignon, jeudi 5 octobre, des experts et des élus, afin de partager le diagnostic et les pistes de réflexion, lors d’un conseil national de la refondation après les émeutes qui ont eu lieu dans le pays en début d’été. Bruno Beschizza, maire d’Aulnay-Sous-Bois (Seine-Saint-Denis), était notamment invité. « Pour moi, l’important c’était le symbolique« , souligne l’élu. « Quand on est le maire d’une ville de banlieue, peu écoutée, avec 10 millions de dégâts, on est toujours satisfait d’être reçu à Matignon« , insiste Bruno Bescizza. « Colère, parce que trois mois plus tard, zéro centime de remboursé, zéro reconstruction financée dans les dégâts causés après les émeutes. Donc on voit le décalage, et c’était cela pour moi, le témoignage important par rapport à l’État« , déclare l’édile.
Source et article complet : FranceInfo
L’opposition de Gauche veut connaître le paiement des honoraires d’avocats déclenchés par les protections fonctionnelles à Aulnay-sous-Bois
Depuis 2014, de très nombreuses procédures judiciaires ont été lancées par vous-même, par des membres de l’administration et plusieurs élus de votre majorite, a l’encontre de citoyens d’Aulnay-sous-Bois, d’élus de l’opposition et de blogueurs locaux.
Pour couvrir les frais d’avocats générés par les poursuites judiciaires, vous avez eu recours pour chaque procès, aux protections fonctionnelles votées par le Conseil Municipal (possibilité permise par le Code général des collectivités territoriales ou par décision concernant les agents communaux).
Au nom des élus du groupe « Aulnay solidaire et ecologique », attachés a la transparence et soucieux de l’utilisation des deniers publics, je vous demande de nous transmettre les montants accompagnés de l’ensemble des factures, des frais d’avocat pour les affaires suivantes :
- Attaque de Bruno Beschizza contre Laurent rot (rédacteur en chef du blog Aunay Autrement) pour avoir révélé un logo de la police créé par un policier municipal arborant un croisé.
- Procédure de Bruno Beschizza centre Hervé Suaudeau et six autres habitants pour avoir collé des affiches montrant leur opposition à l’arrêté du maire interdisant la campagne nationale de prévention du SIDA.
- Procédure en référé de Sabrina Missour (conseillère municipale déléguée) contre Hadama Traore qui avait parlé de « pots-de-vin pour acquérir des logements HLM ».
- Procédure de Bruno Beschizza contre une commentatrice de la blogosphere aulnaysienne à propos d’un message critique vis-a-vis du maire et contre Arnaud Kubacki pour l’avoir publié.
- Procédure de Bruno Beschizza contre un élu RN qui dénonçait le cumul supposé illégal des mandats du maire d’Aulnay-sous-Bois et contre Arnaud Kubacki du blog AulnayCap pour avoir publié le communiqué de l’é
- Procédure de Bruno Beschizza contre huit élus d’opposition PS, PCF, PRG et les rédacteurs de 3 blogs locaux pour l’écriture et la diffusion d’un communiqué qui qualifiait d’homophobe son arrêté interdisant à Aulnay-sous-Bois la campagne nationale de prévention du Sida. 7 ans de procédure jusqu’au procès en cassation.
- Procédure de Bruno Beschizza contre un élu RN à propos de Ia venue de prédicateurs islamistes à
- Procédure du DGS d’Aulnay-sous-Bois contre Hervé Suaudeau (un des rédacteurs en chef de monaulnay.com) pour avoir doute de ses diplômes pour la fonction de
- Procédure de Bruno Beschizza contre Hervé Suaudeau et le journal Belge lesechos.be pour avoir souligné le clientélisme du maire envers des islamistes radicaux et ce, en contradiction avec ses discours dans les médias.
- Procédure de Bruno Beschizza contre Hervé Suaudeau à propos de deux tweets qui dénonçaient le refus apparent du maire de sanctionner ses collaborateurs convaincus de violence et menace de mort envers
- Procédure de Naguib Benlarbi, Directeur adjoint de cabinet de Bruno Beschizza, contre le journal Le Parisien qui avait révélé une enquête judiciaire « pour prise illégale d’intérêt ».
- Procédure de Mathieu Tellier (conseiller municipal délégué) contre Hadama Traoré pour des propos considérés comme
- Procédure de Séverine Maroun (1ere adjointe) contre Hadama Traoré pour des propos considérés comme
- Procédure de Sabrina Missour (conseillère municipale déléguée) contre Hadama Traore pour des propos considérés comme diffamatoires.
- Procédure de Bruno Beschizza contre Hadama Traoré, le porte-parole de « la Revolution est en marche » pour ses propos considérés comme diffamatoires à propos de la démolition des bâtiments du
- Procédure du DGS Philippe Palomo, contre Hervé Suaudeau lui reprochant l’enregistrement de ses propos et leur utilisation dans le recours électoral tors des élections municipales de 2020.
- Procédure de Naguib Benlarbi, Directeur adjoint de cabinet de Bruno Beschizza, contre l’ensemble de la rédaction de MonAulnay.com (Hervé Suaudeau, Jean-Louis Karkides et Jean-Marc Engelvin, ancien rédacteur) qui reproche d’avoir relaye les affaires de corruption concernant l’u
- Procédure de Bruno Beschizza contre Hadama Traore accuse de « harcèlement » pour avoir provoqué 794 notifications « WhatsApp » » en trois ans.
- Procédure de Severine Maroun contre Reda BENZORA pour des propos jugés malveillants publiés sur les réseaux sociaux.
En vous remerciant par avance pour la communication des documents demandés, je vous prie, Monsieur le Maire, de recevoir mes salutations les meilleures.
Source : Guy Challier, élu d’opposition de Gauche à Aulnay-sous-Bois
En échange d’un soutien à Bruno Beschizza, l’acteur amateur Reda Benzora voulait-il un poste à la mairie d’Aulnay-sous-Bois ?
Nous l’avions précisé lors d’un précédent article, nous ne savions pas pourquoi Reda Benzora, autrefois très proche de la majorité municipale LR à Aulnay-sous-Bois, s’est subitement pris une plainte pour menaces face à la 1ère adjointe Séverine Maroun. L’édition du Parisien d’aujourd’hui nous apporte un peu plus d’information sur ce retournement de veste aussi incongru que surprenant.
En politique politicienne il n’y a que 4 catégories d’individus :
- Les meneurs, qui ont les postes les plus importants (Maires, Sénateurs, Députés, Ministres…), qui se servent de leur réseau, leur position ou leur bagou pour haranguer la foule, dire ce que les possibles votants veulent entendre, et qui peuvent avoir – ou pas – une vision politique claire, et parfois une idéologie
- Les suiveurs, qui veulent manger à la table du roi, qui n’ont pas forcément d’état d’âme et qui veulent tout simplement profiter des avantages ainsi offerts
- Les militants et sympathisants de base, qui ont parfois de la conviction pour leurs idées, mais qui souvent sont les dindons de la farce, et jouent souvent les idiots utiles
- Les opportunistes, capables de sauter sur la moindre occasion pour tenter de récolter les miettes, ou jouer un grand coup
Apparemment, Reda Benzora fait partie de cette 4e catégorie aussi distincte que méprisable. En effet, jouer la carte d’un candidat – alors grandissime favori que personne ne voit perdre – juste pour obtenir un poste à la Mairie d’Aulnay-sous-Bois, n’est pas pour redorer l’image de la politique. Partout en France, d’autres l’ont fait pour avoir un logement, d’autres pour placer femme ou enfants en tant qu’élus à la Mairie, d’autres encore pour obtenir des dérogations pour inscrire leurs enfants dans les meilleures écoles privées.
Si Reda Benzora apportera certainement son témoignage pour contester la version des faits de la municipalité, on ne peut que s’interroger sur son comportement qui a tout l’air de montrer une certaine instabilité. Car quand on fait campagne pour quelqu’un, pour un parti, c’est avant tout pour défendre tout un programme, et non pour attendre une gamelle qui peut ne jamais venir .
Maintenant, est-ce que Reda Benzora a délibérément proféré des menaces envers la 1ère adjointe Séverine Maroun, ou est-ce que celle-ci amplifie une simple querelle d’un ancien militant opportuniste déçu ? On est amené à la croire, vu les messages proférés à notre encontre, suite à l’utilisation d’une photo publique et téléchargeable depuis son compte Facebook, sans aucune notice ou contre-indication d’utilisation :
Celui qui rêvait de devenir le prochain Saïd Taghmaoui risque de faire parler de lui non pas pour ses prétendues qualités d’acteur, mais plutôt pour ses déboires judiciaires et ses sautes d’humeur. En attendant, on pourrait le retrouver sur une liste pour les municipales en 2026, mais pas sûr que la tête de liste puisse en tirer un bénéfice quelconque. Il pourrait même, au vu de toutes ces accusations, devenir plus embarrassant qu’efficace. A moins qu’il ne devienne le futur bad boy du 7e art, une sorte de Sami Naceri qui pourrait plaire à une partie des cinéphiles…
Mais pourquoi Reda Benzora s’est-il retourné contre la municipalité LR d’Aulnay-sous-Bois
« Frank Cannarozzo chapeau vous au moins vous êtes sur le terrain, Walid Chebab courage tu mouilles vraiment le maillot Severine Maroun ta détermination est sincère et elle est au service des aulnaysiens, chapeau la médiation job de fond, Olivier Attiori pas mal lui aussi, Aîssa Sago femme de terrain, Fouad el Kouradi homme d’expérience » : telles sont les louanges de Reda Benzora, un acteur d’Aulnay-sous-Bois proche de qui a été à l’affiche de La Chimère, court-métrage de Steve Tientcheu.
Ces propos, c’était juste avant les élections municipales de 2020 où Bruno Beschizza l’a largement remporté, dès le premier tour. On retrouve également d’autres messages en faveur de Séverine Maroun, la première adjointe, et des accolades dans de nombreux commentaires.
Oui mais quelques années plus tard, les amis d’hier sont devenus les ennemis d’aujourd’hui. Il semblerait que M. Benzora aurait envoyé à la première adjointe quelques messages menaçants, ce qui aurait poussé la dernière à faire voter une délibération pour une protection fonctionnelle. Comme quoi en politique, ya-t-il vraiment quelque chose de sincère ?
Est-ce que M. Benzora pense toujours que Séverine Maroun est au service des Aulanysiens ? Est-ce qu’Eric Pallud, adjoint, maîtrise toujours son sujet selon lui ? Ou regrette-t-il amèrement d’avoir encouragé une équipe qui aujourd’hui se retourne contre lui ?







