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Le député Alain Ramadier déplore le climat délétère à Bondy avant le 2nd tour de la municipale 2022
Suite aux incidents survenus dernièrement à Bondy, et plus particulièrement l’incendie de la halle du marché Suzanne Buisson de Bondy, je me suis entretenu ce matin avec Jacques WITKOWSKI, Préfet de la Seine-Saint-Denis.
Je veux d’abord saluer et remercier nos soldats du feu qui ont réussi à maîtriser les flammes. Les dégâts sont importants et les premiers impactés sont les Bondynois, privés de ce marché de proximité.
Une enquête est actuellement en cours, il faut laisser la police faire son travail afin de déterminer l’origine de cet incendie.
Pour autant, je suis particulièrement inquiet de la tournure qu’est en train de prendre cette campagne pour les élections municipales.
J’en appelle donc au calme !
L’ambiance dans cet entre deux tours est particulièrement délétère !
Les Bondynois méritent mieux.
Je le redis, Bondy a besoin d’apaisement. Il est impératif que la campagne se fasse dans le respect des candidats mais aussi des citoyens bondynois.
Les rumeurs, calomnies et accusations ne sont pas à la hauteur de ce que les citoyens attendent des politiques !
Source : Alain Ramadier, député de la circonscription Aulnay-sous-Bois / Les Pavillons-sous-Bois / Bondy Sud-Est
Le marché rouvre dès samedi à Bondy à l’extérieur
Dès samedi 29 janvier 2022, les commerces alimentaires qui se trouvaient dans la halle couvertes, seront délocalisés sur le parking Suzanne Buisson, adjacent à la halle.
Les commerces non-alimentaires conservent leurs emplacements habituels et pourront aussi s’installer sur le parking allée Marie-José Chombart de Lauwe. « Ce nouveau dispositif a vocation à perdurer le temps de la réhabilitation de la halle », indique la délégation.
Elle précise que « des mesures de sécurité renforcées » ont été prises pour le second tour des élections municipales qui se tiendra dimanche 30 janvier.
Source et article complet : Actu.fr
Le Dynamic Aulnay Club à l’honneur aux championnats de France de marche avec Vincent Bollinger
« Championnat de france 20km et 50km marche. Pour ces derniers 50kms en championnat national je voulais être présent participer et surtout le finir , le graal d’être 4ème au scratch et 3eme master« .
Tels sont les commentaires de notre infatigable marcheur Vincent Bollinger après l’arrivée de l’épreuve ce dimanche 17 octobre à Laval.
Notre sympathique marcheuse Christine Chochoy était au départ du 20kms marche. Elle réalise un bon chrono tout comme Laurent Legentil chez les masculins.
Nos forçats de la route se sont plutôt bien comportés et sont allés au bout de leur épreuve. Quel courage et quelle volonté! Bravo à tous les 3 car il ne suffit pas de s’aligner au départ de l’épreuve mais encore faut il du temps pour préparer de telles distances ce qui suppose beaucoup beaucoup de travail à l’entraînement.
Voici le ressenti de Christine à l’arrivée.
« 2h03’17 sur 20km je suis très contente. La météo était parfaite, le parcours très roulant et mes jambes ne m’ont pas trahie ! C’est pas une grosse perf en soit mais une bonne perf pour moi. » Et les résultats:
- Christine Chochoy 20kms marche 2h03’17 » 19ème
- Laurent Legentil 20 kms marche 1h51’14 » 18ème
- Vincent Bollinger 50kms marche 5h 48’09 » 4ème 3ème médaillé de bronze dans la catégorie master
Source : Dynamic Aulnay Club
Moment de bonheur au marché des 3000 à Aulnay-sous-Bois avec la fanfare en action
Le marché de la Rose-des-Vents s’est également animé pour le printemps ce dimanche matin avec la présence d’une fanfare pour le plus grand bonheur des petits et des grands. Un peu d’ambiance ne fait pas de mal en ces temps moroses où la dépression est de mise.
Si cette fanfare a été plutôt bien accueillie, certains estiment que ces animations ne sont pas compatibles avec la prudence et les gestes barrières préconisées par le gouvernement. Des attroupements ont en effet été constatés aux abords du passage de la fanfare.
Le confinement a changé la donne dans l’immobilier et les entreprises
La pandémie mondiale et le confinement imposés par l’état français ont très sensiblement modifié les envies et les objectifs des français en matière d’habitat. Même si les craintes pour l’avenir sont toujours présentes dans leur esprit, l’immobilier reste une valeur à la fois refuge pour investir et en même temps se loger beaucoup mieux.
L’émergence du télétravail depuis son domicile pour éviter la transmission du virus dans les entreprises et la création de nouveaux clusters, a ouvert une brèche irréversible dans la manière et les moyens d’accomplir ses fonctions professionnelles. Bien que le MEDEF soit vent debout devant ce nouveau mode de travail, les salariés ne voient plus vraiment la nécessité de se rendre quotidiennement sur le lieu de leur travail, quand ils constatent qu’ils sont tout aussi efficaces à travailler depuis leur domicile, avec pour avantage d’avoir les temps de transports en moins qui s’imputaient sur le temps consacré à leur vie privée…
Le confinement a complètement changé la donne, à la fois dans le monde du travail, mais également dans l’immobilier puisque souvent le choix de son logement est conditionné par son bassin d’emplois. L’expérience du télétravail a démontré que l’on pouvait faire la même chose depuis une autre ville ou une région plus éloignée, ce qui a encouragé les salariés à demander la poursuite de ce mode de travail dès la sortie du confinement.
Au sein des entreprises cependant, l’afflux de ces demandes a semé un vent de panique et craignant que ce phénomène ne se généralise, beaucoup d’employeurs ont refusé, se confrontant alors à des démissions pures et simples… Ces salariés démissionnaires n’ont pas hésité à franchir le pas d’un changement radical de vie, troquant un logement étroit et coûteux dans la capitale pour un appartement spacieux avec terrasse ou une maison avec jardin en province, avec l’objectif déterminé de rechercher et trouver un emploi en télétravail.
Certaines plateformes désormais mettent en relation des entreprises recrutant des salariés en télétravail depuis le monde entier, avec des salariés en recherche de ce type d’emploi, l’anglais étant devenu la langue incontournable rendant désormais possible ces mutations du travail induites par les nouvelles technologies.
Face à ce phénomène en expansion constaté par la chambre des notaires qui pointe un accroissement notable des ventes de logements spacieux avec un accès sur l’extérieur en périphérie urbaine et en province, la densification à marche forcée imposée par les gouvernements précédents aux maires des villes semble ne plus répondre aux aspirations des franciliens…
D’un autre côté, les villes et les régions qui s’étaient vues désertées au profit de la capitale et de l’île de France qui se sont densifiées en compromettant la qualité de vie, pourraient se voir de nouveau redynamisées par l’installation de jeunes familles et de ces salariés « nouvelle génération « ….
Ce constat engendrera-t-il un moratoire à tous ces programmes immobiliers qui mécontent sérieusement les riverains qui voient leur patrimoine se dévaluer et leur qualité de vie se dégrader notablement ? Il ne reste plus qu’à espérer que nos élus de tous bords politiques soient réactifs et tiennent compte des évolutions très rapides et parfois surprenantes de notre société….
Article rédigé le 28 Septembre 2020 par Catherine Medioni
Respect des distances sociales sur le marché de la gare d’Aulnay
La rédaction d’Aulnay cap avait été informée de la mise en place des mesures sanitaires sur nos marchés.
Hier matin, j’ai fait un tour sur le marché de la gare, situé sur le boulevard de Strasbourg.
Sur ce marché, se trouve principalement, en ce moment, les produits alimentaires.
J’ai pu remarquer les films plastiques qui entourent les stands, ça fait bizarre, mais il en va de notre sécurité.
Les marquages au sol sont en place, de même que la file d’accès au marché couvert, ou du savon nous est mis sur les mains…..j’ai du me rincer les mains au robinet.
J’ai pu voir que les mesures de distances sociales sont respectées.
Certaines personnes, avec le masque, ne se reconnaissent pas, ce qui, je le crains, favorise la distance sociale.
Espérons que cette période que nous vivons, soit passagère, et que bientôt, nous reprenions une vie, un peu plus….normale.
Ces photos que je vous partage témoigne du respect des distances sociales.
Par respect pour les personnes se trouvant sur ces photos, les visages ont été masqués.
Malgré le risque du Coronavirus, les marchés de la Rose des Vents et du boulevard de Strasbourg restent ouverts ce dimanche
Malgré la directive du premier ministre Edouard Philippe de fermer tous les commerces non essentiels pour cause de pandémie de Coronavirus, les marchés de la Rose des Vents et du Boulevard de Strasbourg restent ouverts ce dimanche.
Si vous faites vos courses dans ces marchés, respectez les règles d’hygiène élémentaires, ne serrez pas la main des connaissances ni des commerçants, évitez les endroits trop bondés et restez vigilants en cas d’éternuement. Si vous touchez des parties métalliques ou autres, ne mettez pas la main à la figure et lavez-vous les mains dès être rentré à la maison.
Le Marché d’Aulnay-sous-Bois pour l’instant bon dernier dans le classement des plus beaux marchés de France
Le plus beau marché d’Ile-de-France est à Aulnay-sous-Bois !
Le marché de la gare a été désigné par vos votes lors d’une consultation lancée par « Le Parisien », en partenariat avec TF1. Il concourt désormais pour le trophée national.
C’est celui qui a récolté le plus de suffrages. Le marché de la gare, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), a été désigné plus beau marché d’Ile-de-France par les lecteurs du « Parisien – Aujourd’hui en France », en partenariat avec TF 1. Les participants disposaient d’un mois pour voter sur notre site afin d’élire leur marché préféré, parmi huit candidats choisis dans chaque département francilien et à Paris.
Un marché presque centenaire
Avec une soixantaine d’étals, le marché de la gare, créé en 1928, attire des milliers de personnes, trois fois par semaine. En partie couvert, il se prolonge sur une bonne partie du boulevard de Strasbourg, à proximité de la gare SNCF d’Aulnay-sous-Bois.
L’un des plus vieux stands appartient à la Maison Turlure. « Tout a commencé avec mes arrière-grands-parents qui ont ouvert leur biscuiterie il y a 80 ans », raconte Nicolas Turlure, primeur et représentant des commerçants forains de la commune. Devenu plus tard une épicerie, le commerce est aujourd’hui un magasin de fruits et légumes.
Mauricette ne rate pas un jour de marché depuis 1972
Présent les mardi, jeudi et dimanche, Nicolas Turlure s’approvisionne tous les jours à Rungis. Depuis deux ans, le quadragénaire a même ouvert un rayon bio où il propose des ananas, asperges ou encore des pommes.
« Nicolas, je l’ai connu tout jeune, lorsqu’il a commencé à travailler avec ses parents », se souvient Mauricette Remy, une habitante d’Aulnay, qui confie n’avoir jamais raté, depuis 1972, un jour de marché.
« Cette victoire fait rayonner le marché au-delà de la ville »
Christian Trouet aussi se rappelle très bien de son premier jour au milieu des étals. « C’était le 23 mars 1984 », indique très précisément le producteur de pommes et de poires. Il détient une exploitation familiale de 7 ha à Noisy-sur-Oise (Val-d’Oise).
Le titre de plus beau marché d’Ile-de-France, le commerçant y croyait depuis le début : « Cette victoire fait rayonner le marché au-delà d’Aulnay, ça ne peut être que bénéfique pour la ville », déclare-t-il. Selon lui, si ce marché a été choisi, c’est grâce à la diversité des produits proposés, entre ses trois poissonneries, ses sept primeurs, son vendeur d’huîtres ou encore son tripier.
Rénové en 2016
Parmi ses clients, des habitants du quartier mais aussi des gens de Sevran, Bondy, du Blanc-Mesnil… « Le marché de la gare est devenu tellement attractif que nous sommes déjà presque complet au niveau des emplacements pour les nouveaux abonnés », se félicite Bruno Beschizza, le maire (LR) de la ville.
La municipalité a investi 600 000 € pour rénover la partie couverte du marché en 2016. « Un faux plafond, les éclairages et certains carrelages ont été refaits à neuf », rappelle le maire.
Source et article complet : Le Parisien