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Sylvie Billard dit non au pass vaccinal et à la discrimination et s’adresse aux parlementaires d’Aulnay-sous-Bois

NON AU PASS VACCINAL

Non à la discrimination dans notre pays !

Madame la Sénatrice Annie Delmont-Koropoulis,

Monsieur le député de l’Assemblée Nationale Alain Ramadier,

Le projet du gouvernement de Jean Castex d’instaurer un Pass vaccinal qui remplacera le Pass sanitaire est une atteinte à l’état de droit.

C’est aussi un contresens scientifique.

Nous vous demandons solennellement, vous élus du peuple français auxquels sera soumis ce projet de loi début janvier, d’assumer votre rôle de garants d’une loi équitable pour tous les citoyens.

Votre responsabilité est historique : si vous donnez votre feu vert au gouvernement sur le pass vaccinal, vous posez les bases d’un modèle de société où le contrôle du statut médical conditionnera la vie sociale.

Si vous autorisez cette mesure,

  • Vous acceptez de créer deux classes de citoyens – vaccinés et non-vaccinés ;
  • Vous mettez au ban de la société des citoyens qui n’auront pas accès aux mêmes droits et services que la majorité, une première dans l’histoire de notre pays ;
  • Vous contraignez la totalité des citoyens à une vaccination tous les 3 à 5 mois, sans limite annoncée de durée.

Vous ne pouvez pas laisser faire cela.

Ces dispositions portent gravement atteinte à notre constitution et à nos lois, qui spécifient que tout acte médical doit être consenti de façon libre et éclairée, et non contraint.

Ces dispositions violent la loi de l’Union Européenne encadrant l’instauration du pass sanitaire, qui a expressément interdit qu’un pass puisse aboutir à une discrimination entre vaccinés et non-vaccinés.

Ces dispositions méprisent les avertissements du Conseil Constitutionnel qui exigeait que le pass sanitaire soit temporaire.

Allez-vous accepter, vous représentants de la loi, une telle atteinte à la légalité?

Facteur aggravant, ce pass vaccinal n’a pas de fondement scientifique.

Le Pr Delfraissy a admis lors de sa dernière audition au Sénat que le pass sanitaire n’avait pas endigué l’épidémie de Covid, son but étant de contraindre les citoyens à la vaccination. Le pass sanitaire n’a eu aucun effet sur la contagiosité virale et les hôpitaux débordent maintenant de doubles et triples vaccinés.

La loi portée par M. Castex est une obligation vaccinale pure et simple, assortie d’un dispositif punitif.

Un tel schéma ne s’est jamais produit dans l’histoire de notre République.

L’accepter, c’est accepter une discrimination du peuple français.

Nous vous demandons solennellement de ne pas voter cette loi qui reviendra à discriminer les citoyens en fonction de leur statut vaccinal et nous enfermera dans un cercle de mesures toujours plus coercitives.

Le moment est grave, chers élus.

Il vous appartient aujourd’hui de défendre la liberté républicaine et la justice sociale.

Le peuple français tout entier compte sur vous.

Veuillez recevoir, Madame et Monsieur les élus de l’Assemblée Nationale et du Sénat, l’expression de notre très haute considération. 

Sylvie Billard

L’élue citoyenne de tou.te.s les aulnaysien.ne.s

Lien vers la pétition : https://www.leslignesbougent.org/petitions/non-au-pass-vaccinal-5503/

Pétition pour une commission d’enquête sur les effets indésirables des vaccins Covid-19

Notre lectrice Murielle nous fait part d’une pétition demandant une commission d’enquête sur les effets indésirables des vaccins Covid-19 que nous partageons volontiers. Bien entendu, la rédaction Aulnaycap reste neutre sur ce dossier et est prête à partager les informations des personnes en faveur des vaccins :

« Messieurs, mesdames les Sénateurs,

Considérant que les AMM du produit Pzifer/BioNTech sont provisoires et conditionnelles,

Considérant le principe de précaution qui a été appliqué pour Moderna et Janssen, entre autres, par nos voisins européens, après seulement 1 décès.

Considérant le dernier rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament qui fait état de 906 décès reconnus comme directement imputables au Comirnaty (soit le taux de mortalité le plus élevé de tous les produits disponibles),

Considérant le droit de chacun de disposer d’un consentement libre et éclairé ; ce qui implique que le médecin est tenu de présenter clairement au patient tous les risques d’une conduite thérapeutique. Nota : le consentement doit être libre, c’est-à-dire en l’absence de contrainte, et éclairé, c’est-à-dire précédé par une information.

Nous, citoyens de France, demandons solennellement au Sénat, d’ouvrir une commission d’enquête sur les effets indésirables du produit Pfizer, principalement utilisé sur notre territoire dans le campagne vaccinale.

Cette commission d’enquête devra être indépendante (comprenons bien : excluant tout médecin ou chercheur lié par contrat ou intérêt aux entreprises pharmaceutiques) et permettra de présenter au public une information claire et objective des risques encourus en cas d’acceptation de la vaccination.

Nous, citoyens de France, demandons à ce que, au nom du principe de précaution, la campagne de vaccination soit suspendue tout comme les principes du Pass sanitaire qui, dans ses dernières disposition, induit une vaccination universelle obligatoire.

Vous remerciant d’avance de l’intérêt porté à cette demande.« 

Pour signer la pétition, cliquer ici.

Pétition contre la suppression des 3 jours de bonification à Aulnay-sous-Bois

Monsieur,

La pétition lancée par notre organisation syndicale a eu un franc succès auprès des agents des différents services de l’activité municipale. Nous disposons à ce jour de plus de 300 signatures des agents de la ville qui se sont exprimés contre la suppression des 3 jours de bonification pour les agents partant à la retraite, et ce malgré les mots d’ordre de certains syndicats pour boycotter cette initiative.

Comme vous le savez, cet acquis social a été légitimement octroyé par l’ancien maire M. Jean-Claude Abrioux pour remercier et reconnaître la qualité du service les agents, leur abnégation, leur investissement pour servir les Aulnaysiens dans le cadre du service public.

Aujourd’hui, les agents considèrent cette décision injuste et abusive dans un contexte social caractérisé par l’augmentation du coût de la vie (gaz, électricité, denrées etc.). Tout cela, conjugué à la mise en place des 1607 heures risquerait d’occasionner encore des dégâts et des risques de perte de jours et/ou d’augmentation du temps de travail sans compensation financière.

Assez ! La coupe est pleine ! Nous demandons, dans le cadre du dialogue social, au nom de tous les agents, la mise en place d’une concertation (et non pas d’un sondage) avec les organisations syndicales pour travailler de concert sur les solutions à apporter, et sortir par le haut pour les deux parties Nous avons bien compris le message, que le personnel communal n’est pas une priorité pour votre administration : l’incident de refuser l’accès à la salle des mariages aux agents pour les élections de l’AEPC pour les reléguer dans les sous-sols lugubres est un signal fort pour nous tous, car, il représente un acte d’humiliation à l’endroit des agents municipaux.

M. le maire vous avez encore le temps de prendre les décisions qui s’imposent en tenant compte de la situation, mais auriez-vous la volonté de le faire ?…

Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer, Monsieur le Maire, nos sincères salutations.

Source : Section syndicale CFDT Communaux d’Aulnay-sous-Bois

Insolite : une personne demande au Maire d’Aulnay-sous-Bois de fermer le centre commercial O’Parinor définitivement

En ce vendredi qui annonce un week-end plutôt calme, quelques informations surprenantes peuvent faire réagir. Et l’une qui peut apparaître bien surprenante concerne une pétition qui demande la fermeture du centre commercial O’Parinor à Aulnay-sous-Bois, rien que ça !

Cette personne affirme que les musulmans seraient maltraités en accusant l’établissement de racisme (sic). Dans un français qui ferait pâlir les professeurs et les apôtres de la langue de Molière, le « pétitionneur » se lâche et souhaite tout simplement que ce centre commercial mette la clé sous la porte. Il demande même au Maire Bruno Beschizza d’intervenir pour accélérer cette fermeture. M. Beschizza saura t-il se montrer à l’écoute ?

Pour lire cette impressionnante pétition (et la signer si le coeur vous en dit), cliquer ici.

Lettre de pétition des agents du service jeunesse à Aulnay-sous-Bois

Monsieur le Maire,

Les agents du service Jeunesse se sont réunis en Assemblée Générale suite au projet d’externalisation de leur service Lors de cette assemblée, il a été décidé de revendiquer :

  • Le refus total du projet d’externalisation
    • Les raisons de ce projet n’ont aucunement été avancées.
    • Aucune concertation avec les agents du service Jeunesse n’a été organisée, ce qui a entraîné une grande incertitude professionnelle chez ceux-ci.
  • Le rejet de la fusion des services Éducation et Jeunesse opérée ces dernières années
    Après tant d’années de fusion, les agents du service Jeunesse n’ont pas constaté l’utilité de cette fusion, le constat des agents est simple :

    • Peu de transversalité, voir aucune transversalité entre les deux services.
    • Aucune communication entre les agents des deux services.
    • Un circuit administratif qui semble s’être rallongé avec la validation par la direction de l’Éducation.
  • Le Retour à un service Jeunesse autonome
    C’est pour cela que Force Ouvrière soutient le combat des agents du service Jeunesse qui demandent :

    • Un service Jeunesse « indépendant » du service de l’Éducation, qui soit acteur et force de propositions.
    • La création de deux lignes budgétaires en direction des structures jeunesse, l’une consacrée à la mise en place de séjours, et la deuxième à la mise en place de projets de structure.
    • Des salaires plus élevés pour les agents saisonniers.

Ils réclament aussi la mise en place d’un accompagnement personnalisé pour le changement de service des agents qui souhaitent donner un nouvel élan à leur carrière.
Nous vous demandons à être reçus le plus rapidement possible en délégation.
Veuillez recevoir, Monsieur le Maire, l’expression de notre haute considération.

Source : Syndicat Force Ouvrière

Pétition pour la sauvegarde des arbres de l’ex-centre Le Camus à Aulnay-sous-Bois

Monsieur Le Maire,

Votre municipalité ayant exprimé son souci de préserver les arbres de notre ville, nous désirons attirer votre attention sur le patrimoine que représentent les arbres remarquables présents sur la parcelle de l’ancien Centre Le Camus, rue Louis Barrault : un cèdre et plusieurs chênes de plus de 20 mètres de haut, l’un d’entre eux, dont le tronc fait plusieurs mètres de circonférence, étant probablement le plus vieux chêne d’Aulnay et un vestige de la forêt de Bondy.

Or ces arbres ne figurent pas à l’inventaire des arbres remarquables du PLU, et ne bénéficient donc d’aucune protection, municipale, alors même que les chênes de l’ancienne forêt de Bondy ont été placés sous la sauvegarde du département. Nous vous prions instamment de bien vouloir faire figurer ces arbres remarquables dans l’inventaire du PLU.

Nous vous prions également d’intervenir auprès du nouveau propriétaire afin que le permis de démolir n’entraîne pas la destruction immédiate des arbres et qu’une solution soit trouvée pour que le projet immobilier assure la préservation de ce patrimoine naturel qui contribue grandement à l’agrément de la rue et à la lutte contre les effets du réchauffement climatique.

Pour signer la pétition, cliquer ici.

Catherine Medioni : pétition pas en mon nom !

La mairie d’Aulnay sous Bois a osé le 9 mars 2021, soit le lendemain de la journée consacrée aux droits des femmes, s’attaquer à une association humanitaire et caritative nommée « un toit pour elles » en perquisitionnant sans fournir le document qui l’y autorisait, un pavillon privé qu’elle avait loué pour y loger des femmes violentés qui s’étaient retrouvées à la rue et qui ne trouvaient pas de places dans d’autres centres !

Le choc et le traumatisme pour les pensionnaires accueillies et pour les bénévoles fut incommensurable ! Après avoir justifié son intrusion par une suspicion de squat, des plaintes de riverains, un problème de succession et désormais des normes de sécurité non conformes aux lois, le président s’est trouvé contraint, sous la menace d’une plainte au pénal, de fermer le lieu d’hébergement après avoir relogé en urgence les femmes aux quatre coins de l’île de France et pour certaines en province, mettant ainsi brutalement fin à quatre ans d’activités pourtant utiles qui avaient fait leurs preuves, et qui suppléaient aux manquements des pouvoirs publiques et des collectivités territoriales !

En tant que citoyenne de la société civile et contribuable de la ville, j’exprime mon indignation et mon incompréhension devant les pouvoirs excessifs d’élus qui au lieu d’attaquer, d’anéantir, de persécuter et de s’acharner, devraient au contraire soutenir et apporter une aide logistique et matérielle pour que cette association réinsérant les femmes poursuivent ses activités de bienfaisance. Je demande donc à la ville qu’elle fournisse un lieu d’hébergement remplaçant le pavillon loué, conforme à toutes les exigences de sécurité qu’elle impose et j’invite tous les citoyens qui approuvent cette demande à m’emboîter le pas en signant ci-dessous !

Catherine Medioni, le 11 Avril 2021

Nouvelle ZADimanche le 7 février 2021, signez et faites signer le Serment du triangle de Gonesse !

Plus d’un an après l’arrêt d’EuropaCity par le gouvernement, plus de 6 mois après les conclusions du rapporteur Francis Rol-Tanguy désigné par le gouvernement, les hésitations pour décider d’abandonner la gare sur le Triangle de Gonesse sont incompréhensibles.

Cette gare a été décidée pour EuropaCity. Le projet CARMA est prévu pour se déployer sur l’ensemble des 670 ha du Triangle de Gonesse. La desserte par le bus existant suffit pour le fonctionnement de CARMA. Laisser construire la gare serait rendre inéluctable l’urbanisation. Quelle urbanisation : des entrepôts comme sur toutes les ZAC du Val d’Oise ?

80 militantes et militants ont participé à la ZADimanche du 31 janvier. La Société du Grand Paris ayant toujours l’intention d’ouvrir le chantier sur le Triangle de Gonesse sans attendre la décision du gouvernement, nous avons décidé de continuer à préparer nos actions de riposte.

Pour signer le serment du Triangle de Gonesse, cliquer ici.

Vous pouvez signer en faveur du serment du triangle pour sauver les terres agricoles autour de Gonesse

Après l’abandon en novembre 2019 d’EuropaCity, projet climaticide de mégacentre commercial et de loisirs qui prévoyait une piste de ski artificielle sur des terres agricoles d’excellente qualité, les citoyennes et citoyens d’Ile-de-France espéraient le Triangle de Gonesse définitivement sauvé de l’étalement urbain. Erreur ! 

La Société du Grand Paris a annoncé le démarrage dès le mois de février de la construction d’une gare en plein champ, dite gare du « Triangle de Gonesse », initialement promise aux promoteurs d’EuropaCity (qui tablaient sur la venue de 31 millions de visiteurs). La construction de cette gare rendrait inéluctable l’urbanisation des terres fertiles du Triangle de Gonesse, alors qu’il n’y a aujourd’hui aucun projet à desservir : les premières habitations sont situées à 1,7 km de l’emplacement prévu.

Dans l’urgence, le Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG) a organisé un rassemblement le dimanche 17 janvier dernier, à Gonesse. Plus de 500 citoyennes et citoyens ont bravé le froid et la boue pour dire leur détermination à sauver ce patrimoine commun en signant « Le Serment du Triangle », s’engageant ainsi à défendre ces terres fertiles contre toute tentative d’artificialisation.

Urbaniser aujourd’hui des centaines d’hectares en Ile-de-France est une aberration, d’autant plus que :

la loi EGalim, (issue des Etats Généraux de l’ALIMentation), adoptée par le Parlement le 2 octobre 2018, oblige toutes les collectivités à proposer au 1er janvier 2022, au moins 50% de produits de qualité et durables, dont au moins 20% de produits biologiques, dans tous les services de restauration collective (écoles, hôpitaux, maisons de retraite, prisons, etc.)

ces champs à proximité de Paris et de la zone dense de la petite couronne constituent un « puits de fraicheur » pour diminuer les températures pendant les canicules estivales (8° d’écart entre ces champs et la Place de l’Hôtel de Ville à Paris en juillet 2019)

le Val d’Oise est déjà à la traîne pour le développement de l’agriculture biologique par rapport aux autres départements franciliens (entre 2 % et 3 % des terres agricoles cultivées, contre 5 % ailleurs).

La communauté scientifique et la Convention citoyenne sur le climat clament l’absolue nécessité de ne plus porter atteinte aux terres agricoles : toute nouvelle bétonisation accroît la menace sur notre avenir en matière d’approvisionnement alimentaire et de climat.

POUR SAUVER LES TERRES AGRICOLES DU TRIANGLE DE GONESSE

le CPTG appelle toutes les personnes à exprimer leur indignation et leur détermination à préserver ces terres nourricières en signant le « Serment du Triangle » 

Le Serment est mis sous la forme d’une pétition qui vient d’être lancée sur le site de l’association « Agir Pour l’Environnement » :              

Cliquer ICI 

Source : CPTG

Pétition du lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois : des conditions humaines et matérielles suffisantes pour la scolarité de nos enfants !

Pétition à l’attention de

  • Daniel Auverlot, recteur de l’académie de Créteil
  • Valérie Pécresse, présidente de la Région Ile-de-France

C’est dans le contexte de l’après confinement que le Ministère de l’Education Nationale, de la jeunesse et des sports s’est donné, dans sa circulaire de rentrée, « la priorité absolue de consolider les apprentissages des élèves en identifiant leurs besoins et en y apportant une réponse personnalisée ».

Les parents d’élèves du lycée Voillaume souhaitent que ces paroles soient assorties à des actes !

Pour la livraison sous 3 semaines du bâtiment « atelier »

Si nous sommes ravis des travaux engagés au lycée Voillaume, nous le sommes nettement moins de l’impossibilité pour les élèves des filières PRO, des STI2D du LGT et des étudiants en BTS de pouvoir suivre une scolarité normale.

En effet, après un an de retard sur le chantier, le bâtiment où doivent se tenir les cours techniques en atelier a été livré inachevé quelques jours après la rentrée avec des défauts tels qu’ils sont impraticables voire dangereux ! Les anciens locaux sont quant à eux en cours de destruction ce qui annihile toute solution de repli.

Le rectorat de Créteil a récemment informé Le Parisien qu’il « met tout en œuvre pour que les élèves puissent bénéficier des cours nécessaires à leur apprentissage par la priorité mise sur les cours théoriques, un soutien par la création d’un blog dédié et la mise en place d’aides aux devoirs en fin de journée scolaire ». Il affirme également que « les cours en atelier sont dispensés durant trois ans pour les lycéens de la voie professionnelle, et deux ans pour les étudiants de BTS. Cette réorganisation temporaire n’est donc pas bloquante pour la réussite de leurs examens. »

Les parents d’élèves et d’étudiants ne partagent pas cet avis ! Ils ont déjà fait les frais de l’échec des cours à distance durant le confinement et sont toujours confrontés à la fracture numérique.

Les parents d’élèves demandent donc à ce que tout soit mis en œuvre pour que la mise aux normes de ce chantier soit achevée sous trois semaines et que sa livraison ait lieu dès la rentrée des vacances de la Toussaint, soit le 2 novembre prochain.

Pour le remplacement sans délai des professeurs absents

Selon le rapport Cornut-Gentille, « un élève de Seine-Saint-Denis perd en moyenne un an sur sa scolarité en raison de la difficulté à remplacer les professeurs absents ».

Face à ce nouveau baccalauréat qui s’étire sur deux ans de contrôle continu, comment les élèves du LGT et du PRO pourraient-ils être prêts au BAC ?

Selon la FCPE, 20 millions seraient économisés par l’Etat chaque année en ne remplaçant pas les enseignants. C’est inacceptable !

Lorsque l’absence des enseignants dure moins de quinze jours, ce serait à l’établissement de trouver une solution pour les remplacer. Or dans le contexte des plannings difficiles inhérents aux E3C ; de la mise en œuvre de l’aide aux devoirs (pendant les jours de classe et les vacances scolaires) et de la COVID cela est impossible !

C’est dans ce contexte que nous vous demandons de réduire votre délai d’intervention pour remplacer les professeurs absents avant ce délai de 15 jours par tous les moyens possibles : TZR (titulaires affectés sur zone de remplacement) ou enseignants « contractuels ».

Pour signer la pétition, cliquer ici.