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Une mise en examen de la principale du collège Debussy à Aulnay-sous-Bois par Hadama Traoré ?
Le leader du mouvement La Révolution Est En Marche annonce que la principale du collège Debussy à Aulnay-sous-Bois, le principal adjoint et plusieurs professeurs seront mis en examen pour avoir diffamé sa fille sur son comportement. Selon M. Traoré, sa fille aurait été qualifiée de « fallacieuse » et aurait été mise au placard pour son comportement supposé inapproprié.
Une mise en examen ne veut pas dire une condamnation. Il n’est pas rare que des personnes mises en examen soient disculpées. Par contre, c’est une première pour le leader révolutionnaire, peu enclin à enclencher une procédure judiciaire.
La plainte du Maire de Bondy Stephen Hervé contre Martial Meyongo classée sans suite
Chers Aulnaysiens, Chers Bondynois, chers Pavillonnais,
Après un simulacre orchestré par le maire Stéphane Hervé et ses proches Séverine Maroun et Franck Cannarozzo adjoints au maire à Aulnay-sous-Bois et Andrès Henao Sanya, adjoint au maire à Bondy, j’ai été accusé à tort en subissant une pression juridique et policière qui s’est avérée injuste.
Alors que vous êtes celui qui a utilisé l’image du maire pour mener votre campagne en utilisant sa photo sur vos discours de campagne !
La justice est juste. La loi est formelle. Vous êtes le perdant de votre propre accusation.
Ils ont essayé de m’intimider, de m’humilier, de me faire passer pour un usurpateur dans une campagne électorale importante mais la République est plus grande que ces manipulations politiques d’un autre temps. En effet le parquet a classé la plainte simulée du Maire Stéphane Hervé.
En 2024, la barbouzerie n’a plus aucune influence et je continuerai à militer et à être sur nos territoires pour l’intérêt général et continuer ma route dans la politique locale.
Vive la justice ! Vive nos territoires ! Vive la France ! Vive la République !
Source : Martial Meyongo Amougou
En échange d’un soutien à Bruno Beschizza, l’acteur amateur Reda Benzora voulait-il un poste à la mairie d’Aulnay-sous-Bois ?
Nous l’avions précisé lors d’un précédent article, nous ne savions pas pourquoi Reda Benzora, autrefois très proche de la majorité municipale LR à Aulnay-sous-Bois, s’est subitement pris une plainte pour menaces face à la 1ère adjointe Séverine Maroun. L’édition du Parisien d’aujourd’hui nous apporte un peu plus d’information sur ce retournement de veste aussi incongru que surprenant.
En politique politicienne il n’y a que 4 catégories d’individus :
- Les meneurs, qui ont les postes les plus importants (Maires, Sénateurs, Députés, Ministres…), qui se servent de leur réseau, leur position ou leur bagou pour haranguer la foule, dire ce que les possibles votants veulent entendre, et qui peuvent avoir – ou pas – une vision politique claire, et parfois une idéologie
- Les suiveurs, qui veulent manger à la table du roi, qui n’ont pas forcément d’état d’âme et qui veulent tout simplement profiter des avantages ainsi offerts
- Les militants et sympathisants de base, qui ont parfois de la conviction pour leurs idées, mais qui souvent sont les dindons de la farce, et jouent souvent les idiots utiles
- Les opportunistes, capables de sauter sur la moindre occasion pour tenter de récolter les miettes, ou jouer un grand coup
Apparemment, Reda Benzora fait partie de cette 4e catégorie aussi distincte que méprisable. En effet, jouer la carte d’un candidat – alors grandissime favori que personne ne voit perdre – juste pour obtenir un poste à la Mairie d’Aulnay-sous-Bois, n’est pas pour redorer l’image de la politique. Partout en France, d’autres l’ont fait pour avoir un logement, d’autres pour placer femme ou enfants en tant qu’élus à la Mairie, d’autres encore pour obtenir des dérogations pour inscrire leurs enfants dans les meilleures écoles privées.
Si Reda Benzora apportera certainement son témoignage pour contester la version des faits de la municipalité, on ne peut que s’interroger sur son comportement qui a tout l’air de montrer une certaine instabilité. Car quand on fait campagne pour quelqu’un, pour un parti, c’est avant tout pour défendre tout un programme, et non pour attendre une gamelle qui peut ne jamais venir .
Maintenant, est-ce que Reda Benzora a délibérément proféré des menaces envers la 1ère adjointe Séverine Maroun, ou est-ce que celle-ci amplifie une simple querelle d’un ancien militant opportuniste déçu ? On est amené à la croire, vu les messages proférés à notre encontre, suite à l’utilisation d’une photo publique et téléchargeable depuis son compte Facebook, sans aucune notice ou contre-indication d’utilisation :
Celui qui rêvait de devenir le prochain Saïd Taghmaoui risque de faire parler de lui non pas pour ses prétendues qualités d’acteur, mais plutôt pour ses déboires judiciaires et ses sautes d’humeur. En attendant, on pourrait le retrouver sur une liste pour les municipales en 2026, mais pas sûr que la tête de liste puisse en tirer un bénéfice quelconque. Il pourrait même, au vu de toutes ces accusations, devenir plus embarrassant qu’efficace. A moins qu’il ne devienne le futur bad boy du 7e art, une sorte de Sami Naceri qui pourrait plaire à une partie des cinéphiles…
Mais pourquoi Reda Benzora s’est-il retourné contre la municipalité LR d’Aulnay-sous-Bois
« Frank Cannarozzo chapeau vous au moins vous êtes sur le terrain, Walid Chebab courage tu mouilles vraiment le maillot Severine Maroun ta détermination est sincère et elle est au service des aulnaysiens, chapeau la médiation job de fond, Olivier Attiori pas mal lui aussi, Aîssa Sago femme de terrain, Fouad el Kouradi homme d’expérience » : telles sont les louanges de Reda Benzora, un acteur d’Aulnay-sous-Bois proche de qui a été à l’affiche de La Chimère, court-métrage de Steve Tientcheu.
Ces propos, c’était juste avant les élections municipales de 2020 où Bruno Beschizza l’a largement remporté, dès le premier tour. On retrouve également d’autres messages en faveur de Séverine Maroun, la première adjointe, et des accolades dans de nombreux commentaires.
Oui mais quelques années plus tard, les amis d’hier sont devenus les ennemis d’aujourd’hui. Il semblerait que M. Benzora aurait envoyé à la première adjointe quelques messages menaçants, ce qui aurait poussé la dernière à faire voter une délibération pour une protection fonctionnelle. Comme quoi en politique, ya-t-il vraiment quelque chose de sincère ?
Est-ce que M. Benzora pense toujours que Séverine Maroun est au service des Aulanysiens ? Est-ce qu’Eric Pallud, adjoint, maîtrise toujours son sujet selon lui ? Ou regrette-t-il amèrement d’avoir encouragé une équipe qui aujourd’hui se retourne contre lui ?
La famille de Jean-Paul Benjamin porte plainte pour homicide volontaire, des policiers étrillent le jeune homme à cause d’objets de valeur volés dans la camionnette
La famille du jeune homme de 32 ans qui a été tué au volant d’une camionnette déclarée comme volée à Sevran vient de porter plainte pour homicide volontaire contre le policier qui a fait usage de son arme. Selon la famille, le policier ne pouvait pas ignorer la létalité de son tir qui visait le haut du corps du conducteur.
Cette mort a provoqué de nombreuses réactions mais aussi des émeutes, principalement à Sevran et Aulnay-sous-Bois. Jean-Paul Benjamin était connu dans le quartier des Beaudottes où il avait beaucoup d’amis.
Sur Sud Radio, l’image de Jean-Paul Benjamin est quelque peu ternie puisque les intervenants signalent qu’il aurait tenté de foncer sur le gendarme avec sa camionnette. De plus, il est qualifié dans cette émission de délinquant notoire. On apprend aussi que sa camionnette contenait des objets de valeur, peut-être aussi volés. Ci-dessous la vidéo de l’emission :
Hadama Traoré déplore que le Maire d’Aulnay-sous-Bois utilise la collectivité pour payer ses avocats
Bonjour Mr le Maire et les élus de la majorité,
Hadama Traoré porte plainte contre le Maire d’Aulnay-sous-Bois qu’il considère d’extrême-droite
Ancien syndicaliste policier bureaucrate, le maire actuel de la ville d’Aulnay-sous-Bois drague l’extrême droite au vu de la présidentielle 2022. Et pour cela, ce maire LR d’extrême droite proche des idées d’Eric CIOTTI me diffame sur des faits très graves.
Voici les faits incriminés qui ont fait l’objet d’une tribune dans le magazine d’extrême droite « Valeur Actuelle » :
« Le non-respect du devoir de réserve a d’ailleurs constitué une des motivations avancées par la Ville pour étayer et obtenir la révocation de Monsieur Hamada Traoré. Révoqué en 2018, cet agent a ensuite organisé une manifestation de soutien à l’auteur de l’attaque terroriste de la Préfecture de Police, Mickaël Harpon, le 10 octobre 2019«
Il sera très facile de démontrer devant la justice que le maire d’extrême droite de la ville d’Aulnay-sous-Bois, affirme que j’ai organisé une manifestation de soutien à un assassin qui a tué 4 policiers en activité. Alors que ce dernier sait pertinemment que c’est faux. Je lui ai même offert mon livre suite à cette désinformation polico-mediatique :
https://www.decitre.fr/…/banlieues-je-les-accuse-de…
Ces propos diffamatoires portés dans un magasine d’extrême droite sont très grave.
À savoir que j’avais été menacé de mort dans ce même magasine. Cliquez pour en savoir plus :
https://www.google.com/…/seine-saint-denis-des…
Dans ce contexte, je déposerai une plainte en citation direct contre le maire LR d’extrême droite de la ville d’Aulnay-sous-Bois. La révolution est en marche et personne ne pourra l’arrêter.
Source : Hadama Traoré, leader du mouvement La Révolution Est En Marche
Aya Nakamura, la diva d’Aulnay-sous-Bois, gagne 8000 € en justice face à une plainte pour plagiat injustifée
Y a pas moyen, Kyo Jino. Le styliste parisien, qui avait assigné en justice la chanteuse Aya Nakamura pour « parasitisme », a été débouté par le tribunal de Paris, selon une décision consultée mardi par l’AFP. Il accusait l’interprète de « Djadja » et « Doudou » de s’être inspirée de son travail, sans le consulter, pour le clip de « Pookie ».
A la suite de cette décision, la chanteuse s’est fendue d’un message au goût de revanche, ce mardi, sur son compte Snapchat. « Tu voulais combien déjà ? 50k (NDLR, 50 000 €) hein, allez bonne journée », a-t-elle réagi dans un message ponctué d’emojis moqueurs.
Le 15 janvier, le tribunal a rendu son jugement et rejeté les demandes de Kyo Jino, estimant que « les tenues et postures, bien qu’inspirées d’un univers commun, présentent de nettes différences ». « Le seul fait pour [la chanteuse] d’adopter des tenues du même style que celles suggérées par [le styliste] ne suffit pas à établir une reprise constitutive d’une faute », résume la décision.
Le tribunal souligne par ailleurs que le styliste ne donne pas assez d’éléments sur les conditions dans lesquelles la planche de tendances et les photos ont été réalisées, « en particulier s’agissant d’une éventuelle contrepartie ».
Kyo Jino est condamné à payer à la chanteuse 5 000 € pour l’atteinte à son image et sa réputation, ainsi que 3 000 € de frais de justice. Aya Nakamura demandait en tout 100 000 € pour différents préjudices.
Source et article complet : Le Parisien
Hadama Traoré s’attaque à Jean Messiha, l’un des leaders du Rassemblement National
Hadama Traoré, fer de lance du mouvement La Révolution Est En Marche (LREEM), a porté plainte contre Jean Messiha, l’un des leaders du Rassemblement National et très présent sur les plateaux de télévision.
Une audience de fixation est prévue le ,jeudi 10 septembre 2020 à 13h30 au tribunal de grande instance de Paris (17ème chambre).
Il s’agit là pour Hadama Traoré, alias Black Alinsky, d’un combat titanesque contre l’un des cadres du RN les plus habiles en communication. Hadama Traoré espère s’appuyer sur ce combat pour préparer sa campagne aux présidentielles 2022.
Thierry Meignen dépose plainte contre le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza pour menace de mort
Affirmant qu’un couple de gros bras est venu menacer sa femme et son chien devant leur domicile, à cause d’un «clash» avec Bruno Beschizza (LR), Thierry Meignen (Libres !) a déposé plainte contre son collègue.
«Mon chien s’appelle Pétrus. C’est un petit staffie, il est très mignon, c’est vrai. Ma femme en est folle…» Aussi mignon qu’il soit, Pétrus va sans doute être à l’origine d’un conflit politique comme la Seine-Saint-Denis n’en a jamais connu. Comme seuls les Républicains −ou ex-LR− savent en produire.
Le chien «mignon» est celui de Thierry Meignen, le maire (Libres! et ex-LR) du Blanc-Mesnil, en couple avec Christine Cerrigone, conseillère départementale.
Dimanche, alors qu’elle sortait de chez elle pour le promener, en l’absence de son édile de mari, deux motards ont fait irruption dans la rue, avant de la menacer, elle, son chien et son époux. Et ce, assure-t-elle, en se réclamant… de Bruno Beschizza, le maire (LR) d’Aulnay-sous-Bois.
Thierry Meignen a déposé plainte auprès du procureur contre Bruno Beschizza, pour «menace de mort avec ordre de remplir une condition». Et, cerise sur le gâteau, il demande la démission de Bruno Beschizza de son poste de président du territoire !
«C’est probablement moi qu’ils attendaient»
Revenons à Pétrus. Dimanche 13 juillet, alors que Christine Cerrigone, l’épouse de Thierry Meignen, sort avec leur chien devant leur domicile parisien, «un homme et une femme», casqués, à moto, l’interpellent. «Ils étaient déjà stationnés juste devant chez nous, c’est probablement moi qu’ils attendaient», avance le maire.
Sans descendre de leur engin, ils demandent, «sur un ton posé mais inquiétant, à la façon des parrains dans les films de gangster», juge encore l’édile, si le chien appartient bien au couple politique. «Ma femme a répondu oui, et elle s’est approchée, pensant avoir affaire à des cynophiles», poursuit le maire. Mais très vite, la teneur des propos n’a rien à voir avec celui d’un amoureux desstaffies, selon les déclarations de Christine Cerrigone.
«Faites bien attention à vous et à votre chien, madame»
«Il est beau votre chien, madame. Si vous l’aimez, protégez-le bien… et vous également. Dites à votre mari, le couillu là, qu’il arrête de dire aux promoteurs que le maire d’Aulnay-sous-Bois a son Benalla (NDLR : ici une référence à Naguib Benlarbi, le directeur adjoint de cabinet de Beschizza). On ira jusqu’au bout du mandat. Faites bien attention à vous et à votre chien, madame.»
Dans le PV de la plainte que nous avons pu consulter, le ton est décrit comme «très menaçant». «Ma femme m’a appelée, en larmes», se rappelle encore Thierry Meignen.
Au-delà du fait que, selon les déclarations de la victime, les agresseurs se réclamaient de la majorité d’Aulnay, pour Thierry Meignen, cette affaire est «sans nul doute» liée au désaccord houleux qui l’a opposé à Bruno Beschizza la veille des faits, lors du conseil de territoire «Paris, terre d’envol». Une entité qui regroupe les communes de d’Aulnay, Drancy, Tremblay, Sevran, Blanc-Mesnil, Dugny, Le Bourget et Villepinte.
Ce jour-là, le maire d’Aulnay est réélu président de l’assemblée, constituée de 72 conseillers des huit villes.
«En séance, j’ai pris la parole pour dénoncer le fait que, depuis deux mois, tous les dossiers concernant Le Blanc-Mesnil censés recevoir l’aval du territoire n’avancent pas : les parapheurs sont bloqués sur le bureau de Bruno Beschizza», explique Thierry Meignen.
«J’ai vingt ans de flic derrière moi, on va pas me marcher sur les couilles !»
Ainsi, alors qu’ils se croisaient, Bruno Beschizza aurait demandé au maire du Blanc-Mesnil de «baisser d’un ton», celui-ci lui répondant de manière encore plus véhémente.
En tournant les talons, le maire d’Aulnay-sous-Bois, ex-officier de police, aurait lâché : «J’ai vingt ans de flic derrière moi, on va pas me marcher sur les couilles !» Une phrase qui, selon la plainte de Thierry Meignen, établit un «lien» avec les intimidations dont sa femme et Pétrus, son chien, feront l’objet dès le lendemain.
«Deux agresseurs, sans doute zélés »
Reste une question : dans quel cadre serait intervenu le couple de gros bras devant le domicile des Meignen ? Là-dessus, l’édile ne se prononce pas, rappelant juste «la temporalité des faits».
Un observateur commente : «Soit Bruno Beschizza a donné un ordre, ce qui paraît peu probable au regard de son intelligence, soit les deux agresseurs, sans doute zélés, sont intervenus dans un cadre psychologique, un mode de fonctionnement, qui leur permet de croire que c’est permis.»
Contacté, le cabinet de Bruno Beschizza, qui n’était « pas au courant de cette procédure », indique seulement «ne pas faire de commentaire pour l’instant».
Source et article complet : Le Parisien

