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Les élus et les militants PS d’Aulnay-sous-Bois donnent une autre version sur l’Urbanisme
Urbanisme : Zéro pointé dans Oxygène ! Il est urgent de rectifier les contre-vérités !
Dans les rares réunions publiques ou conseils de quartier, les aulnaysiens expriment de plus en plus leur désapprobation et même une franche colère de voir tant de pavillons disparaître, tant de nouveaux immeubles qui transforment leur quartier !
Bizarrement, le dernier numéro d’Oxygène fait un zoom sur l’urbanisme !
Mais l’article commence par un tour de passe – passe magistral en annonçant : « 4 000 logements sur 6 ans, approuvé par la précédente municipalité pour 2015-2021 »
Bien évidemment, c’est FAUX ! Rappelons pour ceux qui douteraient, que le Maire précédent a quitté ses fonctions en 2014. C’est bien B. Beschizza qui a approuvé toutes les nouvelles constructions et ceci dure depuis 10 ans !
Encore plus fort ! Par une démonstration hallucinante, B. Beschizza et ses élus via Oxygène, arrivent même à démontrer qu’il y a eu, avec eux, 32 % de constructions en moins !
Pour comprendre leur calcul fantaisiste, voici quelques rappels : Après la grande période de constructions de 1960 – 90, la ville a très peu construit pendant 20 ans : 98 logements par an puis dégringolade à 66 par an de 2000 à 2005.
En 2008, l’État a fixé pour Aulnay l’objectif de construire 530 nouveaux logements par an pour rattraper le retard (3 180 en 6 ans de mandat).
Afin de répondre aux besoins locaux (9 000 demandes en 2008) et aux attentes de l’État, l’ancienne municipalité menée par G. Segura a enclenché la reprise mais avec modération : 140 logements par an, au total 850, presque 4 fois moins que l’effort demandé par l’État.
Avec la loi du Grand Paris de 2013, l’État vise 70 000 logements par an en Île de France, d’où pour Aulnay 660 logts/an (3 900 logements en 6 ans).
Qu’a fait la municipalité actuelle ? C’est dit dans Oxygène… avec des chiffres insensés !
« 2 160 logements entre 2014 et 2020 … 32% de constructions en moins sous Bruno Beschizza par rapport à l’ancienne municipalité ». FAUX !
Reprenons les bons chiffres :
- Segura : 850 logements en 6 ans de 2008 à 2014 (au lieu des 3 180 demandés par l’État)
- Beschizza : 2 160 logements en 6 ans de 2014 à 2020 (au lieu de 3 960) … Beschizza a construit 2,5 fois PLUS que l’ancienne municipalité.
Tout aulnaysien même hermétique aux maths voit bien que ce Maire et son équipe ont intensifié le bétonnage à un point tel que les aulnaysiens ne reconnaissent plus leur quartier.
On l’ignore pas qu’il manque des logements mais à ce jour, la ville construit surtout des immeubles de standing dans les quartiers sud et centre, inaccessibles pour les jeunes couples, les familles aux revenus modestes ou de classe moyenne. Qu’il y aura-t-il pour eux, où et quand ? Difficile de le dire, puisqu’il n’y a pas de Plan d’urbanisme réellement concertation avec les habitants et que les projets sont décidés en catimini.
Quant aux habitants de la Cité de l’Europe, de Mitry- Ambourget et du Gros Saule, quartiers concernés par le Nouveau Programme de Renouvellement Urbain (NPNRU), ils attendent !
Certes, ils sont logés, mais la rénovation lancée sous l’ancienne municipalité est en panne depuis près de 10 ans. Depuis, les quartiers se sont dégradés, les habitants se sentent abandonnés.
Source : Elus socialistes d’Aulnay-sous-Bois
Les riverains du quartier Centre-Gare Nord et Fernand Herbaut à Aulnay-sous-Bois s’inquiètent sur la qualité de vie
Il y a à peine 20 ans, le quartier du Centre-Gare Nord d’Aulnay-sous-Bois qui comprend notamment la rue Fernand Herbaut, la rue Anatole France et une partie des quartiers pavillonnaires proches de la Mairie était encore un quartier agréable, à deux pas de la gare, avec immeubles coquets, pavillons remarquables, commerces variés et trottoirs fleuris. Aujourd’hui, le constat est amer : des barres d’immeuble de 6 étages, une circulation infernale, une atmosphère chargée en pollution, des commerces peu intéressants et des pavillons qui sont soit détruits soit transformés en appartements… Quelle tristesse, quelle claque pour celles et ceux qui y vivent depuis des décennies, qui ont vu grandir leurs enfants dans un cadre convivial, et qui voient leur quartier dépérir à vue d’œil !
Et que dire de cette population qui ne s’intéresse même pas à la ville d’Aulnay ! Les acquéreurs de ces appartements cossus qui sont en fait loués par des investisseurs à des jeunes cadres qui ne restent en général que 2 années. Ces habitants éphémères qui ne connaissent même pas leur quartier et qui ne pensent qu’à aller travailler sur Paris et à La Défense, prenant parfois la voiture alors que la gare se trouve juste à côté !
Quelle tristesse de voir l’état de ce quartier autrefois si charmant, où toutes les classes sociales cohabitaient, où les enfants pouvaient jouer sans risque dans la rue, et dont l’emplacement en faisait un endroit rêvé pour y fonder une famille. Il y a peu d’espoir que les choses s’arrangent, les constructions vont se poursuivre, les derniers pavillons seront abattus, et ce quartier deviendra un amas de béton sans charme, pour entasser les gens qui n’auront pour certains que 3 raisons de vivre : RER, boulot, dodo…
Source : un lecteur
Le quartier Marcel Sembat à Aulnay-sous-Bois se fait dévorer par les promoteurs
A l’entrée de la rue Marcel Sembat, à l’intersection avec Louis Charcot,
4 pavillons avec jardins ont disparus pour voir un immeuble se construire.
Ci-dessous une photo de la maison mitoyenne à cet immeuble, elle ne verra plus le soleil levant mais un mur de béton.
L’heureux propriétaire aura du mal à la revendre, ou au rabais pour être remplacée par un autre immeuble. Ce quartier pavillonnaire se fait dévorer.
Merci à Géraldine pour les photos et l’explication !
12 et 12 bis rue Auguste Blanqui à Aulnay-sous-Bois : les inquiétudes et la gêne pour les riverains persistent
Depuis le dernier article paru le 14 octobre la situation ne s’est pas améliorée.
Ce vendredi 3 décembre, la rue a été bloquée sans que les riverains soient officiellement avertis par un arrêté municipal qui est pourtant obligatoire.
La police municipale est venue constater cette occupation illicite à 2 reprises.
Apres vérification auprès des services municipaux compétents chargés de l’occupation des espaces publics, il apparait qu’aucune autorisation n’a été demandée. Une pompe à béton s’est installée sur la totalité de la rue depuis tôt le matin jusqu’en milieu d’après-midi.
Au cours du mois précédent, un tas de terre et de graviers occupait le trottoir et l’emplacement des voitures sur toute la longueur de la parcelle.
Voici la conséquence pour les riverains : la police municipale a verbalisé les riverains le mardi 2 novembre au matin car ceux-ci n’avaient pas modifié leur côté de stationnement pour ne pas bloquer la circulation à cause du tas en place. Celle-ci a été interpellé sur cet état de fait mais a fait remarquer que comme aucun panneau de chantier n’était présent, il était plus simple de verbaliser les véhicules identifiables.
A la suite, une délégation des riverains a été reçu en mairie (le lundi 8 novembre) car celle-ci venait faire un état de lieux concernant le permis de construire qui aurait été modifié. A cette occasion les services de l’urbanisme et le directeur général adjoint en charge de l’urbanisme ont reconnu les anomalies du chantier : absence de signalisation, absence de mise en sécurité du chantier, emprise sur la voie publique, détérioration de la chaussée, absence de nettoyage …
Vraisemblablement en raison de notre intervention, la chaussée a été libérée dans les semaines suivantes.
Nous avons aussi demande à la mairie de nous fournir l’état du processus en cours sur ce chantier
Et il serait judicieux que les amendes de stationnement soient annulées !!
Depuis le début de la semaine, le chantier a repris dans les conditions habituelles de non-respect des riverains
Le blocage de la rue le vendredi 3 décembre 2021 a constitué une entrave à l’exercice professionnel d’une psychologue qui exerce en libéral. Ses patients ont été empêchés d’arriver à leur rendez-vous, arrivant dans le meilleur des cas en retard. De la gêne aussi pour plusieurs riverains qui ont des aides à domicile !
En mairie toujours aucun affichage d’un permis de construire en cours, nous pouvons donc nous poser des questions sur la légalité de ce chantier. En effet un radier béton a été coulé à une profondeur autour de 3m et en tout cas en dessous du niveau de la nappe phréatique.
De même sur une largeur de 17m un retrait des 2 côtés de la construction est nécessaire mais un artifice au niveau du cadastre (division en 2 lots) pourrait être perçu comme un contournement du PLU en vigueur
L’obligation de 40% en pleine terre d’espace vert (article13/3.1 du règlement zone UG du PLU) ne sera probablement pas respectée étant donné la taille du radier
La destination finale de cette construction nous échappe : en effet à quoi est destiné un tel sous-sol qui sera en permanence sous la nappe phréatique.
Le chantier actuel met en péril les deux demeures voisines, respectivement le 14 et le 10 rue Auguste Blanqui. On observe que l’excavation pratiquée par les travaux du 12 empiète sur les propriétés voisines mais qu’elle a, en plus, déjà fait effondrer le mur mitoyen avec le 14 et que des deux côtés, des pans de terre s’affaissent régulièrement, menaçant les fondations comme en témoignent les photos ci-dessus
Un vrai chantier !! et un radier déjà sous quelques cm d’eau alors que la nappe peut se retrouver plus haute d’une vingtaine de cm en plein hiver : un local technique donc mais inondé.
Source : Aulnay Environnement
Le bétonnage se poursuit à Aulnay-sous-Bois
On continue au 13 rue du Commandant Brasseur à Aulnay-sous-Bois dans le centre gare nord.
Seulement…19,91 mètres de haut
Seulement … 6 étages
Seulement … sur 511 m2
Seulement 27 logements, 27 familles à la place d’un logement, d’une famille…)
Au milieu d’une zone pavillonnaire.
Ce projet à la grande limite de la zone UA puisque 15 mètres plus loin, ce n’était plus possible car une zone UA fixée sur une longueur de 150m de cette rue.
Donc une zone UA où tout est possible, sans aucune concertation, au beau milieu des pavillons. Il est vrai qu’après le 15 rue Brasseur, on devient très loin de la gare puisque la zone UA est amplement déterminée par la proximité de la gare, une totale incompréhension.
Un immeuble de 3 étages a déjà été construit récemment dans la rue pavillonnaire FOCH.
Des Aulnaysiens qui habitaient bien tranquillement dans leur petit pavillon de banlieue depuis 20 , 30 ou plus sont amenés à quitter leur domicile afin de ne pas subir des vues intempestives dans leurs pavillons, dans leurs jardins , d’être privé subitement de soleil…contraire à l’acquisition d’un pavillon, on ne vit pas avec un mur de béton de 20 m devant chez soi. Encore du grain à moudre pour les promoteurs puisque l’ensemble des riverains, propriétaires, seront contraints de partir…belles manœuvres.
Déjà, deux anciens Aulnaysiens, sont partis à l’annonce de la délivrance de ce permis accordé par le Maire indiquant son impuissance à ces pauvres riverains : « je n’y peux rien, prenez un avocat » fournissant même les coordonnées de l’avocat de la mairie.
On continue fièrement sans relâche , sans se soucier du bien être de ses administrés, sans se soucier des conséquences déjà ressenties sur la circulation, sur l’explosion des effectifs des écoles, sur toutes les structures dépassées par cette concentration…Dans 10 / 15 ans, on dira : « si on avait su » comme on le dit pour nos grands ensembles qu’aujourd’hui on démolit progressivement , mais trop tard, plus personne ne sera présent pour assumer de telles erreurs .
Quelle hérésie que ce PLU, certes qui convient au moins à nos élus et à quelques électeurs non concernés, mais non ré étudié depuis 2015 malgré les sollicitations de nombreux Aulnaysiens qui constatent que leur ville devient de plus en plus invivable. Voir par exemple dans Facebook, les commentaires de regrets de ces Aulnaysiens sur leur passé dans la ville qu’ils ont le plus souvent quittée.
Source : Un riverain « concerné »
PLU bafoué, Panneau trompeur, mensonger et frauduleux à Aulnay-sous-Bois (2)
Tous les riverains de la rue Alix ne se sont pas méfiés du panneau d’affichage placardé sur la clôture et qui omettait de détailler l’ensemble des opérations immobilières qui allaient s’édifier sur cette petite parcelle de seulement 340 M2 avec la bénédiction de Cahenzli et de Beschizza, les destructeurs enfin démasqués des quartiers pavillonnaires !
Avant que ces riverains se retrouvent involontairement placés devant le fait accompli de la construction de deux pavillons alors qu’ils pensaient naïvement qu’il ne s’agissait que d’un seul à construire à l’emplacement du pavillon ancien, cette parcelle disposait d’une étendue de terre pleine gazonnée et arborée d’un magnifique figuier et de quelques arbustes de haie le long de sa clôture est. Bien évidemment, figuier et haie vive ont été détruits pour laisser place au béton, rien que du béton sur quasiment toute la surface de la parcelle !
Ce panneau prouve son irrégularité puisque sa fonction est d’informer les tiers pour qu’ils puissent s’opposer aux projets qui ne seraient pas conformes à l’identité et à l’esprit du quartier ou qui pourraient leur occasionner des préjudices. Si les riverains ne voyaient pas d’inconvénient à la construction d’un pavillon, ils n’ont jamais été d’accord pour la construction d’un deuxième. Il y a donc bien eu tromperie délibérée du maître d’œuvre qui n’a pas informé correctement les riverains.
Ci-dessous, vue sur toute la parcelle en cours de bétonnage avec construction de la dalle du deuxième pavillon. En fait le pavillon ancien du fond a été rénové et surélevé d’un étage. Il sera ensuite camouflé par le second pavillon en construction. A la place du sol bétonné, imaginez une pelouse avec des arbustes de haie sur le côté et un figuier planté !
Comment en zone UG est-il possible à des élus d’accorder sans états d’âme ni scrupules de tels permis qui contreviennent totalement aux quelques et dernières mesures environnementales réduites à portion congrue, et qui fait pourtant obligation dans tous les cas de laisser 40 % du terrain en terre pleine ? N’est-ce pas là se moquer des Aulnaysiens, les mépriser ouvertement, détruire sans droits leur environnement et leur qualité de vie et les trahir manifestement en leur occasionnant des préjudices irréversibles et sur le long terme ?
Tout ce massacre au béton, non pas pour un particulier qui aime la nature et respecte la spécificité du quartier, mais pour une SCI nommée » Bellevue » qui va faire de l’argent et du profit en détruisant la totalité du jardin qui est pourtant une composante incontournable du pavillon de banlieue, et qui va entasser plusieurs familles dans ce qui est devenu des clapiers à lapins avec l’apparence extérieure de deux pavillons sans aucune verdure, végétation ni arbres ?
Le droit des tiers n’est-il donc pas opposable à ces abus de droit dans les permis de construire accordés par des élus gravement autistes aux aspirations des citoyens pourtant régulièrement manifestées dans les réunions et dans les commentaires des blogs locaux ?
L’équipe municipale actuelle réélue avec seulement 8384 voix sur les plus de 86 000 habitants que compte la ville, va-telle continuer indéfiniment à ignorer la grogne et l’exaspération qui monte parmi les administrés depuis des années ? Peut-on encore parler de démocratie dans une ville où l’expression citoyenne est sévèrement réprimée par des procès-baillons inutiles et coûteux financés avec l’argent du contribuable qui ferait mieux d’être utilisé dans les services aux Aulnaysiens ?
La Rue Fernand Herbaut et l’impasse des marronniers qui sont désormais remplacés par des immeubles imposants et disproportionnés par rapport à l’environnement pavillonnaire existant respectent-ils le droit des tiers à ne pas voir dévaluer leur patrimoine et abimer leur cadre de vie ? Ces personnes lésées dans leurs droits et préjudiciées ont elles été dédommagées par les promoteurs immobiliers qui vont retirer des profits de ces opérations immobilières ?
Ci-dessus l’Immeuble Verrechia en construction rue Fernand Herbaud, excessivement étroite, qui surplombe, étouffe et écrase les pavillons que l’on aperçoit au loin. Vous noterez au passage cette sale manie de nos élus qui continuent d’autoriser des balcons surplombant des trottoirs pourtant étroits, alors que sous Ségura tous les participants aux réunions sur le PLU avaient demandé à ce que ces balcons soient en recul et non au dessus de l’espace public. Ils avaient exigé également que les immeubles qui se construisaient soient en alignement avec les constructions environnantes.
Le point de vue des citoyens et des administrés Aulnaysiens n’a jamais été pris en considération ni respecté sous Segura et cette politique sourde aux souhaits et aux aspirations des habitants se perpétue sous Beschizza et Cahenzli ! Il est manifeste que cette équipe municipale ne sert que les intérêts des promoteurs immobiliers, mais absolument pas ceux des administrés qui assurent pourtant leurs confortables indemnités tout en voyant concomitamment se dégrader leur qualité de vie et leur environnement !
La rue Anatole France est tellement étroite que les immeubles Verrechia qui y sont construits sont ressentis comme une agression physique, visuelle et même matérielle puisqu’ils engendrent d’incroyables problèmes de circulation et de stationnement à tous les Aulnaysiens !
Il n’est pas un quartier de la ville qui ne soit désormais épargné par cette « bétonnite » aigue qui enrichit les promoteurs et leur déroule le tapis rouge.
Aulnaysiens, indignez-vous !
Article rédigé le 27 mars 2021 par Catherine Medioni
Non-respect du PLU à Aulnay-sous-Bois concernant un projet de construction place du Général Leclerc ?
Non-respect du PLU (Plan Local d’Urbanisme) ? Total des pertes à la ville estimées pour deux (02) projets à plus de 96.000,00 euros.
- Les commentaires sur les permis de construction N° : PC9300516C0063 : 1, Place du Général Leclerc 93600 Aulnay Sous Bois
Et PC9300516C0090 : 3, Place du Général Leclerc 93600 Aulnay Sous Bois Aucun article du PLU n’a été respecté !!! - Constatations : Les permis de construire indiqués, ci-dessus, ne respectent aucune règle d’urbanisme. Je me pose la question, comment ils sont accordés !!!
- Des erreurs sur les arrêtés de permis de construire délivré par le Maire au nom de la commune, un mélange entre l’arrêté du permis n° PC9300516C0063 et l’arrêté du permis n° PC9300516C0090.
- Le contenu des deux arrêtés sont les mêmes pour deux projets de construction différents (voir page 04 du PC9300516C0090 et la page 06 du PC9300516C0063) !!
- ARTICLE UA 12 – OBLIGATIONS IMPOSÉES AUX CONSTRUCTEURS EN MATIÈRE DE RÉALISATION D’AIRES DE STATIONNEMENT (voir les pièce jointes de la page 7, 8, 9 et 10). -Le projet est situé à plus de 500 m de la gare c-a-d hors du périmètre de 500 m de la gare, alors il ne bénéfice pas de l’avantage de l’article L 152- 6 -4 (page 9 et 10) pour une dérogation !!! (Voir les pièces jointes page 11, 12 et 13).
- Vu l’application de l’article L 152-6-4, alors une nécessité s’impose à justifier les aires de stationnements.
P a g e 2 | 17
- Un manque à gagner pour la ville : Vu que les projets sont situés en dehors des 500 m du périmètre de la gare, une contribution aurait dû être versée à la ville pour la réalisation des aires de stationnements publics.
- Si on prend le prix du stationnement en 2008 = 16000 euros – 4 logements crées pour le projet : 3 place Général Leclerc (64.000 euros)
- 2 logements créer pour le projet : 1 place du Général Leclerc (32.000 euros) c-a-d un total de 96.000,00 euros manque à gagner pour la ville. Ce qui permettrait de financer une partie du projet de création des stationnements, rue des écoles réalisé par la ville en 2017.
- Aucun document de l’accessibilité handicapée dans le dossier, Vu que c’est une nouvelle création des logements et le bâtiment reçoit du public (présence de la pharmacie et pressing au rez de chaussée).
- Aucun document concernant la sécurité incendie dans le dossier, Vu que le bâtiment reçoit du public (présence de la pharmacie et du pressing au rez de chaussée). •
- Aucune étude de sol dans le dossier « il existe que l’attestation d’architecte » (voir la pièce jointe page 14), suite à la surface crée est supérieure à 40 m², vu la porte d’entrée du bâtiment de 90 cm de largeur qui ne permet pas l’entrée de la plus petite machine de sondage pour une profondeur de plus de 50 m. La vue satellite que j’ai fait, plus le plan de masse cadastrale montrent clairement qu’il n y’a pas d’accès derrière le bâtiment ce qui me laisse poser la question si l’analyse du sol a été réalisée. Comment la machine de sondage d’environ 1,5 m de largeur au minimum est passée à travers une porte d’une largeur de 90 cm ? Ce sondage permet de savoir si les fondations du bâtiment permettront de supporter le poids de la charge de plusieurs dizaines de tonnes qui constitue un grand danger pour les habitants du bâtiment, les riverains et les constructions voisines.
Remarque : selon le PLU, l’attestation d’architecte peut suffire si l’étude est faite !!! - Aucun document de la RT2012 dans le dossier, Vu que la demande de permis de construire a été déposée après le 1 janvier 2013, l’attestation RT2012 est obligatoire dans le dossier
- Le panneau d’affichage non réglementaire :
- Le panneau est affiché à 4 m de hauteur qui rend sa visibilité et sa lecture de la voie publique difficile (voir les pages 15 et 16).
- Le panneau d’affichage contient des fausses informations notamment la hauteur de la construction déclarée sur le panneau d’affichage est de 10 m par contre les mesures de la hauteur de la construction que j’ai relevé sur place est de 14 m, voir le plan de coupe (voir la pièce jointe page 16 et le plan de coupe page 17)
- Les plans de demande de permis de construire sont inexacts : Voir les façades la construction réalisée en comparaison avec le plan de coupe (page 17)
Source : M. Noureddine HALOUI par rapport au permis de construire disponible ici
Aulnay-sous-Bois 2008 – 2014 : avant et après…
En plus de l’urbanisme qui détruit peut à peu le patrimoine Aulnaysien, la circulation (et le stationnement) est aussi un réel problème dans le secteur centre-nord, déjà bien « martyrisé ». On peut citer par exemple la rue Anatole France, la rue Jules Princet, la rue Jean Charcot, les ponts SNCF, la rue de la Croix-Blanche…Mieux vaut ne plus bouger à partir de 16h !C’était il y a 20 ans à Aulnay-sous-Bois…
Les problèmes liés à l’urbanisme ne datent pas d’hier, et les riverains mécontents d’une construction d’un immeuble en plein milieu d’une zone pavillonnaire se faisaient déjà entendre il y a 20 ans de cela !
Une lettre de l’Association de Sauvegarde et de Défense de l’Environnement d’Aulnay-sous-Bois (ASDEA) atteste de cette révolte, en 1992, face à la construction d’un immeuble Avenue Anatole France. Le permis fut annulé pour non respect du Coefficient d’Occupation des Sols de l’époque (le COS n’existe plus sous l’impulsion de la majorité municipale actuelle et des Verts). L’ASDEA avait réussi ce que nombre d’associations actuelles n’ont pu : gagner un recours face à un promoteur…









