Archives du blog

Oussouf Siby alerte le Maire d’Aulnay-sous-Bois sur l’absence de chauffage dans certaines écoles

Monsieur le Maire,

Je me permets de vous écrire afin de vous faire part d’une préoccupation grandissante parmi de nombreux parents et d’enseignants concernant l’absence de chauffage dans plusieurs écoles maternelle et élémentaires de notre commune.

Au retour des vacances, les enseignantes et enseignants ont constaté que les températures dans les classes sont devenues inconfortables pour les enfants, rendant difficile leur concentration et leur apprentissage.

Plusieurs parents ont exprimé leur inquiétude quant à l’impact que cela peut avoir sur la santé et le bien-être de leurs enfants, particulièrement dans cette période encore fraîche.

Comme vous le savez il est crucial d’assurer un environnement d’apprentissage sûr et confortable pour nos enfants.

Ainsi, je vous sollicite pour que des mesures soient rapidement mises en place afin de remédier à ce problème de chauffage.

Je vous remercie par avance pour l’attention que vous porterez à cette situation et pour les actions qui seront entreprises par les services municipaux.

Dans l’attente de votre réponse, je vous prie d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de mes salutations distinguées.

Oussouf SIBY Conseiller municipal, Conseiller territorial, Président du groupe des élu.e.s socialistes, communistes et citoyen.ne.s

Des travaux réalisés dans l’école Anatole France à Aulnay-sous-Bois

Pendant les vacances de février, les services techniques ont réalisé des travaux d’entretien dans les écoles de la Ville afin d’améliorer le confort des enfants et des équipes enseignantes.

Au groupe scolaire Anatole France les services techniques ont procédé à des travaux de peinture dans le réfectoire de l’école et dans la salle polyvalente.

Conférence sur l’école et la laïcité le 14 octobre à Aulnay-sous-Bois

L’association A.R.T. (Association de Réflexions Traditionnelles), en collaboration avec :

  • Le Grand Orient de France (GODF)
  • La Fédération des Délégués Départementaux de l’Éducation Nationale (DDEN)

Vous invite à une CONFÉRENCE – EXPOSITION sur le thème « Ecole et Laïcité » le samedi 14 octobre 2023 de 16 heures à 18 heures, salle Chanteloup (4 avenue de Nonneville 93600 Aulnay-sous-Bois)

  • Présentation : Olivier RIMBERT (ART)
  • Conférencier : Eddy KHALDI (Président des DDEN)
  • Conclusion : Joël CARON (Conseiller de l’Ordre du GODF)
  • Exposition sur la Laïcité 

L’association de réflexions traditionnelles crée en 1931 à Aulnay-sous-bois à choisi dés sa création la devise  »Raison et Laïcité ». Depuis donc plus de 90 ans ses membres se réunissent deux fois par mois pour échanger ensemble sur les progrès possible afin d’améliorer la situation matérielle et morale de nos concitoyens.

Cette conférence, initiée depuis plusieurs mois est rattrapée par l’actualité. Elle se veut pédagogique et permettra un échange constructif.

En parallèle, une exposition sur l’histoire de la Laïcité, sera à votre disposition. Elle est destinée aux parents, enseignants et élevés. Mais aussi à tout ceux qui sont attachés aux valeurs de la république.

Interdiction des abayas à l’école, quel impact pour Aulnay-sous-Bois ?

Le nouveau ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse, Gabriel Attal, l’a annoncé : fini le port de l’abaya à l’école ! Pour mettre fin à un flou juridique, le jeune ministre Macroniste a frappé du poing sur la table et demande aux écoles, collèges et lycées publics de refuser l’accès aux femmes qui portent ce vêtement.

L’abaya est une longue robe qui cache les formes des femmes et qui est originaire du Moyen-Orient. Depuis plus de 18 mois, on constate une multiplication des cas du port de ce vêtement. Les filles qui le portent estiment qu’il s’agit d’un vêtement culturel et non religieux, mais des experts estiment le contraire.

A Aulnay-sous-Bois, est-ce que cette annonce va provoquer l’ire d’une partie de la jeunesse ?

Le harcèlement scolaire, un fléau sous-estimé et des parents livrés à eux-même ?

Il y a quelques jours, un petit garçon de 10 ans, du nom de Thibault, a mis fin à ses jours. Scolarisé dans une école de Montbrison (Auvergne – Rhône Alpes), il subissait un véritable harcèlement à l’école, tant moral que physique. Insulté, martyrisé, brutalisé, il est même revenu un jour avec une main cassée.

Face à ces brimades, la mère a tout naturellement contacté le responsable de l’établissement, qui lui aurait rétorqué qu’elle « couvait trop son fils ». Finalement, rien ou presque rien n’a été mis en place, et le drame – qui aurait pu être évité – a touché de plein fouet la famille du petit garçon.

Le cas de Thibault n’est pas isolé : d’autres enfants se sont suicidés, alors scolarisés en primaire ou au collège, faisant la une des journaux locaux, puis sombrant dans l’oubli. Quels outils pour éviter ces drames ? Certains évoquent que les enfants harcelés doivent tout simplement changer d’école. Dans d’autres cas, les parents d’enfants victimes prennent le taureau par les cornes et, telle la loi du talion, vont effectuer des représailles ciblées contre les enfants bourreaux, allant de la menace au tabassage en règle. Une méthode qui fonctionne parfois, mais qui peut engendrer des poursuites judiciaires, allant jusqu’à la prison.

Et vous, l’un de vos enfants a-t-il subi des brimades à l’école ? Quelles ont été vos réactions et comment la situation s’est apaisée ? En tout cas, ce n’est pas en ne faisant rien et en excusant l’inexcusable chez les enfants bourreaux que la situation va s’améliorer…

4 millions pour l’école Fontaine-des-Près à Aulnay-sous-Bois

La Ville d’Aulnay-sous-Bois poursuit son plan pluriannuel d’investissement pour la rénovation de nos écoles.

Après la livraison de 4 écoles neuves ou rénovées depuis 2019, la ville va lancer en 2024 l’agrandissement de l’école Fontaine-des-Prés pour un coût de près de 4 millions d’euros.

Table ronde à Rosny-sous-Bois sur l’inclusion des enfants en situation de handicap le 18 mars

Le dispositif législatif qui visent à aider et protéger les personnes en situation de handicap et notamment les enfants se veut protecteur : la loi de 2005 en particulier a affirmé haut et fort le droit à la scolarisation en milieu ordinaire de tous les enfants en situation de handicap et organisé une série de dispositifs innovants mis en place notamment au travers des Maisons départementales (MDPH) ; la Convention Relative aux Droits des Personnes Handicapées de 2007, publiée en France par décret en 2010, pose un certain nombre de principes, dont celui de « la non-discrimination » et de « l’acceptation des personnes handicapées comme faisant partie de la diversité humaine et de l’Humanité ».

Mais, s’il est important d’affirmer des droits, encore faut-il qu’on agisse pour qu’ils deviennent effectifs. Or il reste en France aujourd’hui un fossé entre les droits et la réalité. Comme en témoignent les situations difficiles, voire les situations d’exclusion et de violence (physiques, psychologiques ou institutionnelles) que subissent nombre de familles et d’enfants en situation de handicap. Et l’insuffisance des moyens qui sont dévolus à leur accompagnement.

Une femme condamnée pour avoir dirigé une école non-déclarée et insalubre à Aulnay-sous-Bois

Des enfants de trois à six ans étaient pris en charge, pour leur proposer des activités de peinture, de musique ou l’apprentissage. « On leur enseignait plusieurs domaines », détaille Amara. Enseigner, comme dans une école ?, rebondit la présidente du tribunal. « Non, pas vraiment », hésite Amara. « On leur apprenait des choses, mais je n’ai pas les compétences d’enseignantes et n’en ai pas les capacités », ajoute-t-elle sans détour.

Pourtant, comme le fait remarque la présidence, le fonctionnement de l’association s’apparentait fortement à une école : des évaluations étaient proposées, le calendrier était calqué sur celui de l’Education nationale et le nom même de l’association portait la mention école. « On l’avait appelé ‘école’ sans réfléchir, mais on n’avait pas du tout cette vision », raconte Amara. Mère de plusieurs enfants, elle avance que  « tout ce que je voulais, c’était me rapprocher de mamans et m’occuper d’enfants. »

Des locaux insalubres

En juin 2020, son établissement est visité par l’inspection nationale. 48 élèves sont alors présents. Lors de la visite, un état insalubre des lieux est constaté, avec des câbles dénués à portée des enfants. Des conditions qui entrainent la fermeture immédiate des locaux.  

Des démarches de légalité ont été entamées, explique Amara. « J’ai tenté d’ouvrir un compte en banque au nom de l’association, mais cela m’a été refusé ». Dès lors, toutes les opérations de l’établissement se font en liquide. Amara déclare amasser au nom de l’association 6500 euros par mois, après déduction du loyer.

Source et article complet : Actu.fr

Vers une nouvelle grève dans les écoles le 20 janvier 2022 ?

« Nous n’avons pas été entendus« . C’est le message envoyé par la FSU, via son Karim Bacha, directeur d’une école élémentaire à l’Île-Saint-Denis et représentant du SNUipp-FSU 93. Joint par France Bleu Paris, lance un nouvel appel à la grève pour jeudi 20 janvier dans le département. « Les promesses sont largement insuffisantes, quelques masques par enseignants, éventuellement des reports des évaluations CP ou des reports des épreuves du bac de mars. Des promesses de recrutement de contractuelles dont on sait déjà qu’elles ne seront pas honorées car nous savons qu’aujourd’hui les rectorats ne parviennent pas à recruter », ajoute Karim Bacha, insatisfait des mesures annoncées après la grève massive du 13 janvier dernier.

Source et article complet : France Bleu

Le protocole sanitaire modifié à l’école pour faire face à la vague Omicron

Cet allégement intervient alors que 9202 classes sont fermées dans tout le pays, un chiffre au plus haut depuis le printemps dernier.

Tests, maintien des élèves à l’école… on fait le point sur ce qui change. 

Le cycle de tests simplifié

La principale mesure concerne les tests. Auparavant, tous les élèves devaient faire un test antigénique en cas de contamination dans leur classe, puis un autre à J+2 et un autre à J+4. Si un enfant était alors testé positif à ce moment-là, tout le cycle était à refaire pour tous. 

A présent, comme l’explique le protocole sanitaire mis à jour, « le cycle de dépistage ne redémarre que si le second cas confirmé a eu des contacts avec les autres élèves après un délai de sept jours suite à l’identification du premier cas ». 

Voici donc à quoi ressemble le schéma du dispositif : 

  • J0 : information de la survenue d’un cas confirmé ;
  • J0 : réalisation du premier test ;
  • J2 : réalisation du premier autotest ;
  • J4 : réalisation du second autotest ;
  • A compter de J7 : si un nouveau cas positif apparaît le cycle de dépistage doit être mise en œuvre (test antigénique ou PCR puis autotests)

Source et article complet : Actu.fr