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2 jeunes condamnés à la prison et 7 acquittés suite au meurtre de Dalil à Aulnay-sous-Bois

Le principal accusé a été condamné à douze ans de réclusion criminelle et un autre, mineur, a écopé de cinq ans de prison pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Sept autres prévenus ont été acquittés par la cour d’assises.

La cour d’assises de Seine-Saint-Denis a condamné jeudi deux jeunes d’une cité et acquitté sept autres pour la mort accidentelle d’un des leurs en marge de rixes nocturnes avec un quartier rival en 2018, fustigeant une enquête « très très incomplète ».

Le principal accusé a été condamné à douze ans de réclusion criminelle et un autre, mineur, a écopé de cinq ans de prison pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

Ils ont été les seuls reconnus coupables d’avoir participé à l’attroupement dans la cité de l’Europe d’Aulnay-sous-Bois qui, dans la confusion de la nuit, a lynché un jeune qu’ils pensaient venir de la cité voisine et rivale des 3.000, alors qu’il s’agissait d’un de leurs amis.

Source et article complet : BFM TV

9 jeunes jugés pour avoir tué par mégarde leur ami Dalil dans la cité de l’Europe à Aulnay-sous-Bois

Neuf jeunes d’une cité de Seine-Saint-Denis sont jugés depuis ce jeudi aux assises des mineurs pour une tragique méprise : le meurtre en 2018 d’un des leurs, pris par erreur pour un membre de la cité rivale. Ils encourent jusqu’à trente ans de réclusion criminelle.

« Arrêtez c’est Dalil, bande de cons ! » Neuf jeunes d’une cité de Seine-Saint-Denis sont jugés depuis jeudi aux assises des mineurs pour une tragique méprise: le meurtre en 2018 d’un des leurs, pris par erreur pour un membre de la cité rivale en marge de rixes nocturnes de quartiers.

Leur procès s’est ouvert ce jeudi matin au tribunal judiciaire de Bobigny et le huis clos a été ordonné en raison de la minorité de deux des accusés à l’époque des faits, ont indiqué des avocats. L’audience doit durer deux semaines, le verdict est attendu autour du 28 octobre. Cité de l’Europe à Aulnay-sous-Bois, 5 juin 2018, autour de 23h. Les esprits sont chauffés à blanc, les corps remontés à bloc. L’éclairage public ne fonctionne plus depuis des semaines et la nuit plonge dans le noir le quartier en proie au trafic de drogues.

Source et article complet : Charente Libre

Meurtre d’un adolescent en Seine-Saint-Denis

Les faits se sont déroulé lundi soir rue de Noisy le Sec aux Lilas,  dans un quartier pavillonnaire en présence de quelques jeunes selon une source policière qui écarte pour l’instant un homicide lié aux phénomènes de bande.  La victime qui est un adolescent de 16 ans originaire de Bagnolet, n’a malheureusement pas survécu au coup de couteau qui lui a été plongé au niveau de la poitrine. Le suspect présumé quant à lui réside aux Lilas.

« Vers 19 heures, les policiers ont été appelés pour un jeune blessé sur la voie publique. Quand ils sont intervenus, le jeune garçon était toujours en vie. Il a été transporté dans un état grave à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière en urgence. Malheureusement, il a succombé à ses blessures », détaille une source policière.

La victime se trouvait alors avec deux amis qui ont déclaré  qu’ils  :  » rentraient du foot quand ils ont croisé ce jeune de 17 ans en Vélib, dans une ruelle. Il a engagé la conversation en leur demandant où ils allaient. Les trois amis ont dit qu’ils rentraient chez eux. L’agresseur les aurait alors insulté avant de descendre de son vélo et de porter un coup de couteau à l’un des trois garçons. »

Des témoins ont donné un signalement aux enquêteurs détaillant la tenue vestimentaire et le profil de l’auteur présumé des faits. Les policiers ont donc recherché un jeune homme de type nord africain vêtu de noir Ce dernier, âgé de 17 ans, a été rapidement interpellé alors qu’il circulait en Vélib  et le couteau a été retrouvé.

Le  parquet de Bobigny saisi de l’affaire a révélé ce matin  qu’un adolescent de 17 ans, suspecté d’en être l’auteur, a été interpellé vers 20H lundi et immédiatement placé en garde à vue, peu de temps après les faits, alors qu’il se trouvait sur un Vélib.

Les deux adolescents impliqués dans ce drame sont inconnus des services de police. L’enquête a été confiée à la police judiciaire du département.

Article  rédigé  le  21  Septembre  2021  par  Catherine  Medioni

Le meurtre de Tremblay-en-France serait lié au trafic de drogue, comment mettre fin à ce fléau ?

Un jeune homme de 22 ans qui avait toute la vie devant lui a été assassiné dans une rue paisible de Tremblay-en-France par des individus qui ont foncé sur lui en voiture avant de l’achever à coups de couteau. 

Ce nouveau drame a choqué toute une ville, mais aussi un département qui tente désespérément de se débarrasser de l’image qui lui colle à la peau. Selon les premiers indices qui restent à confirmer, il s’agirait d’un règlement de compte sur fond de trafic de drogue. Des cartels se partagent le territoire et des affrontements sont fréquents. Ce trafic est non seulement dangereux pour les consommateurs (dépendance, mort, santé détériorée, bouffées délirantes…), mais aussi pour la quiétude des habitants qui conchient autant les trafiquants que ceux qui consomment cette dope.

Comment mettre fin à cette tragédie ? L’adage dit que s’il n’y avait pas de consommateurs de drogue, il n’y aurait pas de trafic et donc pas de victimes. Il y aurait moins de dépendance, les services hospitaliers seraient moins surchargés et la France certainement plus productive.

A l’image de celles et de ceux qui accusent les non-vaccinés d’égoïsme et d’inconscience, cette qualification ne pourrait-elle pas s’appliquer aux consommateurs de drogue qui enrichissent et renforcent les trafiquants, qui peuvent se développer, d’armer et devenir encore plus dangereux ? Celles et ceux qui ne comprennent pas que les non-vaccinés pourraient prendre rendez-vous via Doctolib pour une injection peuvent-ils comprendre que les drogués ne contactent pas les services spécialisés dans la désintoxication et la lutte contre les dépendances ? 

Et si on se mettait à lutter efficacement contre le trafic de drogue pour mettre fin à ce climat de terreur dans certains quartiers ? Après le « tous vaccinés, tous protégés », pourrions-nous avoir un slogan de style « sans stupéfiants, sans trafiquants » ?

Un jeune homme renversé par une voiture puis poignardé à mort à Tremblay-en-France

Au milieu de l’après-midi aujourd’hui, un homme de 22 ans a été volontairement percuté par un véhicule puis poignardé à mort pour un raison indéterminée. Il était avec un groupe d’amis quand des individus sont arrivés à vive à lure à bord d’un véhicule pour le culbuter. Les secours sont arrivés rapidement sur place mais n’ont pas pu ranimer la victime.

Selon Le Parisien, le surnom du jeune homme était Détroit 93 TR.

Le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza rend hommage à la policière Stéphanie tuée par le terroriste à Rambouillet

Ave la première adjointe Séverine Maroun, le Maire Bruno Beschizza s’est rendu cet après-midi auprès des policiers municipaux d’Aulnay-sous-Bois qui ont observé une minute de silence en hommage à Stéphanie, policière nationale assassinée vendredi à Rambouillet. Ce meurtre a secoué la France entière compte-tenu des circonstances et du fait que le terroriste n’aurait jamais dû se trouver sur le territoire Français compte-tenu de son arrivée illégale.

Encore un homme poignardé à mort en Seine-Saint-Denis, un suspect interpellé

C’est fois-ci, c’est dans la coquette ville de Pantin que le drame a eu lieu. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’attaque aurait eu lieu entre 6h30 et 7h30 ce dimanche matin. L’homme a reçu plusieurs coups de couteau et est mort de ses blessures. Un suspect a été appréhendé et mis en garde-à-vue. Les motifs et les circonstances du meurtre restent encore flous.

Un homme tué à bout portant à Aulnay-sous-Bois !

Illustration

Un homme âgé de 26 ans a été tué par balle mardi à Aulnay-sous-Bois et les auteurs des tirs étaient en fuite, a appris l’Agence France-Presse (AFP) de sources proche de l’enquête et judiciaire.

Les faits se sont déroulés vers 18h, en pleine rue. La victime a été retrouvée par la police en arrêt cardio-respiratoire et présentait cinq impacts de balles, selon une source proche de l’enquête.

Le jeune homme a été transporté à l’hôpital privé de l’Est Parisien à Aulnay-sous-Bois et a été déclaré mort vers 19h30.

Un autre individu blessé au niveau des jambes

La police a été alertée par un appel indiquant que des personnes avaient fait usage d’une arme à feu avant de prendre la fuite à bord d’une voiture.

« Le véhicule ayant permis la fuite des auteurs était retrouvé vide d’occupants. Des traces de sang et 14 étuis percutés de calibre 9mm étaient découverts sur place », a indiqué une source proche de l’enquête.« 

Une autre personne a été blessée par balle au niveau des jambes et prise en charge par les secours.

Le contexte de l’homicide reste à préciser, a indiqué le parquet de Bobigny. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis.

Source : BFM

Aymane a été tué par son ancien pote Walid et son grand-frère Mohamed pour une simple rivalité

Vendredi 26 février en début de soirée, BFMTV annonce qu’« un adolescent de 15 ans a été abattu à Bondy »; « les tireurs sont en fuite ». Les premières images, en direct de la ville populaire de Seine-Saint-Denis, montrent le lieu du crime, la maison de quartier Nelson-Mandela. Walid, 17 ans, est devant l’écran. Blême. « Il a appris la mort d’Aymane par la télé », raconte Fatiha ( NDLR : le prénom a été changé ), 25 ans, sa sœur aînée qui l’accueille pour le week-end. L’ado qui a cessé de respirer est son camarade de boxe et ancien pote de collège, avec qui il était en conflit depuis une bonne année.

En arrivant chez Fatiha, Walid avait seulement évoqué une « bagarre », sans entrer dans les détails. C’était bien plus grave que ça. Lui et son demi-frère Mohamed, 27 ans, sont, en réalité, soupçonnés du meurtre du garçon tué, vers 17 heures, par balle alors qu’il se trouvait à l’intérieur de l’espace municipal. Les deux frères avaient débarqué à scooter. Puis, le « grand » avait glissé le canon de son arme dans l’entrebâillement de la boîte aux lettres, avant d’appuyer sur la gâchette et d’atteindre Aymane au thorax.

Au dîner, Walid ne mange qu’« une seule bouchée » du plat de pâtes. Il est en boucle : « Non, ce n’est pas possible, on va se réveiller, c’est un cauchemar ! » Nuit blanche. « Il me disait : À chaque fois que je ferme les yeux, je vois la tête d’Aymane », révèle Fatiha, qui a compris progressivement que son « petit frère » était impliqué dans le drame.

Simple jalousie ou harcèlement ?

Les proches de la victime évoquent une rivalité née sur le ring entre Walid et Aymane, tous deux boxeurs dans un club de kickboxing. Selon eux, le premier « enviait » le second, sacré champion d’Ile-de-France et qualifié pour les Championnats de France. « Aymane avait des capacités que l’autre n’avait pas », compare Ahmed, le papa endeuillé.

Cette jalousie sportive aurait ensuite dégénéré en une baston de rue filmée au smartphone, avant d’être partagée. « Aymane l’a défoncé, Walid n’a pas digéré, il s’est senti humilié », décryptent deux amis du défunt. « Les réseaux sociaux mènent à la surenchère, tout le monde y va de son mot blessant », alerte un élu du coin.

En découvrant la vidéo, le grand frère de Walid aurait eu « la rage », avec le sentiment que les siens ont été « déshonorés ». Alors, il s’en serait mêlé, assénant un coup de matraque à la tête d’Aymane qui « avait dû être hospitalisé ». « C’était de la fierté mal placée », conclut un trentenaire. « Un conflit d’ego », valide un quadragénaire. « Depuis deux trois mois, c’était du harcèlement », avance un « bon copain » du disparu.

Source et article complet : Le Parisien

Alisha, nouvelle victime d’un harcèlement à Argenteuil qui s’est traduit par un meurtre par deux lycéens

@DR

L’émotion est vive au Lycée Cognacq-Jay d’Argenteuil. Alisha n’avait que 14 quand elle fut sauvagement battue par deux de ses camarades lycéens sur les berges de la Seine, avant d’être probablement jetée dans l’eau. L’adolescente a été retrouvée sans vie dans l’eau par la police fluviale. C’est la mère de l’un des assaillant (le garçon de 15 ans) qui a donné l’alerte à la police après que son fils ait avoué son forfait. Mais il était déjà trop tard.

Les deux protagonistes ont pris la fuite mais ont rapidement été retrouvés dans un appartement de Saint-Denis, chez un ami. Selon les premiers éléments de l’enquête, Alisha était harcelée dans son lycée avec des vidéos intimes d’elle véhiculées sur les réseaux sociaux. La protagoniste aurait réussi à pirater son compte Snapshat et à retrouver des vidéos et photos où on voyait Alisha dénudée. Ces photos et vidéos ont été partagées sur Internet, ce qui aurait causé l’outrage d’Alisha. Tout cela se serait terminé en pugilat, avant que l’agresseuse et son petit ami ne décident de faire une expédition punitive.

Le lycée était informé du harcèlement et devait convoquer les personnes concernées. Finalement, le drame est arrivé et tout un secteur est bouleversé.