Archives de Catégorie: Education

Covid-19, la ville d’Aulnay-sous-Bois va distribuer 28000 masques aux écoliers ce lundi

Suite au reconfinement décidé par Monsieur le Président de la République, le Ministère de l’Education Nationale a produit un nouveau protocole sanitaire qui sera en vigueur dans toutes les écoles à partir du lundi 2 novembre 2020. Ce protocole prévoit le port du masque obligatoire pour tous les élèves à partir de 6 ans. L’Etat a précisé que ces masques seront à la charge des parents.

Compte tenu de la soudaineté de cette annonce et dans l’intérêt des enfants, la Municipalité a décidé de fournir à chacun des élèves d’Aulnay-sous-Bois des masques de protection en tissu lavables et réutilisables. En raison des délais importants de production, seuls élèves de CP et de CE1 auront des masques en tissu dès ce lundi. Pour les autres élèves, 4 masques chirurgicaux jetables seront distribués lundi. Ensuite, dès jeudi, deux masques en tissu lavables et réutilisables seront distribués pour chaque enfant.

La Municipalité et les agents de la Ville restent pleinement mobilisés dans la gestion de cette nouvelle étape de la crise sanitaire.

Mise en place d’un accueil périscolaire lundi 2 novembre à Aulnay-sous-Bois pour commémorer Samuel Paty

Un aménagement au niveau de l’accueil périscolaire sera effectué lundi 2 novembre au matin pour permettre aux enseignants de rendre un hommage à Samuel Paty, sauvagement assassiné pour avoir partager des caricatures de Mahomet.

Une journée à l’école musulmane Bougainville d’Aulnay-sous-Bois

@Le Parisien

Créée il y a trois ans, l’école Bougainville, hors contrat avec l’Education nationale, accueille 180 élèves, de la petite section au CM1. Reportage.

«Je vous préviens, ici on récite le Coran, et on dit Bismillah. Peut-être même que les enfants vous diront Salam Aleykoum.» Sourire en coin, le directeur de l’école Bougainville, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), ouvre le portail de son établissement, ce mardi 13 octobre, à 8 heures.

Dans dix minutes, 180 enfants, de la petite section au CM1, vont s’engouffrer dans les classes de cette école privée musulmane ouverte il y a trois ans, en plein cœur de la cité de la Rose-des-Vents. «Je taquine, argumente le maître des lieux, qui préfère que son prénom ne soit pas cité. Mais ce n’est pas naturel d’ouvrir les portes d’une école à un journaliste. Et vu le contexte de détestation des musulmans, on est en droit d’être un peu méfiant!»

L’homme fait référence, notamment, à la perquisition opérée début octobre par des policiers à la mosquée Omar, à Paris, en plein cours d’arabe, devant des enseignants et des élèves. L’opération avait déclenché un tollé au sein des associations cultuelles. La semaine dernière, c’est une école clandestine qui a été fermée à Bobigny, nourrissant, selon bon nombre de responsables associatifs, «des amalgames» sur les écoles privées.

« Nous sommes représentatifs de la plupart des écoles musulmanes de France »

Bougainville n’est pas une mosquée, ni une association des cours du soir : c’est une école privée confessionnelle hors contrat avec l’Education nationale — c’est-à-dire déclarée. Il y en a 980 comme elles en France, une majorité écrasante d’obédience catholique. En 2015, on dénombrait une trentaine d’établissements privés musulmans.

«Nous sommes représentatifs de la plupart des écoles musulmanes de France», dit son directeur. Mais, «avec l’ambiance actuelle, le discours gouvernemental sur le séparatisme qui vise essentiellement les musulmans, notre hantise est de voir débarquer des policiers pour un contrôle devant des élèves, une perquisition qui se baserait sur on ne sait pas trop quoi et qui aboutirait à une fermeture», analyse une professeure.

La plupart des maîtresses portent le voile

Ce matin-là, il pleut. Les dix classes, en rang dans la cour, attendent que leur enseignante donne le feu vert pour monter dans leur salle. La plupart des maîtresses portent le voile, une poignée de fillettes aussi. «Dans une école musulmane, ça ne devrait pas surprendre», note une enseignante. On distribue du Salam Aleykoum à qui l’on croise. Même aux visiteurs d’un jour. Même au journaliste. «La politesse, cela fait partie de l’islam. Les valeurs, c’est fondamental, c’est même le plus important de mon point de vue», estime le directeur, qui s’auto-qualifie de «conservateur».

Au programme pour les CP de Sabrina ce jour-là : lecture, écriture, récré, grammaire, sciences sous forme d’une discussion intitulée «Questionner le monde», pause déjeuner, puis sortie au parc sur le thème de l’automne.

Source et article complet : Le Parisien

Pétition du lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois : des conditions humaines et matérielles suffisantes pour la scolarité de nos enfants !

Pétition à l’attention de

  • Daniel Auverlot, recteur de l’académie de Créteil
  • Valérie Pécresse, présidente de la Région Ile-de-France

C’est dans le contexte de l’après confinement que le Ministère de l’Education Nationale, de la jeunesse et des sports s’est donné, dans sa circulaire de rentrée, « la priorité absolue de consolider les apprentissages des élèves en identifiant leurs besoins et en y apportant une réponse personnalisée ».

Les parents d’élèves du lycée Voillaume souhaitent que ces paroles soient assorties à des actes !

Pour la livraison sous 3 semaines du bâtiment « atelier »

Si nous sommes ravis des travaux engagés au lycée Voillaume, nous le sommes nettement moins de l’impossibilité pour les élèves des filières PRO, des STI2D du LGT et des étudiants en BTS de pouvoir suivre une scolarité normale.

En effet, après un an de retard sur le chantier, le bâtiment où doivent se tenir les cours techniques en atelier a été livré inachevé quelques jours après la rentrée avec des défauts tels qu’ils sont impraticables voire dangereux ! Les anciens locaux sont quant à eux en cours de destruction ce qui annihile toute solution de repli.

Le rectorat de Créteil a récemment informé Le Parisien qu’il « met tout en œuvre pour que les élèves puissent bénéficier des cours nécessaires à leur apprentissage par la priorité mise sur les cours théoriques, un soutien par la création d’un blog dédié et la mise en place d’aides aux devoirs en fin de journée scolaire ». Il affirme également que « les cours en atelier sont dispensés durant trois ans pour les lycéens de la voie professionnelle, et deux ans pour les étudiants de BTS. Cette réorganisation temporaire n’est donc pas bloquante pour la réussite de leurs examens. »

Les parents d’élèves et d’étudiants ne partagent pas cet avis ! Ils ont déjà fait les frais de l’échec des cours à distance durant le confinement et sont toujours confrontés à la fracture numérique.

Les parents d’élèves demandent donc à ce que tout soit mis en œuvre pour que la mise aux normes de ce chantier soit achevée sous trois semaines et que sa livraison ait lieu dès la rentrée des vacances de la Toussaint, soit le 2 novembre prochain.

Pour le remplacement sans délai des professeurs absents

Selon le rapport Cornut-Gentille, « un élève de Seine-Saint-Denis perd en moyenne un an sur sa scolarité en raison de la difficulté à remplacer les professeurs absents ».

Face à ce nouveau baccalauréat qui s’étire sur deux ans de contrôle continu, comment les élèves du LGT et du PRO pourraient-ils être prêts au BAC ?

Selon la FCPE, 20 millions seraient économisés par l’Etat chaque année en ne remplaçant pas les enseignants. C’est inacceptable !

Lorsque l’absence des enseignants dure moins de quinze jours, ce serait à l’établissement de trouver une solution pour les remplacer. Or dans le contexte des plannings difficiles inhérents aux E3C ; de la mise en œuvre de l’aide aux devoirs (pendant les jours de classe et les vacances scolaires) et de la COVID cela est impossible !

C’est dans ce contexte que nous vous demandons de réduire votre délai d’intervention pour remplacer les professeurs absents avant ce délai de 15 jours par tous les moyens possibles : TZR (titulaires affectés sur zone de remplacement) ou enseignants « contractuels ».

Pour signer la pétition, cliquer ici.

L’association des Parents d’Elèves de la Rose des Vents à Aulnay-sous-Bois contre l’école dès 3 ans

Le président de la République a annoncé, ce vendredi, inscrire dans une loi contre le séparatisme, le projet de texte de L’INSTRUCTION OBLIGATOIRE À L’ECOLE POUR LES ENFANT DÈS 3 ANS.

Ce texte sera défendu ce 9 décembre en conseil des ministres par M. Darmanin et Mme Schiappa.
L’ association des parents d’élèves de la Rose des vents (APERDV) se désolidarise de ce projet de loi et ne comprend pas la finalité de cet article législatif.

Nous parents, savons profondément que chaque enfant est différent, chaque enfant a des besoins spécifiques, chaque enfant est unique…
Le moule scolaire de l’Education Nationale ne permet pas l’épanouissement et l’apprentissage optimal de tous les élèves.

Et certains parents ont les compétences, les qualités, la patience et l’énergie capable de permettre à leurs enfants de bénéficier d’une instruction adaptée , respectant leur intégrité et leur personnalité propre.

Les inspecteurs académiques contrôlent déjà chacun de ses élèves en IEF (instruction en famille) pour voir la progression et voir également que les acquis de base soient transmis.

Nous parents , prônons la LIBERTÉ de pouvoir choisir le mode de scolarité pour nos enfants comme c’est déjà le cas et refusons le vote d’une loi autoritaire et arbitraire.

Messieurs le Président et M. Darmanin, Mme Schiappa, laissez nos mamans et papas IEF faire le choix bienveillant pour leurs progénitures.

Source : association APERDV

Ateliers d’anglais pour les enfants

Ateliers d’anglais pour les enfants

Des ateliers d’anglais pour les enfants sont proposés les :

LES MARDI :

* De 17 h à 18 h pour les CE1.

* De 18 h 10 à 19 h 10 pour les CM1

LES MERCREDI :

De 9 h 30 à 10 h 30  pour les Petites sections/ moyennes sections/ grandes sections

Renseignements  et inscriptions :

Cecile Kaminski :

Par téléphone : 06.63.63. 74.34 //

Par mail : Cecileluong@hotmail.fr

Sur site : mini-school.com

Merci à Laura Sanchez, pour l’affiche.

L’école islamique illégale cachée d’Aulnay-sous-Bois racontée par des voisins

C’était une école clandestine, non déclarée, totalement illégale. À Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), 43 enfants, âgés de trois à six ans étaient scolarisés dans le plus grand secret. Fermée en janvier dernier, cette école, voisine d’une mosquée était officiellement une association, dispensant des cours d’apprentissage de l’Islam. En réalité, les enfants y étaient scolarisés quatre jours par semaine. En caméra cachée, les riverains témoignent anonymement de ces allers-retours : « Tous les matins, jusqu’à l’après-midi vers les 16h. C’était toute la semaine. Ça se voyait, les gosses jouaient dans la cour. »

« Personne ne pouvait savoir »

En janvier, un contrôle de la préfecture démasque l’établissement. L’école est soupçonnée d’enseigner une vision fondamentaliste de l’école. « Personne ne pouvait savoir, sauf les services de l’état qui ont fait une enquête, qu’en fait ces enfants au lieu d’avoir un enseignement à domicile, tous les matins étaient emmenés par leur parent dans un lieu qu’ils appelaient école, où ils avaient un programme qui n’avait rien à voir avec le programme de l’éducation nationale« , explique Bruno Beschizza, maire d’Aulnay-sous-Bois. En deux ans, près de six établissements clandestins ou hors contrat auraient été fermés.

Source : FraceInfo

Un livre wahhabite incitant à la haine des non-croyants retrouvé dans une école d’Aulnay-sous-Bois

Dans les exemples abordés, on trouve ainsi le cas d’une école confessionnelle clandestine à Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Lors d’un contrôle, l’établissement a été fermé pour des infractions aux codes de la Santé, de la protection des mineurs et de la construction.

Mais le document précise qu’un livre interdit de publicité par le ministère de l’Intérieur en 2019 pour des « risques d’incitation à la haine ou à la discrimination envers les personnes ne pratiquant pas l’islam wahhabite [promu par l’ouvrage] », a été retrouvé dans une classe de moyenne section, sur une petite table, accessible à tous les enfants.

Source : Europe 1

Le chantier du lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois s’éternise, 700 élèves privés de cours

Des élèves de Seine-Saint-Denis scolarisés en filières professionnelles se retrouvent privés de cours pratiques depuis la rentrée au lycée Voillaume, faute de locaux adaptés pour les dispenser.

Tout neuf, mais inutilisable. Près d’un mois après la rentrée, les équipes enseignantes du lycée Voillaume d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) ne peuvent toujours pas s’installer dans un nouveau bâtiment de l’établissement, pourtant livré début septembre.

Dans un courrier qu’ils viennent d’envoyer à Valérie Pécresse, la présidente (Libres!) de la région Ile-de-France — en charge de la gestion des lycées — et au recteur de l’académie de Créteil, le personnel dénonce les conditions dans lesquelles s’est effectuée la rentrée des élèves de cet établissement accueillant des jeunes en filières générales, technologiques et professionnelles.

« Le bâtiment a été livré inachevé quelques jours après la rentrée, expliquent-ils au Parisien. Le chantier avait déjà un an de retard. Ces nouveaux locaux sont censés accueillir les cours en atelier des lycéens en filières pros et des étudiants en BTS. En bac pro, les élèves suivent à la fois des cours théoriques et des cours techniques en atelier. Jusqu’alors, ces ateliers étaient dispensés dans un autre bâtiment qui va être détruit. Tous les équipements ont été déménagés dans le nouveau, mais en arrivant, on a découvert des salles inutilisables, voire dangereuses. Il y a des fils qui pendent, des installations non terminées, des câbles électriques qui ne mènent nulle part… »

«Danger de mort»

Dans leur courrier, les professeurs évoquent même « un danger de mort » pour les élèves. « Actuellement, de nombreuses boîtes de dérivation 400 volts pendent du plafond à hauteur d’homme au lieu d’être coffrées », écrivent-ils.

D’après eux, 700 élèves scolarisés en bac professionnel seraient ainsi privés de cours. « Mon fils, inscrit en seconde pro systèmes numériques, n’a pas eu un cours en atelier depuis le début de l’année. Cela représente entre 15 et 20 heures de cours par semaine perdues », se désole ainsi une mère de famille, membre de l’association des parents d’élèves du quartier de la Rose des vents, qui a également écrit à Valérie Pécresse pour l’alerter.

Un chantier à 46 millions d’euros

Pour les enseignants, « le non-respect du quota annuel de formation » pourrait « empêcher les élèves et étudiants de pouvoir présenter leur examen final ». « Il y a un vrai risque de décrochage scolaire », pointent-ils.

Source et article complet : Le Parisien

Le problème des professeurs absents au Collège Victor Hugo à Aulnay-sous-Bois est réglé grâce à Bruno Beschizza

Le problème des enseignants non nommés sur le collège Victor Hugo à Aulnay-sous-Bois est désormais réglé !

Selon l’association de parents d’élèves, ce serait Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, qui aurait permis de régler le problème. En effet, l’édile a pris le temps d’écrire au recteur pour défendre le droit à l’instruction des enfants Aulnaysiens.

Source  : Association des Parents d’Elèves de la Rose des Vents