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Objections au Communiqué de la Mairie à propos de Un toit pour elles (1)

Si effectivement l’objectif de l’association est clairement d’acquérir un lieu qui puisse à terme devenir un vrai centre d’hébergement pérenne, adapté aux besoins spécifiques des femmes qui se retrouvent à la rue et accueillant un minimum de 70 femmes, la location de ce pavillon n’était que transitoire et surtout destiné à parer au plus pressé, du fait que nombre des femmes que UTPE a recueillies ne pouvaient l’être dans d’autres centres déjà complets et insuffisants à répondre aux besoins !

Par conséquent ce pavillon loué n’était pas un centre d’hébergement recevant du public compte tenu de l’insuffisance de sa surface habitable, mais un pavillon privé loué avec un bail en bonne et due forme, contrairement à ce qu’affirme la mairie, et remplissant utilement et pleinement sa fonction d’hébergement d’urgence en offrant de ce fait une meilleure situation à ces femmes qui vivaient dans des caves, des portes cochères ou des parkings…

Réfugiées donc dans la maison du cœur qui porte admirablement son nom, ces femmes étaient incontestablement protégées des agressions, des rackets et des viols auxquels elles sont immanquablement exposées dans la rue ! En vertu de l’adage qui affirme que  » de deux maux on choisi le moindre  » La mairie qui se réfugie derrière un mur infranchissable de règles normatives insurmontables pour une ONG, est-elle bien fondée et légitime à condamner de nouveau ces femmes à l’errance générée par l’absence d’adresse fixe et durable en ayant provoqué sans réflexion, sans états d’âme ni considération leur éviction brutale de ce pavillon qui répondait à leurs besoins les plus fondamentaux ?

La mairie qui n’a jamais rien fait pour les femmes de la rue est-elle la mieux placée pour donner des leçons de conduite, de sécurité et de morale à une association qui n’aurait pas besoin d’exister ni d’agir si les pouvoirs publics et la mairie elle-même n’était pas inexistants et défaillants dans la réponse apportée à cette cause ?

UTPE n’a donc compté que sur elle-même, courageusement et bénévolement, pour mettre en place cette solution transitoire du fait que les pouvoirs publics et les collectivités territoriales se désintéressent de cette noble cause et ne cherchent absolument pas à se saisir du problème des femmes à la rue et ni à y apporter des solutions durables pour qu’elles en sortent définitivement !

Il est tout de même un comble que notre équipe municipale réélue avec seulement 8384 voix sur les plus de 86 000 habitants qu’abrite la ville, n’ait jamais d’elle-même mis en place un tel centre, alors qu’elle en a les pouvoirs et les moyens conférés par les impôts que nous payons tous ! Cependant la ventilation du budget abondé par nos contributions financières résulte toujours de choix politiques très éclairants quant aux priorités et aux orientations données à la gestion d’une ville !

Il est désormais clair comme de l’eau de roche que les élus à la tête de notre ville, au lieu de secourir les plus vulnérables et les plus précarisés d’entre nous, préfèrent les accabler et même les assassiner symboliquement avec toutes les apparences de la légalité ! Néanmoins la société civile à laquelle j’appartiens fièrement n’est pas dupe de ces manœuvres déshumanisées et contraires à nos devoirs de solidarité et de fraternité !

 Les actions que nous posons en tant qu’être humain signent toujours les choix que nous faisons avec notre libre arbitre et notre conscience : soit nous choisissons l’entraide, la fraternité et la solidarité, comme dans le cas de cette Organisation Non Gouvernementale dénommée  » un toit pour elles « , soit nous choisissons l’égoïsme, l’individualisme et forcément par voie de conséquence la chasse faite par tous les moyens et même par les procédés les plus vils aux  » indésirables  » incarnée de toute évidence par cette équipe municipale sans humanité et sans cœur !

Car il ne suffit pas de se réfugier derrière l’alibi fallacieux de règles sanitaires et de sécurité qui n’auraient supposément pas été respectées par cette association humanitaire et caritative, pour convaincre la société civile et les Aulnaysiens que la mairie se soucie réellement du sort de ces femmes qu’elle a pourtant délibérément et honteusement renvoyées à leur errance, en rompant abruptement les liens affectifs, amicaux et de solidarité qui s’étaient crées entre elles au sein de la maison du cœur, merveilleusement sécurisée par le travail et la bienveillance de Mohamed Jemal !

Je désapprouve catégoriquement ce qu’a fait la mairie, et je lui décerne un carton rouge !

PAS EN MON NOM !

Article rédigé le 12 avril 2021 par Catherine Medioni

Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, favorable à la ligne 17 du Grand Paris Express

Bruno Beschizza

Parce que la ligne 17, qui va faciliter le quotidien de plus d’un demi-million d’habitants, est la seule ligne du Grand Paris Express à desservir l’Est du Val-d’Oise et le Nord de la Seine-et-Marne, en les reliant à Saint-Denis, alors que ces territoires ont toujours été les oubliés des grands projets d’aménagement.

Parce que la ligne 17 a une vocation résolument sociale en permettant aux habitants du Val d’Oise d’accéder aux emplois le long du RER B et en particulier au bassin de Roissy, alors que le taux de chômage des jeunes dépasse les 35% dans l’Est de ce département. Les habitants des territoires traversés par la ligne 17 auront, grâce à elle, accès à 2,5 fois plus d’emplois et pourront se connecter directement aux lignes 13 et 14 vers Paris.

Parce que la ligne 17 est profondément écologique et qu’en dédoublant une large portion du RER B entre Roissy et Saint-Denis, elle offrira une vraie alternative à la voiture, notamment depuis l’A1.

Parce que nous avons déjà perdu trop de temps, que la concertation sur la ligne 17 s’est déjà tenue, que son utilité publique a été reconnue, et qu’il n’y a pas de plan B pour desservir efficacement ce territoire.

Source : Tribune complète signée par Valérie Pécresse et des élus dont Bruno Beschizza

Condamnation de Beschizza pour procédure abusive et contre-feu ridicule d’Aulnay libre

En réponse à l’article contrefeu du blog Aulnay libre qui n’est ni libre ni indépendant puisqu’il répand la doxa municipale déjà servie dans oxygène, cette image illustre parfaitement la fracture irréconciliable entre une vision politique éculée et mortifère qui encourage le consumérisme outrancier détruisant la planète, ses règnes, ses écosystèmes et ses ressources, et celle proposée par des alternatives politiques et une société civile de plus en plus consciente des enjeux de survie qui se cachent derrière nos choix et la gestion de la planète pour un futur désirable qui ne soit pas compromis par la poursuite des politiques égoïstes et irresponsables qui ont été menées jusqu’à présent !

Voilà que pour faire diversion et occulter la condamnation spectaculaire de Bruno Beschizza pour procédures judiciaires abusives, le blog attaque globalement la gauche en s’emparant des paroles dé-contextualisées du maire de Poitiers, et affirme avec une incommensurable malhonnêteté intellectuelle qu’elle oblitère les rêves d’enfant :

« L’aérien ne doit plus faire partie des rêves d’enfants »

Que ne faut-il pas dire et entendre pour justifier de continuer à polluer la planète par l’aérien alors qu’il pollue beaucoup plus que le parc automobile, qu’il bénéficie essentiellement à ceux qui ont beaucoup d’argent et qui voyagent sans modération avec une emprunte carbone catastrophique à leur actif, laquelle pourtant impacte la qualité de vie de tous ceux qui n’utilisent pas l »avion… ?

Sur notre planète il y a ceux qui, avec humilité et intelligence, comprennent la nécessité d’adopter une  » sobriété heureuse  » et ceux qui à l’instar de cette équipe municipale irresponsable, prônent l’abus sans vergogne de nos ressources pourtant limitées et dans tous les cas absolument pas inépuisables, le bétonnage outrancier qui rogne les espaces naturels et les jardins pavillonnaires de plus en plus réduits à portion congrue dans notre ville alors qu’il lui garantisse sa respiration, la poursuite et l’augmentation du trafic aérien pour satisfaire la suffisance et l’égoïsme d’une minorité d’individus blindés d’argent à ne plus savoir qu’en faire, qui détournent et hypothèquent à leur seul profit la jouissance d’un consumérisme débridé et sans limite qui porte préjudice au reste de la planète entière !

Nous reconnaissons bien là les choix égoïstes et insensés de Beschizza qui est frappé de folie mégalomaniaque et qui se fait la main sur notre ville pour ses projets funestes et calamiteux pour l’avenir des administrés et les impôts de tous. Privés de piscine depuis 2014, celle qui va être construite déplafonne les prévisions budgétaires et ne bénéficiera pas aux plus modestes qui ne pourront en supporter le coût d’entrée.  Autre forme de projet pourtant décrié par les Aulnaysiens, la destruction de nos tilleuls centenaires remplacés par des oliviers en pots brutalement déracinés de leur milieu naturel, une place minéralisée sur un parking a deux niveaux payés par  tous les contribuables et cependant ne profitant qu’aux immeubles avoisinants récemment construits sans parking !

Quand Bruno Beschizza va-t-il enfin comprendre et cesser de dilapider un argent public précieux qui ne lui appartient pas pour des projets mégalomaniaques qui ne profitent pas à la plus grande partie de la ville et qui ne sont pas non plus d’intérêt général ?

Enfin, le bétonnage galopant de notre si jolie ville où il faisait si bon vivre pour y loger non pas des Aulnaysiens, mais de nouveau habitants, augmente le flux automobile, les pollutions sonores et malodorantes, provoque déjà la raréfaction des places de stationnement ainsi que les embouteillages exaspérants que nous expérimentons depuis l’arrivée de Segura puis de Beschizza qui au lieu de freiner la frénésie immobilière carnassière de son prédécesseur, lui a finalement emboîté le pas pour faire pire encore ! 

Quel intérêt trouve donc cette équipe municipale à dérouler le tapis rouge aux SCI immobilières et aux promoteurs immobiliers au détriment des autochtones attachés à la ville qu’ils avaient jusqu’alors tous façonnée avec amour et respect ?  Les Aulnaysiens n’ont jamais été contre la construction de logements, mais fermement opposés à ces immeubles de 5 et 6 étages qui privent de lumière, de ciel et de soleil les habitations environnantes ! ils dénoncent fermement la rupture architecturale et paysagère de toutes ces constructions édifiées sans la consultation des riverains négativement impactés !

Derrière ce massacre irréversible sont légitimement soupçonnés des intérêts financiers, des avantages en nature, des échanges de bons services et des profits mercantiles qui ne bénéficient aucunement aux Aulnaysiens gravement préjudiciés sur le plan patrimonial, mais très certainement aux élus….

Et dernièrement l’autorisation donnée à une SCI immobilière d’artificialiser toute une parcelle en zone UG par la transgression de  plusieurs prescriptions du PLU n’est-il pas la preuve manifeste et matérielle  que notre maire et son équipe ne défendent absolument pas la qualité et la spécificité des zones pavillonnaires ? Ce maire a parjuré son programme de 2014 et nous a bien menti et roulé dans la farine. Cela est factuel et vérifiable et ne constitue en aucun cas une diffamation ou des injures !

 Jusqu’où ira Beschizza dans la destruction de ce qui faisait le charme et la qualité de vie de notre ville qui n’est pas la sienne mais celle des 86 000 administrés qui y résident ?

L’article d’Aulnaylibre n’a pas d’autre fonction que de détourner l’attention du lectorat de la condamnation méritée de Bruno Beschizza pour procédures judiciares abusives et coûteuses. La ficelle est vraiment trop énorme et montre qu’ils savent très bien que leur aura de faux  » bon père de famille  » qu’ils cherchent vainement à nous vendre en bernant activement les administrés se fissure !

Article rédigé les 3 et 4 avril 2021 par Catherine Medioni

Le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza fait appel après sa claque judiciaire face à Hervé Suaudeau

La 17ème chambre du Tribunal Judiciaire de Paris a rendu son jugement dans l’affaire de l’Echo Belge où j’étais accusé dans un article, par un opposant local repris par un journaliste, de « soutenir les imams salafistes ».

Ce jugement rendu en première instance relaxe les prévenus des faits de diffamation publique qui leurs sont reprochés. De façon surprenante, ce jugement considère la procédure comme abusive alors que la diffamation est parfaitement constituée.

Un appel est donc interjeté dès aujourd’hui. Ce jugement n’a plus l’autorité de la chose jugée. La Cour d’appel de Paris statuera dans un nouveau jugement en fait et en droit.

Source : Bruno Beschizza

Le maire d’Aulnay-sous-Bois condamné à 9000 € d’indemnités pour procédure abusive

Bruno Beschizza, maire d’Aulnay-sous-Bois, a été condamné ce vendredi 2 avril 2021 pour procédure abusive. Le Tribunal correctionnel de Paris a considéré que son action en diffamation avait été engagée de « mauvaise foi » et visait à faire taire « toute forme de critique » des blogueurs et opposants politiques locaux.

Bruno Beschizza est maire d’Aulnay-sous-Bois depuis 2014. Proche de Nicolas Sarkozy, il avait été nommé en 2015 secrétaire national de l’UMP aux relations à la sécurité. Depuis le début de son mandat à Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza a intenté plusieurs actions contre des blogueurs et opposants politiques locaux. Ces actions ont été financées par la mairie d’Aulnay-sous-Bois. Jusqu’à ce jour, elles se sont toutes soldées par des échecs.

Le 7 juillet 2017, Bruno Beschizza a déposé une plainte pour diffamation contre Hervé Suaudeau, rédacteur du blog MonAulnay.com, en raison d’un article intitulé « A Aulnay-sous-Bois, « La politique ? Les gens n’y croient plus » », publié dans le journal belge L’Écho. Bruno Beschizza reprochait à Hervé Suaudeau d’avoir déclaré au journaliste de l’Écho : « L’attitude du maire est paradoxale. Au niveau national, Bruno Beschizza affiche sa lutte contre l’islamisme. Au niveau local, il soutient les imams salafistes. ».

Le 2 avril 2021, le Tribunal correctionnel de Paris a relaxé Hervé Suaudeau, ainsi que le journaliste et le directeur de la publication du journal belge L’Écho, estimant que les propos, qui manifestaient l’opinion d’Hervé Suaudeau, n’étaient pas constitutifs de diffamation.

Mais le tribunal a également sanctionné Bruno Beschizza à verser 9000 € d’indemnités aux prévenus, estimant que la procédure était abusive. Pour les juges parisiens, les actions en diffamation de Bruno Beschizza « s’inscrivent à l’évidence dans une campagne de poursuites judiciaires multiples à l’encontre d’opposants et de citoyens investis localement […]. Le conseil de Bruno Beschizza a confirmé à l’audience l’existence de sept autres procédures visant treize blogueurs et opposants politiques, dont certains à plusieurs reprises […]. Bruno Beschizza a été débouté de l’ensemble de ces procédures, pour lesquelles le conseil municipal lui a accordé la protection fonctionnelle […]. La présente procédure n’a pas été diligentée dans le but de protéger les droits de la personnalité de la partie civile, celle-ci soutenant elle-même que le comportement décrit est conforme au droit, mais avec une certaine mauvaise foi dans un contexte de poursuites de toute forme de critique par des acteurs locaux, même dans les limites de ce que la loi autorise. Dans ces conditions, la constitution de partie civile apparaît téméraire et abusive, ce qui commande de condamner la partie civile à verser 3000 euros à chacun des trois prévenus. »

Pour Étienne Deshoulières, avocat d’Hervé Suaudeau, « le tribunal a reconnu que Bruno Beschizza avait agi de mauvaise foi, non pour faire valoir ses droits, mais pour bâillonner ses opposants locaux. C’est une décision importante, dont tous les lanceurs d’alerte pourront se prévaloir ».

Source : Hervé Suaudeau

Bruno Beschizza perd son procès contre les élus de Gauche d’Aulnay-sous-Bois sur la campagne d’affichages prévention SIDA

C’est la fin d’une procédure qui a démarré il y a plusieurs années : Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, a été débouté par la cour de Cassation concernant son attaque sur le groupe d’opposition de Gauche (2014-2020) à Aulnay, ainsi que contre les blogs Aulnay Autrement et Aulnaycap. Il condamné à 2500 €.

Pour Guy Challier, c’est une victoire des élus d’opposition de gauche contre l’arrêté qui interdisait la campagne de prévention sida de 2016.

Dans le même temps, le blogueur et opposant politique Hervé Suaudeau a gagné contre le Directeur Général des Services Philippe Palomo.

Elus bétonneurs, PLU non respecté en zone UG et Riverains excédés à Aulnay-sous-Bois

Cet article va être le 1er d’une série qui va mettre en lumière la malhonnêteté intellectuelle, les compromissions, les impostures et les mensonges de Bruno Beschizza lorsqu’il avait promis lors de sa campagne 2014 de préserver les quartiers pavillonnaires de notre ville du bétonnage et du mitage amorcé par son prédécesseur !

Ci dessous  donc un reportage photo sur plusieurs mois et en plusieurs articles d’un exemple de la densification planifiée de la zone UG organisée traitreusement, fomentée sournoisement et scandaleusement approuvée par l’adjoint à l’urbanisme Denis Cahenzli qui se fait voter de conséquentes subventions pour les pelouses synthétiques du stade du Moulin neuf avec l’argent de tous les contribuables tandis que le patrimoine immobilier et paysager des Aulnaysiens est massacré sous la houlette des permis honteux qu’il accorde et signe, et  par celui que je me permets désormais de nommer le Maire-Coucou Bruno Beschizza qui ne s’est installé sur la ville en 2013 que pour servir exclusivement ses ambitions politiques et  non point pour servir les Aulnaysiens !

La seule petite bande de terre pleine qui restait sur le devant de cette parcelle de 340 M2 située en zone UG et désormais imperméabilisée par deux pavillons qui abriteront chacun plusieurs familles, a été bétonnée la nuit dans la soirée du 24 mars 2021, générant nuisances sonores et troubles du voisinage aux riverains !   Merci Qui ? Merci aux fossoyeurs de l’environnement, de la biodiversité, de la nature et de notre qualité de vie qui NE SONT PAS NEGOCIABLES !

La seule bande de terre pleine qui restait après l’imperméabilisation de toute la parcelle, vient d’être bétonnée et ne permettra pas de végétaliser ni d’arborer la parcelle, pas plus qu’elle n’absorbera les eaux les jours de fortes pluies, qui refouleront chez les voisins !

En 2014, faisant campagne pour ravir la mairie au socialiste sortant Gérard Ségura qui s’était fait une réputation très controversée en raison du bétonnage qu’il tentait par tous les moyens d’imposer, ce Maire-coucou qui s’installe dans le nid des autres à l’image de son oiseau totem, devenu maire de notre ville, en chasse comme vous avez tous pu l’observer avec consternation, les habitants autochtones et d’origine en portant gravement atteinte au droit des tiers de ne pas voir leur patrimoine immobilier dévalué et leurs précieux jardins massacrés sans états d’âme ni scrupules par l’imperméabilisation galopante des sols et la bétonisation outrancière de tout ce qui faisait le charme et la qualité de vie de notre si jolie ville !

Cette destruction funeste est l’œuvre sinistre et traitresse de l’équipe municipale actuelle, qui bien évidemment se garde naturellement d’accorder ce genre de permis à qui oserait le demander pour des terrains à proximité des habitations de nos élus ! N’est-ce pas Denis Cahenzli ? N’est-ce pas Bruno Beschizza ?

Une fois le pavillon du fond rénové et surélevé, la dalle contigüe à la partie terrassée du l’ex-ancien pavillon est en train d’être coulée : aucune bande de terre pleine n’est préservée entre les deux pavillons ! Photo prise le 18 avril 2020

Comme les citoyens de la société civile peuvent le constater et le déplorer, la politique du  » deux poids-deux mesures  » ou du  » pas chez moi, mais d’accord chez les autres  » est un dévoiement de l’action politique et publique, un excès de prérogatives fonctionnelles accompagné d’un manque cruel de concertation avec les principaux intéressés et impactés, qui non seulement ne respecte pas le PLU, mais ne reflètent aucunement la volonté ni les aspirations des résidents de ces quartiers qui s’étaient déjà manifestés en masse dès les années 2010 lorsque Ségura avait pensé avoir le droit d’accorder des permis de construire pour des immeubles de 5 étages en bordure de zone UG à des promoteurs immobiliers !

La mobilisation de tous à l’époque avait fait reculer Ségura et m’a valu quelques années plus tard ce qu’en jargon administratif l’on nomme une  » sanction déguisée  » pourtant prohibée par la loi, pour avoir pris la parole au nom de tous les riverains dans chacune des assemblées réunies pour désapprouver les modifications du PLU qui autorisait cette  » bétonnite  » aigüe ! Ségura n’a pas du tout apprécié d’être publiquement désavoué par les applaudissements nourris que mes plaidoyers convaincants défendant les jardins et la qualité de vie des quartiers pavillonnaires avaient suscités dans toutes les assemblées réunies autour des problèmes engendrés par le nouveau PLU !

Vue de la parcelle depuis le côté, montrant bien l’emplacement du futur deuxième pavillon et le monticule de terre à l’emplacement de ce qui n’aurait jamais être du être imperméabilisé pour être conforme au PLU ! Photo prise le 18 avril 2020

Ces quartiers pavillonnaires qui font la spécificité et le charme d’Aulnay doivent désormais être absolument considérés comme un patrimoine précieux à protéger et à conserver, tant pour la qualité architecturale de certains pavillons, que pour leurs espaces arborés qui assurent absorption des eaux de pluie, maintien de la biodiversité, rafraichissement de l’air lors des canicules et qualité de l’oxygène que nous respirons !

Suite de la mésaventure dans le prochain article.

Article rédigé le 26 mars 2021 par Catherine Medioni

Le non-confinement de la Seine-Saint-Denis est une injustice pour Renaud Muselier (LR)

Alors que la région Provence Alpes Côté d’Azur subit un confinement le week-end, son président LR, Renaud Musulier, estime que le non-confinement de la Seine-Saint-Denis est une graver injustice. Pour lui, compte-tenu du taux de contamination dans le département du 93, le confinement devrait être appliqué. Apparemment, son collègue Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, pense le contraire. Et vous, pensez-vous qu’il s’agisse d’une injustice ?

Bruno Beschizza dit non au confinement devant les journalistes de France 2 à Aulnay-sous-Bois

Cet après-midi, Bruno Beschizza a reçu une équipe de journalistes de France 2 dans le quartier du Gros Saule pour évoquer les difficultés des habitants en ces temps de crise sanitaire

Pour Bruno Beschizza, le couvre feu qui perdure sans aucune perspective de sortie et la menace d’un nouveau reconfinement ajoutent des difficultés quotidiennes supplémentaires aux habitants, en particulier lorsque l’on vit dans des quartiers d’habitat collectif. Le reportage a été diffusé ce soir durant le journal de 20 Heures sur France 2 où le maire a dit NON au principe d’un nouveau confinement.

A Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza refuse le confinement, mais aura t-il le choix ?

Bruno Beschizza

Si le Premier Ministre Jean Castex n’a rien annoncé concernant un nouveau confinement en région Île-de-France, Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois et conseiller régional, frappe du poing sur la table et refuse ce scénario. Lors d’une visioconférence jeudi dernier avec ses homologues du département et le préfet de la Seine-Saint-Denis, M. Beschizza a averti sans ambages qu’il n’accepterait pas cela dans sa ville.

Ses solutions ? Plus de tests avec l’arrivée d’un nouveau centre de dépistage place du Général de Gaulle, en face de la gare. Mais est-ce que cela sera suffisant pour enrayer la propagation ? Il est fort probable que M. Beschizza n’ait pas le choix si l’Etat impose un nouveau confinement localisé. Les Franciliens seront fixés sur leur sort fin de semaine prochaine.