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Daniel Goldberg privilégie principalement les associations d’Aulnay-sous-Bois
Le député Daniel Goldberg ne lésine pas sur sa réserve parlementaire pour aider des associations d’Aulnay-sous-Bois. Avec 68 000 € déboursés, c’est bien plus que les autres villes de sa circonscription (10ème de la Seine-Saint-Denis), Pavillons-sous-Bois (21 000 €) et Bondy (18 000 €).
Source : Le Parisien
Daniel Goldberg rencontre Bernard Cazeneuve le 7 mars concernant le futur commissariat d’Aulnay-sous-Bois
Après Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, c’est au tour du député de la circonscription de demander audience auprès du ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve pour obtenir la reconstruction du commissariat.
Daniel Goldberg critique l’édile d’Aulnay en regrettant que le terrain initialement prévu pour le grand commissariat (RN2, proche de Bricoman) ne convienne pas à l’actuelle majorité municipale.
Source : Le Parisien
Le député Daniel Goldberg achète 3 000 livres pour les écoles dont Ambourget à Aulnay-sous-Bois
Geste de générosité de la part de Daniel Goldberg qui a acheté 3 000 livres, en piochant sur sa réserve parlementaire.
Au total, un montant de 7 000 € sera dépensés. Les livres abordent la culture générale, l’histoire, les animaux…. le tout en partenariat avec l’association Biblionef.
Pour rappel, l’enveloppe parlementaire représente en moyenne 130000€ par élu et par an.
Source : Le Parisien
Le député de la circonscription d’Aulnay-sous-Bois Daniel Goldberg absent lors d’un vote pour lutter contre l’évasion fiscale
Dans le cadre du Projet de Loi de Finances Rectificatif 2015, les députés français étaient amenés à se positionner concernant la question de l’évasion fiscale, avec un vote concernant l’amendement 340, déposé par Valérie Rabault, Yann Galut, Pascal Cherki et Dominique Potier.
Cet amendement stipulait que toute entreprise multinationale rende publique chaque année leur chiffre d’affaires, mais aussi leurs bénéfices, le nombre de leurs filiales, le nombre d’employés et le montant des impôts payés par pays où elle se situe. Cet amendement avait pour objectif principal de pouvoir plus facilement débusquer les soupçons d’évasion fiscale. Plusieurs entreprises sont en effet soupçonnées de transférer leurs bénéfices dans des paradis fiscaux via des « prix de transfert ».
Cet amendement avait été adopté en première lecture le 4 décembre, ce qui était bon signe pour son adoption. Le vote en deuxième lecture a eu lieu dans la soirée du 15 décembre, vers 1h00 du matin. Seuls 52 députés sur 577 étaient présents, qui ont voté en majorité pour son adoption.
Mais 40 minutes plus tard, une procédure inhabituelle eu lieu : l’amendement a été soumis à un second vote, à la demande de Christian Eckert, le ministre du budget. Certains députés sont partis, d’autres arrivés. En tout, 46 étaient présents pour ce second vote. 25 députés vont voter contre la transparence fiscale et 21 pour. L’amendement est refusé.
25 députés dont 20 socialistes ont voté contre la transparence:
- Gilles Carrez
- Marie-Christine Dalloz
- Véronique Louwagie
- Frédéric Reiss
- Charles de Courson
- Frédéric Barbier
- Jean-Marie Beffara
- Jean-Claude Buisine
- Christophe Caresche
- Pascal Deguilhem
- Sébastien Denaja,
- Jean-Louis Dumont
- Jean-Louis Gagnaire
- Joëlle Huillier
- Bernadette Laclais
- Jean-Yves Le Bouillonnec
- Viviane Le Dissez
- Bruno Le Roux
- Victorin Lurel
- Frédérique Massat
- Christine Pires Beaune
- François Pupponi
- Valérie Rabault
- Pascal Terrasse
- Jean-Jacques Urvoas
Le député de la circonscription d’Aulnay Daniel Goldberg était absent lors de ces votes. S’il est vrai qu’une séance à 1h00 du matin peut paraître étrange, et que le revirement du ministre du Budget peut poser quelques interrogations, pourquoi autant de députés – dont Daniel Goldberg – étaient absents pour un sujet aussi important ?
Pour rappel, les traitements (rémunérations) d’un député sont (source Wikipedia) :
- Traitement mensuel : 7 100,15 € brut par mois (5 148,77 € net par mois), dont
- Indemnité parlementaire de base : 5 514,68 € brut mensuel
- Indemnité de résidence : 165,44 € brut mensuel
- Indemnité de fonction : 1 420,03 € brut mensuel
- En cas de cumul avec un mandat local (maire, président de Conseil général…), l’indemnité est écrêtée à 2 757,34 € par mois (maximum : 9 857,49 €)
- Pour leur activité de parlementaire, les députés disposent de plusieurs budgets :
- Indemnité représentative de frais de mandat (frais de représentation) : 5 570 €
- Crédit informatique : 15 000 € pour les cinq années du mandat.
- Crédit mensuel pour la rémunération de collaborateurs : 9 504 € (si la somme n’est pas totalement utilisée, la différence peut être versée au groupe politique du député, sinon, elle reste acquise au budget de l’Assemblée nationale)
- Avantages en nature :
- Accès gratuit au réseau SNCF (1re classe)(carte payée par l’Assemblée Nationale)
- Taxis gratuits à Paris
- Quotas de déplacements aériens
- Lignes téléphoniques et courrier (forfait annuel)
Avec autant d’avantages, ne peut-on pas espérer un peu plus s’assiduité, voire de communication en cas d’empêchement pour venir effectuer son rôle de représentant national ?
Source : Huffingtonpost
NDLR : A noter que la loi sur la transparence fiscale a bien été votée fin décembre 2015. Vous pouvez consulter les activités du député Daniel Goldberg à l’assemblée en cliquant ici.
Rencontre avec le député de la circonscription d’Aulnay-sous-Bois Daniel GOLDBERG sur l’état d’urgence
Ce sont une bonne vingtaine d’Aulnaysiens qui se sont retrouvés samedi matin, autour du député de circonscription Daniel GOLDGERG au siège de la rue Robespierre pour une information sur : « les principales dispositions et les conséquences de l’état d’urgence », décrété par le Président de la république lors du dernier conseil des ministres. Il fut ensuite voté par l’Assemblée Nationale jeudi 19 ainsi que par le Sénat le lendemain, pour une durée de 3 mois, soit jusqu’au 26 février 2016.
Le député a rappelé que cette rencontre correspondait aussi à son engagement personnel d’élu d’échanger avec les citoyens de sa circonscription dans les moments importants de la vie citoyenne.
En préambule de cette onde de choc, il a précisé qu’en fait, l’Ile-de-France était un « village » dans la mesure où tous les franciliens avaient dans leur environnement des victimes proches, Paris naturellement mais aussi, Sevran, Bobigny, Noisy…, pour la Seine-Saint-Denis notamment.
Il a ensuite apporté toutes précisions sur les dispositions de l’état d’urgence qui peuvent se résumer en 5 actions principales. Globalement, la « main » a été donnée aux préfets et au ministère de l’intérieur, au-delà de l’autorité judiciaire, qui peuvent ainsi décider rapidement :
- Du couvre- feu dans un quartier, dans une ville selon la situation,
- D’une interdiction de séjour pour tout individu suspect,
- De la fermeture de salles de spectacles, de restaurants, de tout rassemblement envisagé…en cas de risques,
- D’assigner à résidence tout individu suspect, correspondant en fait à une privation de liberté, avec obligation d’avoir un domicile fixe, d’y résider un minimum de 12H par jour et de pointer 3 fois/jour au commissariat ou encore interdiction de contact avec d’autres personnes susceptibles de porter atteinte à la sécurité nationale.
- De perquisitionner à toute heure contrairement à l’ancienne loi permettant uniquement une perquisition entre 6h du matin et 21h et sur décision du juge, avec désormais la présence du propriétaire ce qui ne l’était pas par le passé.
En ce sens d’ailleurs, des modifications pour adapter et moderniser certaines dispositions de la loi de 1955 seront apportées.
Quelques autres prévisions sont envisagées, entre autres :
- Le recrutement de 5000 policiers et de 1000 douaniers d’ici 2017
- La possibilité pour les policiers de conserver leurs armes, mais sous certaines conditions efficientes
- La possibilité d’armer la police municipale avec utilisation éventuelle du stock des armes de la police nationale.
Sans oublier que dès le Vendredi 13 novembre, le contrôle aux frontières était réinstallé.
Par contre, il faut préciser que le Parlement est informé et associé à l’ensemble des décisions afin de contrôler et d’évaluer régulièrement l’efficacité des actions.
Dans le département de Seine-Saint-Denis, l’ensemble des acteurs, préfet, élus, juges…se sont réunis afin d’avoir des actions coordonnées dans ce département peut être plus sensible qu’ailleurs.
La parole a ensuite été donnée aux participants afin de poser des questions dont entre autres:
A la question de savoir si le Conseil Constitutionnel, qui dispose d’un jugement davantage sur le droit que sur le politique, pouvait modifier la loi (des situations déjà rencontrées), il a été indiqué que sur le principe que c’était possible MAIS que celui-ci devait être saisi par au moins 60 députés ou 60 sénateurs, ou encore par le gouvernement, on a compris que cela ne sera certainement pas le cas.
Il y eut des questions sur le rôle des médias dont l’action avait été préjudiciable lors des évènements de Charly en janvier 2015 : pas contrôlés mais possibilités de bloquer des sites internet ou réseaux sociaux.
Des discussion enfin sur comment réfléchir sur le rôle à tenir par chaque citoyen dans son quotidien, dans les transports en commun, dans les écoles, au niveau de repérage de personnes peut être plus sensibles….
Le député a conclu en précisant que l’on ne s’en sortirait qu’ensemble et que c’était désormais une course de vitesse face à tous ceux qui voulaient imposer aux Français un modèle dévoyé et à tous ceux qui utilisaient de tels événements pour désarçonner la société française.
Source : La rédaction d’Aulnaycap présente lors du débat
Aulnay-sous-Bois : Daniel Goldberg organise une réunion d’information sur l’état d’urgence ce samedi
Le député de la Seine-Saint-Denis Daniel Goldberg organise une réunion d’information sur l’état d’urgence et ses conséquences le samedi 21 novembre dans la permanence (10 bis rue Maximilien Robespierre à Aulnay-sous-Bois).
Cette réunion est ouverte à tous.
Source : communiqué de Daniel Godberg
Daniel Goldberg : Il fallait inscrire la discrimination à l’adresse dans la loi
Cet après-midi, les députés se prononcent en séance publique sur le projet de loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine. L’amendement sur la discrimination à l’adresse, proposé par le député PS de Seine-Saint-Denis Daniel Goldberg, a été approuvé en commission et intégré. Celui-ci nous explique en quoi ce point est important pour les habitants du 93.
Pourquoi faire entrer la discrimination à l’adresse dans la loi ?
DANIEL GOLBERG. Parce que de nombreux habitants du 93 et d’ailleurs se sentent discriminés à cause de leur lieu de résidence, de leur code postal. En tant que député j’ai souvent été interpellé sur le sujet. D’autres formes de discrimination existent en France, mais en l’occurrence, c’est bien le lieu d’habitation qui est source d’inégalité, qu’on s’appelle Robert, David ou Mohamed. Voilà ce que cette loi va mettre en lumière. Elle doit aussi pousser à réfléchir à la « malvie » dans ces zones, mal desservies par les transports en commun, où les taxis et les agents de la Poste refusent parfois d’aller. En disant cela, je n’incrimine ni le chauffeur de taxi, ni le postier. Les institutions de la République doivent se pencher sur la question.
Qu’est-ce que cet article de loi va changer ?
Comme les autres formes de discrimination, celle-ci ne disparaîtra pas du jour au lendemain. Mais l’inscrire dans la loi. C’est offrir la possibilité à quelqu’un qui s’estime victime d’entamer une démarche devant la justice. C’est un pas en avant pour l’égalité. Nous ne sommes pas uniquement dans une logique de punition, il y a aussi un aspect pédagogique vis-à-vis des recruteurs. Ce peut être un point d’appui, pour aller plus loin auprès des entreprises.
Que se passera-t-il vis-à-vis des entreprises ?
On ne peut influencer le recrutement dans le secteur privé. Mais lors de l’attribution de marchés publics, on pourrait demander à l’entreprise de préciser ce qu’elle fait pour lutter contre les stéréotypes dans son processus de recrutement. Quelques sociétés jouent déjà le jeu, elles ont même bâti leur identité autour de la diversité, comme Paprec, à La Courneuve.
Peut-on vraiment prouver qu’on a été écarté d’un emploi, d’un stage parce qu’on habite à Sevran ou Clichy-sous-Bois ?
Ce n’est pas plus difficile que de prouver qu’on est mis de côté en raison de sa religion, ou parce qu’on est une femme. Il existe aujourd’hui des opérations de « testing » efficaces, réalisées par des associations. Si une entreprise pratique effectivement la discrimination au code postal, on pourra facilement la confondre. Jusqu’à aujourd’hui, la loi ne le permettait pas.
Source : Le Parisien du 27/11/2013
Aulnay-sous-Bois : le groupe des indépendants au Conseil Municipal privé de bureau et de secrétaire !
Pour éviter que vous preniez prétexte que la démarche que je vous ai formulée à la constitution de mon groupe, relative à la mise à disposition d’un bureau et d’une secrétaire, ne soit prise en compte faute d’un écrit, je vous adresse la présente pour valoir ce que de droit.
Nos réunions de Présidents de Groupe sont suffisamment élargies à des cadres administratifs pour que nos sollicitations dans ce cadre n’aient pas besoin d’être confirmées. Si ce courrier pouvait avoir malgré tout un effet déclenchant vos amis socialistes pourraient continuer à affirmer, cette fois sans mentir, que les groupes d’opposition disposent des attributs, objet de mes demandes réitérées
Je ne sais pas si Daniel Golberg a eu besoin de vous écrire pour qu’il lui soit attribué le somptueux bureau dont il dispose étant donné que n’étant pas conseiller municipal une telle sollicitation n’a jamais pu venir en discussion dans nos réunions préparatoires au conseil municipal.
Je souhaite malgré tout ne pas bénéficier d’un régime de « défaveur » qui verrait le traitement de ma sollicitation faire l’objet d’un non recevoir ou d’une étude qui pourrait prendre 5 mois…
Je serais par ailleurs très sensible au fait d’apprendre enfin avec votre réponse les possibilités offertes pour informer les aulnaisiens d’une tenue d’une permanence dont vous êtes actuellement seul à bénéficier
Veuillez agréer Monsieur le Maire ma parfaite considération »
Source : courrier d’Alain Boulanger, conseiller municipal indépendant, au Maire Gérard Ségura
Daniel Goldberg écrit à Vincent Peillon sur les vacances de postes d’enseignants
A deux mois de la rentrée des classes, Daniel Goldberg tire la sonnette d’alarme. Inquiet, le député (PS) de la Seine-Saint-Denis vient d’écrire au ministre de l’éducation Vincent Peillon afin d’attirer son attention « sur les vacances de postes d’enseignants du premier degré en seine-Saint-Denis ». A ce jour, pour la rentrée de septembre, 250 postes sont d’ores et déjà vacants. Fort de constat, l’élu demande au ministre d’« autoriser l’ouverture au recrutement des personnes inscrites sur les listes complémentaires des autres académies que celles de l’Ile-de-France ».
Source : Le Parisien du 12/07/2013