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Comment l’UAM 93 et l’EMJF, deux associations cultuelles musulmanes, décident qui sera le prochain Maire à Aulnay-sous-Bois

Hassen Farsadou, fondateur de l’association Espérance musulmane de la jeunesse française (EMJF), préside avec Henniche l’UAM93. Tous deux soutiennent en 2003 le député UMP-LR Gérard Gaudron à Aulnay-sous-Bois. «J’avais négocié un terrain pour la mosquée avec la droite, dit Farsadou, mais en 2008il n’y avait toujours rien de concret.» Hassen Farsadou quitte Gaudron et promet au conseiller général Gérard Ségura (PS) de le faire maire d’Aulnay s’il lui satisfait toutes sortes de revendications: «une école, des postes de directeurs généraux adjoints et de conseillers techniques à la mairie. Très sûrs d’eux, ils vantent leur influence dans les quartiers nord et font comprendre au candidat socialiste que des négociations sont aussi en cours avec son adversaire, le maire sortant de droite Gérard Gaudron

Ségura accepte, Farsadou et Henniche font campagne pour lui, et ils le font élire en 2008. Mais il donne la mosquée à une association musulmane rivale. Henniche punit Ségura en lui faisant perdre les élections de 2014 et en faisant élire à sa place Bruno Beschizza (UMP-LR).

L’école islamiste dans un local public

Beschizza a accepté d’autoriser l’EMJF à faire une école confessionnelle musulmane par prêt gratuit (bail emphytéotique de 99 ans), d’une ancienne école publique désaffectée. Une belle prise : deux étages, 1200m2 avec cour. L’école sera islamiste, puisque Farsadou invite des prédicateurs comme Nader Abou Anas, Éric Younous et le salafiste pro-djihad Mehdi Bouzid, proche de l’un des frères Kouachi.

Dans l’affaire Théo, en 2017, cet ancien officier de police devenu maire n’a pas hésité à critiquer virulemment les policiers impliqués, position qu’il n’a pas changé même après la publication de la fameuse vidéo démontrant que Théo avait menti et que le policier ne l’avait pas violé. Ce silence encouragera les émeutiers et suscitera une campagne nationale contre la police et des violences dont l’incendie d’un policier au cocktail Molotov. Quant au policier innocent, sa vie a été ruinée : quand la vidéo a été publiée, un an plus tard, le public l’avait oublié, et il était trop tard pour le réhabiliter. Les personnalités qui l’avaient traîné dans la boue restèrent sur leur position, à l’exception de Patrick Quarteron, qui publia une vidéo dans laquelle il lui fit des excuses très émues.

Source et article complet : Causeur

Le quartier pavillonnaire d’Aulnay-sous-Bois devient petit à petit un quartier de petits immeubles à cause du PLU

Depuis la modification du Plan Local d’Urbanisme (PLU) d’Aulnay-sous-Bois imposée par Messieurs Gérard Ségura (maire de 2008 à 2014) et Alain Amédro (alors adjoint à l’urbanisme), les zones pavillonnaires se « bétonisent » peu à peu. Une riveraine nous affirme en effet que de nombreux pavillons poussent dans son quartier avec une taille de petits immeubles.

Ces maisons-appartements abritent plusieurs familles. Parfois, des pavillons existants sont agrandis pour loger une nouvelle famille, entraînant la disparition des espaces verts, des arbres, des espaces de respiration.

les voisins limitrophes se sont plaints , il y a même eu procès, perdu pour quelques centimètres… de hauteur, du coup, ma voisine a déménagé, les vélux des chambres de ses garçons avaient une vue imprenable sur le mur du voisin. 3 étages, plusieurs familles, plus de jardin, du béton , du béton…

A cause ce PLU,  des constructions en fond de jardin ont lieu, des terrains sont coupés en 2 et tout semble permis. Les hauteurs changent, pas toujours les mêmes que celles indiquées sur le permis. Les foyers n’ont plus de soleil, les fenêtres donnent sur un mur franc.

Il semblerait que de nombreuses constructions soient hors la loi. Des petits appentis, fermés, couverts sont transformés en pièces pour agrandir les maisons ou en faire un second logement. Et le tout n’est pas déclaré pour les impôts locaux. Il n’y a aucun contrôle, c’est de pire en pire pour notre lectrice.

Échaudée par ce triste spectacle, notre lectrice a appelé la Mairie qui lui répond : « On ne peut rien faire, au pire le propriétaire devra payer une amende ! ».

Tous les petits pavillons qui se vendent sont remplacés par des maisons immenses pour jouer sur la spéculation immobilière. Si le Maire Bruno Beschizza ne fait rien pour arranger les choses, les personnes attachées au caractère provincial d’antan d’Aulnay Sud ne disent pas merci à Messieurs Ségura et Amédro.

Droit de réponse du maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza concernant l’article Politis.fr

Suite à l’article publié le 12 novembre 2020, par le site internet politis repris par plusieurs autres blogs, je tiens à faire part à vos lecteurs des faits suivants : Par la décision n° 1476 du 7 décembre 2010, Gérard Ségura (non Claude Ségura comme mentionné dans l’article), sans passer par une délibération du Conseil municipal, a donné les locaux désaffectés de l’ancienne école Bougainville à l’association Espérance Musulmane de la Jeunesse Française (EMJF), présidée par Hassen Farsadou.

Tout était gratuit. Ni le loyer, ni l’entretien, ni les fluides (eau, gaz, électricité) n’étaient payés par l’association. Tout était pris en charge par le contribuable aulnaysien. Depuis 2010, des cours étaient ainsi dispensés dans ces locaux qui s’apparentaient à une école clandestine puisque rien n’était déclaré aux autorités académiques.

J’ai hérité de cette situation à ma prise de fonctions le 5 avril 2014. Ce système mis en place par la précédente municipalité n’était pas « illégal » mais tout simplement « hors-loi ». C’est-à-dire qu’il n’était encadré par aucun texte.

Je l’assume : j’ai remis de l’ordre. J’ai mis en place un bail, payant avec un loyer et des obligations, pour une autre association, distincte de l’EMJF. Cette association, titulaire du bail, « Education pour tous », souhaite par ailleurs s’engager vers une contractualisation avec l’Etat comme tout autre établissement confessionnel, ce qui n’est possible qu’après 5 années d’exercice en hors-contrat.

Les droits ne vont pas sans les devoirs. Grâce à mon action, cet établissement est désormais soumis à la loi. Il est déclaré auprès des services de l’Éducation nationale qui ont autorisé son ouverture en école hors-contrat. Les autorités académiques exercent donc un contrôle sur les enseignements et le personnel.

Dans le même esprit de légalité, la municipalité s’est félicitée de la fermeture par le Préfet d’une école clandestine le 14 janvier 2020.

Je laisse aux apprentis sorciers prédicteurs électoraux le soin de se glorifier de leur prétendu « poids électoral », repris sans aucun recul dans la presse. Sur Aulnay-sous-Bois, j’observe que malgré l’absence de soutien de l’association en question, ma candidature est arrivée en tête dès le 1er tour, dans la totalité des bureaux de vote de ma ville, avec 59,34% des suffrages, ce qui est du jamais vu.

M. HENNICHE, à ma connaissance, n’y est pour rien. Il s’agit seulement du résultat d’une politique municipale impulsée depuis 2014 qui vise à rassembler les Aulnaysiennes et les Aulnaysiens autour d’un projet simple : bien grandir et bien vivre en famille à Aulnay-sous-Bois.

Source : Droit de réponse de Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, suite à l’article relayant l’information du reportage Politis.fr

Ces quelques chiffres prêtent à réfléchir concernant les élections municipales à Aulnay-sous-Bois

AULNAY SOUS BOIS : 84 000 habitants (à l’époque ? ) dont 44 883 VOTANTS (mais 19 491 ABSTENTIONS)

Résultats :

  • M.Beschizza  14 547 voix   60, 7 % des votants représentant 32, 41% des inscrits
  • Ségura        9 417 voix    39,29%  des votants représentant 20,98% des inscrits
  • Liste Beshizza : 43 élus
  • Liste Ségura :    10 élus

Or,  si l’on fait une répartition équitable, à la proportionnelle, nous aurions :

  • Liste Beschizza : 32 élus au lieu de 43
  • Liste Ségura :  20 élus au lieu de 10

Bien sûr mais la loi électorale ce n’est pas tout à fait la proportionnelle, c’est ceci :

  • M.Beschizza a été le maire d’Aulnay de 2014 à 2020 pour ses 14 547 Aulnaysiens

Donc le Maire de 84 000 habitants avec 43 élus, soit un peu plus de 4 fois que M.Ségura (pourtant pas 4 fois moins d’électeurs)

Bien entendu, ce n’est pas spécifique à Aulnay-sous-Bois, la loi est la même pour tous, on peut juste s’interroger sur la démocratie représentative.

Source : contribution externe

Hadama Traoré affirme que l’ancien Maire d’Aulnay-sous-Bois Gérard Ségura soutient Benjamin Giami

Emmanuel Macron S’ORGANISE À L’ÉCHELLE MUNICIPALE

L’ancien maire Ps Gérard Segura qui a dirigé la ville d’Aulnay-sous-bois de 2008 à 2014 en amenant le diable (clientélisme) à Aulnay-sous-bois, à quitté le PS pour soutenir la liste d’un vassal de Macron. Dans toutes les villes les capitalistes s’organisent et nous ?

L’organisation et la stratégique seront des clés d’une révolution durable. La révolution est en marche et personne ne pourra l’arrêter.

Source : Hadama Traoré, leader de La Révolution Est En Marche

Bruno Beschizza veut un nouveau commissariat pour Aulnay-sous-Bois sur l’avenue du Maréchal Juin

commissariat_aulnay

Vidéo

Le commissariat actuel est vétuste et n’est plus réellement aux normes. Plusieurs personnes en garde-à-vue ont même exprimé un mécontentement quant au confort offert par l’actuel bâtiment.

Alors que Gérard Ségura, Maire de 2008 à 2014, souhaitait un nouveau commissariat sur la RN2, au niveau de Bricoman, Bruno Beschizza souhaite quant à lui le voir implanter sur l’avenue du Maréchal Juin, à 2 pas de l’Hôtel de Ville.

Sera t-il suivi par l’Etat ? Manuel Valls avait apporté son soutien quelques mois avant les élections municipales de 2014 pour le nouveau commissariat.

A noter qu’à Droite, il y a quelques petites divergences, puisque Frank Cannarozzo, autrefois conseiller municipal d’opposition, souhaitait le nouveau commissariat en lieu et place du parking qui recouvre le terrain de l’ancienne usine d’amiante, sur la Départementale 115.

La rédaction vous invite à (re)découvrir l’intérieur de l’actuel commissariat d’Aulnay en cliquant sur l’image ci-contre.

Situation financière désastreuse à Aulnay-sous-Bois : l’ex-adjointe aux finances sous Gérard Ségura répond

francoise_bovais_liegeoisAdjointe aux finances à Aulnay-sous-Bois entre 2008 et 2014, Françoise Bovais-Liégeois a pris connaissance, comme beaucoup, du communiqué dramatique de Bruno Beschizza sur la situation financière de la ville. Nous nous sommes entretenus avec elle et nous a fait de nombreuses révélations, certaines ne pouvant être écrites sur ce site.

Une situation connue dès 2011

Lorsque Madame Bovais-Liégeois pris à bras le corps la délégation d’ajointe aux finances en 2008, elle a trouvé une ville en sérieux manque d’investissement, aux finances déjà très fragiles bénéficiant d’une masse salariale bien supérieure à la moyenne nationale par rapport aux villes de même strate. Dès 2009, des emprunts furent réalisés pour couvrir ce manque d’investissement et poursuivre la réalisation du Plan de Rénovation Urbaine.

François Bovais-Liégeois était parfaitement au courant que la ville d’Aulnay-sous-Bois allait droit à la catastrophe, dès 2011, si la municipalité ne freinait pas les investissements nécessitant de gros emprunts et si une cure drastique de baisse des frais de fonctionnement n’était pas entreprise. Soulignant le professionnalisme et le pragmatisme de Laurent Maubon (directeur des finances à la Mairie) qui avait également alerté de la situation, ainsi que le support de Philippe Palomo dans la démarche, Françoise Bovais-Liégeois nous indique que le Maire Gérard Ségura avait fait fi de toutes les alertes levées. « Il voulait appliquer son programme coûte que coûte« , souligna t-elle, précisant que ses alliés communistes faisaient également pression sur les investissements sans tenir compte de la réalité financière. C’est ainsi que deux écoles (Solbès et Ambourget) ont bénéficié de travaux via des emprunts très importants, qui mettaient à termes la ville dans une situation critique.

De plus, Madame Bovais-Liégeois précise que Gérard Ségura, réélu Conseiller Général et ayant obtenu le poste de Vice-Président chargé du développement économique dans le département, ne pouvait pas ne pas savoir quelles étaient les contraintes réelles des réformes des collectivités territoriales et des baisses de dotation.

Des efforts ruinés par une politique interne d’embauche à tout va

Questionnée sur les efforts entrepris pour baisser le train de vie de la ville, François Bovais-Liégeois admet avoir participé à une commission, avec Aline Benhamou (ex-adjointe ayant en charge le personnel), pour libérer quelques postes et ainsi réduire la voilure. Au total, près de 20 postes par an ont été libérés. Hélas, elle admet également qu’à chaque fois un poste fut libéré, une embauche était réalisée, souvent sous l’impulsion d’Ahmed Laouedj (ex-adjoint monde associatif) ou de Leila Abdellaoui. Ces embauches ne passaient pas, selon elle, par l’approbation d’Aline Benhamou (ce qui la faisait enrager, dixit Madame Bovais-Liégeois, car ne passant pas en commission de recrutement, toujours selon Madame Bovais-Liégeois). De plus, les profils ne correspondaient pas toujours aux responsabilités supposées de ces postes. Les postes concernaient surtout la jeunesse et les espaces verts. 

François Bovais-Liégeois a fait d’ailleurs l’allusion sur le recrutement des Frères Belhoucine qui, selon ses propos, avait suivi un processus « bizarre ».

Des peaux de banane internes et une mauvaise ambiance

A la fin de l’entretien, Françoise Bovais-Liégeois nous informe que ses relations avec certains membres de l’ex-majorité municipale n’étaient pas au beau fixe. Elle regrette qu’Ahmed Laouedj et Gérard Ségura ne l’ont pas soutenue dans sa démarche de préserver les finances de la ville. Elle indique que l’ambiance générale s’est soudainement dégradée avec l’arrivée de Guy Challier dans la majorité municipale (en 2010, pour remplacer Sarah Aït Kedache, qui démissionna). Elle regrette à ce dernier son côté arriviste, n’hésitant pas à utiliser tous les stratagèmes pour « déglinguer » la personne devant lui.

Elle affirme également que Latifa Bezzaouya-Cotrie a beaucoup fait pour se frayer un chemin, en appliquant les mêmes méthodes que Guy Challier. Elle décrit également Gérard Ségura comme une personne colérique, qui n’a pas hésité à la fustiger sèchement et ce parfois à la connaissance du public.

Enfin, sa fin de mandat s’est effectuée sous la pression et des menaces notamment pour avoir soutenu les femmes de ménage. Elle avait obtenu à l’époque la protection fonctionnelle, mais ce qui n’avait pas empêché quelques personnes malveillantes de lui crever à maintes reprises ses pneus de voiture. Elle a également perdu 2 chats de race (dont un a été retrouvé mort aux Blanc-Mesnil, proche de Drancy) même si elle n’a pas pu prouver le lien direct entre ces menaces et la perte de ses chats. Elle souhaite aujourd’hui tourner la page et ne plus penser à cette mauvaise période qui l’a beaucoup tourmentée.

Michel Cadart : Ils ont voulu contester la démocratie à Aulnay-sous-Bois…. Echec cuisant !

Sans titre 2A Aulnay sous bois ville de 84 000 âmes, en mars 2014 les électrices et électeurs se sont prononcés à une très grande majorité pour un retour à une ville « Gagnante » et « Respectueuse » Le résultat au 2nd tour de l’élection des Municipales était sans appel, la liste de Bruno Beschizza (UMP) avait réuni 60.7 % des suffrages exprimés. Le PS local venait de prendre un énorme camouflet après 6 ans de gestion hasardeuse et contestée par ses méthodes brutales du Nord au Sud de la ville

En 2008, la liste « Aulnay Renait » menée par le PS ex-Trotskyste Gérard Ségura, aidée en cela par le PRG, le parti Communiste et des membres du parti des « Verts » l’avait emporté dans des conditions particulières, un recours avait été fait à l’époque, mais rien n’y fit.

L’affaire du « Canard Enchainé » dont on se demande comment un député obscur (ce n’est pas lui faire injure) s’était vu reprocher une prétendue escroquerie aux ASSEDIC, cet homme respectable donné en pâture à la vindicte populaire, montré du doigt, humilié a vu le doute de ses fidèles électeurs mettre en cause son honnêteté. Le coup fumant avait réussi, plusieurs centaines de sympathisants de droite et du centre, ne se sont pas rendus aux urnes, et ce malgré que l’organisme lui-même l’avait dédouané un mois avant les élections Municipales. Le résultat a été que la liste Socialiste a devancé celle de Droite de 204 voix seulement

Pourtant la pseudo affaire du « Canard Enchainé » qui était bien une « cabale » politique contre un homme honorable, et Député-Maire sortant n’avait pas empêché de dormir les quelques moralisateurs (alliés de l’époque et par opportunisme des Socialistes) qui débattent de Blogs en blog en donnant les leçons de morale habituelles. Surement système de défense des humiliés, qui n’ont pas su convaincre les administrés en dépit de campagnes arrogantes pour s’attribuer le monopole du cœur et de la bienséance ! Les Mesdames et Messieurs « Propres » de la politique se sont vus refouler à la porte des 2nd tour des dernières élections (Municipales 2014 tout d’abord avec un curieux équipage hétéroclite, allant du centre gauche aux anarchistes du NPA et ensuite aux départementales 2015, mêlés cette fois aux Communistes et autres extrême gauches)
En 2010 une partie de cette majorité (du groupe les Verts) avaient décidé de quitter la majorité municipale pour divers désaccords avec l’équipe Socialiste.

Lire la suite

Michel Cadart : Dans la série des contradictions Socialistes au moment des élections à Aulnay-sous-Bois…

Sans titre 1Mais il est où le commissariat promis ?  On nous aurait menti ? (Cliquez sur la photo)

  • L’histoire d’une mise en scène avec la complicité de Manuel Valls (actuel 1er ministre) et de Daniel Goldberg (Député de la 10ième circonscription du 93)

Cette histoire révèle une incroyable manipulation politique. C’est l’histoire d’un  boomerang qui finit toujours par revenir dans la tronche à celui qui l’a lancé.

La localisation souhaitée (ou désignée) par l’ancien maire d’Aulnay Gérard Ségura était d’une part plus que contestée par les policiers eux-mêmes. On peut donc supposer qu’il s’agissait  d’un leurre destiné à attraper dans les filets de l’oiseleur tous ceux qui piaffaient d’impatience d’être enfin en sécurité…

Rappelons qu’Aulnay-sous-Bois dotée d’une Police Municipale, pour l’État la construction de ce commissariat de police nationale n’était donc pas un projet primordial, faute de crédit également.

Rappelons que la construction d’un commissariat dépend du ministère de l’intérieur, et pas d’une annonce à des fins électorales d’un élu qui sentait sa fin arriver.

D’autant plus que la ville de Sevran (même commandement, dépend du Divisionnaire d’Aulnay-sous-Bois) doit avoir ses nouveaux locaux, rue Gabriel-Péri (à côté de la salle des fêtes) prévus fin 2014. Il n’y aura vraisemblablement pas de déménagement avant l’été 2015, et faute de crédit sur Aulnay…. On va devoir attendre !

Quoiqu’il en soit Mr Beschizza, nouveau maire et lui-même ancien policier, a compris depuis longtemps que la sécurité des biens et des personnes était importante, et  a tenu sa promesse de rétablir la Police Municipale 24h/24 et 7j/7.

Rappelons également qu’une affaire toute récente a été élucidée grâce aux moyens apportés à la dite PM par le nouveau maire (UMP), ce dont les fonctionnaires municipaux se réjouissent.
Voir article ici https://aulnaycap.com/2015/03/07/la-cftc-police-municipale-daulnay-sous-bois-felicite-les-agents-ayant-interpelle-un-braqueur-et-souligne-les-progres-grace-a-bruno-beschizza

Adresse Police Municipale : 5 Avenue Kléber, 93600 Aulnay-sous-Bois
Téléphone : 01.48.69.04.64 ou numéro vert 08.00.39.93.93 (appel gratuit)

Commissariat central Police Nationale 28 Avenue Louis Barrault, 93600 Aulnay-sous-Bois
Téléphone : 01.48.19.30.00

Ici un article détaillé sur la promesse tenue du candidat Beschizza aux dernières Municipales 2014
https://aulnaycap.com/2014/09/20/aulnay-sous-bois-revient-a-une-securite-100-au-service-des-citoyens/

Le maire socialiste sortant Gérard Ségura  avait organisé, à un moment donné juste avant les Municipales 2014, un simulacre de cérémonie officielle concernant la vidéoprotection, alors que les moyens dont manque Aulnay sont criants. Lui-même à l’époque vice-président du Conseil Général, savait pertinemment que ce n’était pas dans les attributions de financer.

Finalement on peut l’affirmer maintenant : L’ACTION DU MAIRE A PAYE
Cliquez ici pour découvrir la surprise >>> http://oi59.tinypic.com/2114al0.jpg

Encore une promesse tenue par le candidat UMP Bruno Beschizza !

Cliquez ici >>> http://oi60.tinypic.com/33zcww2.jpg

Gérard Ségura, ancien Maire d’Aulnay-sous-Bois : « Il faut passer le témoin et mettre en avant les jeunes »

seguraEcouter le cuisinier Thierry Marx raconter ses débuts japonais dans une conférence plénière noire de monde, puis empoigner le micro devant un auditoire bien plus réduit pour présenter de jeunes entrepreneurs du 93, tout en guettant la visite du ministre de l’Economie Emmanuel Macron..

Voilà aussi les occupations d’un vice-président du conseil général en charge du développement économique. La semaine dernière, le socialiste Gérard Ségura était au salon des entrepreneurs, à Paris.

L’ancien maire d’Aulnay, battu en mars dernier par l’UMP Bruno Beschizza, vit ses dernières semaines d’élu départemental. Entré en 1998 au conseil général, il fait partie de ceux qui ne brigueront pas un nouveau mandat. La décision n’a pas l’air de lui avoir trop coûté. Avant de la prendre, il a consulté son entourage politique — dont Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale, qui garde un œil attentif sur le département.

« Me représenter n’aurait eu de sens que dans l’optique des prochaines municipales, en 2020, affirme d’un ton dégagé l’ancien enseignant de 66 ans. Mais je l’avais dit dès le soir du deuxième tour à Aulnay : nous avons formé une nouvelle génération de militants, il faut passer le témoin et mettre en avant les jeunes. » Les jeunes, ce sont en l’occurrence deux élus PS d’Aulnay : Guy Challier, ex-maire adjoint à l’urbanisme, 47 ans, et Latifa Bezzaouya-Cotrie, 43 ans.

Source et article complet : Le Parisien

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