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Emmanuel Macron lutte contre l’islam politique en fermant une école cultuelle hors contrat à Aulnay-sous-Bois
Face à l’islam politique, le gouvernement veut renforcer l’arsenal juridique et policier. Depuis début 2018, un plan de lutte contre le repli communautaire cible les associations et les écoles hors contrat, et les préfets ont inclus ce volet dans leurs missions. Une école musulmane à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) accueillant 40 enfants a été fermée en janvier. Ces actions basculeront dans le futur plan. L’exécutif entend aussi renforcer la police des cultes et le contrôle des associations cultuelles pour éviter les dérives radicales, comme le prévoyait le projet de réforme de la loi de 1905, révélé fin 2018 par l’Opinion, et avorté.
Source : L’opinion
Antar, Abdoallah et Salma, des élèves de CM1 de l’école Ambourget à Aulnay-sous-Bois, sur les incendies en Australie
Après trois mois de lutte, les pompiers australiens ont annoncé, lundi 13 janvier, avoir réussi à maîtriser le plus important « méga-feu » du pays. Cet immense brasier est situé dans la zone montagneuse de Gospers, au nord-ouest de la banlieue de Sydney. Il était hors de contrôle depuis presque trois mois.
Les enfants sont nombreux à avoir vu des images de ces incendies en Australie et les conséquences, notamment pour les animaux. Mais d’où viennent ces feux ? Comment les habitants et les animaux y font face ? On en parle dans franceinfo junior ce mardi avec Gaële Joly, journaliste à la rédaction de franceinfo. Elle revient d’Australie où elle a réalisé une série de reportages pour franceinfo. Pour l’interviewer : Antar, Abdoallah et Salma, des élèves de CM1 de l’école Ambourget à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).
Une grande sécheresse dans le pays
Au micro, Antar pose la première question « Qui a brûlé la forêt ? » Une question importante mais pas si évidente, à laquelle répond la reporter : « Chaque année en Australie, il y a des feux de brousse qui démarrent en décembre jusqu’en mars-avril. Cette année, ils ont commencé très tôt parce qu’il a fait très chaud, il y a une grande sécheresse. Les feux ont pris plus tôt. Il y a eu des très gros feux, difficiles à arrêter pour les pompiers. C’est la nature qui est comme ça mais qui s’est emballée cette année. » Est-ce qu’il y a eu des victimes ? Comment font les animaux ? Comment lutter contre ces feux ? Sur cette page, réécoutez en entier l’émission franceinfo junior du jour consacrée à la situation des incendies en Australie.
Source : France Info
Ecole morte à Aulnay, le mardi 9 avril 2019
La loi Blanquer a déjà fait réagir de nombreux parents. Un des points les plus contestés est celui qui concerne le regroupement des écoles avec le collège. Pour montrer leur mécontentement et alerter sur le fait que » l’école est en danger « , les représentants des parents d’élèves d’Aulnay sous Bois participeront à la journée « école morte » le 9 avril.
Ils invitent les parents à ne pas scolariser leurs enfants ce jour-là en signe de protestation;
voila le doc: CONTRE LA LOI BLANQUER
Merci à Laura pour nous avoir fourni le document.
L’histoire de l’école du Pont de l’Union à Aulnay-sous-Bois
Près du pont de l’Union monsieur Delatre possédait une propriété. Là les voyageurs pouvaient y trouver le gîte et le couvert tant pour l’homme que pour son cheval. En 1920, la propriété est vendue à la ville d’Aulnay-sous-Bois. En effet, la municipalité de l’époque, dont le maire était Jules Princet, estimait que les enfants de ces quartiers étaient bien trop éloignés du centre. Aussi on décida d’installer dans ce bâtiment une nouvelle école. Il y avait deux classes, l’une pour les filles et l’autre pour les garçons. L’instituteur et le directeur était Armand Serreau. Lui s’occupait des garçons et sa femme s’occupait des filles.
L’école du Pont de l’Union a donc vu le jour en 1920. Armand Serreau resta jusqu’en 1938 et fut ensuite remplacé par monsieur Turpin. Entre-temps, en 1930, l’école fut agrandie de quatre autres classes. Durant la seconde guerre mondiale l’école fut touché par l’explosion du pont le 13 juin 1940.
De nouveau l’école connu des modifications et des agrandissements. En cinquante ans elle connu cinq nouveaux directeurs et directrices. En 1933, lorsqu’on construisit l’école des Prévoyants, l’école du Pont de l’Union devint une école de garçons uniquement.
De nos jours l’école s’est encore agrandie. L’année prochaine elle fêtera ses 100 printemps.
Source : Page « Tu es d’Aulnay-sous-Bois quand » sur Facebook, Alain R.S.
Une nouvelle école à la rentrée à Aulnay-sous-Bois
A la place de l’annexe du collège du Parc, désertée par les élèves, un groupe scolaire primaire de 18 classes va être créé.
A la rentrée de septembre prochain, un nouveau groupe scolaire va ouvrir ses portes à Aulnay-sous-Bois. Sur l’avenue Louis-Barrault, à environ 600 m au sud de la gare RER, dix-huit classes – huit maternelles et dix élémentaires – sont prévues. Coût de cet investissement : 5 M€, dont 600 000 € pris en charge par la métropole du Grand Paris. L’Etat a aussi été sollicité pour participer au financement.
Faire face à une hause de la population
Cette école, qui n’a pas encore de nom, doit absorber l’augmentation de la population à Aulnay-sous-Bois. « Nous avons récemment fait réaliser une étude démographique, qui se projette sur les sept à huit ans à venir. Les chiffres démontrent un besoin, sur cette période, d’au moins quinze nouvelles classes. Ainsi qu’une pression démographique particulièrement forte dans le sud de la ville. C’est dû au renouvellement générationnel : les aînés quittent les pavillons de ce secteur, qui sont réinvestis par des familles », analyse la direction générale des services de la commune.
« L’idée est aussi de dé saturer les écoles environnantes, notamment Nonneville. On veut éviter les classes où il y a systématiquement trente enfants », ajoute encore la ville.
Elle sera installée dans l’ancienne annexe du collège
Restait à trouver le bâtiment idoine, dans ce quartier, pour créer un petit groupe scolaire. « L’opportunité s’est présentée avec la libération, par le département, de l’annexe du collège du Parc, en octobre dernier. Les collégiens ayant réinvesti cet établissement après un chantier de rénovation, l’annexe était disponible ! », développe encore l’entourage du maire (LR) Bruno Beschizza.
Les travaux pour réaménager cette annexe, qui comptait une vingtaine de salles et de « laboratoires », doivent démarrer d’ici fin janvier, début février. Il s’agit de créer dix-huit classes, et un espace de restauration scolaire.
Par ailleurs, deux classes dites « Ulis » (Unités localisées pour l’inclusion scolaire) vont être intégrées à cette nouvelle école, avec un dépose-minute dédié sur la rue attenante.
Source et article complet : Le Parisien
Fausse alerte et intervention de l’armée à l’école Paul Eluard à Aulnay-sous-Bois
Suite à une fausse alerte, des militaires sont intervenus aujourd’hui à proximité de l école Paul Eluard à Aulnay-sous-Bois. Cela a causé momentanément un petit mouvement de panique mais tout est rentré dans l’ordre en fin d’après-midi.
En tout cas certains parents félicitent l’intervention des militaires qui les rassurent contre d’éventuelles actions terroristes.
Images des stigmates des émeutes dans le quartier de Savigny à Aulnay-sous-Bois
Le quartier de Savigny à Aulnay-sous-Bois n’est pas réputé pour être un quartier difficile. Il y a des commerces, il est principalement constitué de copropriétés avec une forte proportion de propriétaires. Le magasin Bricoman a donné un véritable coup de pouce à ce quartier situé au Nord Est de la ville.
Pourtant, les émeutes de la nuit dernière risquent de mettre à mal cette image de cité plutôt paisible. Plusieurs voitures ont été incendiées, une école quasiment détruite. La célèbre supérette asiatique Paris Store a également été touchée par les émeutes, ce qui a bouleversé une grande partie des habitants de ce quartier.
Ras-le-bol des jeunes, volonté d’en découdre avec les autorités ou encore souhait d’étendre une certaine zone de non-droit pour y faire du commerce illicite ? Tout le monde ira de sa petite analyse, mais les riverains sont, comme toujours, les premiers touchés dans cette histoire.
Merci à « Salam Walikom » pour les images transmises.
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Déjà 14 communes sur 40 en Seine-Saint-Denis repassent à 4 jours sur 36 semaines à l’école
Comme nous l’avons déjà indiqué, le ministre a rouvert le dossier des rythmes scolaires et a fait paraître un décret le 28 juin dernier. Ce décret ne rétablit pas une organisation de la semaine scolaire commune à toutes les écoles du territoire national. Les municipalités restent les « maîtres d’œuvre ». De plus, le décret indique que « ces dérogations peuvent s’accompagner d’une adaptation du calendrier scolaire national ». Cela ouvrirait la voie à des calendriers locaux, par école, dépendant de chaque PEdT et des contingences territoriales. Ce serait à chaque commune, voire à chaque école ou groupe d’écoles, de définir ses « rythmes » et son calendrier scolaire.
Cependant, en ouvrant le dossier « rythmes scolaires », le ministre créé une brèche… Confrontées au rejet de la réforme exprimé par les enseignants et les parents, il est possible pour des communes de revenir à une semaine de 24 heures d’enseignement réparties sur 4 jours de 6 heures – ce qui a le mérite de séparer nettement le scolaire et le périscolaire et de mettre fin au mercredi matin, source de frais divers (trajets supplémentaires…) et de difficultés d’organisation pour les personnels (garde d’enfant notamment).
C’est ainsi que 14 communes du département (liste ci-‐dessous) ont demandé au DASEN de passer à 4 jours de 6 heures, sur 36 semaines pour la rentrée prochaine.
Partout et pour tous, il s’agit d’en finir avec la calamiteuse réforme des rythmes scolaires, d’en finir avec les décrets Peillon/Hamon. Pour le Snudi FO, il faut rétablir une organisation de la semaine commune à tous les enseignants de toutes les écoles du territoire national, et ce, en supprimant la confusion scolaire/périscolaire, donc sur 4 jours sur 36 semaines. C’est le sens de nos multiples interventions. Et c’est conformément à ce mandat clair que nous donnent les collègues dans toutes les réunions d’information syndicales, dans les AG, dans les réunions d’écoles, à travers une centaine de motions d’école dans le département et des centaines et des centaines nationalement que nous appuyons toutes les possibilités de revenir partout à 4 jours sur 36 semaines, signant un premier revers pour la réforme Peillon ! C’est pourquoi FORCE OUVRIERE, après avoir mobilisé sur cette revendication, a voté POUR la proposition du DASEN que les 14 communes ayant fait la demande passent à 4 jours sur 36 semaines à la rentrée prochaine (résultat du vote ci-‐dessous).
Bien entendu, les défenseurs de la réforme des rythmes scolaires ont manifesté leur désaccord. Ils n’avaient pas de mots assez durs pour parler des enseignants (et même des parents) qui n’auraient que faire de l’intérêt des enfants… quel mépris !
Ces derniers allaient jusqu’à dire que les décisions prises par ces 14 communes posaient un problème
« démocratique ». Pour appuyer ce point de vue, ils dénonçaient les conseils d’école qui « ne sont pas représentatifs de l’avis des parents ». Ce sont eux qui parlent de démocratie… mais doit-‐on leur rappeler qu’ils n’avaient que faire d’un passage en force pour les réformes PEILLON, HAMON et VALLAUD BELKACEM contre l’avis de l’immense majorité des enseignants et de leurs syndicats (représentant 80% de la profession).
Même si pour notre part nous ne sommes pas défenseurs du cadre du conseil d’école, il faut tout de même souligner que l’exigence du retour à 4 jours sur 36 semaines exprimée dans les conseils d’école est sans appel et confirme la volonté des enseignants consignée dans les motions d’écoles que nous récoltons. En effet, sur 208 conseils d’écoles (des 14 communes concernées), 196 conseils d’école le demandent, soit plus de 94% !
Le DASEN a indiqué que d’ores et déjà 11 communes supplémentaires envisagent de passer à 4 jours sur 36 semaines à la rentrée suivante. Nous appuierons cela ! Et plus encore ! Toutes les communes doivent passer à 4 jours sur 36 semaines !
Liste des 14 communes passant à 4 jours sur 36 semaines :
-‐ Bagnolet, Coubron, Épinay-‐sur-‐Seine, Gagny, Gournay-‐sur-‐Marne, La Courneuve, Le Raincy, Les Pavillons-‐sous-‐Bois, Montfermeil, Neuilly-‐Plaisance, Neuilly-‐sur-‐Marne, Stains, Vaujours, Villepinte.
Résultat du vote :
-‐ POUR (8 voix) : Snudi FO (3) – SNUipp (4) – mairie de Pavillons-‐sous-‐Bois (1)
-‐ CONTRE (2 voix) : mairie de Bondy (1), La Ligue de l’enseignement (1)
-‐ ABSTENTION (2 voix) : Se-‐Unsa (1), mairie de Villemomble (1)
Source : communiqué SNUDI FO 93
Un nid de frelons asiatiques découvert à côté d’une école à Aulnay-sous-Bois
Nous apprenons via les réseaux sociaux que des frelons asiatiques ont été découverts à proximité d’une école à Aulnay. En effet, un nid se trouverait à proximité immédiate de l’école des Petits Ormes, dans le quartier de la Rose des Vents, à quelques centaines de mètres du Galion.
Latifa Cotrie, attachée parlementaire du député Daniel Goldberg, annonce ainsi :
« Suite à ma question à Mme Maroun [NDLR : 1ère adjointe à Aulnay] quand est-il de l’intervention pour éradiquer ce nid. La réponse : Une société spécialisée a été contactée et interviendra mardi (impossibilité d’intervenir plus tôt) car ce n est plus de la compétence mairie ni des pompiers.«
Le frelon asiatique a été importé par inadvertance en 2004 en France, dans le Sud-Ouest. Sans prédateur majeur, il s’est rapidement propagé dans une partie de l’Europe de l’Ouest. Si sa piqûre n’est pas plus venimeuse que son cousin le frelon européen, sa colonie est plus volumineuse (plusieurs milliers de frelons dans un nid de frelons asiatiques contre quelques centaines pour son cousin européen). De plus, il est plus rapide et plus agressif si l’on s’approche de son nid, et n’hésite pas à poursuivre tout intrus qu’il considère comme danger sur plus de 10 mètres (au lieu de quelques mètres pour le frelon européen). Plus le nid est gros (fin d’automne), plus il est agressif si l’on s’approche du nid (moins de 3 mètres).


