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Un appel à témoin pour retrouver Arnaud Bonnefoy policier du Blanc-Mesnil suspecté d’avoir tué sa compagne
Cela fait environ 2 semaines que le policier en poste au Blanc-Mesnil, Arnaud B. âgé de 29 ans, est recherché pour le meurtre de sa compagne Amanda. Malgré l’insistance de la classe politique choqué par ce féminicide, le portrait de ce policier n’a été affiché que très récemment.
On ignore où il se cache et s’il est toujours en possession de son arme. Si vous le voyez, ne tentez rien, appelez simplement la police.
Course-poursuite entre Paris et Stains, un policier ouvre le feu et un autre est blessé
Deux hommes sur un deux-roues se sont lancés dans une dangereuses course-poursuite avec la police entre Paris et Stains ce mercredi après-midi. L’un des fuyards a volé une voiture avant de foncer sur un agent qui a ouvert le feu à plusieurs reprises.
Tout est parti d’un refus d’obtempérer vers 15 heures au niveau de la porte de Saint-Ouen. Un équipage de trois policiers de la BRAV-M (Brigade de répression de l’action violente motorisée) ordonne au conducteur d’un scooter de type Yamaha TMax de s’arrêter mais ce dernier refuse et accélère. Dans sa fuite, le suspect qui était avec un passager, aurait tenté de faire chuter les fonctionnaires. Il se dirige vers la commune de Stains. Au niveau du quartier du Clos-Saint-Lazare, l’un des policiers à moto percute violemment un véhicule en circulation, et se blesse. Juste après, le fuyard a un accident et les deux hommes tombent au sol.
Source et article complet : Actu17
Arnaud B., le policier en exercice au Blanc-Mesnil qui aurait tué sa compagne, toujours en fuite, armé et dangereux
Arnaud B., jeune policier en exercice commissariat du Blanc-Mesnil, est toujours activement recherché après la découverte du corps de sa compagne dans sa baignoire de son logement à Paris XIX. Il est introuvable, injoignable et armé. Son véhicule (Peugeot 208 blanche) est toujours introuvable également.
Ce jeune policier est connu pour des faits de violence et a eu des troubles psychologiques notamment après une rupture amoureuse mal digérée.
Le policier au Blanc-Mesnil Arnaud B. qui aurait tué sa compagne était atteint de troubles psychiatriques
Après la découverte macabre du corps d’une femme de 28 ans dans sa baignoire de son logement situé rue David-d’Angers dans Paris 19e, de nombreuses questions se posent sur le passé du policier Arnaud B. en poste au commissariat du Blanc-Mesnil. Celui-ci serait armé, dangereux et conduirait une Peugeot 208 de couleur blanche.
Alors que les recherches sont en cours, de nombreuses informations nous parviennent sur le passé de ce policier apparemment fragile et violent. Avant son entrée au commissariat du Blanc-Mesnil, Arnaud B. était affecté à la compagnie territoriale de la circulation et de la sécurité routière de Seine-Saint-Denis (CTCSR). On apprend qu’en 2018, Arnaud B. avait fait une tentative de suicide après une déception amoureuse.
Hospitalisé dans une unité psychiatrique d’un hôpital de Seine-et-Marne, Arnaud B. était suivi de près par les médecins et avait dû rendre son arme (qu’il n’a récupéré que récemment). Outre ces troubles, Arnaud B. était connu pour ses accès de violence contre sa compagne, si bien qu’il avait été mis en garde-à-vue. Il a suivi un programme spécifique pour lutter contre les violences faites aux femmes, mais avait pu garder son poste.
Arnaud B. est aujourd’hui injoignable, son téléphone étant éteint.
Le policier au Blanc-Mesnil soupçonné d’avoir tué sa femme reste introuvable
Ce policier du Blanc-Mesnil de 29 ans, en poste depuis trois ans, est toujours recherché depuis vendredi soir. Sa compagne a été retrouvée morte dans sa baignoire, dans le 19e arrondissement. Le policier est soupçonné de meutre dans cette affaire.
Selon Le Parisien, il y aurait eu des cas de violences conjugales par le passé.
Un policier du Blanc-Mesnil recherché après le meurtre de sa compagne
Un policier du département de la Seine-Saint-Denis était activement recherché ce vendredi soir après qu’une femme a été découverte décédée dans un appartement du 19e arrondissement de Paris. Le membre de Forces de l’Ordre qui est le compagnon de cette femme était absent à sa prise de service au Blanc-Mesnil. Suite au signalement de cette absence, « des policiers se sont rendus dans un appartement du 19e arrondissement » au nord-est de la capitale a appris l’AFP de source policière. En arrivant sur place, ils ont découvert, le corps inanimé de la victime dans sa baignoire.
Source et article complet : France3 Régions
Un policier en civil se prend un coup de poing dans la figure par un chauffard qui ressort libre !
En se rendant au travail quelques heures avant la nouvelle année, ces deux policiers ont croisé la route d’un chauffard à qui ils ont voulu faire remarquer sa conduite hasardeuse. Ce dernier est venu à leur contact et la situation a rapidement dégénéré. L’un des fonctionnaires a reçu un coup de poing en plein visage après lui avoir dit qu’il était policier. L’homme âgé de 28 ans, qui était avec trois femmes dans sa voiture, a finalement été interpellé peu après.
La tension monte. D’autres conducteurs s’arrêtent. Le policier au volant sort de sa voiture et les deux collègues décident de faire état de leur qualité, en espérant faire redescendre la pression rapidement, en vain. Les deux agents auraient préféré remonter dans leur véhicule pour partir, étant donné le nombre de personnes hostiles autour d’eux. Alors que le policier venait de se rassoir au volant, le chauffard serait revenu à sa hauteur et lui aurait donné un violent coup de poing au niveau de la bouche. La vitre côté conducteur était restée ouverte. « L’agresseur a réussi à s’enfuir avec l’aide des autres personnes présentes qui ont bloqué les policiers », confie une source proche de l’enquête. Les fonctionnaires quittent les lieux en composant le « 17 » afin de communiquer l’immatriculation du chauffard et sa description. Une patrouille de la brigade territoriale de contact (BTC) de Saint-Denis repère quelques minutes plus tard le fuyard qui circulait sur les quais de Seine. L’homme âgé de 28 ans, domicilié à Garges-lès-Gonesse (Val-d’Oise), a été immédiatement interpellé et placé en garde à vue.
Le mis en cause de 28 ans a été déféré ce dimanche au parquet dans le cadre d’une convocation par procès-verbal avec placement sous contrôle judiciaire (CPVCJ). Il sera jugé dans un délai de six mois maximum et reste en l’attente, libre sous contrôle judiciaire.
Source et article complet : Actu17
90 jours d’ITT pour un policier agressé au mois de janvier à Aulnay-sous-Bois
Le fonctionnaire avait été pris à partie et frappé au sol avec un de ses collègues par une quinzaine d’individus dans la cité des 3000 après un contrôle routier.
Un des deux policiers agressés le 3 janvier à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) a vu son ITT réévaluée de 21 à 90 jours à l’issue d’examens complémentaires, a appris BFM Paris auprès d’une source proche du dossier.
Le fonctionnaire avait été pris à partie et frappé au sol avec un de ses collègues par une quinzaine d’individus dans la cité des 3000 après un contrôle routier. Il avait alors eu l’épaule démise. Depuis la semaine dernière, il est de nouveau hospitalisé à Paris en raison d’une lésion des structures de son épaule. Il ainsi subi une greffe osseuse et du tendu et a été arrêté pour un minimum de six mois.
« J’ai eu très peur »
« Les individus étaient vraiment déterminés à nous faire mal, voire même peut-être nous tuer », avait témoigné l’intéressé sur BFM Paris quelques jours après l’agression. « Au sol, quand j’ai entendu ‘Tape dans la tête’, j’ai peu très peur. »
Le procès se tiendra ce mercredi au tribunal de Bobigny, après une première audience en comparution immédiate le 13 janvier. Deux prévenus seront présentés à la justice: le conducteur de la moto qui avait fait l’objet du contrôle et un agresseur.
Source : BMF TV
Vidéo, deux policiers agressés et frappés par une quinzaine d’individus lors d’un contrôle à Aulnay-sous-Bois
Des policiers à moto ont été violemment agressés à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) ce dimanche après-midi alors qu’ils procédaient au contrôle de deux hommes.
Un contrôle routier a viré à l’agression dans la cité des 3000 à Aulnay, ce dimanche vers 17 heures. Deux policiers à moto de la Compagnie de sécurisation et d’intervention de la Seine-Saint-Denis (CSI 93) ont procédé au contrôle de deux hommes qui circulaient eux aussi sur une moto, dans la rue Edgar Degas.
Le conducteur n’avait aucun document sur lui, ni son permis de conduire, ni le certificat d’immatriculation du véhicule. Son passager a proposé aux policiers d’aller récupérer les papiers au domicile du conducteur, situé à proximité selon lui. Plutôt que de ramener les documents, l’homme est revenu avec une quinzaine d’individus pour en découdre.
Ces derniers ont agressé les forces de l’ordre. Les fonctionnaires ont tenté d’interpeller l’un des mis en cause mais ont reçu de nombreux coups, notamment au sol, comme il est possible de le voir sur une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux. Sur cette même séquence, d’autres hommes encouragent les agresseurs : « Nique-le ! Shoot dans la tête ! Baise-lui sa mère », peut-on notamment entendre.
Ci-dessous la vidéo de l’agression :
Source : Actu.fr
En France, « nous allons tranquillement vers un État autoritaire »
Chères aulnaysiennes, chers aulnaysiens,
C’est la députée LREM Nathalie Sarles qui parle le mieux de la situation actuelle : « Nous allons tranquillement vers un État autoritaire« . Lorsque je le disais en 2018 et même encore début 2020, beaucoup considéraient que j’exagérais.
En cours d’adoption à l’assemblée nationale, la Loi sur la sécurité globale comporte de nombreux articles portant “une atteinte disproportionnée à la liberté d’expression” comme l’explique la défenseure des droits Claire Hédon au sujet notamment des articles :
- 21 qui autorise la transmission des images « en temps réel au poste de commandement du service concerné » et leur exploitation.
- 22 qui autorise la surveillance de manifestations par drones.
- 24 qui prévoit de pénaliser d’un an de prison et de 45.000 euros d’amende la diffusion de “l’image du visage ou tout autre élément d’identification” d’un policier ou d’un gendarme en intervention lorsque celle-ci a pour but de porter “atteinte à son intégrité physique ou psychique”.
“Si la protection des policiers et gendarmes est un objectif légitime, ces derniers sont déjà protégés” par le Code pénal et la loi du 29 juillet 1881, “notamment contre les menaces, injures, diffamations, outrages et contre la provocation à la réalisation d’un crime ou d’un délit” et contre les atteintes à leur vie privée.
En prévision de l’invalidation par le Conseil Constitutionnel de nombreux articles de cette Loi, des parlementaires rêvent de réformer cette institution garante de l’Etat de droit : https://twitter.com/LCP/status/1329876773115400193.
Lors des manifestations contre cette Loi qui se sont déroulées dans de nombreuses villes de France, les violences des forces de l’ordre ont été documentées par ces vidéos qui montrent :
- Le 17 novembre :
- un policier en civil pousser un manifestant sur des policiers en uniforme pour provoquer des violences contre les manifestants : https://twitter.com/amlaOM/status/1329407633179205635?s=20
- des policiers arrêter arbitrairement la journaliste Hannah Nelson qui sera gardée à vue : https://linsoumission.fr/2020/11/18/hannahnelson-la-violente-arrestation-dune-jeune-journaliste-qui-enflamme-les-reseaux-sociaux-2/
- Le 21 novembre :
- un policier faire tomber un journaliste et un autre frapper un manifestant cherchant à aider le journaliste : https://twitter.com/AiphanMarcel/status/1330204813196398592
- les journalistes se faire nasser pour les empêcher de faire leur travail, une première en France : https://twitter.com/AA_Avocats/status/1330216353740058625?s=20
La France est en pleine régression dans le classement mondial de la liberté de la presse. Mais le samedi 21/11, alors que la manifestation était fortement réprimée, les chaînes d’info tournaient en boucle sur un crime passionnel.
La nuit dernière le niveau de violence policières a atteint un tel niveau que même le ministre de l’Intérieur en a été choqué :
- étrangers traités avec une violence jamais vue,
- journalistes frappés : Rémy Buisine l’a été 3 fois,
- Elus de Paris empêchés de rejoindre l’hôtel de ville.
La France condamnée par l’ONU et par la commission européenne est devenue l’objet de raillerie des pires dictateurs.
Les atteintes à la liberté d’expression et d’informer au service de la démocratie sont inadmissibles.
A Aulnay-sous-Bois, ces atteintes existent également :
- Le maire a fait intervenir un de ces collaborateurs auprès d’AulnayCap pour que mes articles ne soient pas publiés.
- Les élus d’AEC ont fait obstacle pendant plus de 2 mois à la publication de toutes mes propositions d’articles reprenant pourtant les positions défendues en Conseil Municipal que nous avions validées ensemble, s’arrogeant ainsi le monopole de la prise de parole.
Les atteintes à la liberté d’expression et d’informer au service de la démocratie sont inadmissibles d’où qu’elles viennent.
Source : Sylvie Billard, Elu de gauche, écologiste et citoyenne


