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Entraves répétées à l’expression syndicale à la mairie d’Aulnay-sous-Bois : L’UNSA dénonce un acharnement inacceptable

L’UNSA alerte une nouvelle fois sur les atteintes graves et répétées à la liberté syndicale au sein de la mairie d’Aulnay-sous-Bois. Ces actes, loin d’être isolés ou anodins, s’inscrivent dans une logique d’acharnement manifeste visant à faire taire notre voix syndicale indépendante. Depuis plusieurs années, notre organisation syndicale, l’UNSA, est la cible d’un véritable acharnement, orchestré dans le seul but de réduire notre expression, empêcher notre action syndicale indépendante.

Les faits sont clairs :

  • Nos tracts ont disparu du tableau d’affichage syndical situé au 3e étage de la DRH, sans aucune explication.
  • L’espace numérique sur Aulnet, censé permettre la diffusion de nos publications, bloque nos tracts, empêchant toute communication équitable en direction des agents.
  • Notre local syndical, situé au 6 rue Berteaux, est devenu inaccessible depuis plusieurs
  • Pire encore, le barillet de la porte d’entrée a été changé sans que nous en soyons informés, empêchant l’accès à un espace pourtant prévu pour l’activité syndicale.

Ces faits sont extrêmement graves :

Ces actes, délibérés ou non, traduisent une volonté de marginaliser l’UNSA, de réduire au silence notre expression, et de déstabiliser notre organisation.

L’UNSA EXIGE :

  • La réintégration immédiate de ses tracts sur les supports physiques et numériques (tableau d’affichage, Aulnet) ;
  • La restitution immédiate de l’accès au local syndical situé au 6 rue Berteaux et la transmission des nouvelles clés ;
  • Une clarification écrite sur les raisons du changement de barillet, et sur les modalités de gestion des locaux syndicaux ;
  • Le respect strict du pluralisme syndical et des droits fondamentaux liés au dialogue

L’UNSA continuera, envers et contre tout, à défendre les agents, à revendiquer, à proposer. Nous ne nous laisserons ni intimider, ni réduire au silence.

Source : UNSA le combat au quotidien

Violente agression de deux élèves au collège Simone Veil à Aulnay-sous-Bois

Alors que les agressions se multiplient dans les établissements scolaires en Seine-Saint-Denis, nous apprenons que deux enfants ont été violemment agressés au collège Simone Veil à Aulnay-sous-Bois.

Ces deux élèves de 5e ont été agressés par une vingtaine d’élèves de 3eme dans les toilettes du collège. L’un des enfants a été emmené à l’hôpital.

La maman de cet élève nous a contactés et fait part de son incompréhension. Il n’y a que 3 surveillants dans tout le collège. Ces derniers temps, il n’y a plus aucune sécurité pour les enfants.

Faut-il attendre qu’il y ait un drame pour que les autorités interviennent ?

La ville d’Aulnay-sous-Bois dit non au harcèlement à l’école !

La Ville d’Aulnay-sous-Bois est activement engagée sur ce sujet et a mis en place des actions de sensibilisation contre le harcèlement scolaire.

Entre le 27 novembre 2023 et le 8 février 2024, plus de 238 élèves de 10 écoles d’Aulnay-sous-Bois ont participé à des ateliers autour du harcèlement à l’école.

Ce dispositif contribue à identifier plus facilement des cas de harcèlement à l’école et favorise une intervention rapide de la communauté éducative pour protéger les enfants.
Vous êtes victime de harcèlement ou que vous connaissez une personne dans cette situation ?

Contactez le 3018, un numéro vert gratuit, anonyme et confidentiel disponible 7J/7 de 9h00 à 23h00.

Ensemble, faisons de l’école un lieu où chacun se sent en sécurité !

Force Ouvrière dit stop au harcèlement moral à Aulnay-sous-Bois !

Vous trouverez dans le communiqué de Force Ouvrière communaux d’Aulnay-sous-Bois des informations concernant des cas de harcèlement moral dans la ville.

De plus en plus de femmes agressées sexuellement dans les transports en commun en Île-de-France

Mains aux fesses, frottements, caresses sur la poitrine… C’est le lot quotidien des femmes qui circulent dans les transports publics en Île-de-France. Dans la nuit de lundi à mardi dernier, deux agressions sexuelles ont eu lieu à l’encontre de voyageuses sur le réseau francilien. L’une des deux, mineure, a été victime d’attouchement de la part de deux hommes à bord d’un train en provenance de Sens. Les deux auteurs présumés ont été interpellés en gare de Bercy par les policiers de la Brigade des Réseaux Franciliens (BRF) et placés en garde à vue.

Source et article complet : Le Parisien

Le harcèlement scolaire, un fléau sous-estimé et des parents livrés à eux-même ?

Il y a quelques jours, un petit garçon de 10 ans, du nom de Thibault, a mis fin à ses jours. Scolarisé dans une école de Montbrison (Auvergne – Rhône Alpes), il subissait un véritable harcèlement à l’école, tant moral que physique. Insulté, martyrisé, brutalisé, il est même revenu un jour avec une main cassée.

Face à ces brimades, la mère a tout naturellement contacté le responsable de l’établissement, qui lui aurait rétorqué qu’elle « couvait trop son fils ». Finalement, rien ou presque rien n’a été mis en place, et le drame – qui aurait pu être évité – a touché de plein fouet la famille du petit garçon.

Le cas de Thibault n’est pas isolé : d’autres enfants se sont suicidés, alors scolarisés en primaire ou au collège, faisant la une des journaux locaux, puis sombrant dans l’oubli. Quels outils pour éviter ces drames ? Certains évoquent que les enfants harcelés doivent tout simplement changer d’école. Dans d’autres cas, les parents d’enfants victimes prennent le taureau par les cornes et, telle la loi du talion, vont effectuer des représailles ciblées contre les enfants bourreaux, allant de la menace au tabassage en règle. Une méthode qui fonctionne parfois, mais qui peut engendrer des poursuites judiciaires, allant jusqu’à la prison.

Et vous, l’un de vos enfants a-t-il subi des brimades à l’école ? Quelles ont été vos réactions et comment la situation s’est apaisée ? En tout cas, ce n’est pas en ne faisant rien et en excusant l’inexcusable chez les enfants bourreaux que la situation va s’améliorer…

Les élèves de 6e harcélés au collège parce que né en 2010 à cause des réseaux sociaux

De nombreux cas de harcèlement sur les élèves de 6e au collège sont reportés partout en France. Le motif : ils sont nés en 2010. Brimades, bagarres, moqueries… La vie devient un enfer pour ces jeunes collégiens qui ont déjà à supporter le passage délicat de l’école primaire au collège.

Les raisons : des vidéos virales, une campagne anti-2010 sur les réseaux sociaux, et le jeu Fortnite sont pointés du doigts. Une vidéo populaire sur YouTube se moque impunément des « 2010 » également.

Plus que jamais, ne faudrait-il pas mieux gérer les réseaux sociaux ou, tout simplement, priver les collégiens de leur téléphone portable ?

Un monde du travail déviant, abusif, toxique, délétère, esclavagiste et irrespectueux de l’être humain

De toutes parts nous prenons connaissance de situations de travail où des salariés sont malmenés accusés à tort, harcelés, exploités, maltraités, abusés par des employeurs aussi bien publics que privés qui jouissent de leur toute puissance pour les tenir en échec dans leurs revendications pourtant légitimes. Certains responsables n’hésitent pas à mentir, à travestir la réalité et même à produire des faux et faire usage de faux en écriture pour se dédouaner par tous moyens mêmes pervers et malhonnêtes, des entorses à la loi qu’ils infligent sans scrupules à leurs employés et collaborateurs !

Depuis quelques jours, les travailleurs de quatre restaurants MacDo d’Ile-de-France se sont mis en grève pour dénoncer la répression par la direction et la mise en garde-à-vue de deux salariés ayant agi comme lanceurs d’alerte face à des faits de harcèlement moral dans leurs restaurants. À Aulnay-sous-Bois, un rassemblement a eu lieu devant le MacDo pour protester et alerter contre ces agissements répressifs visant à empêcher la vérité d’éclater ! Une vérité certes immorale et peu reluisante….

Les salariés qui finissent par prendre leur courage à deux mains pour dénoncer des faits de harcèlement moral et de maltraitance portant atteinte aux droits humains deviennent les cibles de dirigeants qui usent de tous les moyens coercitifs à leur disposition pour les faire taire et même imposer l’omerta au sein de leur entreprise ! Cependant les salariés d’aujourd’hui ne sont plus décidés à subir l’inacceptable ni à se faire exploiter, maltraiter et violenter sans rien dire !

A la RATP, le syndicaliste Ahmed Berrahal est attaqué par la direction après avoir été la figure de proue de la lutte contre le harcèlement et le sexisme dans l’entreprise, mais heureusement de nombreux soutiens témoignent en sa faveur en réaction à l’offensive de sa direction.

De même, la jeune militante syndicale Rozenn qui travaille au Chronodrive de Campo Basso à Toulouse pour 420 Euros par mois afin de financer ses études, a été mise à pied et est toujours menacée de licenciement, après avoir mené une campagne contre le sexisme dans son magasin suite à des faits d’agressions sexuelles graves jusqu’ici restés dans l’impunité.

Face à des employeurs roublards, malhonnêtes, retors, pervers et en délicatesse avec le droit du travail et les droits humains et citoyens, il ne fait pas bon de nos jours être lanceurs d’alerte, ni victime de leurs persécutions multiples ! Et les nouvelles lois travail qui ont été votées sous El Khomri et Macron n’ont absolument pas arrangé la situation pour les salariés qui sont davantage encore exposés à la prédation des employeurs qui chercheront toujours les failles et les biais possibles dans le droit du travail pour déroger à leurs obligations, au détriment de leurs salariés !

En témoigne une salariée qui souhaite conserver son anonymat, victime d’une chaine huppée de résidences services pour les séniors qui a été engagée pour un contrat à durée déterminée de date à date précise qui lui convenait, et qui s’est retrouvée remerciée au soir du 2ème jour de mission sans qu’aucune faute grave n’ait été commise et qui a reçu son contrat anti daté en recommandé avec accusé de réception plus de 15 jours après son embauche avec des allégations mensongères et non conformes aux conditions d’engagement initial ! Désormais les contrats à durée déterminée ne peuvent plus se rompre, sauf dans 3 cas précis déterminés par la loi, et sont donc supposés se poursuivre jusqu’à leur terme. Par conséquent un employeur qui le rompt est en faute et doit verser le salaire intégral à son employé.

Telles que les lois sont écrites, elles permettent trop souvent à des employeurs crapuleux de mentir et de léser gravement leurs salariés en leur ôtant tout droit et toute protection sociale ! Est-ce admissible dans le pays des droits de l’homme ? Nos dirigeants n’ont-ils pas le devoir moral de protéger le plus faible des deux en édictant un droit du travail qui n’encourage pas les dérobades des employeurs à leurs obligations ?

En fin, que comprendre dernièrement de la démarche de la mairie, lorsque nous apprenons du communiqué de Force ouvrière que des agents bénéficiant d’une autorisation spéciale d’absence pour raisons médicales sont convoqués la veille pour le lendemain à venir travailler dans des crèches fermées au public, à accomplir des tâches non indispensables et qui ne relèvent à priori pas de leurs missions ? Quel est donc le but précis de cette manœuvre ?

Une fois de plus, et bien que nous ayons le droit en tant que citoyen de demander des comptes à notre administration de ses décisions et de sa gestion nous n’aurons jamais la réponse, car l’ADN de cette équipe municipale, c’est de déroger à ses obligations de transparence et de démocratie.

Ces quelques évènements rapportés qui se déroulent dans un monde du travail extrêmement épouvantable et souffrant, apparaissent très anecdotiques par rapport à l’immensité des sujets de litige qui opposent employeurs et salariés et qui atterrissent dans des tribunaux prud’hommaux engorgés. Si vraiment le droit du travail était efficace, équitable et protecteur pour les salariés qui sont trop souvent placés dans la position de victime et à la merci d’employeurs prédateurs et bourreaux, il n’y aurait point tant d’affaires en souffrance car jugées avec des mois de retard considérables…. Il est consternant d’observer que dans le pays des droits humains et citoyens, les employeurs soient restés invariablement dans une dynamique d’exploitation humaine et d’esclavagisme qui n’assume pas son nom !

Je conclurai mon article par la citation de la profession de foi d’EKLORE qui dit  » Oui, à la renaissance au travail :

https://www.eklore.fr/fr/blog/du-chaos-nait-l-espoir-et-de-l-espoir-renait-l-envie-oui-a-la-renaissance-au-travail

« Ce qui est certain, c’est que nous ne voulons plus travailler comme avant.

Nous ne voulons plus du travail labeur. Nous ne voulons plus nous soumettre à une hiérarchie incompétente. Nous ne voulons plus travailler avec des personnes aux schémas relationnels toxiques. Nous ne voulons plus des boîtes dirigées par des imposteurs, des négriers, des actionnaires à la vue courte. Nous ne voulons pas être des mercenaires du capitalisme.

Nous voulons œuvrer. Nous voulons du sens. Nous voulons travailler avec des personnes saines. Nous voulons créer des relations vivantes. Nous voulons des boîtes auto-gouvernées, qui encouragent l’authenticité, l’émancipation, le partage de la richesse et la régénération de la société, de la Nature, des individus. Nous voulons renaître. Nous voulons être des missionnaires d’un nouveau monde et des créateurs de l’économie de la Vie. »

Article rédigé les 29 et 30 avril 2021 par Catherine Medioni

Un homme qui défendait sa compagne contre des sifflements à Aulnay-sous-Bois a été tabassé par 7 individus

Hier à Aulnay-sous-Bois, une femme a été sifflée avec insistance dans la rue. Son compagnon, voulant interrompre les auteurs, a été violemment frappé. Rapidement sur zone, les
policiers ont interpellé 7 individus.

L’homme, blessé sans pronostic vital engagé, a été conduit à l’hôpital. Les femmes sont souvent harcelées dans les rues par des goujats qui n’hésitent pas à utiliser leur masculinité pour les importuner. Reste à savoir si les féministes vont réagir face à ce nouvel incident. 

Source : préfecture de police

Le cyber-harcèlement

Aulnaycap a malheureusement été le théâtre à plusieurs reprises de cyber-harcèlement envers des personnes nommément identifiées et souvent connues pour leurs engagements citoyens et associatifs sur la ville, qui s’expriment et commentent sous leur véritable identité, de façon loyale et respectueuse, parce qu’elles assument pleinement ce qu’elles disent et font, mais également parce qu’elles n’ont strictement rien à se reprocher.

Cependant c’est souvent le fait qu’il ne puisse rien être reproché objectivement et dans les faits à ces personnes ciblées et visées, qui est précisément le point d’appui de déviances comportementales répréhensibles qui elles, tombent vraiment sous le coup de tout ce qui est proscrit pas la loi !

Le cyberharcèlement se traduit donc matériellement par des agressions répétées sur le long terme, avec des périodicités variables, envers un individu dans le but de lui nuire délibérément, et diffusées par des moyens de communication numériques. Avec les   réseaux sociaux et leurs déclinaisons (blogs, Facebook, twitter, Instagram, WhatsApp etc.. ) les informations sont plus facilement conservées, et peuvent se propager rapidement à un large nombre d’internautes connus ou non de la victime, ce qui constitue des préjudices et un dommage à grande échelle !

l’ère du numérique et l’avènement des réseaux sociaux sont donc devenus les nouveaux outils de prédilection  de ces pourritures du net, de ces hors la loi qui s’espèrent intouchables et  qui bien cachés derrières de faux profils corrélés à de fausses adresses mail créées spécialement pour exercer leurs méfaits, se répandent en injures et calomnies mensongères, en insultes et insinuations douteuses, en rumeurs et accusations infondées, le but de la manœuvre étant bien évidemment de nuire le plus efficacement possible à la personne ciblée !

Pourtant la responsabilité de tout individu est engagée lors de dérives sur Internet et les sanctions peuvent être lourdes :

  • Injures ou diffamation : jusqu’à 12 000 € d’amende (art. 32, loi du 29 juillet 1881)
  • Droit à l’image : jusqu’à un an de prison et 12 000 € d’amende (art. 226-1, 226-2, Code pénal)
  • Usurpation d’identité : jusqu’à un an de prison et 12 000 € d’amende (art. 226-4, Code pénal)

En France, pour répondre aux événements tragiques liés aux cyber-harcèlement, un nouvel article a été ajouté dans la loi sur le harcèlement et prend désormais en compte le harcèlement avec utilisation des outils numériques. Cela est développé dans le quatrième point de l’article 222-33-2-2 du Code pénal, qui prévoit une plus grande sévérité : 2 ans d’emprisonnement et jusqu’à 30 000 € d’amende et que je reproduis ci dessous : 

Article 222-33-2-2

Le fait de harceler une personne par des propos ou comportements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de vie se traduisant par une altération de sa santé physique ou mentale est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende lorsque ces faits ont causé une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours ou n’ont entraîné aucune incapacité de travail.

L’infraction est également constituée :

a) Lorsque ces propos ou comportements sont imposés à une même victime par plusieurs personnes, de manière concertée ou à l’instigation de l’une d’elles, alors même que chacune de ces personnes n’a pas agi de façon répétée ;

b) Lorsque ces propos ou comportements sont imposés à une même victime, successivement, par plusieurs personnes qui, même en l’absence de concertation, savent que ces propos ou comportements caractérisent une répétition.

Les faits mentionnés aux premiers à quatrième alinéas sont punis de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende :

1°   Lorsqu’ils ont causé une incapacité totale de travail supérieure à huit jours ;

2°   Lorsqu’ils ont été commis sur un mineur de quinze ans ;

3°   Lorsqu’ils ont été commis sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur ;

4°   Lorsqu’ils ont été commis par l’utilisation d’un service de communication au public en ligne ou par le biais d’un support numérique ou électronique ;

5°   Lorsqu’un mineur était présent et y a assisté.

Les faits mentionnés aux premier à quatrième alinéas sont punis de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende lorsqu’ils sont commis dans deux des circonstances mentionnées aux 1° à 5°.

Nous pouvons donc constater que la loi du 3 Août 2018 a été promulguée pour prendre en compte les nouvelles formes de harcèlement qui sévissent sur les réseaux sociaux, et que les harceleurs qui croient pouvoir agir en toute impunité, seraient bien avisés de cesser leurs nuisances hors la loi !

Actuellement Aulnaycap regorge de commentaires qui relèvent clairement du cyber-harcèlement et ce dernier ne se limite pas aux insultes et injures dont la directrice de ce blog a été très récemment et injustement couverte et prise pour cible ! D’autres avant elle et depuis plusieurs années en ont fait indûment les frais !  Cette expérience fort désagréable a cependant ceci de bon, qu’elle encourage à faire évoluer davantage encore la loi, pour mettre ces harceleurs hors d’état de nuire, et cela définitivement !

Je me réjouis que le dernier coup de semonce publié d’Aurore et ses menaces aient, comme par magie, calmé les ardeurs guerrières de ces pourritures du net….  Derrière lesquelles nous subodorons d’ailleurs qu’elles sont pratiquées par de pleutres personnalités locales …Toutes les traces de vos méfaits et de vos commentaires hors la loi sont désormais des preuves tangibles qui vont se retourner contre leurs auteurs….

Article et réflexions rédigés par Catherine Medioni  le  8  janvier  2020.