Archives de Catégorie: A vous la parole

Des détritus de nouveau jonchent la rue de Lorraine à Aulnay-sous-Bois

ntEst-ce un mauvais cadeau de Noël ou une confusion sur la présence hypothétique d’une déchèterie au niveau de la rue de Lorraine à Aulnay-sous-Bois ? En tout cas, cela fait peine à voir.

Merci à notre lecteur pour la photo.

Sevran : Pierre Fleury, figure des commémorations et mémoire vivante de la ville, s’est éteint à 79 ans

Pierre Fleury, visage familier des cérémonies patriotiques à Sevran, est décédé le 20 novembre 2025, à l’âge de 79 ans. Son décès laisse un vide profond au sein de la communauté sevranaise, où il incarnait depuis de nombreuses années la mémoire, la transmission et le devoir de souvenir.

Reconnaissable à son béret rouge, à sa prestance discrète et à sa fidélité infaillible aux rendez-vous de la République, Pierre Fleury était de ceux qui ne manquaient jamais un 11 novembre ou un 8 mai. À chaque cérémonie, il rappelait par sa seule présence ce que signifiait servir, respecter et transmettre.

Chevalier des Palmes académiques et décoré de la médaille d’argent d’encouragement aux œuvres, il avait également reçu la médaille de la Ville de Paris. Des distinctions à l’image d’un parcours marqué par l’engagement, la rigueur et un attachement profond aux valeurs publiques.

Au-delà des cérémonies, Pierre Fleury était surtout un homme apprécié, bienveillant, d’un calme rare. Nombre d’habitants le décrivent comme « un monsieur digne, toujours droit, toujours respectueux ».

Sa disparition touche particulièrement celles et ceux qui ont partagé avec lui des moments de recueillement devant le monument aux morts de Sevran. Ces dernières années encore, il participait activement aux hommages rendus aux anciens combattants et aux victimes des guerres.

Les cérémonies d’adieu auront lieu le vendredi 28 novembre 2025 :

  • 10h30 : mise en bière au funérarium de Villepinte (83 boulevard Robert Ballanger)
  • 12h15 : cérémonie religieuse à l’église Saint-Martin de Sevran
  • 14h00 : hommage au cimetière de Sevran (avenue du Général Leclerc)

Un registre de condoléances est ouvert pour recueillir les témoignages d’amitié et de sympathie.

Pierre Fleury laisse derrière lui ses fils Patrick et Xavier, sa compagne, ses proches et ses petits-enfants, mais également une ville entière qui n’oubliera ni son sourire discret ni son engagement constant.

À Sevran, sa présence lors des commémorations restera un repère.

Sa disparition, une perte.

Pour La rédaction Aulnaycap

“Ils vivent dans le bruit, le froid et l’angoisse” : le quotidien insoutenable des résidents âgés des Glycines à Sevran

À Sevran, les résidents âgés des Glycines vivent au milieu des travaux

Ascenseur en panne, éclairage défaillant, sécurité incertaine : dans la résidence seniors des Glycines, à Sevran (Seine-Saint-Denis), les habitants, pour la plupart âgés, vivent depuis plusieurs semaines dans un environnement devenu difficilement supportable. Au cœur du problème : un chantier de réhabilitation sans réelle adaptation aux besoins d’un public fragile.

Une réhabilitation lourde dans une résidence occupée

Construite il y a plusieurs décennies, la résidence des Glycines — ancien foyer-logement municipal — fait l’objet d’une réhabilitation complète destinée à améliorer la performance énergétique, remettre aux normes les installations collectives et moderniser les parties communes.

Si le chantier est présenté comme indispensable, il a profondément bouleversé le quotidien des résidents.

La cour intérieure est fermée depuis plusieurs mois, les échafaudages encerclent une partie du bâtiment, et les accès habituels ont été modifiés. La circulation dans les couloirs est restreinte en raison du matériel stocké sur place. Le bruit des travaux débute tôt le matin, se poursuit une grande partie de la journée, et la poussière s’infiltre dans les espaces communs.

« Nous devons vivre au milieu des ouvriers, du bruit et de la poussière », raconte un habitant.

Pour un public âgé, parfois dépendant ou isolé, ce quotidien s’apparente à une mise à l’épreuve.

Un mois sans ascenseur : l’isolement au quotidien

Les difficultés se sont aggravées avec la panne durable de l’ascenseur, hors service depuis plus d’un mois.

Selon les résidents, la remise en fonctionnement nécessiterait une pièce coûteuse, estimée à 25 000 euros.

En attendant, aucune solution alternative réellement adaptée n’a été proposée.

Une chaise motorisée a bien été installée, mais elle est jugée peu rassurante par les plus âgés, qui redoutent les pannes, les chutes ou l’absence d’assistance.

Pour les personnes à mobilité réduite, se déplacer est devenu impossible. Certaines ne peuvent plus rejoindre la salle à manger, récupérer un colis ou se rendre à un rendez-vous médical sans l’aide d’un tiers.

« Je ne peux plus descendre pour réchauffer mon repas », témoigne une résidente de 88 ans, contrainte de s’organiser pour ne plus quitter son logement.

D’autres habitants s’inquiètent du risque de malaise nocturne : l’absence d’astreinte et de système d’alerte spécifique renforce leur sentiment d’insécurité.

Éclairage insuffisant, sécurité incertaine

Les travaux ont fragilisé la maintenance du bâtiment.

Au rez-de-chaussée, certains couloirs sont mal éclairés. Les ampoules ne sont pas systématiquement remplacées et les détecteurs de présence fonctionnent de manière aléatoire.

Les sorties de secours sont peu visibles ou partiellement obstruées par le matériel de chantier. Selon des résidents, plusieurs extincteurs n’auraient pas été vérifiés depuis 2023 — une information difficile à confirmer mais qui alimente la préoccupation générale.

Les parties communes présentent des traces d’humidité, des peintures écaillées, et des radiateurs vétustes. Des nuisibles auraient été signalés dans certains logements, sans traitement global à ce stade.

Pour les résidents, ces dégradations constituent bien plus que de simples désagréments : elles renforcent un sentiment d’insécurité dans un lieu qui était censé offrir stabilité et tranquillité.

Des loyers en hausse, des services en baisse

Le loyer mensuel, d’environ 549 euros pour un studio, augmente chaque année conformément aux règles des bailleurs sociaux.

Mais les résidents dénoncent une prestation qui, elle, ne suit pas la même trajectoire.

Le système de facturation au forfait mensuel — en remplacement de l’ancien système au prorata des jours d’occupation — est jugé pénalisant. Les habitants doivent s’acquitter du montant intégral même en cas d’absence temporaire, hospitalisation ou séjour familial.

Au restaurant de la résidence, la prestation ne couvre plus que le déjeuner en semaine.

Aucun service n’est proposé le soir ni durant les week-ends.

Les repas, souvent perçus comme « industriels » ou « fades », attirent de moins en moins de convives.

Ce recul des services contribue à l’isolement des résidents, qui renoncent progressivement aux temps collectifs.

Une vente contestée et un dialogue rompu

En 2022, l’ancienne gestion municipale a cédé la résidence au bailleur social Batigère, avec une délégation d’exploitation confiée à AMLI.

Plusieurs résidents affirment n’avoir été ni consultés ni clairement informés de la vente avant sa finalisation.

Depuis ce changement de statut, le dialogue avec le gestionnaire semble s’être distendu.

La dernière réunion du Conseil de la vie sociale (CVS) remonterait à 2023, en contradiction avec les recommandations nationales qui préconisent une réunion au minimum trois fois par an.

Aucun règlement intérieur actualisé n’est affiché dans les parties communes, et les comptes rendus des décisions de gestion ne sont pas communiqués aux locataires.

« On parle de bientraitance sur les affiches, mais dans les faits, on ne nous écoute pas », déplore une habitante.

Des inquiétudes relayées au-delà de la résidence

La situation commence à mobiliser au-delà des Glycines.

Des associations locales de défense des droits des seniors envisagent d’alerter les autorités : mairie, Agence régionale de santé (ARS), voire préfecture.

Ces démarches visent à examiner le respect des obligations du bailleur et du gestionnaire, mais aussi l’adaptation du chantier à un public vulnérable.

Sollicité par notre rédaction, Batigère n’a pas répondu à nos demandes d’entretien.

Le paradoxe du “mieux plus tard”

La réhabilitation de la résidence devrait, à terme, offrir un bâtiment modernisé, mieux isolé, plus sécurisé et plus confortable.

Mais elle met aujourd’hui en lumière un dilemme fréquent dans les travaux menés en site occupé : améliorer le bâti, parfois au détriment des conditions de vie immédiates de ceux qui l’habitent.

À Sevran, ce décalage entre le long terme et le quotidien soulève une question fondamentale : quelle valeur accorder à un logement rénové si ses occupants, âgés et souvent fragiles, ne peuvent plus y vivre sereinement pendant la transition ?

Les prochains mois seront déterminants pour savoir si des mesures d’accompagnement adaptées — relogement temporaire, renforcement de la présence sur site, meilleure information, sécurisation des espaces — seront mises en place.

Faute de quoi, le chantier des Glycines pourrait devenir l’exemple d’une modernisation menée au prix d’une perte de dignité pour ceux qui la subissent au quotidien.

Sources :

Pour Oussouf Siby, la ville d’Aulnay-sous-Bois manque de moyens pour ramasser les feuilles mortes

Depuis plusieurs jours, de nombreux habitants me signalent l’absence de ramassage des feuilles mortes. Les conséquences sont bien réelles : plusieurs glissades et chutes ont été constatées. J’ai moi-même dû intervenir hier pour éviter qu’une personne âgée ne tombe.

Ce manque d’anticipation de la municipalité n’est pas acceptable. Un Maire qui connaît sa ville se doit de prévoir, de répondre et d’agir. La communication c’est bien mais l’action c’est mieux.

En sillonnant les rues d’Aulnay hier et ce matin, j’ai échangé avec les équipes de Nicollin et avec les agents municipaux : ils font de leur mieux, mais une ville comme Aulnay doit se donner les moyens de ses ambitions.

Il est urgent de retrouver un service public de la propreté efficace, réactif et au service des habitantes et des habitants. C’est une question de sécurité, de dignité et de respect pour toutes et tous.

Source : Oussouf Siby, conseiller municipal et candidat aux municipales 2026 à Aulnay-sous-Bois

Droit de réponse de copropriétaires de La Morée concernant un communiqué du Maire d’Aulnay-sous-Bois

Monsieur le Maire,

En tant que référents des copropriétaires de la résidence La Morée, nous nous devions de rebondir à la suite de la parution de votre courrier adressé à Maître Deshayes, administrateur judiciaire de notre copropriété, étant les premiers concernés.

Nous souhaitons vous faire part de notre profonde déception et de notre étonnement quant à la manière dont ce courrier a été rendu public sur les réseaux sociaux, avant même que les copropriétaires concernés n’en soient informés.

Un tel procédé est particulièrement regrettable, d’autant plus que vous aviez expressément indiqué, lors de nos deux réunions, ne pas vouloir communiquer sur notre copropriété ni utiliser ce dossier à des fins politiques. Vous aviez alors insisté sur l’importance de la confiance et de la discrétion nécessaires à un travail constructif.

Sur le fond également, le ton employé à l’égard de l’actuel administrateur judiciaire nous a surpris. Pendant plus de vingt ans, notre copropriété a été placée sous la gestion d’un précédent administrateur dont l’inaction et le manque d’écoute ont largement contribué à la dégradation de la situation, sans que jamais la Ville ne manifeste une telle réaction publique.

Depuis la nomination du cabinet AJASSOCIES, nous constatons au contraire des efforts réels pour rétablir le dialogue, organiser des réunions régulières, répondre aux sollicitations et avancer concrètement sur le redressement de la copropriété. Ces efforts, visibles et constants, sont reconnus par une large majorité de copropriétaires.

Nous sommes également surpris de lire dans votre courrier votre satisfaction quant à la poursuite de la mission de Citémétrie. Vous n’ignorez pourtant pas que de nombreux copropriétaires ont exprimé, à maintes reprises, leur forte déception vis-à-vis de cet opérateur, notamment concernant le suivi de leurs dossiers de subventions ou de régularisation. Si la nouvelle interlocutrice en poste fait preuve d’un réel professionnalisme, cela ne doit pas faire oublier les nombreux manquements du passé : dossiers égarés, absences de réponses ou suivis interrompus sans explication. Aujourd’hui, plutôt que de les féliciter, il nous parait plutôt judicieux de mesurer réellement l’impact de leur action auprès des copropriétaires et plus globalement sur la situation de la Morée.

Depuis notre dernière rencontre, nous avions perçu l’espoir de la volonté d’un réel travail collaboratif entre vos équipes et celle des référents copropriétaires. Malheureusement, depuis, des visites sont organisées à la Morée sans que nous soyons tous invités ou même informés et ce à plusieurs reprises. Ces agissements divisent à l’heure où les copropriétaires doivent faire front et agir collectivement pour le bien de la copropriété.

Nous avons été très étonnés que tous les référents n’aient pas été avertis de ces visites, d’autant plus qu’elles avaient été initialement demandées par certains d’entre nous.

Cahenzli et Mme Mestaoui ont rencontré sur place deux référents seulement, soigneusement choisis, connus pour leurs bons rapports avec les services municipaux.

Ce mode de fonctionnement nous semble regrettable et contraire à l’esprit de transparence et d’unité que nous essayons de maintenir entre copropriétaires.

Nous tenons à le rappeler avec force : notre objectif n’est pas d’opposer les référents entre eux, ni de diviser les copropriétaires, mais au contraire de travailler collectivement et sereinement pour sortir notre résidence de la situation difficile dans laquelle elle se trouve depuis plus de vingt ans.

Monsieur le Maire, nous restons profondément attacher au dialogue, à la transparence et au respect mutuel. Mais nous vous demandons avec insistance que les échanges relatifs à notre copropriété se fassent dans un cadre confidentiel et respectueux, loin des réseaux sociaux. Nous vous rappelons que cela a déjà été fait dans le passé et cela nous a malheureusement porté préjudice. Nous ne cherchons pas l’acquisition d’une notoriété néfaste et polluante, au contraire, nous cherchons simplement à vivre paisiblement dans une résidence dont nous sommes les premiers à devoir en jouir au quotidien.

Notre copropriété n’est pas un sujet de communication publique : elle est avant tout le lieu de vie de nombreuses familles, qui attendent des actes concrets et un soutien sincère.

Comme nous le partagions à votre équipe lors de notre dernière rencontre, l’important pour nous est de ne pas nous sentir comme des habitants de seconde zone mais bel et bien comme des aulnaysien.nes avec une considération égale à celles de l’ensemble de nos concitoyens.

Nous espérons que vous relèverez notre lassitude et notre épuisement quant à la situation de notre copropriété que nous ne voulons pas voir se transformer en prétexte social, sociétal ou même politique.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Maire, l’expression de notre considération distinguée.

Bien cordialement,

Les référents copropriétaires de la Morée

5 idées pour organiser un événement magique et mémorable dans la Seine-Saint-Denis

Imaginer une fête pleine de surprises ou chercher comment impressionner ses invités lors d’une journée spéciale, voilà des défis qui animent chaque organisateur. La Seine-Saint-Denis regorge de lieux événementiels et propose une multitude d’options originales, tant pour les anniversaires que pour des animations en entreprise. Que l’on s’adresse à un public d’enfants ou d’adultes, il existe mille façons de rendre un moment exceptionnellement magique.

Dans cet article, découvrez 5 idées inspirantes pensées pour créer un événement inoubliable dans ce département. Rien de mieux pour en mettre plein les yeux après des petits et grands !

Créer la surprise avec une animation magie

Avoir recours à un magicien professionnel transforme instantanément une ambiance classique en véritable spectacle captivant. En Seine Saint Denis, plusieurs prestataires spécialisés offrent des spectacles adaptés aussi bien aux enfants lors d’un anniversaire qu’à des groupes d’adultes désireux de renouer avec leur âme d’enfant.

L’intérêt d’intégrer un numéro de magie se trouve dans sa capacité à unir les participants autour de moments de rire, d’étonnement, et d’interaction. Un bon magicien saura adapter ses tours au public et inclure quelques volontaires, renforçant ainsi le sentiment d’appartenance et rendant l’ensemble vraiment mémorable.

N’hésitez donc pas à faire appel à un magicien professionnel en Seine-Saint-Denis (93) si vous souhaitez garantir une prestation de qualité et offrir à vos invités une expérience hors du commun dont ils se souviendront longtemps !

Investir des lieux événementiels insolites

Sortir des sentiers battus favorise la création d’ambiances uniques. Cela commence par le choix du lieu. De nombreux lieux événementiels de Seine-Saint-Denis misent sur cette originalité pour marquer les esprits. Pour n’en citer que quelques-uns, on retrouve des péniches amarrées, d’anciennes usines transformées ou encore des domaines cachés qui peuvent accueillir petits et grands.

  • Salles privatisées équipées pour tout type d’animation
  • Bâtiments historiques réhabilités idéaux pour une atmosphère hors du temps
  • Espaces extérieurs comme les jardins protégés ou terrasses panoramiques

Oser choisir un endroit atypique donne immédiatement une toute autre dimension à l’expérience. Les invités repartent souvent bluffés par un cadre différent de ceux rencontrés habituellement et cela contribue grandement à la réussite globale de l’événement.

Proposer des activités insolites inspirées du team building

Les formules de team building ne sont plus réservées uniquement aux entreprises, elles trouvent désormais leur place lors d’événements familiaux ou amicaux. L’avantage réside dans la diversité des formats proposés dans le département, allant des jeux collaboratifs à des défis sportifs accessibles à tous.

Pourquoi ne pas imaginer une chasse au trésor modernisée, où adultes et enfants forment des équipes mixtes pour résoudre des énigmes disséminées dans un parc ou un centre culturel local ? Ces activités encourageant la coopération participent à installer une ambiance chaleureuse et dynamique durant toute la célébration.

Pourquoi intégrer un escape game à son programme ?

Le concept d’escape game rencontre un immense succès parce qu’il exige réflexion, entraide et créativité. Face à une suite d’indices à déchiffrer, petits et grands plongent dans une aventure collective pleine de rebondissements.

En choisissant cette animation insolite, il devient possible de réunir plusieurs générations autour d’un défi palpitant. Certains lieux événementiels proposent même des scénarios spécialement conçus pour favoriser la participation de tous, quels que soient l’âge ou l’affinité avec ce genre de jeu.

Comment garantir l’engagement de tous les invités ?

L’essentiel revient à varier les ateliers et les niveaux de difficulté pour que chacun puisse y trouver sa place. Multiplier les épreuves ou proposer différents thèmes attire naturellement autant les amateurs de stratégies que les adeptes de logique ou d’habileté manuelle.

Incorporer des récompenses symboliques pour l’équipe gagnante ou celle ayant fait preuve du meilleur esprit d’équipe ajoute ce supplément d’amusement qui permet de souder durablement les liens entre les participants.

Organiser un anniversaire féerique avec des ateliers pour enfants

Préparer un anniversaire inoubliable relève du défi quand il s’agit d’enfants débordant d’énergie. La clé réside souvent dans une animation ludique et attractive. Les ateliers créatifs remportent un grand succès : ils permettent aux plus jeunes de repartir avec leur propre réalisation, tout en partageant un vrai moment convivial.

Théâtre d’improvisation, ateliers magie, mini olympiades… ces propositions s’intègrent facilement dans la journée grâce à la diversité de professionnels présents dans le département de Seine-Saint-Denis. En complément, prévoir une décoration thématique ou une petite chasse au trésor personnalisée accentue la magie de la journée.

Composer un parcours multi-activités pour tous les âges

Pensé comme un mini festival, le format multi-activités séduit lorsqu’on souhaite rassembler un public hétérogène : enfants, adolescents, adultes, voire grands-parents. Mixer plusieurs types d’ateliers assure que personne ne reste de côté et chacun y découvre un plaisir inattendu.

  • Stands de jeux géants pour les pauses détente
  • Mini escape games portables animés sur place
  • Démonstrations interactives de magie ou ateliers d’apprentissage de illusions simples
  • Coin relaxation pour discuter et partager des anecdotes

Guider les participants vers différentes stations, leur laisser la liberté de composer leur programme, suscite la curiosité et garantit une immersion totale. Adapter l’ordre ou la durée selon les retours spontanés permet de rythmer l’événement avec naturel et bonne humeur. Plaisir garanti avec ce type de parcours qui enchantera les enfants comme les adultes !

Source : contribution externe

Le triste état du parking de la gare de Villepinte géré par Aulnay-sous-Bois

Le Parking de la gare de Villepinte, qui est géré par la ville d’Aulnay-sous-Bois, est complètement laissé à l’abandon, au grand désespoir des habitants.

Que font les autorités ?

Interview du révolutionnaire d’Aulnay-sous-Bois Hadama Traoré : union de la Gauche, défense des copropriétaires et des locataires

La Rédaction d’Aulnaycap a interviewé Hadama Traoré, leader du mouvement La Révolution Est En Marche, qui se bat sur différents dossiers : l’union de la Gauche pour les municipales 2026, la défense des locataires et copropriétaires en difficulté, lutte contre la corruption. Vous trouverez ci-dessous le résumé de cette interview :

« Bonjour M. Traoré,

  • Sans être candidat vous-même pour les municipales 2026, vous prônez l’union des listes de Gauche pour faire face au Maire Bruno Beschizza. Or plusieurs personnalités de Gauche ont déjà déclaré leur candidature. Où en êtes-vous sur cette initiative d’union à Gauche ?

L’union de la gauche n’est plus d’actualité. Le mouvement LREEM souhaite l’union des Aulnaysiens et Aulnaysiennes humanistes autour du projet social et démocratique La DR porté par M. Cheickh Nguette.

  • Votre mouvement « La Révolution Est En Marche » semble avoir muté par rapport à ses débuts en 2018. Il semblerait que vous avez mis sur place un syndic de copropriété pour reprendre les résidences en souffrance. Pourriez-vous nous en dire plus sur la constellation autour de LREEM et sur cette initiative de syndic?

Le mouvement LREEM se décline en 4 pôles : populaire, associatif, politique et économique. Cette organisation garantie une autonomie qui permettra l’émancipation des humanistes à l’échelle territoriale pour une dimension nationale. La société IMMO 3S, est une société en gestion de biens qui nous permet d’accompagner les propriétaires à la gestion de leurs lots.

  • Parmi les copropriétés en souffrance à Aulnay-sous-Bois, il y a la Morée. Cette copropriété est quasi sous tutelle depuis 2005. Pourquoi vous intéressez vous particulièrement à cette copropriété ?

Tout d’abord, cette copropriété est placée sous administration judiciaire depuis 1997. Raoul Mercier, un ancien élu socialiste humaniste aujourd’hui décédé (paix à son âme), a sollicité l’association Force Citoyenne afin que nous puissions accompagner les copropriétaires de la résidence LA MOREE à faire valoir leur droit.

Raoul Mercier a été le seul homme public de la ville d’Aulnay-sous-Bois, à me soutenir lors de la diffamation que j’ai subi concernant l’affaire Michael Harpon qui est un scandale d’Etat. Avec ce dernier, on a écrit un livre qui se nomme « je les accuse de désinformation ».

  • Vous dénoncez des zones d’ombre concernant la mission de réhabilitation de La Morée. Vous dites que des factures sont manquantes mais que la Mairie d’Aulnay-sous-Bois aurait quand même payé. Comment avez-vous eu cette information et avez-vous eu confirmation de la mairie ?

Depuis janvier 2020, le mouvement LREEM a effectué un travail technique, administratif et juridique exceptionnel avec des résultats exceptionnels. Un résultat qui symbolise notre travail intelligble, les 2 millions d’euros récupéré après 10 semaines de mobilisation devant la municipalité de la ville d’Aulnay-sous-Bois. Mme MAROUNE, 1ere adjointe au Maire et M. CAHENZLI, adjoint au Maire irresponsable, devaient dilligenter une expertise bâtimentaire car un constat d’huissier, met en exergue une zone d’ombre de 5 millions d’euros au vu des travaux de réhabilitation catastrophiques provisionnés à 24 millions d’euros (pièce jointe synthèse des echanges).

Début 2025, à la suite d’une plainte au PNF (voir pièce jointe plainte pnf), j’ai été reçu par M. LE ROUX (DGA), M. MIGNON (Responsable NPNRU) et M. CABARIBERE (DGA), m’informant que les factures sont introuvables, donc l’expertise bâtimentaire n’est pas réalisable.

  • Vous dites également que les copropriétaires de La Morée auraient été lésés de près de 2 millions d’euros. Pourriez-vous nous en dire plus ?

Les copropriétaires ont été lésés de plus de 2 millions. A l’heure de mes écrits, seule une enquête parlementaire permettra de quantifier les dégâts financiers et moraux de cette mesure collective qui dure depuis 30 ans, et ce en total violation du droit à la propriété garanti par l’article 17 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen.

À titre d’exemple, la mairie d’Aulnay-sous-Bois aurait effectué un détournement de fonds publics qui fera perdre plus de 300.000 euros aux copropriétaires [NDLR : nous n’avons pas pu corroborer ce propos de M. Traoré, qui clame ceci sur ses réseaux sociaux, et qui assume lui seul ces propos]. Aussi, la société Corriance, DSP de la ville d’Aulnay-sous-Bois, facture les copropriétaires à partir du compteur général ce qui est interdit. À ce jour, la résidence LA MOREE doit plus de 500.000 euros injustifiés à cette DSP. Une réunion de travail devait avoir lieu en janvier 2024 entre l’association Force Citoyenne en qualité de mandataire et la DSP CORIANCE, annulée par l’administrateur provisoire AJ ASSOCIÉS, sans aucune explication rationnelle et sans avoir rétabli la facturation au point de livraison (sous station) comme exigé par la loi GRENELLE 2.

  • Comment sont vos relations avec les copropriétaires de La Morée ? Rencontrez vous de la résistance, notamment de sympathisants de M. Beschizza ?

Dans la résidence, il n’y aucun sympathisants du maire de la ville car ce dernier a abandonné les copropriétaires. Dans l’action de l’association Force Citoyenne agissant en qualité de mandataire, le maire et ses sbirs tels que M. CAHENZLI, n’aurait jamais connu la zone géographique de la résidence LA MOREE.

Ensuite, certains copropriétaires ont été instrumentalisés par les differents administrateurs provisoires. Mais, c’est malheureusement la posture de certains être humains soumis à leurs bourreaux, d’où l’importance de mener une révolution philosophique telle décliné par le mouvement LREEM.

  • Quel serait le mot de la fin pour Aulnaycap ?

Il faut que Aulnay Cap puisse venir sur place pour ce rendre compte des millions d’euros gaspillés obligeant la tenue d’une enquête parlementaire portée par notre députée, Mme Nadège Abomangoli de LFI. »

Josette Laborde auprès du Ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez pour mettre Aulnay-sous-Bois en avant !

Josette Laborde, membre du Comité Renaissance à Aulnay-sous-Bois, est fière de pouvoir porter les couleurs de la ville d’Aulnay-sous-Bois en étant proche du nouveau Ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez.

Josette Laborde est une Aulnaysienne engagée, oujours présente, disponible et toujours  au service de l’intérêt général auprès des concitoyens. Elle espère que ce nouveau gouvernement durera le plus longtemps possible et se mettra au service du Ministre si besoin est.

La ville de Sevran dans un état déplorable selon Jessy Miller

Lampadaires rafistolés au scotch, armoires électriques ouvertes, arbres qui étouffent entre le béton et la poussière, poubelles qui débordent… Pour Jessy Miller, la situation à Sevran est catastrophique pour les habitants. La preuve en images !