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A Aulnay-sous-Bois et ailleurs, il sera presque impossible de faire du sport en club sans être vacciné

Athlétisme, football, judo, handball, badminton… Il sera demandé dès septembre un pass sanitaire pour pouvoir s’entraîner et participer aux compétitions. Si une bonne partie des français est vaccinée, une grosse minorité ne l’est pas, notamment chez les plus jeunes.

Le pass sanitaire sera obligatoire dès l’âge de 12 ans après le 30 septembre 2021. A moins de faire un test PCR ou antigénique 2 à 3 fois par semaine (qui ne seront plus remboursés après fin octobre), il sera quasiment impossible pour les athlètes, jeunes ou moins jeunes, de retrouver une vie normale et pratiquer une activité physique bénéfique, bienfaitrice et surtout bonne pour le moral.

Et si c’était cela qui va inciter, sous la contrainte, le reste des français à se vacciner ?

Le stationnement sur la Rue des Ecoles à Aulnay-sous-Bois devient payant !

Changement des règles de stationnement rue des écoles à partir du 15 février 2021. 

Le stationnement du parking situé rue des écoles devient payant à partir du 15 février 2021. Le tarif appliqué est celui du stationnement en zone verte longue durée.

Pour connaitre les tarifs, cliquer sur l’image ci-contre.

L’instrumentalisation de la justice à Aulnay-sous-Bois, ça suffit selon René-Augustin Bougourd

Trop, c’est trop ! Le feuilleton judiciaire initié par notre Maire n’aura-t-il donc pas de fin ? Combien de temps encore utilisera-t-il le budget de la commune pour poursuivre une action destinée à éprouver moralement et financièrement ceux qui ont exercé leur droit de s’élever contre un abus de pouvoir de 2016, celui de retirer des affiches sur la prévention du sida validées par le Ministère de la Santé? Un arrêté jugé illégal par le Tribunal Administratif dès 2017 ! Deux fois déjà, Bruno Beschizza a été débouté par la justice, mais il s’obstine.  Sans parler de la longue liste des autres procédures qu’il a perdues. Critiquer ses décisions exige la plus grande prudence, quand le discours de ses porte-voix est d’une agressivité débridée. Voilà comment on bâillonne le débat démocratique.

Or ces affiches destinées à sensibiliser particulièrement les homosexuels aux dangers du sida, à une époque où on sait que la vigilance se relâche, allaient dans le sens du bien public. Elles visaient également à éduquer toute la population.  L’homophobie est un autre fléau qui fait des victimes : tous ceux qui se drapent dans les « bonnes mœurs » de l’hétérosexualité doivent admettre que tout geste de tendresse librement consenti entre adultes est une manifestation de la liberté des êtres humains, et que si l’on n’est pas gêné de voir la représentation de ces gestes entre personnes de sexe différent, il doit en être de même quand il s’agit du même sexe. C’est la stricte conformité de la devise républicaine et la base même de toute lutte contre l’homophobie. La gravité du phénomène impose de dépasser la sphère privée. Cela justifie un débat entre citoyens, plus ou moins avancés dans cette prise de conscience. Voilà ce qui va dans le sens de l’ordre public comme de la santé publique, et donc des intérêts de la population aulnaysienne. S’il ambitionne de jouer « les bons pères de famille », le premier édile doit partir de l’idée que son rôle est aussi de contribuer à l’éducation de la population, en particulier des jeunes, et non d’entretenir une morale héritée du XIXème siècle, en abusant de son pouvoir pour verrouiller tout débat public.           

C’est ce débat que voulaient les citoyens contre lesquels Bruno Beschizza s’obstine. C’était un acte courageux. Nous ne pouvons que leur rendre hommage et les remercier de ce courage, eux qui paient deux fois cette instrumentalisation de la justice à des fins politiciennes : les frais occasionnés par leur défense, et, par le détournement de leurs impôts, ceux provoqués par le plaignant, et payés par la commune. Sans parler du temps et de l’énergie vampirisés par un homme qui non seulement ne débourse pas un sou, mais ne prend même pas la peine d’assister aux audiences. 

René-Augustin BOUGOURD

Elections municipales à Aulnay-sous-Bois, et si en mars 2020……

J’ai fait un rêve , et si en mars 2020 … , l’improbable se produisait à  Aulnay-sous Bois, cette si belle ville de Seine-Saint-Denis, avec ses champs Elysées, le Bl. De Strasbourg bien sûr, théâtre des événements aulnaysiens, avec ses grandes parades des patrons de la ville. Et si cette ville qui bouge autant dans ce département, « si riche par sa diversité », (sic le Président du Département) connaissait un branle bas de combat comme en 2014, un coup d’état ?  l’alternance est toujours profitable.

M. Le MAIRE retournerait-il à la police, peut-être à la préfecture de police de Paris espérant qu’ils n’emportent pas toutes les caméras qui ont fait d’Aulnay une ville si paisible, puisque plus de délinquance ? La ville la plus équipée de l’Île-de-France, mais il a plus d’un tour dans son sac : la franc maçonnerie est toujours très utile dans des situations périlleuses. Et puis son ami, M. l’ex Président, renvoyé aussi chez lui…qui l’a gratifié d’une légion d’honneur. Au fait, pourquoi cet honneur ? Quel a été le fait d’arme républicain pour l’obtenir ? Les 36 000 maires de France ne la reçoivent pas souvent .

et Madame la 1ère ADJOINTE, si fidèle,  reprendrait-elle son poste d’employée de Mairie à Pavillons-sous-Bois ? Vous pensez bien que non ? Employée municipale, vous plaisantez après avoir connu autant de notoriété dans sa ville, une carrière à revoir ?

 

 

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…et Monsieur le 2ème adjoint retomberait-il dans l’anonymat, lui qui briguait la place de calife depuis si  longtemps mais qui enfin pourrait passer sereinement ses soirées en famille ? Se plaignant de ses affairements débordants…. pourtant choisis librement depuis tant d’années. Oui mais, activités professionnelles rémunérées, activités politiques rémunérées et tout cela mené de front, ça use le bonhomme. Merci Monsieur pour vos bons et loyaux services, quoique partiaux, pas toujours partagés mais il faut de tout pour faire un monde.

… et Monsieur le ex adversaire du maire sous l’étiquette UDI lors des élections de 2014, le Président de l’UDI rentré dans le moule pour conserver son bureau à l’hôtel de ville d’Aulnay-sous-Bois (on dit parfois le » château »). Mais la fin justifie les moyens, disparu de la blogosphère aulnaysienne depuis 2014 !  On ne le voit plus, on ne l’entend plus, mais  4ème adjoint quand même avec tout ce qui suit, c’est cool !  Lui qui bientôt coulera des jours heureux sur la Côte d’Azur tant il s’est sacrifié pour la ville d’Aulnay-sous-Bois où il s’est quand même fait quelques ennemis? C’est la fin !

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… et on pense beaucoup à tous ces pauvres retraités, mais que vont-ils devenir ? Que vont-ils faire de leurs dix doigts, de leurs journées, ils vont tout perdre ? Il leur restera peut être les foyers du 3ème âge qu’ils ont si bien développés pour leurs compatriotes ? Ils auront au moins œuvré  pour leurs vieux jours, ne serait-ce pas de l’intérêt personnel ? un doute ?

… et tous ces élus totalement dans l’anonymat, même des adjoints, même des conseillers, inconnus, enfin  restés dans l’ombre des autres beaucoup plus ambitieux, plus avides de pouvoir. Ce serait un retour à la case départ incognito, alors au boulot ?

Sans oublier le député qui serait obligé d’émigrer selon les prochains résultats des municipales, à Pavillons ? à Bondy ? Ainsi va la vie politique au gré des errements des électeurs.

Plus de notoriété, enfin que l’on croit,  Madame ou Monsieur l’adjoint (e), Madame ou Monsieur le(a) conseiller(ère) municipal (e) , plus de pouvoir personnel dans leur immeuble, dans leur rue, plus de bureau attitré dans ce beau bâtiment qu’est l’hôtel de ville réservée aux grands maîtres  et le plus important, le nerf de la guerre…. Plus d’argent de poche qui fait que le plus souvent les grandes idées disparaissent subitement lorsque qu’il est question de sous-sous. On l’a vu avec nos élus de 2008/ 2014 pratiquement disparus, envolés depuis 2014… Mais que sont-ils devenus, à moins que ….pour mars 2020, la nostalgie du bon temps ne fasse sa réapparition mais sans beaucoup y croire à quelques mois des élections municipales .

On plaisante, ils ne vont pas se laisser faire comme cela, ils sont chez eux, la ville est à eux, pas à tous les Aulnaysiens et ils le font savoir, dehors les hordes de sauvages, ils vont se battre et dans ce domaine tout est permis.  Et puis  il y a toujours une prime au Maire sortant, alors, mon rêve se transformera en cauchemar … ?

PLATON dans « La république » Livre VIII 

Comment l’homme tyrannique naît de l’homme démocratique

 Déjà, la politique !

Source : contribution d’un électeur Aulnaysien

Une caméra « nomade » pour traquer les délinquants à Aulnay-sous-Bois

Pour 19 000 €, la ville se dote d’une caméra mobile de vidéosurveillance. Objectif : s’adapter à une délinquance mouvante.

L’arsenal sécuritaire s’étoffe à Aulnay-sous-Bois. En plus des 284 caméras de vidéosurveillance « classiques » disséminées à travers cette commune de 85 000 habitants, la municipalité vient d’acheter une « caméra nomade », récemment installée dans un quartier… qu’elle tient à garder secret. Ce dispositif d’enregistrement vidéo mobile cible des phénomènes ponctuels – et mouvants – de délinquance.

« On vise un certain type de faits qui nous sont signalés par des habitants : des vols de pièces automobiles, qui augmentent de manière importante, des dépôts sauvages d’ordures, ou des vols de véhicules. La plupart du temps, ils ont lieu de manière répétée à des endroits précis, souvent peu passants : c’est ici que nous installons la caméra nomade, qui permettra d’identifier les délinquants, et d’avoir un effet dissuasif », détaille Séverine Maroun, première adjointe au maire (LR) chargée de la sécurité.

Source et article complet : Le Parisien

Le quartier du Gros Saule à Aulnay-sous-Bois en passe de devenir une forêt vierge par manque d’entretien ?

Une lectrice nous relate ses inquiétudes quant au manque d’entretien des espaces verts dans le quartier du Gros Saule à Aulnay-sous-Bois. Selon elle, le quartier est oublié par la commune d’Aulnay-sous-Bois. 
Les arbres et les buissons ne sont plus coupés, la végétation sauvage gagne du terrain. Toujours selon notre lectrice, les terrains concernés appartiennent pour partie au bailleur 3F, qui rejette la faute sur la mairie d’Aulnay, qui a son tour la rejette sur 3F.
Cette citoyenne d’Aulnay qui habite dans le quartier du Gros Saule depuis 35 ans n’a jamais vu son quartier dans un état aussi lamentable. Elle regrette de payer des impôts quand elle constate son environnement proche. De plus, elle éprouve désormais une honte quand elle fait venir des amis ou de la famille des communes alentours dont les quartiers sont en général bien mieux entretenus.
Une honte pour la ville d’Aulnay-sous-Bois selon elle, ville fleurie mais surtout ville abandonné. Elle souhaite désormais que la mairie prenne le sujet à bras le corps car bientôt, les habitants du quartier ne pourront plus ouvrir leurs fenêtres ou sortir, sans oublier la présence en grand nombre de rats.

Circulation différenciée en Ile-de-France : Je vais rouler quand même affirme un artisan d’Aulnay-sous-Bois !

Parmi les personnes les plus impactées par la mesure de restriction de circulation, ce mercredi, les artisans et… les habitants de Seine-Saint-Denis qui figurent parmi les plus gros possesseurs de « vieux » diesel.

« Les Crit’Air 3 aussi vous êtes sûr ? » Au volant de son vieil utilitaire, cet artisan du bâtiment a du mal à y croire. « Je sais que les 4 et les 5 seront interdits dans Paris en juillet. Mais là, j’ai pas le choix, je vais rouler quand même », avoue Sidi, en chargeant son fourgon diesel devant un magasin de bricolage du 15e arrondissement.

Interdire aux Crit’Air 3 de rouler, ce mercredi, pour limiter la pollution à l’ozone, « c’est une mesure couperet, qui touche directement les commerçants, les livreurs et les artisans les plus modestes, du jour au lendemain », regrette Bernard Cohen Haddad, président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) de Paris Ile-de-France.

« Nous sommes mis devant le fait accompli. Je demande une tolérance pour les véhicules professionnels. Bien sûr, on partage l’inquiétude face à la pollution. Mais il n’y a pour l’instant pas d’alternative. Il n’y aucun système de location d’utilitaires propres par exemple. Comment on fait pour s’approcher de la capitale ? Il faut arrêter la politique de la canonnière et privilégier l’accompagnement. »

La Seine-Saint-Denis particulièrement touchée

Outre les artisans, les habitants d’un département francilien seront très impactés : selon les chiffres de AAAdata, spécialiste de la donnée automobile, 70 % des voitures immatriculées 93 seront interdites de rouler ce mercredi. Viennent ensuite les départements de Seine-et-Marne et du Val-d’Oise. Dans les Hauts-de-Seine, seules 48 % des véhicules seraient concernés par l’interdiction.

« Ah bon, je ne peux pas prendre ma voiture mercredi ? » interroge Milord* totalement interloqué, au volant d’une Peugeot break diesel de 2004, à la sortie d’une station-service à Saint-Ouen. Il vit à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) et travaille à Paris comme chauffeur-livreur. « Moi, j’ai besoin de ma voiture pour aller travailler », insiste ce quinquagénaire qui tombe des nues et n’envisage pas une seconde l’alternative des transports en commun.

Source et article complet : Le Parisien

Des malfrats tentent de faire entrer des vieilles personnes à Aulnay-sous-Bois pour les dépouiller

Une lectrice nous annonce avoir rencontré une amie, très âgée, qui s’est faite interpeller par des femmes en voiture qui voulaient la reconduire chez elle, à la sortie de l’Ephad Camille Saint Saëns. Cette scène s’est passée un dimanche après-midi.

Ces personnes lui parlaient comme si elles la connaissaient et comme elle voit très mal, ne se méfiait pas trop. Fort heureusement , cela n’est pas allé plus loin.

Une scène identique s’est reproduite en sortant du cabinet d’ophtalmologie rue de 14 Juillet, avec le même mode opératoire… 

Si vous êtes fragile, méfiez vous des automobilistes qui veulent vous raccompagner chez vous !

Des manifestants souhaitent la libération de Dramane arrêté pour violence contre la police à Aulnay-sous-Bois

Des habitants de la cité des 3 000 à Aulnay-Sous-Bois ont manifesté pour demander la libération d’un jeune homme. Il avait été interpellé le 1er janvier à la suite de l’agression d’un policier par un groupe de jeunes.

Dramane, 20 ans, a été interpellé pour avoir participé à l’agression d’un policier le 1e janvier.

Le jeune a été mis en examen et placé en détention pour « violences en réunion sur dépositaire de l’autorité publique ».

Une centaine de manifestants

Porteurs de banderoles sur lesquelles ont pouvait lire : « Non à l’injustice » ou « Liberté pour Dramane », une centaine de personnes de la cité des 3 000 ont manifesté samedi sur la commune d’Aulnay-Sous-Bois, en Seine-Saint-Denis.

Source et article complet : Actu17

Maternelle Nonneville à Aulnay-sous-Bois, 30 enfants sans classe à la rentrée prochaine

20160625_083609La décision d’ouvrir une classe à la maternelle Nonneville était attendue fin juin au vu de la liste d’attente d’une trentaine d’enfants, essentiellement des enfants de petite section. La décision du DASEN est tombée vendredi 24 juin: pas d’ouverture de classe, la situation sera réexaminée début septembre.

Il va sans dire que cette décision a été très mal prise par de nombreux parents, qui estiment que cette situation n’est pas tenable.

Source : La section locale FCPE du groupe scolaire Nonneville

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