Archives du blog
Confinement, le Maire d’Aulnay-sous-Bois pousse un cri d’alarme concernant les commerces de proximité
Le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza s’est exprimé dans une vidéo en appelant le gouvernement à faire plus pour la sauvegarde des commerces de proximité. Avec le confinement, de nombreux commerces sont à genoux avec des pertes qui s’accumulent. Aulnay-sous-Bois a plusieurs artères commerçantes comme le Boulevard de Strasbourg.
Bruno Beschizza soutient l’AMF qui demande le réexamen de la notion de commerces de premiere nécessité
De nombreux maires font état auprès de l’AMF de l’incompréhension que suscitent les mesures de fermeture qui visent certains commerces.
Les critères ayant conduit a distinguer les commerces de premiere nécessité, évoqués par le Premier ministre, et les autres, sont a l’évidence difficiles a justifier au regard de l’application qui en est faite concrètement.
Certains commerces comme les librairies ou les salons de coiffure pourraient relever des services de premiere nécessité.
Le commerce de centre-ville déjà fragilisé par le premier confinement est animé par des entreprises de petite dimension qui n’ont pas la capacité de résister a une chute brutale et persistante de leur activité sans que soit mise en danger leur existence même. Elles ne comprennent pas que des activités identiques aux leurs puissent être autorisées pour des entreprises de la grande distribution ou de la vente à distance, elles se trouvent ainsi placées dans une situation de grave déséquilibre de concurrence.
François Baroin et André Laignel demandent au gouvernement de revoir rapidement la définition de commerce de première nécessité et de l’élargir, dès lors que les conditions de sécurité sanitaire permettent de preserver la sante des commerçants, de leurs salariés et de leurs clients.
Source : communiqué AMF soutenu par le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza
Charges indues dans l’habitat collectif public à Aulnay-sous-Bois : quelle est la situation ?
Madame la Maire adjointe,
Lors du conseil municipal d’octobre 2020, j’ai abordé la demande de locataires de la résidence Saint Just relative au remboursement des charges locatives liées aux vide-ordures condamnés en 2009 car jugés impropres à l’utilisation, mais qui continuent à leur être facturées.
Le 26/04/2016, Mme Hakimi, directrice de l’OPHLM, a reconnu une erreur de facturation et affirmé que la régularisation des charges 2015 interviendrait fin 2016.
Le 25/06/2018, Mme Hakimi a justifié le non remboursement de ces charges en s’appuyant sur la jurisprudence du 2/02/2000 de la 3ème chambre civile de la cour de cassation, entérinée par la cour d’appel de Douai le 15/02/2001 qui énonce « attendu qu’ayant relevé que la suppression du vide-ordures pour satisfaire à des impératifs d’hygiène relevant de l’obligation du bailleur d’assurer une jouissance paisible au preneur, la cour d’appel a pu déduire que ni la diminution du loyer, ni le rétablissement de l’équipement n’étaient justifiés. »
Or, la demande des locataires de la résidence Saint Just ne porte ni sur le loyer, ni sur le rétablissement de l’équipement, mais sur la suppression d’une charge ne correspondant plus à aucun service. Dès lors, la jurisprudence invoquée ne saurait s’appliquer au cas d’espèce.
Après s’être engagée à recevoir une délégation de locataires le 6/10/2020, Mme Hakimi a annulé l’audience la veille. Ces locataires restent ainsi sans réponse.
La facturation de ces charges indues se poursuit-elle ? Pourquoi justifier le non-remboursement de ces charges en se basant sur une jurisprudence qui ne correspond en rien au cas d’espèce ? Quand les régularisations de charge interviendront-elles ?
D’après certaines estimations, le montant des charges locatives perçues à tort entre 2009 et 2020 pourrait représenter 50 000 euros sur la base des hypothèses suivantes : 70 logements (des 5 bâtiments de 4 étages et 3 bâtiments de 5 étages l’allée Saint Just chaque palier comportant 2 logements) X 2,76 euros de charge.
Les hypothèses fondant cette estimation sont-elles fondées ? Si non, quelles sont les variables à prendre en compte ?
Cette problématique concerne-t-elle d’autres résidences de l’OPHLM ? Si oui, lesquelles ? Pour quel montant global de charges indues ?
Les locataires ont droit à des réponses sur ce dossier et les aulnaysien.nes sur votre gestion.
Source : Sylvie Billard, Elue Aulnay-en-Commun
Les irrégularités dans l’élection de Bruno Beschizza à Aulnay-sous-Bois jugées au tribunal jeudi prochain
Hervé Suaudeau avait déposé un recours au tribunal administratif pour des soupçons d’irrégularités dans l’élection de Bruno Beschizza en mars dernier. Une audience a lieu ce jeudi pour savoir si cette élection risque d’être annulée.
Extrait de la convocation ici.
Covid, une gestion rigoureuse de l’espace public à Aulnay-sous-Bois
C’est ce que semble signaler Laurent Comparot, personnalité locale à Aulnay-sous-Bois, dans un Tweet montrant la terrasse d’un bar-restaurant situé sue une artère commerçante, vraisemblablement le boulevard de Strasbourg. Mais celles et ceux qui connaissance M. Comparot savent qu’il serait surprenant que ce dernier félicite l’édile d’Aulnay compte-tenu des relations entre les deux hommes. Laurent Comparot est un homme de Gauche, est opposant à la politique du Maire-Conseiller Régional-Président de Paris Terrre d’Envol.
Sur cette image, on peut en effet constater que le sol n’est pas très propre, que les distances de sécurité ne semblent pas respectées. Alors où le Covid est en train de faire des ravages dans le département, ne faudrait-il pas un peu plus de rigueur pour enrayer la catstrophe sanitaire ?
Un conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois sous tension avec des polémiques de Bruno Beschizza
La démocratie vit par les échanges entre élu-e-s, des questionnements et échanges, des propositions et du partage des informations et notamment celles que vous nous apportez lors de nos rencontres.
Nous pensions ainsi que le maire, les élus de sa majorité pouvaient être à l’écoute, se montrer réceptifs et responsables face à nos interventions en conseil municipal , des interventions nées de la lecture attentive des délibérations, avec le souci de faire des propositions concrètes.
Mais nous avons eu droit à des attaques personnelles, du mépris, des réponses complètement à côté de la plaque et le couplet habituel qui en devient ridicule: le Maire et sa 1ère adjointe répétant en boucle qu’ils ont été élus par « 59 % des Aulnaysien.ne.s » et qu’ils nous demandent de les laisser gouverner. Où est la démocratie ?
Pour rappel, M. Beschizza n’a été élu qu’avec 18 % des inscrits sur les listes électorales.
Ils se disent « légitimes » de par ces résultats électoraux. C’est un fait, mais les conseillers municipaux d’opposition doivent avoir toute leur place au sein du conseil municipal.
Source : Les élus Aulnay En Commun
La Covid va détruire la vie locale à Aulnay-sous-Bois avec des destructions d’emploi et la fermeture de commerces
C’est ce que craint le Maire de la ville, Bruno Beschizza, qui a écrit au préfet de Seine-Saint-Denis, Georges-François Leclerc, pour permettre aux différents événements de l’automne d’avoir lieu (fête de l’arbre, fête du chocolat…).
La suppression de ces événements entraîneraient inéluctablement la fermeture de nombreux commerces et la fuite des activités. La ville deviendrait alors une cité dortoir avec une recrudescence des incivilités et des faits divers.
Si le Coronavirus fait des ravages, de nombreux responsables de commerces et d’associations de commerce estiment qu’il faut que les affaires se fassent. Bruno Beschizza prend donc partie du maintien de la vitalité de la ville d’Aulnay-sous-Bois et ne souhaite pas annuler ces festivités du fait d’un risque sanitaire.
Lettre ouverte au Maire d’Aulnay-sous-Bois sur la parité dans la dénomination des rues et des bâtiments publics
La manière de nommer les rues et les bâtiments publics révèle la politique des élus.
Ainsi, la majorité a décidé -lors du conseil municipal n°3 du 8 juillet 2020- de donner à des rues et bâtiments publics le nom de 4 hommes au motif qu’il faut respecter ses promesses de campagne ! Soit, mais pourquoi avoir fait des promesses aussi déséquilibrées ?
Certes, nous approuvons que :
- la maison médicale de la rue Auguste Renoir prenne le nom du regretté Maurice Allouch, médecin aulnaysien décédé cette année, si cher à bon nombre d’aulnaysien.ne.s.
- le square de la Morée, dans le quartier Mitry/Ambourget, soit baptisé en mémoire de Ahmed Merabet, policier abattu en 2015 durant l’attentat de Charlie Hebdo.
Mais nous demandons la parité dans la dénomination des rues et des bâtiments publics.
Pour faire de la place aux femmes, nous pourrions débaptiser certaines rues aux noms problématiques.
Commençons avec Eugène Schueller (1881 – 1957) qui a droit à une avenue et à un passage, alors qu’il a collaboré avec les nazis :
- Chimiste et chef d’entreprise, fondateur de L’Oréal, Eugène Schueller était sensible aux idées d’Adolphe Thiers le boucher de la Commune de Paris (40 000 morts selon certaines estimations sans compter les déportés). Durant l’Occupation, il mit ses moyens personnels à la disposition du groupe clandestin d’extrême droite la « Cagoule ». En 1940, il contribua au financement du parti collaborationniste, en accord avec les autorités allemandes. Il participa également à l’aryanisation des biens juifs.
Renommez ces rues Joséphine Baker ou Hubertine Auclert aurait une autre portée politique :
D’origine espagnole, afro-américaine et amérindienne, elle était une chanteuse (J’ai deux amours), danseuse, actrice, meneuse de revue et résistante.
Elle obtint la nationalité française. Pendant la Seconde Guerre mondiale, son rôle important dans la résistance française et auprès des alliés, ainsi que dans l’humanitaire lui valut à la Libération d’être médaillée de la résistance française, de recevoir les insignes de chevalier de la légion d’honneur et la croix de guerre.
Elle utilisa ensuite sa grande popularité dans la lutte contre le racisme et pour l’émancipation des noirs aux Etats-Unis, en particulier en participant au mouvement des droits civiques de Martin Luther King.
- Hubertine Auclert (1848 –1914)
Journaliste, écrivaine et militante féministe française, elle se battit en faveur de l’éligibilité des femmes et de leur droit de vote. Elle défendit l’idée que, faute de représentation légale, les femmes ne devaient pas être imposables. Elle réclama la féminisation de certains mots (témoin, avocat, électeur, député, etc.).
En 1884, elle dénonça la loi sur le divorce et proposa l’idée alors radicale d’un contrat de mariage entre conjoints avec séparation de biens.
En 1908, elle brisa symboliquement une urne à Paris lors des élections municipales.
En 1910, elle présenta sa candidature aux législatives qui fut rejetée, les femmes n’ayant pas le droit de vote avait encore moins celui de se présenter.
Figure centrale du mouvement féministe français, Hubertine Auclert poursuivit son engagement jusqu’à sa mort.
Monsieur le Maire, quand honorez-vous paritairement les femmes dans la dénomination des rues et des bâtiments publics ?
Cordialement,
Pour le groupe des élu.e.s de gauche, écologistes et citoyen.ne.s « Aulnay-en-Commun »
Sylvie Billard et Alain Amédro
Le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza défend le plan de relance gouvernemental
Cette semaine, le préfet de la Seine-Saint-Denis et les représentants de la Chambre de Commerce et de l’Industrie ont réuni les entrepreneurs de Paris Terre d’Envol à l’initiative du Maire d’Aunay-sous-Bois Bruno Beschizza.
Objectif : présenter le plan de relance gouvernemental et les dispositifs de rebond pour les entreprises de Paris Terres d’Envol.



