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La lutte contre l’islam radical s’intensifie

Le 8 octobre 2020 le Préfet de Seine St Denis indiquait sur son compte tweeter avoir procédé à la fermeture d’une école clandestine à Bobigny.

Les locaux de cette école clandestine jugée hors la loi et hors des principes républicains par les autorités, entassaient des dizaines d’enfants, d’adolescents et même d’adultes dans des locaux exigus et inadaptés à toute scolarisation. Située sur l’avenue Edouard-Vaillant à Bobigny, ses baies vitrées opaques empêchent les regards indiscrets et sa porte d’accès indique juste par une affiche : « apprendre et comprendre ».

Photo du Parisien

Selon une source policière, une vingtaine d’enfants qui avaient l’âge d’être scolarisés en école primaire, étaient présent dans les locaux jeudi matin. Ils ont également constaté que des petites filles de 3 et 4 ans étaient voilées ! D’après leurs calculs, l’école clandestine compterait environ 80 enfants.

Les premières constatations ont mis en évidence une sécurité incendie défaillante compromettant la sécurité des enfants, et des conditions sanitaires très insuffisantes avec de surcroît une absence totale de cour de récréation. Les policiers ont également remarqué que certains enfants ainsi que leurs encadrants provenaient de l’école d’Aulnay sous Bois qui avait été fermée pour les mêmes raisons en janvier dernier.

Enfin, plus inquiétant encore, plusieurs parents d’élèves sont connus pour être en lien avec l’islam radical et parmi eux se trouvent des fichés « s » !  Habillées respectivement en niqab et l’autre en jilbab, deux femmes sont sorties des locaux de l’association ce jeudi après-midi !

L’objectif affiché de cette école clandestine est de proposer des cours d’arabe et de coran aux femmes et aux enfants. Mais en vérité quelle idéologie transmet-on à ces femmes et à ces enfants dès leur plus jeune âge ? La mairie de Bobigny de son côté affirme ne pas connaître cette organisation et déclare avoir juste procédé à un contrôle ce matin en envoyant la commission de sécurité et a constaté que cette association n’était pas assurée dans ces lieux. Cette fermeture fait suite au discours d’Emmanuel Macron contre l’islam radical et les séparatismes, fustigeant les écoles parallèles qui, profitant d’une montée inquiétante de la déscolarisation, n’enseignent que des prières !

Depuis septembre 2018, toutes les activités et les lieux qui abritent un prosélytisme radical font l’objet de contrôles et de fermetures ? C’est ainsi que selon un bilan présenté en février par le préfet du département, une quinzaine d’établissements, dont des écoles clandestines, des lieux de culte, des salles de sport ou encore des restaurants, ont été fermés en Seine-Saint-Denis !

Que les musulmans qui pratiquent un islam de paix et qui respectent et adhèrent à nos lois ne s’inquiètent pas. Seuls l’islam radical et intégriste est hors la loi en notre pays et sera poursuivi.

Article rédigé le 9 Octobre 2020 par Catherine Medioni

 

 

 

Un livre wahhabite incitant à la haine des non-croyants retrouvé dans une école d’Aulnay-sous-Bois

Dans les exemples abordés, on trouve ainsi le cas d’une école confessionnelle clandestine à Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Lors d’un contrôle, l’établissement a été fermé pour des infractions aux codes de la Santé, de la protection des mineurs et de la construction.

Mais le document précise qu’un livre interdit de publicité par le ministère de l’Intérieur en 2019 pour des « risques d’incitation à la haine ou à la discrimination envers les personnes ne pratiquant pas l’islam wahhabite [promu par l’ouvrage] », a été retrouvé dans une classe de moyenne section, sur une petite table, accessible à tous les enfants.

Source : Europe 1

Fatiha Boudjahlat égratigne le maire d’Aulnay-sous-Bois sur le communautarisme et la dette colossale

Mais si le multiculturalisme séduit, il aurait une réalité bien sombre au niveau local, selon elle:

«Au niveau local, que ce soient des élus communistes –comme dans la couronne francilienne rouge– ou des élus de droite –comme Bruno Beschizza à Aulnay-sous-Bois, ils ont fait du communautarisme, du clientélisme ethnique et religieux, une façon de gérer la paix sociale.»

Réélu au premier tour avec près de 60% des voix, à la tête d’une ville de 85.000 habitants et de… 2.000 agents municipaux, la gestion d’Aulnay-sous-Bois par Bruno Beschizza serait «entachée de nombreuses irrégularités» en matière de ressources humaines, selon la Chambre régionale des comptes d’Île-de-France. Au-delà d’une coquette dette de 129 millions d’euros, les Sages se penchent notamment sur le fonctionnement de certaines associations culturelles de la commune. L’une d’elles fonctionnerait grâce à la mise à disposition de plusieurs dizaines d’agents municipaux.

Un système clientéliste qui se serait donc étendu aux quatre coins de l’Hexagone: «Il n’y a plus du tout d’associations d’éducation populaire. Cela n’existe plus! Que ce soit le sport, l’aide aux devoirs, c’est communautariste!», s’indigne Fatiha Boudjahlat qui tacle au passage Gabriel Attal, élu socialiste qui déclarait à l’automne 2019, devant la Commission des affaires culturelles de l’Assemblée, que les associations étaient une «chance» pour les pouvoirs publics, notamment grâce aux économies qu’elles permettraient à ces derniers de faire.

Source et article complet : Sputnik

Pétition pour obtenir un carré musulman dans un cimetière à Aulnay-sous-Bois

Tout d’abord, voici ci-dessous la réponse des services de la Mairie suite au mail envoyé au Maire d’Aulnay-sous-Bois pour obtenir un carré musulman pour que ceux qui veulent enterrer leurs proches, puissent le faire.

De plus, le virus du Covid-19, nous a mis face à cette situation de ne plus pouvoir enterrer nos proches dans nos pays d’origines jusqu’à nouvel ordre.
Certains me diront, oui, mais il y a le cimetière intercommunale, à Tremblay, en France. C’est vrai, mais pour une ville comme Aulnay, 3ème ville de Seine-Saint-Denis avec 85 000 habitants, et n’ayant pas son carré musulman, alors que les villes de Bobigny et Tremblay en ont un. Je n’arrive pas à comprendre, surtout qu’à Aulnay-Sous-Bois, il y a une grande communauté musulmane, qui s’est investie pour avoir une des plus grandes mosquée du département, de la région voire de France.

Nous voulons pouvoir y aller à pied, à vélo, se recueillir auprès de la famille, amis, proches, voisins qui sont (paix à leurs âmes) où seront enterrés en France sans utiliser la voiture.

Dieu ne te jugera pas sur l’endroit où tu es mort, mais sur tes actions.

Il faut que la communauté musulmane et ces représentants se mobilisent pour que le Maire d’Aulnay mette à disposition ce carré musulman.

Le Maire vient chaque année à la mosquée lors des deux prières de l’Aïd, ou Iftar lors du Ramadan. Il a de bonnes relations avec la communauté musulmane, donc, je pense, que cela est un geste fort s’il valide ce projet ! 

Pour signer la pétition, cliquer ici.

LA GESTION PUBLIQUE DES ESPACES CONFESSIONNELS

«…personne ne sait ce qu’il acquerra demain, et personne ne sait dans quelle terre il mourra ».s 31 v. 34.

Le coronavirus n’a pas de frontière, c’est un mal commun, qui touche à l’humanité. C’est en cela que la raison nous fait comprendre la vraie nature de l’homme et le sens de la vie, si la vie est donnée pour permettre à l’esprit de s’élever, la mort constitue « un moment de vérité », voilà l’épreuve à laquelle chacun est convoqué.

De fait, les cimetières constituent de véritables écoles de citoyenneté et d’ouverture sur la vie  sociale et religieuse des vivants, invitant, au-delà de toutes considérations sociales, à la lecture d’un espace public de cohabitation de tombes.

Mais depuis le début de la pandémie, les places dans les cimetières se font de plus en plus rares, le nombre de morts étant en constante augmentation.Évoquons dans ce contexte, les musulmans ayant succombé au Coronavirus.

La pandémie empêche les rapatriements des morts musulmans dans les pays d’origine par prévention sanitaire et amplifie dramatiquement le manque de carrés confessionnels dans les cimetières communaux.

Ainsi, toutes les villes devraient avoir un « carré musulman» pour permettre aux familles d’enterrer leurs défunts dans les meilleures conditions possibles.

Certaines communes en sont totalement dépourvue, il faut « batailler » plusieurs jours pour trouver une place dans une ville plus éloignée, parfois il se sera écoulé presque 15 jours entre le décès et l’inhumation, alors que dans la tradition, c’est trois jours ! C’est inhumain, c’est scandaleux.

Il faut respecter tous ses habitants, ce n’est pas compliqué, il faut juste réserver un espace dans le cimetière, en 24 heures, c’est fait !.

La police des cimetières constitue une compétence propre des maires. Il leur revient de prendre telle ou telle disposition d’aménagement.

C’est pour cette raison que l’ouverture d’un « carré confessionnel » demeure aléatoire et n’obéit à aucune logique politique, leur implantation n’a aucun caractère obligatoire, restant soumise à la volonté du maire.

Ce « mal commun » met en lumière la nécessité d’un agir commun, d’une co-responsabilité.

Chaïbia Rhamami

A NOTER:

Pour faire suite à Chaïbia, La rédaction d’Aulnay cap, souhaite pouvoir entretenir les tombes de ses morts.

L’entretien de nos tombes et le travail de deuil et de mémoire, est rendu impossible par la fermeture de nos cimetières.

Nul ne sait quand ils réouvriront.

Aulnay cap, souhaite donc, la réouverture des cimetières.

Ceci pour pouvoir entretenir et honorer ses morts.

Espèrons que notre demande sera entendue, et espèrons que nos cimetières seront très vite réouverts.

La rédaction d’Aulnay cap, vous tiendra informés, dés que nos morts pourront de nouveau, être honorés, comme il se doit.

Fatima Belmouden adjointe au Maire à Aulnay-sous-Bois veut que les musulmans aient une sépulture adaptée

Dans une tribune au « Monde », un collectif de 62 élus de différents partis politiques, emmené par Khadija Gamraoui, conseillère régionale d’Ile-de-France (LRM), s’inquiète du fait que, pendant la crise liée au coronavirus, les carrés musulmans des cimetières n’arrivent pas à accueillir toutes les personnes récemment décédées.

Tribune. Depuis le début de l’épidémie de Covid-19, notre pays compte tristement ses morts. Au dernier décompte officiel, nous dépassons les 17 000 décès recensés. Au-delà des chiffres, ce sont des parents, des enfants, des petits-enfants, des amis qui ont perdu un proche. Et cette perte est d’autant plus douloureuse qu’elle s’accompagne le plus souvent, du fait du contexte sanitaire, d’une stricte solitude, puisque les proches ne peuvent être présents dans les derniers instants de la vie des malades. Mais, pour certains de nos concitoyens, le deuil est rendu plus difficile encore.

Nous, élus de la République issus de tous les partis politiques, souhaitons lancer un appel solennel pour sensibiliser le plus grand nombre à la situation que subissent de nombreuses familles.

Source : Tribune Le Monde

Dans cette école coranique Sabil à Aulnay-sous-Bois, on enseignait un dogme fondamentaliste à des enfants de 3 ans

Outre un problème de sécurité, des cours liés au Tawhid, dogme fondamental de l’Islam qui met Dieu au-dessus de tout le reste, ont été mis en avant par les autorités pour expliquer la fermeture de cet établissement à Aulnay-sous-Bois.

C’est un rez-de-chaussée discret, aux vitres fumées, coincé entre une salle de prières et un hammam. A Aulnay-sous-Bois, l’école Sabil, une structure d’apprentissage de la langue arabe et de la religion musulmane, a été fermée sur ordre préfectoral le 14 janvier. C’est ce qu’a annoncé le préfet Georges-François Leclerc ce vendredi, à Bobigny, devant Christophe Castaner.

Les services de l’Etat ont contrôlé cette « école qui est en dehors de tout cadre légal », explique le préfet. Ils ont découvert « 50 enfants de 3 à 6 ans installés dans une promiscuité effrayante », ne bénéficiant « d’aucune activité en plein air » et « soustraits aux règles minimales de sécurité ».

« Une entreprise de déconstruction des enfants »

Dans cette école, « les frais d’inscription sont payés en liquide », et le triptyque « lire-écrire-compter » n’est pas enseigné. Pour Georges -François Leclerc, il s’agit donc d’une « entreprise de déconstruction des enfants par rapport aux règles républicaines ».

Des «publications dangereuses», selon le préfet, ont aussi été trouvées, le ministre soulignant un « enseignement éloigné de ce que l’éducation doit apprendre à des jeunes enfants »

Selon un membre de la mosquée voisine, c’est l’enseignement « pur et dur » du Tawhid, l’un des dogmes fondamentaux de l’Islam, prônant la croyance d’un Dieu sans égal, qui a inquiété les autorités.

Une autre école d’Aulnay sous surveillance

« Pour certains qui interprètent les textes, le Tawhid enseigne de placer la foi au-dessus du reste, y compris des lois. Ce n’est pas une bonne chose de l’enseigner aux enfants, sans aucun recul », explique encore ce membre de l’association culturelle d’Aulnay-Sud (ACAS). Ainsi, le Tawhid est central dans le salafisme — la mouvance prônant le retour à l’islam originel dont se réclament la plupart des terroristes islamistes.

Autre problème : le directeur n’est pas Français, « un peu en décalage » avec les lois françaises, pense savoir le membre de l’ACAS, « un cocktail qui a sans doute incité les autorités à faire cette fermeture préventive ».

Source et article complet : Le Parisien

Emmanuel Macron lutte contre l’islam politique en fermant une école cultuelle hors contrat à Aulnay-sous-Bois

Face à l’islam politique, le gouvernement veut renforcer l’arsenal juridique et policier. Depuis début 2018, un plan de lutte contre le repli communautaire cible les associations et les écoles hors contrat, et les préfets ont inclus ce volet dans leurs missions. Une école musulmane à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) accueillant 40 enfants a été fermée en janvier. Ces actions basculeront dans le futur plan. L’exécutif entend aussi renforcer la police des cultes et le contrôle des associations cultuelles pour éviter les dérives radicales, comme le prévoyait le projet de réforme de la loi de 1905, révélé fin 2018 par l’Opinion, et avorté.

Source : L’opinion

Peut-on avoir peur de l’islam sans craindre les musulmans ? Un professeur d’Aulnay-sous-Bois répond

Ranger le terme «islamophobie» du côté d’une critique de la religion, comme l’a fait Henri Peña-Ruiz lors de l’université d’été de La France insoumise, est source de confusion et d’erreurs, pointe dans une tribune Saïd Benmouffok, professeur de philosophie à Aulnay-Sous-Bois et cofondateur du mouvement Place publique. 

Source et article complet : Libération

Un an après son ouverture, l’école musulmane déjà menacée par la municipalité à Aulnay-sous-Bois

Le conseil municipal étudie ce mercredi la résiliation du bail de l’association pilotant cette structure hors contrat, validée par le rectorat. Les inscriptions sont pourtant un succès.

« Si on pouvait parler de l’école elle-même, du travail des enseignants et du succès des inscriptions, ça changerait un peu… » Un an après l’ouverture, à l’heure du bilan et d’annoncer de nouveaux projets éducatifs, on en a marre de la polémique à l’école Bougainville d’Aulnay, un établissement privé hors contrat d’obédience musulmane.

Les lieux étaient occupés durant des années par l’Espérance musulmane de la jeunesse Française (EMJF) pour y dispenser des cours d’arabe. Jusqu’à ce que le bail soit cédé l’an dernier à l’association Education pour tous, pour y ouvrir une école en bonne et due forme. Mais, alors que la première année scolaire s’achève, les élus doivent étudier, ce mercredi soir en conseil municipal, la possibilité de le résilier.

Contrôlé en octobre par les services de l’Etat, l’établissement a pourtant été validé par les autorités – même si quelques points sont à améliorer. Du côté de l’actuelle direction, d’ailleurs, on continue à préparer activement la suite.

Nombre d’élèves en hausse. Au total, 144 enfants étaient inscrits en septembre 2018, dont 84 garçons et 60 filles, dans sept classes réparties en cinq niveaux, de la petite section au CE1.

« L’an prochain, nous ouvrons une classe de CE2, et une deuxième de CP », annonce le directeur. Résultat : l’effectif passe à 178 élèves, « avec un effectif maximum de vingt par classe, pour un enseignement serein ».

Le nombre d’enseignants passe de huit à dix. « Tous sont diplômés et présentent au minimum cinq ans d’expérience dans l’enseignement public », indique le directeur, qui précise : « On ne les paye pas au black ! »

Coût de l’inscription : 2 300 € l’année. C’est l’unique financement, hors dons, de l’établissement, dont le budget avoisine les 400 000 €.

POURQUOI LE BAIL DE L’ECOLE EST REMIS EN QUESTION

Au conseil, ce mercredi, la délibération permettant au maire d’Aulnay de retirer le bail à Education pour tous (EPT) promet d’être électrique.

Déjà, l’an dernier, l’école Bougainville était née dans la polémique. Certains voyant dans EPT le « faux nez » de l’EMJF, débarrassée de ses casseroles. Car l’EMJF avait été pointée du doigt en 2015 pour l’invitation de prédicateurs radicaux. Plus récemment, son président Hassen Farsadou avait été pointé du doigt pour une publication Facebook homophobe.

Frais de notaire

Alors, en un an, les relations entre EPT, titulaire du bail, et l’EMJF – toujours installée dans l’école pour donner des « cours du soir »- se sont dégradées. L’école a déposé plainte en avril pour des dégradations commises par des adhérents de l’EMJF lors de ces cours du soir.

EPT ne comprend donc pas la remise en question de son bail. Selon la ville, celle-ci « n’a pas respecté ses obligations en matière de paiement de frais de notaire ». Or, dans ce bail, il est indiqué que ces frais « sont à la charge de la commune, qui s’oblige à leur paiement ». Mais cela n’apparaît pas dans la délibération instaurant ce bail, qui stipule, elle, que c’est bien à EPT de s’en acquitter !

« On a signé le bail, pas la délibération », rétorque l’EPT.

Source et article complet : Le Parisien